Michael Wallner

Une journaliste, Hanna, enquête sur la profanation de tombes dans un cimetière juif et reçoit des lettres de menaces. Alain, policier juif, est chargé de la protéger.



Cette enquête était très sympa à lire. Alain est un personnage très attachant et possède un lourd passé. J’ai bien aimé cette histoire mais elle ne m’a pas forcément très marqué.

Le début du roman était très accrocheur mais la tournure des évènements m’a moins plus. Je m’attendais à un roman avec un mélange de policier et historique mais le côté Histoire est un peu tombé dans l’oubli au fur et à mesure.

J’ai apprécié ma lecture. Il s’agit d’un bon roman mais celui-ci ne m’a pas marqué plus que ça.

Une enquête autour d’actes antisémites en Allemagne, thématique toujours malheureusement d’actualité. On se rend vite compte que les menaces des différents groupes extrémistes vont déboucher sur différents débordements sociétaux. Même si le pouvoir les condamne avec fermeté aucun acte efficace ne s’ensuit.

Il est également question dans ce polar de maltraitance animale. Certaines scènes sont particulièrement violentes. Attention aux âmes sensibles.

Malgré une fin décevante, pas assez élaborée et des personnages peu détaillés, ce polar reste malgré tout agréable à lire.



Lecture dans le cadre du Prix pour le Meilleur Polar Points 2024.

Je suis une amatrice de polars alors quand j’ai regardé les nouveautés polars de la bibliothèque, je me suis laissé tenter par celui-ci.



Lors des premières pages, je n’étais pas vraiment convaincue mais j’ai décidé de continuer ma lecture.



Et heureusement puisqu’en continuant, j’ai découvert un polar différent de ceux auxquels je suis habituée.



Il ne fait pas étalage de scènes d’horreurs, il est plutôt mental, plus politique et plus fin que d’autres policiers que je lis.



Shalom Berlin est bien écrit, bien tourné et agréable à lire.



Je suis agréablement surprise de lui mettre 5 étoiles.



[Coup de cœur bénévole]

Un roman pas mal écrit avec des personnages attachants et un héros qui ne dort jamais…



Malheureusement, l’intrigue s’étiole au fur et à mesure du livre et la fin manque de liant. Comme si l’auteur devait remettre son texte pour une certaine date et qu’il était à la bourre… Dommage, tous les ingrédients y étaient.

Un roman policier intéressant et qui change mes habitudes de lecture car il se passe à Berlin, sur fond d'antisémitisme et de montée de l'extrême droite.

🚨 Le personnage principal, Alain, est un policier juif qui essaie tant bien que mal de faire le deuil de son épouse mais aussi de rester subjectif dans cette enquête où des actes antisémites sont perpétrés.

🔯 C'est peut être pour cette raison que j' ai eu du mal à m'attacher aux personnages principaux et à l'intrigue elle-même, qui est pourtant plus complexe qu'il n'y paraît au premier abord.

🚨 J'ai adoré la famille d'Alain, en particulier sa grand mère, une femme pour moi exceptionnelle, qui a connu la haine mais qui continue à prôner l'amour et la compréhension.

🔯 Le livre aborde aussi les relations toxiques, le non consentement et les violences faites aux femmes, sujet toujours délicat mais qui ici montre comment on peut vite se faire manipuler.

🚨 Pour finir, c'est un polar qui ne m'a pas tout à fait convaincue mais qui a le mérite de nous montrer ce qui se passe dans un pays tout proche du nôtre.
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J’ai trouvé le résumé très accrocheur et j’avais hâte de commencer cette lecture, malheureusement cela n’a pas fonctionné pour moi.



L’enquête n’était pas inintéressante mais elle manquait clairement de rythme. Certains passages me tenaient en haleine et deux paragraphes après c’était le calme plat, c’était assez déstabilisant.



J’ai apprécié le personnage d’Alain, le commissaire en charge du dossier. J’ai été touchée par son histoire personnelle et le deuil qu’il traverse suite au décès de sa femme survenu un an plus tôt. Sur le plan professionnel, il n’hésite pas à contourner quelques procédures pour arriver à ses fins et j’apprécie ce genre de profil. Bizarrement j’ai eu un peu plus de mal à m’attacher au personnage de Hanna, la victime.



Vous l’aurez compris c’est une petite déception pour moi mais beaucoup d’autres jurés ont apprécié cette lecture. N’hésitez pas à vous faire votre propre avis.

Dans mes dernières lectures du Prix du polar des Éditions Points, il y a ce livre de Michael Wallner qui se penche sur le sujet de l'antisémitisme et de la remontée des mouvements extrémistes en Allemagne.

Tout commence par la profanation de tombes juives dans un cimetière berlinois, énième acte raciste dans une ville qui semble en ébullition nationaliste.

Suite à son reportage sur le sujet, la jeune journaliste Hanna Golden, reçoit une volée de messages haineux et elle est victime de menaces plus personnelles. Elle doit être mise sous protection.

Une cellule de la police spécialisée va être mise sur le coup et c'est l'enquêteur Alain Liebermann qui est chargé de l'affaire.

Cette enquête va le faire réfléchir sur son rapport complexe à la judaïcité puisqu'il est aussi juif et que cette judaïcité se rappelle à lui face à ces actes innommables et la manière intime dont il vit le deuil de sa femme partie un an plus tôt.

Cette histoire familiale c'est un peu la deuxième histoire dans le polar, cette dimension personnelle rend forcément le personnage d'Alain Liebermann plus proche et attachant.

Il y a dans ce polar une multitude de points de vue et de questionnements plus profonds, une interrogation sur la capacité des démocraties à faire face aux mouvements nationalistes, comment elles se confrontent à cette violence et trouvent des solutions pour l'enrayer.

C'est un roman très actuel et captivant.
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Roman intéressant qui nous emmène dans les tréfonds de Berlin.



L'enquête tourne autour d'actes antisémites et met en lumière les groupuscules néonazis qui existent malheureusement toujours en Allemagne. J'ai trouvé la tournure que prenaient les évènement à la fin bien faite, mais je n'en dirai pas plus pour ne rien divulgâcher.



J'ai particumièrement apprécié que l'auteur condamne la corruption et la loi qui n'est pas égale pour tous. Il a réussi avec brio à nous montrer les entrelacs et les routes détournées prises par les puissants afin d'échapper à la justice. Finalement certains pays se prônent des états de droit et n'en sont pas tout à fait.



J'ai néanmoins trouvé que certains sujets étaient parfois éffleurés et j'aurais aimé suivre un peu plus les personnages et découvrir plus en profondeur leurs réflexions. Par exemple Alain Liebermann semble être un homme complexe, qui ne se remet pas du deuil de sa femme, et entretient une relation particulière avec ses parents. Il a ses fêlures et ses forces (pour ses dernières grâce à sa grand-mère, mais aussi au judaïsme apparemment).



Selon moi tout est arrivé un peu vite, mais ce polar reste agréable à lire et le dénouement est intéressant.



Attention aux âmes sensibles quand il est question de la maltraitance animale.



*Lecture dans le cadre du Prix pour le Meilleur Polar Points* #lecture8

Roman intéressant qui nous emmène dans les tréfonds de Berlin.



L'enquête tourne autour d'actes antisémites et met en lumière les groupuscules néonazis qui existent malheureusement toujours en Allemagne. J'ai trouvé la tournure que prenaient les évènement à la fin bien faite, mais je n'en dirai pas plus pour ne rien divulgâcher.



J'ai particumièrement apprécié que l'auteur condamne la corruption et la loi qui n'est pas égale pour tous. Il a réussi avec brio à nous montrer les entrelacs et les routes détournées prises par les puissants afin d'échapper à la justice. Finalement certains pays se prônent des états de droit et n'en sont pas tout à fait.



J'ai néanmoins trouvé que certains sujets étaient parfois éffleurés et j'aurais aimé suivre un peu plus les personnages et découvrir plus en profondeur leurs réflexions. Par exemple Alain Liebermann semble être un homme complexe, qui ne se remet pas du deuil de sa femme, et entretient une relation particulière avec ses parents. Il a ses fêlures et ses forces (pour ses dernières grâce à sa grand-mère, mais aussi au judaïsme apparemment).



Selon moi tout est arrivé un peu vite, mais ce polar reste agréable à lire et le dénouement est intéressant.



Attention aux âmes sensibles quand il est question de la maltraitance animale.



*Lecture dans le cadre du Prix pour le Meilleur Polar Points* #lecture8

Le titre de ce roman ne prête pas à confusion et de fait « Michael Wallner » délivre ainsi le lieu et le thème.



Hanna Golden rédige un article, sur la profanation de tombes juives dans un cimetière berlinois, qui a obtenu un certain retentissement, et qui sera à l’origine de plusieurs méls à caractères racistes. Le pamphlétaire traite Hanna de suppôt de Satan et lui reproche de se faire l’instrument de la juiverie internationale...Début d’une permanente persécution à son encontre. Elle va trouver la police qui l’adresse vers Alain Liebermann, membre d’une famille juive berlinoise, commissaire divisionnaire de la LKA (la division 5 de la Sureté de l’État), veuf inconsolable, à moins que la rencontre fortuite – au cours de l’enquête – avec une avocate de droit européen le sorte de sa torpeur sentimentale.



Un polar qui traite des menaces de différents groupuscules antisémites, ainsi que leur implication dans la vie sociale, qui débouchent sur des débordements inéluctables et des risques de la transformation possible de l’univers sociétal. D’autant que les plus hautes sphères, pratiquent à leur encontre un discours toujours lapidaire joint à des actes dénués d’efficacités. D’ailleurs Liebermann ressent pour les actes commis d’une grande bassesse, une haine implacable ; mais un membre de sa famille lui fait comprendre que face à tous les événements dans le monde, on arrivait toujours à la conclusion qu’il fallait pardonner, parce que le pardon est la racine même de la paix.



Je reste sur ma faim, beaucoup de personnages, dont certains survolés, et de situations qui auraient méritées plus d’extensions pour accentuer les effets dramatiques de ce polar. Une lecture malgré tout agréable, sur des sujets lourds que l’on a juste effleurés et dont il en manque la subtile quintessence.


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Un roman d'enquête sur fond d'antisémitisme qui est à la fois révoltant et très encourageant car il montre que certains sont encore prêts à se battre pour des causes et pour le rétablissement de la vérité (même s'il s'agit ici d'une fiction). L'enquête ne se termine pas concrètement car la fin ouverte permet à chacun de décider de sa propre résolution de l'affaire.



L'intrigue se joue sur une menace antisémitisme où une personne ou un groupuscule profane des tombes dans le cimetière juif de Berlin et s'en prend à une journaliste qui a écrit un article sur ce sujet. Sur les faits, les personnages sont bien campés mais du fait des liens politiques avec l'affaire à résoudre, on a parfois l'impression d'un fouillis ou d'une résolution trop rapide dans les différents sujets traités.



Le fond et la forme de ce roman sont bien amenés mais il reste un sentiment de flou et d'inachevé à cette lecture. Cela s'explique sûrement à la fin ouverte ou aux trop nombreux sujets évoqués. Une mention spéciale pour le personnage du commissaire Alain Liebermann, qui est à la fois un personnage humain mais très complexe par son passé.
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Lu dans le cadre du #prixdumeilleurpolarpoints

Berlin est au centre de ce roman policier avec une enquête qui fait suite à la profanation de tombes dans un cimetière juif. Hanna Golden, journaliste, écrit un article sur cet acte antisémite et sera menacée de mort et attaquée à son domicile. Elle sera protégée par le service de la sûreté, la LKA5, dirigé par Alain Liebermann.

Alain est veuf depuis un an, et n'arrive pas à avancer dans sa vie personnelle. Au début du roman, la grande famille Libermann est réunie pour les 95 ans d'Hélène, la matriarche, le pilier de la famille, dans son appartement à Berlin.

Je n'ai pas été happée par ce roman, pourtant le résumé m'attirait. Le côté recherches sur les groupuscules néo-nazis, la corruption politique et la menace de l'ultradroite est très bien développé et intéressant, mais le rythme est trop lent pour moi, la vie personnelle et les états d'âme du commissaire m'ont fait passée quelques pages.... Dommage.

Si vous aimez les enquêtes de Derrick, ce livre est pour vous.
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Pas un coup de cœur mais un bon moment de lecture pour ce roman politico-social sombre et malheureusement d’actualité . Nous allons suivre le commissaire Alain Liebermann qui n’est plus que l’ombre de lui-même depuis le décès de sa femme il y a un an . Il va croiser la route d’une jeune journaliste Hanna Golden qui après avoir rédigé un article sur la profanation de tombes dans un cimetière juif reçoit des menaces de mort . Le commissaire est chargé de la protéger et de mener l’enquête pour découvrir qui se cache derrière ces menaces. Une enquête complexe sur fond d’antisémitisme avec des rebondissements qui aborde des thèmes comme l’extrême droite , le judaisme. Les personnages sont attachants avec un commissaire en survit et une journaliste malmenée après son article. Un bon moment de lecture même si pour moi le côté enquête est par moment un peu en retrait par rapport à l’analyse de la vie et des états de conscience du commissaire, avec une fin un peu rapide. Des chapitres courts donnent du rythme , la plume est agréable . Un bon moment de lecture .

Livre lu dans le cadre du jury du Meilleur Polar Points.



Nous voici à Berlin, de nos jours. Hanna Golden est journaliste et amenée à rédiger un article sur une profanation de tombes juives. Elle va rapidement devenir la cible de menaces et d'agressions et c'est Alain Liebermann, policier de confession juive, qui va enquêter sur ces agressions. Ce dernier se remet doucement de la perte de sa femme Léa, décédée un an plus tôt de maladie.



Sur fond d'antisémitisme, l'auteur nous plonge dans une enquête à rebondissements, où les apparences cachent une toute autre réalité. Partant d'une profanation de tombes, la tension monte crescendo. L'occasion pour l'auteur d'aborder la question du judaïsme, de l'antisémitisme, de l'extrême droite et de sa violence, à travers des personnages dont la vie est chamboulée. Alain, l'enquêteur, se remet avec difficulté de la perte de sa femme et l'on est forcément touché•e par son sentiment de perte, sa difficulté à rebondir et à envisager l'avenir. Hanna, quant à elle, se retrouve au cœur de violences qu'elle n'aurait jamais imaginé subir en raison de son métier de journaliste.



Si j'ai apprécié cette lecture et passé un bon moment, j'avoue avoir été un peu déçue par l'enquête à proprement parler. J'ai trouvé le dénouement un peu trop tiré par les cheveux et alambiqué. J'ai aussi trouvé la fin un peu bâclée. Concernant le personnage d'Hanna, je trouve que l'auteur est allé un peu trop loin, il ne l'a vraiment pas épargnée ! Et je trouve ça d'autant plus démesuré une fois que l'on connait les raisons de cet acharnement.



En revanche, j'ai apprécié ma lecture par l'intérêt des personnages que j'ai trouvé attachants, particulièrement Alain, et le contexte de cette enquête mêlant la politique et l'antisémitisme. J'ai aussi beaucoup aimé l'écriture et un côté parfois un peu pince-sans-rire d'Alain, qui m'a régulièrement fait sourire.



Une lecture au final agréable, sans être un coup de cœur.

Une découverte agréable.



L'histoire en elle-même me plait beaucoup. J'ai juste quelques petites réserves qui m'empêchent de parler d'une excellente lecture.



Sans être indifférente, je n'ai pas eu de réel attachement pour ce commissaire. Veuf depuis un an, il n'arrive pas à se remettre de la mort de sa femme, ce que je peux comprendre. Seulement l'auteur accentue un peu trop pour moi. Ce qui, au lieu de me rapprocher de lui, m'éloigne du personnage. Une introspection qui empiète un peu trop sur l'enquête. Cependant, le contraste entre vie privée et vie professionnelle est intéressant.



Je regrette aussi un manque de transition par moments. Exemple : quelqu'un s'est introduit chez Hanna, elle l'a aperçu et sait qu'elle a été prise en photo. Fin du chapitre. le suivant débute par les policiers regardant la vidéo qui évidemment a été mise sur le Net. On comprend bien sûr qu'elle est allée les voir, mais j'aurais aimé assister à ce moment qui a été éludé, alors que l'auteur s'étend sur les états d'âme de son commissaire.



Les chapitres sont assez courts, ce qui apporte du rythme à l'histoire. le sujet est « connu », mais il est bien traité et j'ai apprécié le déroulé. L'écriture est agréable à lire et assez dynamique.



C'est un polar noir, pas un thriller, donc ne vous attendez pas à de l'action à tout-va. Je ne dirais pas que c'est haletant, mais l'auteur a largement su titiller ma curiosité et me donner l'envie d'aller au bout de ma lecture.

⚡️Dynamique

En trois mots : enquête - antisémitisme - pouvoir



« La question qui se posait n’était pas tant ce qu’il ressentait en tant que juif, à vrai dire, mais ce que tout un chacun devrait ressentir en étant confronté à ce genre de problèmes. »



➡️ Le thème de base est malheureusement toujours d’actualité, on plonge directement dans une certaine noirceur sur fond d’antisémistime…  mais pas seulement !



➡️ Ce polar dynamique ne manque pas de rythme, on suit Alain puis Hanna en alternance tout du long. Les deux personnages, sans être particulièrement attachants, sont agréables à suivre.



« De tous les pêchés mortels, la vanité était son préféré. Aujourd’hui comme hier, c’est essentiellement de la vanité des hommes que vivent les médias. »



Attention quelques scènes de violence m’ont semblées difficiles à lire.



➡️ Les apparences s’avèrent parfois trompeuses et cette enquête nous le montre bien. Même si les révélations ne sont pas fracassantes, la résolution reste convaincante et amène d’autres réflexions.



Un bon moment de lecture, sans être un coup de cœur.



Merci aux éditions Points pour ce service de presse dans le cadre du prix du meilleur polar 2024.

Ce 3,5/5, parce que j'ai quand même lu rapidement le roman, preuve que ça m'a suffisamment accrochée !



Les thématiques sont vraiment intéressantes, parce que d'actualité autour d'antisémitisme et de violences racistes, par des groupes d'extrême-droite, mais l'intrigue finit par être un peu brouillon.



C'est encore un polar avec lequel j'ai du mal à cause du rythme trop rapide, il se passe énormément de choses, très différentes, certains personnages semblent être importants puis n'apparaissent plus du tout. Je ne sais pas, j'ai vraiment du mal avec ce genre de rythme, que je ne trouve pas trépidant, mais juste précipité. Difficile de s'attacher aux personnages, les révélations et les rebondissements semblent tomber de nulle part.



Une lecture somme toute intéressante, que je suis contente d'avoir lu, mais on est loin du coup de cœur.

Le commissaire Alain Liebermann ne fait que « survivre », depuis la mort de sa femme Lea. Femme qu’il a veillée à l’hôpital St-Hedwig, jusqu’à la fin de sa maladie. En dehors de son travail, et issu d’une famille berlinoise juive, il n’a guère d’autres contacts que ceux de ses proches (son cousin dentiste Frank et surtout sa grand-mère de quatre-vingt quinze ans, Helene …)



Le policier va devoir enquêter et protéger la journaliste Hanna Golden, récemment chargée de la rédaction d’un article sur la profanation d’un cimetière juif (et menacée de mort par des messages haineux depuis lors …) Avec l’aide notamment de Velkan, le « geek » rouquin et de Franka, une musulmane « repentie » convertie au catholicisme, ils vont se lancer dans la recherche numérique du ou des coupables …. À vingt-neuf ans, Hanna Golden ne pensait pas avoir un jour à vivre de tels évènements. Elle n’est d’ailleurs pas juive, a simplement conservé le patronyme de son ex-mari, Elias Golden. À présent, Hanna a un nouveau petit ami (Leon Vinter) rencontré par hasard dans le métro de Berlin, six mois plus tôt.



Et puis, viendra Diana Göring, qui va tenter de sortir le commissaire Alain Liebermann de sa nuit sans fin …



Un roman (politico-social) noir, dont l’écriture et le style sont de très bonne facture. Et dont l’intrigue (particulièrement d’actualité) pourvue de rebondissements, ne manquera certes pas de capter l’attention des lecteurs. Les protagonistes sont plutôt attachants, j’ai éprouvé beaucoup d’empathie pour le commissaire Alain Liebermann … Et une sympathie certaine pour Helene, sa « Bube » …

A peine reçu, j'ai voulu le lire. Un sujet important.

J'ai apprécié ma lecture et de vivre des événements pas toujours agréables auprès des 2 principaux protagonistes que sont Hanna et Alain.

Chacun a son histoire, on entre même dans leurs pensées.

Je n'avais qu'une envie, de tourner les pages et de découvrir la vérité.

Un polar rythmé qui m'emporte, j'adore.

L'histoire nous plonge dans le quotidien ambilavent de l'occupation.



On explore les rues, ruelles, impasses de Paris occupée, en oscillant entre résistance et attentisme, entre violence et frivolité.



L'intrigue est intéressante mais ne m'a pas emportée. Le protagoniste est effacé et peine à déclencher le coup de cœur. Les personnages secondaires manquent de complexité, ce qui laisse un sentiment d'inachevé.