Michiko Aoyama

Je n'en attendais pas moins pour cette première lecture ! Elle est excellente ! J'ai passé un moment remplis d'humanité accompagné de nos 5 personnages. Et je dois bien l'avouer que je me suis reconnu dans plusieurs d'entre eux, pour ne pas dire chacun. Les 5 personnages nous donnent un récit poignant de différents questionnement, à différentes tranches d’âge de la vie. La notions de bonheur inaccessibilités est très présente dans ce livre, et dans le fond, qu’est-ce que le bonheur ? Accompagné de Komachi, une bibliothécaire atypique et de son assistante Nozomi, nos différents personnages vont faire l'expérience de leurs vie. Grâce à ce petit plus, ils vont réussir à ce dépasser et réaliser leurs rêves. Ce que j’ai adoré c’est la connections de chaque personnages avec la bibliothèque du centre sociale, ainsi que les différentes connections entre les personnages eux même. Inconsciemment chaque petite choses de la vie peut changer les choses et être une motivation, une reconnections à nous mêmes dans nos vie qui parfois nous dépasse. Je trouve que tout les personnages font preuve d’une force intérieur qu’il ne soupçonne même pas.

Pour finir je dirais que j’ai eu un véritable coup de coeur pour Natsumi qui vie de front sa vie de mère et sa carrière professionnelle, alors quelle est rétrogradé a son retour de congés maternité, elle désespère de retrouver son ancienne vie.

Je trouve son récit poignant et j’ai moi même vécu quelque chose de similaire, j’admire sa remonté car elle à su faire preuve de détermination et malgré les moment de doute, elle a cru en son rêve !

Un livre tout en délicatesse. On aimerait être assis tranquillement au café Marble, pour lire, écrire ou tout simplement admirer les cerisiers en fleurs.

Les personnages sont attachants, mais j'ai eu parfois du mal à suivre le fil de l'histoire, les uns mêlés aux autres.

Quel ennui !

C'est terrible. Peut-être est-ce la traduction, mais l'écriture n'est pas très bonne. Les personnages sont mièvres, comme s'ils étaient toujours penauds, qu'ils s'excusaient de vivre ou d'exister.

Les descriptions sont redondantes et les détails vraiment inutiles.

Je ne conseille pas du tout ce livre malgré sa couverture et son titre attrayants.

Ce lundi-là, l'énigmatique propriétaire du Café Marble à Tokyo organise une séance de dégustation de thé. Caché sous les cerisiers qui changent de couleur au fil des saisons, ce havre de paix se transforme alors en un lieu magique où l'amertume du matcha vient apaiser l'amertume de l'existence. Une brillante commerciale poursuivie par la malchance depuis le Nouvel An ; la propriétaire d'une boutique florissante qui a oublié l'humilité de ses débuts ; une grand-mère en froid avec sa petite-fille...

Alors qu'un chat blanc comme neige observe paisiblement les étonnants humains qui l'entourent, le Café Marble devient le lieu de rencontres insolites qui vont bouleverser la vie de ceux qui en ouvrent la porte

Mon second roman de Michiko Aoyama : j'ai lu "Un lundi parfum matcha", la suite de celui-ci en février et il m'avait beaucoup plu. Les deux romans ne se suivants pas réellement, j'ai décidé de me lancer dans celui-ci.



Comme pour "Un lundi parfum matcha", ce récit se découpe entre douze chapitres, les points de départ et arrivée étant le café Marble, à Tokyo, dirigé par l'énigmatique Master. Les histoires semblent imbriquées les unes dans les autres car un personnage plus ou moins secondaire d'une nouvelle sera le principal dans la suivante.



J'ai encore eu cette sensation de sérénité en lisant ce roman. On se laisse porter par les personnages, les découvrant en quelques pages seulement, s'attachant à eux, à leur histoire, leur bonheur et leurs tracas.



Encore une fois un roman dont on sort le sourire aux lèvres.

À la manière des nouvelles, chaque chapitre de ce roman choral tout en délicatesse est concentré sur un personnage se trouvant à une étape de sa vie, en apparence ordinaire ou plus significative, toujours synonyme de doutes, de changement, d’évolution, de prise de conscience.



La jolie plume épurée de Michiko Aoyama nous enveloppe dans une parenthèse apaisante aux saveurs sucrées aussi douces que les rencontres qui se succèdent au fil des saisons dans une atmosphère chaleureuse et feutrée.



Les histoires de vie s’entrelacent et explorent avec sensibilité les sentiments intimes des personnages, nous confiant leurs aspirations, leurs regrets ou encore leurs espoirs.

La bienveillance, la gentillesse et la sagesse dépeintes guident les personnages dans leur introspection et donnent à chacun un nouvel élan pour dénouer les nœuds de son existence.



Entre réconfort et légèreté, je me suis laissé porter par la douceur emplissant les pages, le cœur réchauffé par la tendresse des émotions diffusées.



À travers cette lecture émouvante sont évoquées des thématiques sources de réflexion comme la gratitude, l’importance de suivre son instinct, de changer son regard pour s’offrir une perspective nouvelle et être plus aligné.

Chaque histoire, chaque rencontre, chaque lien tissé expriment la beauté des connexions humaines, la simplicité des petits bonheurs de la vie et la poésie du quotidien.
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Je n’ai pas été franchement convaincue par ce roman. Il est découpé en plusieurs parties, chacune correspondant à un personnage différent.

La première nouvelle est sympathique puis les suivantes sont sur la même trame et clairement cousues de fil blanc.

L’écriture ne m’a pas emballée plus que cela.

Un roman que j’ai aussitôt oublié une fois refermé.

Une lecture toute douce qui m’a permise de m’évader au Japon.

Le livre est construit avec un chapitre par mois et par personnage. On traverse les saisons et on suit les personnages qui sont liés plus ou moins avec le Café Marble/Matcha.

Certaines histoires m’ont d’avantage plu que d’autres, mais j’y ai retrouvé ce que j’aime tant avec les romans japonais : cette petite bulle apaisante et réconfortante. Je m’attendais seulement à être au coeur du café et finalement il y a peu de moments dans cette parenthèse sucrée.

Néanmoins j’ai bien aimé que les personnages aient un lien entre eux (comme un fil rouge), que leur destin se croisent, et qu’il y ai une leçon à tirer de leur expérience. Cette lecture invite à ralentir pour prendre du recul sur nos vies.

L’immersion dans la culture japonaise, entre Tokyo et Kyoto, m’a permise d’en découvrir encore d’avantage sur les rituels et coutumes du pays.

N’hésitez pas à le lire si vous avez envie de voyager, et surtout d’entrer dans une parenthèse de douceur.
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Un roman où l’on va suivre cinq personnages différents, qui, à la faveur d’une recommandation inattendue d’une mystérieuse bibliothécaire, vont trouver en eux le déclic permettant de modifier leur vie. J’ai beaucoup aimé cette idée du livre comme moteur d’un changement présent en chacun, qui n’attendait qu’un petit coup de pouce pour se mettre en place, et la douceur de l’écriture toute en simplicité.

Le principe est chouette : un chapitre, un mois. Ainsi, nous traversons les saisons de Tokyo à Kyoto. J'ai aimé ces histoires, à l'image de nouvelles, qui se déroulent comme un fil sur une pelote de laine. C'est doux, c'est cocooning, je me suis sentie enveloppée dans un plaid, en mode pause. C'était un break en pleine lecture, contemplatif et zen. Pile ce dont j'avais besoin !
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Une petite bulle de douceur et de bien-être façon japonaise. Rien d'extraordinaire ni d'extravagant mais c'est agréable à lire et on est pris par les différentes histoires.

Les histoires se croisent au centre social d'un quartier de Tokyo où les différents personnages rencontrent une bibliothécaire et son assistante.

Rencontre qui va leur faire voir la vie avec un œil et un enthousiasme nouveaux.

Mes voyages au Japon sont livresques. A chaque voyage je découvre le pays différemment : ses temples, ses coutumes, ses habitants, son histoire, sa nourriture, ses monstres et son imaginaire intense.

Je ne suis jamais déçue et je rêve d'un jour où je pourrai m'y promener.

Cette fois-ci, j'ai à nouveau goûté la poésie du Japon, la saveur indolente et précieuse des personnages de ce roman.

On contemple parfois l'arbre sans penser aux racines. L'auteure nous montre que de la racine aux feuilles qui dansent dans le vent, à la fleur qui se détache pour s'envoler plus loin, chaque chose est reliée et fait sens. Chacun des personnages de cette galerie de portraits est ainsi source de réflexion et de plaisir.

A vous de tenter le voyage.

Petit ovni dans ma bibliothèque… c’est comme cela que je définirais « Un lundi parfum matcha ». Peu commun certes, mais sympathique.



12 chapitres, 12 mois, 12 personnages… et 12 petites histoires. Le roman de Michiko Aoyama est conçu de manière à découvrir ces hommes et femmes (ok et un chat dans le lot!) au fil des pages, de la vie et de leur rencontre. Car en effet, tous sont lié sans le savoir grâce au très énigmatique Café Marble /Matcha et son étrange propriétaire Master.



Ainsi, l’auteure nous livre des tranches de vie, ponctuées d’enseignements philosophiques pour qui veut prendre du recul. Il faut dire que l’ambiance y est très calme. Je ne suis pas habituée à ce genre de roman, mais j’ai apprécié mon temps de lecture. Joli découverte.

S ur le départ pour un voyage au Japon, j’ai replongé avec une autrice japonaise que je n’ai pas encore pratiquée, AOYAMA Michiko. Alors on est clairement dans les codes japonais, c’est un peu lent mais c’est surtout empreint de bienveillance et d’espoir. Pour l’histoire, Sayuri Komachi tient une petite bibliothèque de quartier et renseigne les usagers avec une manière bien à elle et les oriente certes vers leur demande mais les ouvre également à autres choses.







J’ai longtemps hésité en cours de lecture pour qualifier ce petit roman -très similaire à mon sens à « Tant que le café est encore chaud » de Toshikazu KAWAGUCHI- entre japonaiseries et japoniaiseries mais au final non c’est plutôt agréable et bien fait. On s’y plonge avec volupté.

J'ai lu il y a quelques mois La bibliothèque des rêves secrets de l'autrice japonaise Michiko Aoyama et avais aimé découvrir, au-delà d'une héroïne japonaise étonnante, les façons de vivre et quelques ressentis nippons.



Ici Michiko nous emmène entre Japon et Australie.



Le titre et la couverture volontiers naïfs ne rendent pas hommage à la profondeur des sentiments qui animent les personnages du livre.



D'ailleurs la personne qui l'a lu avant moi à la Médiathèque m'a dit que c'était un livre agréable, mais me le tendant comme si c'était une bluette...



Pas si simple que ça !

Sur la forme, c'est un roman choral, en forme de boucle. Chaque personnage d'un chapitre, associé à une couleur, vit une situation amenant à un autre personnage qu'on entendra dans le chapitre suivant, jusqu'à fermer le cercle.



Ça commence dans un mini café, le Café Marble. 3 tables de 2 places et 5 places au comptoir, pas vraiment le lieu à la mode, mais un endroit bien chaleureux, dont le gérant laisse les clés à l'employé, Wataru, tout juste recruté, pour aller vivre sa vie et s'occuper d'autres personnes, comme on l'apprendra plus tard.



Mais on va vite sortir du café, pour aller dans la cuisine d'une maman débordée, une école maternelle, le jardin botanique de Sydney, une petite sandwicherie orange, ou encore une boutique de lingerie.



Je ne vais pas vous raconter les histoires de chacun, mais ce que j'ai aimé, c'est là aussi de suivre ces Japonais et quelques Australiens, au gré parfois des échanges entre familles d'accueil ou du fameux "visa-travail" australien d'un an, et de les voir vivre.



Du coup, on a tendance à comparer ces deux nations, des opposés.



Au Japon, toujours des conventions sociales très fortes, l'impression qu'on ne peut guère sortir du lot, le devoir de tout faire parfaitement, alors qu'en Australie, il semblerait y avoir plus de liberté, un côté plus fantaisiste, moins de rigidité ?



Un roman de 200 pages vite lu, aéré, optimiste, avec toujours ce "voile" japonais de poésie, de très belles relations d'amour et d'amitié, de la gentillesse qui fait du bien.



J'ai vraiment aimé voir vivre tous ces personnages.

J'aurais peut-être mis un coup de cœur si j'avais eu le temps de faire plus ample connaissance avec eux. Là j'ai peur de les oublier vite, chaque histoire étant un court moment de vie.

Aujourd'hui, j'enfile mon manteau, prends le bus et pars en quête de douceur. Je me retrouve donc à la bibliothèque du centre social d'Hatori avec mes problèmes plein la tête. Qu'elle n'est pas ma surprise quand on m'oriente vers la section "Conseils" et que je me retrouve face à face avec la bibliothécaire (je n'en dirais pas plus, les descriptions du livre valent le coup d'oeil). Je suis d'abord admirative de son feutrage à l'aiguille puis je me montre perplexe face à sa recommandation littéraire.



En vrai, je ne sais pas ce qu'elle pourrait me proposer mais sûrement un livre sur les origamis ou quelque chose portant sur l'art de s'occuper des plantes. Bref un ouvrage pour faire un pas de côté par rapport à ma vie actuelle, avec un "petit plus".



Car ce livre c'est ça, c'est partir à la découverte de 5 personnes qui se retrouvent embourbées dans leurs problèmes et qui vont apprendre à porter un autre regard. Des histoires qui auront l'occasion de se croiser et dont un livre aura participé à les changer. Une parenthèse de bienveillance.

C’est le premier livre de cette auteure que j’ai lu. Je l’ai terminé chez une amie, et je l’ai tellement aimé que je le lui ai prêté dans la foulée !



Et me voilà maintenant, à vous parler de cette petite beauté ! Un superbe ouvrage qui donne à réfléchir, à penser… et qui m’a fait me dire « Et pourquoi pas moi ? ».



Une lecture à la fois légère et grave, parce que les personnes qui entrent dans cette bibliothèque sont à un tournant de leur vie, mais aussi positive.



Un livre où vous retrouverez douceur et espoir à travers une écriture simple et élégante.



Un petit livre plaisir à se mettre sous la dent !

J'ai beaucoup aimé ces 5 portraits d'hommes et de femmes d'âges et de conditions bien différents. Nous les suivons à un moment de leur vie où iels doutent d'elleux-mêmes, où iels sont perdu·e·s et cherchent à donner un sens à leur vie. Puis cette rencontre, et ces lectures qui, sinueusement, se glissent dans leur quotidien et leur offrent les réponses qu'iels attendaient désespérément.



C'est un livre qui donne de l'espoir, qui prouve qu'il n'est jamais trop tard pour se découvrir et que le soleil pointe toujours derrière les nuages. J'ai adoré l'écriture directe et sans fioritures qui parvient à nous rendre attachants tous ces personnages en seulement une soixantaine de pages.

Depuis quelques temps, je tombais régulièrement sur ce roman au fil de mes errements en librairie. Le chat en première de couverture, l’auteur japonais et l’évocation d’une bibliothèque m’ont poussé à l’emprunter. J’ai été enchanté par la lecture, le roman est plein de charme, de délicatesse et de douceur.

Un première pour moi avec ce genre littéraire.



Dans ce livre nous rencontrons 5 personnes, une par chapitre. Pour chacune d'entre elle, le schéma est le même. Nous découvrons que la personne n'est pas épanouie, notamment professionnellement. Elle se rend au centre social et rencontre la bibliothécaire Madame Komachi. Après un bref échange elle leur tend la liste des livres qu'elle a sélectionné dont un livre qui sort du lot et leur donne un "petit plus", une figurine en feutrage à l'aiguille. Cette lecture changera leur regard sur le monde.



Je ne saurais pas dire si j'ai aimé ou pas, je pense que c'est ni l'un ni l'autre. C'était assez contemplatif, un peu mou mais en même temps doux et plein de bon sens. Le schéma narratif est assez répétitif ce qui créé quelques longueurs. Chaque chapitre aborde le monde du travail sous différents aspects : l'épanouissement professionnel, se lancer dans l'entrepreneuriat, concilier sa vie pro et sa vie perso, la place de la femme dans son travail après être devenue mère, la retraite. C'est vrai qu'il y a plein de bon sens dans les chapitres mais en même temps je trouve ça un peu trop facile et un peu trop bisounours. Les personnages trouvent directement le travail top après leur déclic, dans la vraie vie l'herbe n'est pas forcément plus verte ailleurs et trouver LE travail parfait demande parfois du temps et des compromis.



Livre lu en 3.4 heures.