Michiko Aoyama

La Bibliothèque des rêves secrets m'a beaucoup rappellé les romans de Toshikazu Kawaguchi (Tant que le café est encore chaud et Le Café du temps retrouvé) car on y retrouve une construction et un principe similaire : on a devant nous cinq récits, chacun centrés sur une personne dont on découvre la vie et les soucis puis la manière dont la découverte de la bibliothèque et la rencontre avec Mme Komachi va bouleverser leur vie (pour le meilleur). Petit plus ici : on recroise dans chaque histoire les protagonistes des histoires précédentes (ou des personnages qui interviennent dans chacune), c'est très sympa car cela crée vraiment un sentiment de vivre au sein d'une petite communauté mais c'est aussi amusant de voir comment les différentes perceptions d'une même personne voire de voir ce que sont devenus les "héros" des histoires précédentes.



Du fait de ce système de "nouvelles" successives composant le roman, La Bibliothèque des rêves secrets n'évite pas l'écueil des redites (notamment dans la description de la bibliothèque, de ses employés, de la passion de Mme Komachi pour les personnages en feutrine ou son apparence insolite) mais personnellement cela ne m'a pas dérangé : comme dit plus haut, il y a quand même quelques petites différences dans la manière dont les personnages perçoivent les lieux et la bibliothécaire et c'est amusant de lire le ressenti de chacun et de retrouver des lieux et des personnages que l'on connaît déjà.



Pour le reste, La Bibliothèque des rêves secrets est un roman japonais feel-good assez caractéristique d'un genre qui a de plus en plus de succès (et que j'apprécie beaucoup pout ma part) : des petites histoires qui nous font découvrir la société japonaise, qui renferment des messages positifs sur la nécessité de croire en ses rêves, se donner les moyens de les réaliser et savoir saisir sa chance quand elle se présente, même dans les moments les plus inattendus. En bref, une petite bulle de douceur et de bienveillance qui fait du bien en ces temps moroses.

Il était une fois une bibliothécaire dans un petit centre social, qui du fait de ses conseils avisés, redonnait le sourire aux gens et un sens à leur vie, tout ça grâce à… une sélection de livres (et le petit plus…) ! Encore une fois j’ai apprécié cette lecture du premier ouvrage de Michiko Aoyama. Cette fois-ci la part belle est faite au livre, ce puissant petit objet capable de nous faire oublier le quotidien et même mieux, de nous faire changer notre vision de celui-ci. Il est également facile de s’identifier à l’un des personnages tellement la palette est large : le jeune hésitant qui ne trouve pas de travail, la jeune mère de famille qui ne s’y retrouve plus, le fraîchement retraité qui cherche un sens à sa vie… Une lecture qui rend hommage au plus beau métier du monde ;)

Le titre original est « 12 pastels colorés ».

C’est en effet 12 tranches de vies ou chaque personne est marquée subtilement par une couleur.

Il y a bien un café et un chocolat chaud, mais il concerne une petite partie des récits.

Comme dans le précédent roman « La Bibliothèque des rêves secrets » on croise parfois au premier plan parfois sur une autre table du café un des autres personnages.

Le récit est doux.



Les thèmes sont moins portés sur le travail, mais plus profondément sur les aspirations profondes de chacun et sur le couple.

Aspirations souvent cachées ou inaccessibles.



Cette fois-ci un personnage moins central que dans le précédent livre lie les destins de tous.

Chaque personne principale de « son » récit peut elle-même influencer positivement les autres.

Une bonne partie des histoires se déroulent à Sidney, comme s’il fallait s’échapper un peu du carcan japonais pour s’accomplir. Point commun avec le roman précédent, les petits gestes du quotidien, les petites attentions jouent un rôle central.



Un roman « Feel Good ». Bienvenu entre plusieurs lectures plus difficiles.
Lien : https://post-tenebras-lire.n..

C'est un roman sympa à lire mais attention de ne pas se mélanger entre toutes les histoires. Il est question ici de 5 personnes qui cherchent un sens à leur vie, grâce à des formations, des objets... c'est doux à lire et sans prise de tête . Un premier essai de roman japonais pour moi

Un jeudi saveur chocolat est un roman doux dans la même lignée que La bibliothèque des rêves secrets. Chaque chapitre est dédié à un personnage et à une couleur, tous sont liés par un fil conducteur et un personnage mystérieux qui fait quelques apparitions. L'ouvrage commence au Japon et se poursuit en Australie. On retrouve les éléments qui ont fait le succès de son précédent roman : de la douceur, des petits moments philosophiques, des sujets tabous mis en avant, une plume simple et efficace. Mais j'ai trouvé que ce roman était moins puissant que La bibliothèque des rêves secrets, les histoires ne sont pas toutes du même acabit, certaines s'essoufflent assez rapidement. J'ai préféré les histoires se passant au Japon, j'ai l'impression que celles qui avaient lieu en Australie étaient moins abouties. J'ai aussi appris que ce roman était à la base des articles écrits pour un magazine de Sydney et qu'ils avaient été retravaillés par l'autrice pour en faire un roman. Peut-être cela explique-t-il mon ressenti ?

Un gros gros coup de coeur pour ce roman choral qui présente dans chaque chapitre un personnage en lien avec une couleur. Le roman commence au Japon, à Tokyo, et nous fait voyager entre le Japon et Sydney, en Australie. A chaque fois, le nouveau personnage nous permet de mieux comprendre l'histoire. C'est un roman plein de chaleur, de douceur et d'amour. Il me donne très envie de lire le premier roman de cette autrice !

Je suis toujours amusée par les coïncidences qui me conduisent à lire à la suite des romans qui ont des points communs. Ma dernière lecture se passait entre la Chine et la France. Là on reste en Asie pour s'imprégner de l'état d'esprit du Japon 😉

En tout cas, c'est une lecture que je conseille !

Aujourd’hui je vous parle d’un petit bonheur de roman.

Un roman de l’auteure Japonaise Michiko Aoyama. Un roman d’une douceur exquise, d’une profondeur délicate et tout plein d’émotions fines et légères.



Un roman chorale qui se divise en 12 chapitres.

Chaque chapitre a sa couleur et son personnage central.

La douce écriture, nous fait vivre une petite histoire à chaque chapitre, et nous fait découvrir des personnages tous plus attachants les uns que les autres.

Ce roman est un bouquet de tendresse, de délicatesse.

La construction de ces 12 chapitres est intelligente et fine. 12 tranches de vie que nous découvrons et dont chaque personnage est lié au précédent avec originalité.

Un roman court, qui se lit très rapidement et très facilement. Un magnifique moment de dépaysement, de finesse et d’élégance.

On est enveloppé dans un petit cocon ouaté, confortablement installé pour se promener de Tokyo à Sydney, du café Marble au zoo de Taronga…et assister à ces moments de vie, d’amour, et d’amitié …



Je ne vous en dit pas plus pour que vous puissiez le découvrir pleinement en vous laissant porter par l’ambiance.



Merci beaucoup à @babelio et @nami pour cette découverte dans le cadre de la masse critique privilégiée.

Si je vous disais qu’il existe, quelque part au Japon, une petite bibliothèque de quartier qui paraît être magique tant ses livres ont apporté de réponses à des personnes au tournant de leur vie. Vous en penseriez quoi?



Moi, j’ai trouvé cela magique! Tout ce livre l’est! Il raconte comment une troublante et attachante bibliothécaire a contribué au bonheur de plusieurs personnes en leur recommandant un livre bien loin de leurs recherches et pourtant si près de leurs besoins!

Souvent ces livres sont des histoires pour enfants (mais pas uniquement), ce qui confirme que c’est souvent là où on oublie de revenir que se cachent les plus beaux secrets!



J’ai adoré ce livre rempli d’espoir!

Il est composé de phrases courtes et pures, à l’image de la culture japonaise: droit au but mais toujours avec pudeur et respect.

Les dialogues sont toujours pertinents et rythment chaque histoire. Tout est très posé et amène une forme de sérénité très appréciée durant la lecture.



Il s’agit donc d’un de ces romans qui touche, qui propose de se questionner soi-même sur sa vie et tout cela avec une extrême délicatesse.



Pour moi c’est une réussite et j’ai déjà hâte de découvrir un peu plus de la littérature japonaise! Me voilà donc conquise…

Lecture du 28 au 31 mai 2022



5 chapitres, 5 destins et 1 point commun : la bibliothécaire Sayuri Komachi.



Les 5 personnages de ce roman vivent tous à Tokyo et ne se connaissent pas. Tout du moins pas dès le départ.

Chacun d'entre eux est à un tournant de sa vie. Celui-là même qui nous fait nous interroger sur le sens de notre vie, sur les choix que nous avons à faire.

Chacun d'entre eux va faire la connaissance de la grosse dame de la bibliothèque du centre social de leur quartier qui va, sans vraiment le vouloir, influencer le cours de leur destinée.

C'est en leur remettant une liste de livres accompagnée d'un "petit plus" que Tokoma, Ryô, Natsumi, Hiroya et Masao vont se mettre à réfléchir sur leur vie et à comprendre par eux-même leur propre valeur au sein de la société japonaise.



Il y a de la magie, beaucoup de poésie et de sagesse et énormément de tendresse dans ce roman. La plume de Michiko est légère, précise et efficace. Elle parvient à nous immerger totalement dans la vie de chacun de ses personnages et à nous faire ressentir chacune de leurs émotions.



Si seulement il pouvait exister une Sayuri Komachi pour chacun d'entre nous ! 😊



Je remercie infiniment les éditions Nami de m'avoir offert ce livre lors d'un concours.

Un lundi parfum matcha est la suite d'Un jeudi saveur chocolat et, comme ce dernier, j'ai moyennement aimé ce roman malgré le fait qu'il se lise très facilement...



On retrouve ici les mêmes ficelles que dans le premier tome (un récit composé de douze chapitres aux allures de nouvelles où l'on suit des personnes différentes mais liées les unes aux autres sans forcément le savoir) mais je trouve qu'il a suffisamment de nouveautés pour éviter l'effet "redondance". Comme tout recueil de nouvelles, il y a des histoires qui m'ont séduites plus que d'autres : le chapitre où l'on suit un chat est très original, et l'histoire qui ouvre et clôt le roman est vraiment très jolie, on en ressort avec des papillons dans le ventre. A l'inverse, il y a deux ou trois histoires qui sont tombées complètement à plat pour moi, je ne voyais pas trop où l'autrice voulait nous emmener et elles sont oubliées dès qu'on les a terminé. Mais globalement j'ai beaucoup aimé découvrir comment les personnages étaient liés les uns les autres au fil des chapitres, il y a même une protagoniste du premier tome qui fait une apparition, c'était un clin d'œil très sympa.



Je ressors cependant de ce Lundi parfum matcha avec un sentiment neutre : je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé, mais je n'ai pas vraiment aimé non plus... Je me souviens avoir eu le même sentiment avec Un jeudi saveur chocolat, alors que le premier roman de Michiko Aoyama (La Bibliothèque des rêves secrets) m'avait vraiment plu. Du coup, je pense que je terminerais en disant que c'est le genre de roman vite lu et vite oublié mais également idéal pour se remonter le moral et faire une pause détente : on a vraiment l'impression d'être assise avec un plaid sur les jambes et une tasse de matcha bien chaud, tant cette lecture a un côté doux et réconfortant.

Ce que j'aime avec la littérature asiatique (et plus particulièrement) la littérature japonaise ce sont les livres simples et beaux comme celui-ci.



Nous accompagnons ici chaque personne dans sa quête de renouveau : entre ceux qui veulent changer de voie pour le travail ( monter en compétence, trouver la force de quitter son travail ...), un retraité qui souhaite occuper ses journées pour faire plaisir à sa femme, un jeune homme qui cherche du travail pour faire plaisir à sa mère... le livre nous emmène à la croisée des chemins.
Lien : https://www.instagram.com/p/..

Sympathique mais sans plus.... Déjà, l'impression de lire un manuel de développement n'est pas ce que je cherche dans un roman! Ce qui est drôle c'est que juste avant j'avais fini un autre roman japonais qui avait un peu le même travers et le premier en ressort grandi, le style était bien meilleur que dans celui-ci . Ici nous avons plus une série de nouvelles, vaguement reliées ensemble par la bibliothèque et ses deux bibliothécaires, la bibliothécaire en chef et son élève, et par l'idée de basse qui revient à chaque fois, c'est à dire un personnage très malheureux surtout pour raisons professionnelles qui prend sa vie en main après avoir loué un livre recommandé par la bibliothécaire et qui n'était pas du tout ce qu'il ou elle était venu chercher là à l'origine. Il y a le jeune retraité qui ne s'y fait pas, l'employée mise au placard après une grossesse, le chômeur etc et à la fin de la deuxième histoire on peut deviner comment finiront les suivantes.

Ça se lit très facilement mais il est certain que ça s'oubliera aussi vite

Dans le centre social du quartier de Hanuri ont lieu différents types de cours et d'activités, mais là-bas il y a aussi une bibliothèque dont est en charge Sayuri Komachi, qui est toujours prête à conseiller des livres à la demande des usagers mais aussi à leur proposer un livre totalement inattendu ainsi qu'un petit cadeau. Différentes personnes avec des parcours de vie variés vont réussir à changer leur vie grâce à cette rencontre.

Ce roman propose 5 parties différentes et pas forcément reliées entre elles dont le grand point en commun c'est leur passage par cette bibliothèque et leur rencontre, même si brève, avec Mme Komachi, qui va leur permettre de faire les changements nécessaires dans leur vie pour se sentir réalisés. Même si le livre propose une option un peu candide de la vie où tout ce qui nous arrive peut être transformé en quelque chose de positif et d'édifiant et tout va de mieux en mieux, je me suis laissé embarquer grâce à la délicatesse de l'histoire et aux soins avec laquelle elle est racontée. Les personnages sont bien travaillés et on arrive à les comprendre facilement, même si l'évolution de quelques-uns n'est pas forcément crédible d'une façon tellement simple. J'ai bien aimé notamment les partie de Hiroya, le jeune trentenaire amateur de mangas et qui n'a pas d'emploi (et dont, paradoxalement, le changement aussi facile est le moins crédible) et celle de Natsumi, la jeune mère qui a été changée de service après son congé de maternité sans elle en vouloir.

Un conte des temps modernes.

Un roman avec de jolies morales. On y retrouve la puissance que peuvent avoir les livres, les mots.

5 portraits, 5 vies, 5 rêves à réaliser.

Parfois il ne faut pas oublier de faire un 360 pour que toutes les solutions possibles s'offrent à nous et surtout avoir tous les points de vue nécessaires pour voir et comprendre notre chemin.

Je n'ai pas été aussi happée que je le pensais, avant de commencer ce livre, mais malgré tout il a une belle morale, de belles leçons de vie et un immense espoir lors des moments de doute que l'on rencontre parfois.

J’aime ce genre de roman où les livres ont une importance pour chacun. Les livres apportent tellement. Ils nous guident. Nous ouvrent les yeux. Ils font du bien.



J’ai croisé en tournant les pages de ce roman une bibliothécaire derrière un paravant. J’ai trouvé cela étrange, j’ai quand même continué mon chemin vers elle. Cette femme est passionnée et ça se sent. Son bureau est rempli. La première fois que je l’ai vu, elle ne m’a pas entendu arriver. Concentrée à manier une aiguille, elle faisait du feutrage à l’aiguille. J’étais comme hypnotisée de la voir créer un petit personnage.



La bibliothécaire m’a demandé ce que je recherchais. Et là trou noir. Je ne savais plus. Quel était le sens de tout cela ? De ma vie ? Avais-je pris les bonnes décisions ?



Après un court échange, qui m’a assez chamboulé, je suis repartie avec une liste de livres à découvrir. Et c’est là que tout a commencé.



Je vous propose d’aller la voir en lisant La bibliothèque des rêves secrets. Les chapitres sont comme des nouvelles où chacun se pose, réfléchit et ouvre les yeux sur sa vie. Les livres ont tellement à nous apporter. Alors ouvrez-les !

J’aime beaucoup la littérature Japonaise, je la trouve apaisante, pleine de sérénité et de bonnes ondes.

Ce roman n’a pas dérogé à la règle, et j’ai passé un moment de lecture doux et reposant.



Chaque personnage croisé au fil des chapitres est à un tournant de sa vie. Il/elle se pose pas mal de questions sur sa vie, son avenir, ses envies, ses rêves.

Le hasard va tous les mener dans cette bibliothèque de leur quartier qu’il ne connaissait même pas. Ils vont y croiser le chemin de Madame Sayuri Komachi, la bibliothécaire. Une femme un tant soit peu étrange, mais qui étonnamment saura les aider à trouver les réponses qu’ils cherchent. A chacun elle conseillera un livre qui ne semble pas du tout fait pour eux mais qui, contre toute attente, les aidera.



J’ai vraiment beaucoup aimé suivre le cheminement et l’évolution de chacun des personnages. En se penchant sur la lecture du livre conseillé par la bibliothécaire, ils découvriront le chemin vers leur avenir, ils comprendront quelles décisions prendre. Ils se sentirons plus fort et plus aptes à choisir leur futur.



Ce roman est rempli de belles pensées, de jolies réflexions sur les choix de vie, sur l’amour, le bonheur, les rêves de jeunesse.



Dans un style simple, épuré mais élégant, l’auteure nous prend par la main et nous la suivons sans hésitation et avec beaucoup de bonheur.

Un hymne aux livres, à leurs pouvoirs, à l’écoute des autres, une parenthèse de douceur en ces temps compliqués.

Quelque part à Tokyo, au sein d'un modeste centre social, se tient une petite bibliothèque. Préservée de la frénésie du monde moderne, on peut y goûter des instants de paix et d'introspection. Sayuri Komachi, la mystérieuse et monumentale bibliothécaire y veille. Elle offre à tous ses visiteurs, en complément des documents demandés, des titres inattendus qui vont les aider à donner une nouvelle direction à leur existence. Cinq narrateurs se succèdent pour raconter leur rencontre avec Sayuri. Sans se trouver dans une situation critique, aucun n'est réellement satisfait de sa vie. Qu'il s'agisse d'une jeune diplômée rêveuse, d'un comptable passionné d'antiquités, d'une journaliste peinant à concilier travail et maternité, d'un dessinateur au chômage ou d'un retraité désœuvré, tous aspirent à un nouveau départ. Et ce sont des ouvrages parfois très éloignés de leurs habitudes de lecteur qui vont leur apporter ce qu'ils ne recherchaient pas. A l'image des petits héros de l'album jeunesse "Guri et Gura" découvrant par hasard l'œuf géant qui leur donnera l'idée de confectionner un gâteau. Si le récit évoque de nombreux aspects de la société japonaise, des lecteurs du monde entier peuvent se reconnaître dans cet éloge délicat de la sérendipité. Et cette représentation flatteuse du métier ne peut qu'enchanter les bibliothécaires ! La plume limpide et élégante de l'autrice, ainsi que la philosophie, bienveillante sans être niaise, qui s'en dégage font de cet ouvrage une excellente récréation que je conseille à tous les publics.
Lien : https://leventdanslessteppes..

DOUCEUR 🧸

.

5 chapitres qui pourraient presque être lus indépendamment les uns des autres, comme 5 petites nouvelles, chacun évoque l’histoire d’un personnage. Tous ont un point commun, ils se questionnent sur leur vie, que pourraient-ils faire qui leur correspond mieux ?

.

Le destin les mets sur la route de Sayuri Komachi, une bibliothécaire originale qui, sans leur dire directement, va les mettre sur la voie de leurs destins.

.

Encore une jolie lecture commune avec @lulubooksandco que j’ai adoré ! 🥰

.

C’était mon deuxième roman de cette maison d’édition, et j’en ressors avec ce même sentiment de sérénité, d'apaisement. Je sais maintenant vers quels livres me tourner si j’ai besoin de retrouver cette sensation de calme intérieur.
Lien : https://www.instagram.com/p/..

Une lecture qui se savoure comme un bon chocolat chaud par une froide journée d'hiver.



Dans un petit café bien caché de Tokyo, se déroule chaque semaine une étrange rencontre : une jeune femme s'installe et écrit des lettres. Jusqu'au jour où celle-ci fond en larmes sur ses courriers.



De Tokyo à Sydney, par un fil reliant 12 récits, l'auteur va nous emmener dans différentes situations où s'entremêlent relations humaines, pudeur des sentiments et amour, qu'il soit amoureux ou familial.



J'ai beaucoup aimé ces scènes de vie tout en douceur qui invitent à trouver le bonheur dans les petites choses du quotidien. Par ces mots, on se rend compte que parfois il suffit de pas grand-chose pour se sentir bien et heureux.



Le style est très doux, agréable à lire. Une belle lecture reposante et pleine d'espoir.

« La valeur d’un livre tient plus à ta propre interprétation qu’à la puissance de ses mots. »



Sayuri Komachi n’est pas une bibliothécaire comme les autres. Croiser son chemin c’est prendre en main son destin.

Elle ne pose qu’une question « qu’est-ce que tu cherches ? » Et elle ouvre la voie à ceux qui viennent la voir, avec un livre et un objet porte-bonheur.



Cinq histoires, cinq personnages qui arrivent chacun à un moment charnière de leur vie, au pied du mur, comme au fond d’une impasse.



Et Sayuri allume une lumière tout à coup, qui les incite à prendre du recul, voir les choses autrement et avancer.



Ce roman est une pépite de poésie et de douceur.



Une pause et une source d’inspiration.