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Citations de Miles Hyman (41)


Ne m’en veuillez pas, Elizabeth. Vous connaissez la règle : On ne peut révéler ce qu’on ignore.
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Police. Faites la bise au mur. Gentiment, et lentement.
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Connaissez-vous la technique du salami, Mr G. ? L’expression est du leader du PC hongrois. Elle décrit l’élimination tranche par tranche de tout ce qui s’oppose à l’instauration du communisme. C’est ce qu’a fait le PC tchèque, en liquidant le parti démocrate slovaque, puis en provoquant la démission des ministres libéraux. L’héroïsme des résistants communistes à la libération leur vaut la sympathie du peuple, ce qui explique ces foules encadrées par les milices du parti.
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La faim sans appétit est un supplice du diable.
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- À présent qu'il y a eu mort d'homme, allez-vous me dire la vérité , Graham ?
- La vérité a moins fait pour le genre humain que la douceur et les mensonges, ma chère.
- Les ombres nous cernent depuis votre arrivée. Il y a forcément une autre raison que le film à cela.
- Laquelle, selon vous ?
- Je crois que vous êtes ici en mission d'espionnage.
- En tout écrivain, il y a un espion qui sommeille.
- Eh bien, qu'il se réveille ! Deux fois que la mort nous frôle en vingt-quatre heures.
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- La faim sans appétit est un supplice du diable...
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Je savais que ce sourire-là allait me hanter jusqu'à ma mort. Je ne pouvais pas la quitter des yeux, mais je ne pouvais pas non plus vraiment la regarder.
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Je cherche une activité criminelle pour Harry, mon héros, assez rare pour ne pas faire de lui un scélérat banal, assez grave pour l’obliger à se volatiliser.
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Alors on a bossé aux mandats. On pourchassait de vrais méchants.Et on les chopait. Semaine après semaine.
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Si une chose pouvait rivaliser avec l’énorme quantité d’explosifs déversée sur Vienne, c’était notre consommation d’alcool.
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Si je l'arrêtais, j'étais foutu comme flic, si je ne l'arrêtais pas, j'étais foutu comme homme.
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Je sais seulement que celui qui noue un lien est perdu. Le germe de la corruption est entré dans son âme. – Joseph Conrad
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Nicomède était le troisième homme présent à la mise au tombeau du Christ, avec Jean l’évangéliste et Joseph d’Arimathie. L’évangile apocryphe qui porte son nom relate la descente du Christ aux Enfers avant sa résurrection. Sous l’œil outré d’Hadès, maître des lieux, Jésus ressuscite tous les damnés. Mort, où est ton aiguillon ? Enfer, où est ta victoire ? Cet évangile a déplu aux pères de l’Église. Il proclame le rachat inconditionnel de tous les péchés. Une fascinante contradiction théologique.
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Dans certaines villes, il avait tant d’affluence que la loterie prenait deux jours et devaient commencer le 26 juin. Mais dans ce village de trois cents âmes, la loterie ne prenait pas plus de deux heures en tout. Même en commençant à dix heures, elle prenait fin à temps pour les villageois puissent être rentrés pour le déjeuner. Les enfants étaient toujours premiers à se rassembler.
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Le matin du 27 juin était clair et ensoleillé et dégageait déjà la douche fraîcheur d’une journée d’été. Les parterres fleurissaient à profusion, et l’herbe éclatait d’un vert luxuriant.
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Les histoires n’ont ni début ni fin, Billy Bud. Où elles commencent, où elles s’arrêtent est toujours un choix arbitraire de l’auteur.
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La vérité a moins pour le genre humain, que la douceur et les mensonges, ma chère.
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Décidément, G. attirait les photographes. Celui-ci était une vieille connaissance. Le revenant d’une période secrète de ma vie. Je reconnus aussi Bud Boots et ses Gais Lurons, chargés de ma protection cinq ans plus tôt à Zurich, quand je débriefais pour les Américains, un vice-consul allemand mêlé au complot contre Hitler. Que faisaient-ils à Vienne ? Allen Dulles, notre chef, était rentré aux USA, où il s’évertuait à repeindre le vieil OSS en CIA flambant neuf.
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Je n’étais plus une gamine quand tout ceci est arrivé, mais j’avais gardé le romantisme, l’esprit d’aventure de la débutante que la guerre avait détournée d’un avenir doré écrit d’avance. Un peu actrice, un peu espionne, j’avais mis depuis le retour de la paix mes talents au service de la London Films, la compagnie de Sir Alexander Korda. Hiver 1948. Le plus froid de l’après-guerre. Un front sibérien ensevelissait Vienne sous un tombeau de glace. Sir Alex m’avait chargée d’accueillir G. à son arrivée de Londres. Mon rôle était de le guider dans la capitale sous occupation des Quatre Puissances et de l’assister dans ses recherches pour l’écriture du film que Korda, Carol Reed et lui projetaient d’y tourner. G. et moi nous étions croisés aux studios de Shepperton. Grande admiratrice de son œuvre, je me réjouissais de ma mission. Une chose m’avait troublée. Dans un câble expédié de Brighton le jeudi précédent, G. annonçait un contretemps et me demandait de télégraphier à sa femme : Bien arrivé – baisers – Graham. Il n’en fallait pas plus pour enflammer l’imagination d’une jeune femme romanesque. En l’attendant, ce soir glacial de février, je me demandais ce qu’il avait pu faire de son week-end volé.
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Le matin du 27 juin était clair et ensoleillé et dégageait déjà la douce fraîcheur d’une journée d’été. Les parterres fleurissaient à profusion, et l’herbe éclatait d’un vert luxuriant. Il y avait tellement de monde dans certaines villes que la loterie prenait deux jours et devait commencer le 26 juin. Mais dans ce village de trois cents âmes, la loterie ne prenait pas plus de deux heures en tout. Même en commençant à dix heures, elle prenait fin à temps pour que les villageois puissent rentrer déjeuner.
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