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Critiques de Muriel Kerba (18)
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1 seconde 1 minute 1 siècle...

Telle une brève encyclopédie amoureuse du temps et de ses précieux instants, Muriel Kerba illustre parfaitement bien le "tout et "le chacun".
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1 seconde 1 minute 1 siècle...

5 minutes. Le temps que durent beaucoup de choses d’après ce que disent les grandes personnes.

1 journée. La durée de vie d’un bonhomme de neige en plein soleil.

1 mois. Le temps que mettent — généralement — les cheveux pour pousser d’un cm.

1 an. La durée de vie d’une chaussette.

1 siècle. Le temps qu’a dormi la Belle au bois dormant.

1000 ans. La durée de vie d’une bouteille de plastique jetée dans un champ.



Ce ne sont là que quelques-uns des exemples choisis par Catherine Grive (et illustrés par Muriel Kerba) pour expliquer aux petits le Temps. Certains de ceux-ci sont ludiques, d’autres font appel à des données scientifiques alors que la plupart sont directement tirés de leur quotidien.



Que vous ayez dix minutes ou une journée devant vous, ouvrez 1 seconde, 1minute, 1 siècle… en compagnie de celui ou celle qui trouve que tout prend du temps, question de relativiser un peu. Même vous y apprendrez sûrement quelque chose. À moins que vous ne sachiez déjà combien de temps prend le lama pour marcher après sa naissance? Non? Il serait temps de l’apprendre…
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L'incroyable renommée de Pablo Picassiette

Bien sûr que vous connaissez Pablo. Pablo Picasso. Bien évidemment. Mais connaissez-vous le héros de L’incroyable renommée de Pablo Picassiette? Peut-être pas. Et pourtant, sa réputation n’est plus à faire tant l’artiste, haut comme trois pommes (il mesure deux décimètres) a décoré de chaussures et de bottillons depuis une soirée où pour dissimuler une tache il avait laissé son inspiration donner lieu à sa première création.



Voilà là un album gai et souriant, peut-être un peu trop français par moments à cause de mots comme gambettes et guibolles qui pourront dérouter de jeunes lecteurs québécois qui ne les connaissent pas, mais avec des illustrations signées Muriel Kerba-Supiot que vous ne lasserez pas d’examiner dans les moindres détails tant elles sont tout simplement fa-bu-leu-ses.



Retenez son nom. Après avoir fait connaissance avec Pablo Picassiette, vous voudrez rencontrer tous ses personnages.
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Le petit arbre qui chantait

Je crois que j'ai lu ce livre à ma fille aînée il y'a maintenant plus de 10 ans. Elle avoir 7 ou 8 ans.



Dans les nombreux livres qu'on achète ou lit aux enfants, il y'a ceux qui restent, qui sont lus et relus même si l'enfant le connaît déjà par coeur.



Celui-ci en fait partie. Il a été notre rituel du soir plusieurs fois et sur plusieurs années. Il a été la solution à la peur du noir et des cauchemars. J'invitais ma petite à aller se blottir elle aussi, dans son imagination, dans le petite coude de l'arbre. Ce qu'elle faisait.



La recette a continué de fonctionner quelques années plus tard avec ma deuxième fille.



Il n'y pas longtemps, je l'ai cherché pour l'offrir, je ne l'ai pas trouvé. C'est dommage.



En tout cas, il est pour nous un souvenir de lecture qui restera.

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Le petit arbre qui chantait

Une petite graine se transforme en arbre mais cet arbre, loin de pousser droit comme un I se courbe dans un sens puis dans un autre.



Cet album est graphiquement très particulier : un mélange de dessins et de collages qui apporte de la douceur et de la poésie à l'ensemble.



Un album original sur la résilience, le courage, l'acceptation de la différence (et de sa propre différence en particulier) qui peut devenir une force et sur ce que l'amour de l'entourage peut apporter.



C'est un peu une version moderne du "Chêne et du roseau" de Jean de la Fontaine : le petit arbre plie mais ne rompt pas. Une jolie morale pour donner courage car ici, les lendemains chantent!
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Le petit arbre qui chantait

C'est l'histoire d'un petit arbre qui pousse, tout biscornu ! Le grillon, puis le chat, puis l'oiseau viennent s'installer dans ses petits coudes. Au fil du temps, l'arbre grandissant, il en devient chantant !



Mon fils de 3 ans aime beaucoup cet album. Il faut dire que celui-ci a tout pour plaire : des couleurs chatoyantes, un vocabulaire adapté, un grillon, un ballon, un chat, un oiseau... tout se qu'il faut pour faire une bonne histoire, bien racontée !
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Le sorcier vert

Superbe album qui narre l'histoire de Sebastiao. Il est photographe. Après avoir arpenté le monde pendant 30 ans et figé sur les pellicules la misère du monde, il a la nostalgie de son pays, le Brésil.



Il prend la route de ses paysages d'enfance, mais ne retrouve que poussière et désolation. Son père très âgé l'attendait et s'éteint peu après. Sebastiao va se lancer dans un défi grandiose et utopique : reboiser les environs. Aidés des villageois, de Gabriela, son amie d'enfance et de quelques habitants, il s'attelle à la tâche. Échec après échec, il s'obstine, et finit par réussir.



Sebastiao repart parcourir le monde.



15 ans plus tard, lorsqu'il revient la forêt est belle, mais elle ne sert pas aux villageois à vivre. Il faudrait une rivière, des arbres fruitiers... du bois à couper.



Sebastiao le sorcier vert, va-t-il devenir le sorcier bleu à présent ?



Très belle histoire qui n'est pas sans rappeler Rodrigo et les petits papiers, un autre album jeunesse.















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Le sorcier vert

Les auteure-illustratrice offrent ainsi à la lecture une fable optimiste, vibrante d’espoir, ouverte à la (bonne) volonté de chacun.
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Le sorcier vert

La collection « Les décadrés » propose une forme de création très particulière. L’écrivain reçoit une série d’images et les organise comme il le souhaite pour les mettre au service de son histoire. Ici, avec les illustrations très végétales à base de collages de Muriel Kerba, Valentine Goby a voulu raconter « l’extraordinaire défi relevé par le photojournaliste Sebastiao Salgado : replanter la forêt atlantique brésilienne dévastée par la sécheresse et la négligence des hommes ».



Un hommage à ce grand monsieur qui, revenant sur les terres de son enfance et constatant la disparition de la forêt où il a grandi, décide de la replanter avec l’aide des rares habitants qui n’ont pas déserté les lieux. Un projet pharaonique totalement fou qui aboutira, après quinze années de labeur, d’échecs et de persévérance, à la résurrection de trois millions d’arbres et d’un écosystème qui avait totalement disparu à cause de l’intervention humaine. Où comment Sebastiao Salgado est devenu le sorcier vert…



Un conte écologique au message très positif montrant que la déforestation n’est pas une fatalité et qu’avec une volonté à toute épreuve, il est possible de renverser des montagnes. Le texte est évidemment superbe (comment ça je ne suis pas objectif) et les illustrations sont autant de tableaux mêlant le pastel gras, les crayons ou l’acrylique à différents types de papiers. Un travail d’artisan 100% fait main, d’où surgissent des couleurs, des formes et des textures aussi variées que surprenantes.



Un album splendide.


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Le sorcier vert

Un très beau travail de complémentarité image/texte. A partir de superbes planches autour de la végétation et des maisons de Muriel Kerba, Valentine Goby nous propose un texte fort de l'artiste-photographe Salgado sur la reforestation d'une région du Brésil.
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Le sorcier vert

« En fait, l’histoire de mon père est celle d’un type qui trouve une fonction à sa photographie, qui va trop loin, qui craque, et qui, obligé de se réinventer, le fait d’une façon qui engendre beaucoup d’espoir »



(Juliano Ribeiro Salgado, le fils de Sebastião Salgado)



L’idée créatrice des éditions Thierry Magnier, en s’associant à la Galerie Robillard, était de créer des histoires à partir d’illustrations – et non pas le contraire, comme il nous est la plupart du temps donné de le voir. Ainsi, dans Le sorcier vert, une fois le travail de Muriel Kerba achevé, entre coups de crayons, pastels, acrylique, manipulations de papier et de matière, Valentyne Goby s’est vue confier ces images dans le but de les « raconter ». Émue par les quinze ans d’efforts qu’a déployé Sebastião Salgado à replanter la forêt atlantique brésilienne, elle a fait naître à partir d’illustrations une histoire hors du commun.



Quand Salgado revient chez lui après plusieurs années d’exil, il ne reste plus rien de la forêt de son enfance. Plus rien. Le spectacle est désolant. Où sont-ils donc passés les arbres majestueux, les chênes perobas, les jequitibas, le pau-Brasil à fleurs d’or? Où s’est caché le bétail? Et les sources gorgées d’eau? Depuis des dizaines d’années, en se modernisant, les hommes ont tout détruit. Avec l’argent, ils ont saccagé les richesses naturelles et fait mourir les bêtes qui n’avaient plus rien à paître.



« L’air brûlant tremble comme un voile d’eau, et floute la terre ocre à perte de vue. Pas un cliquetis d’insecte. Pas un cri d’oiseau. De la poussière et du silence. »



Avec Gabriella, son amie d’enfance, et aidés de quelques hommes, il décide de replanter la forêt, fort de son engagement écologique, et pallier ainsi à la négligence des hommes. Sebastião Salgado a fait le tour du monde. Il a connu les froids extrêmes et les vents les plus violents de la Patagonie. Mais planter, il ne sait pas. Il apprendra, comme il l’a fait avec la photographie. Rien ne fera reculer l’un des plus grands photographes humanistes. Il apprivoisera la terre comme il a apprivoisé les hommes…



« Aux villageois, il raconte l’histoire de la tortue des Îles Galápagos qu’il a mis une semaine à photographier. Chaque fois qu’il s’avançait elle rentrait la tête. Après deux cents ans de solitude, il fallait l’apprivoiser. »



La forêt s’est mise à naître, les animaux sont venus la peupler – plus de quatre cents espèces - et les oiseaux sont revenus. Trois millions d’arbres ont poussé. Maintenant…



« Comment faire pour que des arbres debout permettent aux hommes de vivre mieux que s’ils sont coupés? »



J’admire le travail de Sebastião Salgado. Son œuvre photographique m’émeut, me transperce au-delà des mots. Notre planète a besoin de ces philanthropes portés vers la nature humaine pour venir à bout de ce que les hommes détruisent à coup de haine et d’insouciance. Il a marché sur les pas des survivants, il les a accompagnés dans les guerres, les famines, les exodes, les génocides. Il a ce désir au fond des tripes de conscientiser les hommes à toutes formes de misère et d’exclusions, pour que jamais nous n’oubliions…



« Plus que jamais, je sens que la race humaine est une. Au-delà des différences de couleur, de langue, de culture et de possibilités, les sentiments et les réactions de chacun sont identiques. Les gens fuient les guerres pour échapper à la mort ; ils émigrent pour améliorer leur sort ; ils se forgent de nouvelles existences dans des pays étrangers : ils s'adaptent aux pires situations… » Exodes - 2002


Lien : http://www.lamarreedesmots.c..
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Mahakapi, le Singe Roi

Mahakapi, Le Singe Roi appartient à l’excellente et regrettée série des Petits Contes de Sagesse d’Albin Michel Jeunesse qui n’est malheureusement plus éditée. Il s’agit d’un album issu et adapté d’un conte traditionnel de l’Inde bouddhiste.



Comme les autres opus de la collection, c’est une histoire qui se prête particulièrement à des interprétations philosophiques. Ici, il y est question de gaspillage et de surexploitation des ressources de l’environnement, ce qui tendrait à prouver que loin d’être une préoccupation exclusivement actuelle, cette thématique est au cœur de ce qui fut les modes de vies traditionnels, aussi bien en Europe qu’en Asie.



Le XIXème et surtout le XXème siècle nous ont un peu déconnecté de ses préoccupations pourtant cruciale pour la survie à long terme et qui refont surface de nos jours, bien obligés que nous sommes de nous apercevoir des dégâts et des altérations durables causées à notre environnement.



On est au cœur de cette problématique avec le modèle actuel de la société de (sur)consommation qu’il faudra peut-être, tôt ou tard, remettre sérieusement en question car nous ne disposons à l’heure actuelle que d’une seule planète et pas vraiment de plan B en cas d’échouage global.



Ici, on aborde le thème par une voie d’accès très facile pour les enfants, celle du gaspillage d’une ressource alimentaire. Presque tous les enfants actuels l’ont déjà expérimenté en jetant qui une pomme, qui une compote ou un quelconque autre goûter, le tout à peine entamé (voire pas entamé du tout, mesdames et messieurs les parents d’élèves, soyez en conscients, si vous ne me croyez pas, venez jeter un petit coup d’œil dans les poubelles des cours d’école).



Mahakapi est le chef d’une troupe de singe qui exploite raisonnablement son environnement, et en particulier un énorme manguier, à l’époque où personne d’autre qu’eux ne sait encore que les mangues sont un délicieux fruit comestible. Seulement voilà, la troupe ne compte pas que des individus raisonnables, en particulier le propre cousin de Mahakapi, Déva, aussi jaloux et envieux qu’il est simple d’esprit.



Déva enjoint donc tout un chacun à exploiter les mangues comme bon lui semble, pour son seul plaisir, sans se soucier de laisser traîner sous l’arbre les restes des fruits délaissés. Ce type de comportement de récolte ne tarde pas à faire des émules, malgré les vives récriminations de Mahakapi qui estime que les fruits abandonnés ne tarderont pas à attirer la pire bête qui soit : l’homme.



Et il a vu clair le sage roi Mahakapi car effectivement, un homme ne tarde pas à découvrir le manguier des singes. Qu’en adviendra-t-il, c’est ce que je vous laisse le plaisir de découvrir.



Personnellement, j’ai vraiment bien aimé le texte de Patrice Favaro. Je suis en revanche nettement plus mesurée sur les illustrations de Muriel Kerba qui ne m’ont pas particulièrement convaincues. Mais tout ceci est affaire de goût, et ce n’est d’ailleurs qu’un avis, c’est-à-dire, pas grand-chose.
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Mahakapi, le Singe Roi

Un conte émouvant, intemporel, plein de sagesse et de bon sens.

Il est assez court, 35 pages, avec des petites illustrations colorées au format carré ou rectangulaire accompagné de jolis motifs.



Si Mahakapi se montre brave et intelligent pour rattraper la bêtise de Déva, le rajah, fait finalement preuve de courage à son tour.



Le gaspillage et l'égoïsme sont montrés du doigt mais la sagesse l'emporte malgré tout.
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Marabout et bout de sorcière

Fulberte, la sorcière, au coeur de sa sombre forêt menaçante est solitaire et déprimée.



Un soir, on frappe à la porte de son manoir, c'est Amadou, le grand marabout d'Afrique... Il est en quête d'une adorable fée, alors Fulberte est déçue, mais ne renonce pas à lui exposer tous ses talents. Envol de balais sur les chapeaux de roues, bruits de gamelles, breuvages douteux et chute dans une poubelle sont au programme. Et je ne vous parle pas du reste. A vous d'apprécier ce conte merveilleux, loufoque et moderne à la fois.
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Monsieur Coco Picostrollâme a disparu !

Cet album est bluffant, tant par son histoire que par son graphisme. C'est un motage de mots, de lettres, de couleurs, d'images superposées.

Il y a beaucoup d'inspirations. On y retrouve un peu de 'Jack et la mécanique du coeur'. Il y a tant à voir, à chercher, à imaginer. C'est à découvrir assurément.
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Monsieur Coco Picostrollâme a disparu !

Monsieur Coco Picostrollâme a disparu, mais heureusement Oscar Why mène l'enquête en nous emmenant dans des endroits divers. Chez les papous, au pays du yéti, dans les catacombes - et là bazar il y en des os qui traînent - et même chez les trolls.

Là-bas ça râle pas mal. Quoi on accuse toujours les trolls.

Jusque là c'est plutôt drôle, légèrement déjanté. On s'amuse des expressions, des jeux de mots ( bla bla bla... il y en a une page comme ça ) et des univers divers..

Mais là où je n'ai pas bien compris où voulait en venir l'auteur c'est que Coco il est au pays des âmes, carrément au paradis ( désolée C, si tu passes par là mais je dévoile... )

Alors cet album c'est un livre pour rire, une enquête ou un livre sur la mort ?

Parce que le Coco il ne veut pas en revenir de son paradis.

Je suis resté dubitative car cet album a aucun moment il n'est sérieux..

En prime Superbe travail d'illustration, collage, peinture et nombreux détails aussi loufoques que l'histoire.



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On m'a volé mes couleurs !

Kéké est un perroquet plein de gaité qui a le malheur de croiser une fée un peu trop portée sur la ponctualité. Fâchée par un amoureux en retard, elle se défoule sur Kéké, et lui dérobe ses couleurs. Devenu tout blanc, il sent que sa vie a perdu son sens. Il se demande qui lui rendra ses couleurs et se laissera surprendre par la nature qui l'environne.

Le texte de René Gouichoux est simple et agréable, il est accompagné par les belles illustrations de Muriel Kerba qui ont le don de nous surprendre et de nous faire sourire.
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Un nouveau monde...

Voici une belle histoire sur fond d'écologie qui est aujourd'hui au centre de l'actualité.

A l'heure où le monde prend conscience des dangers qui menacent notre planète, ce récit aborde le thème de la participation de chacun pour préserver l'environnement dans le monde moderne.

Le récit puise sa force dans de très belles illustrations faites de collages et de peinture, tout en double page.

L'auteur place l'enfant au coeur du débat écologique et lui donne indéniablement sa place pour demain.

Pour que chaque enfant aborde le monde en éco-citoyen.

Un nouveau monde peut-être...
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