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Citations de N. H. Kleinbaum (164)


Je voulais aller dans les bois pour vivre sans me hâter, vivre intensément et sucer toute la moelle secrète de la vie.
je voulais chasser tout ce qui dénaturait la vie pour ne pas, quand viendrait la vieillesse, découvrir que je n'avais pas vécu.
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"-Vous faites erreur, George; il ne s'agit pas d'en faire des artistes; je veux forger des esprits libres.
Mc Allister fit mine d'éclater de rire.
-Des philosophes à dix-sept ans!
-C'est curieux, je ne vous aurais pas imaginé cynique, dit Keating avant d'avaler une gorgée de thé.
-Pas un cynique mon cher, reprit le professeur de latin. Un réaliste! Montrez-moi un coeur affranchi du vain fardeau des rêves et je vous montrerai un homme heureux!
-L'homme n'est jamais aussi libre que lorsqu’il rêve, lui répliqua Keating; cela fut, est et restera la vérité."
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Carpe diem...
Profite du temps présent...
parce que tous autant que nous sommes, nous sommes condamnés à être mangés par les vers...
Parce que nous sommes condamnés à ne connaître qu'un nombre restreint de printemps, d'étés et d'automnes.(35)
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Messieurs, nous portons tous en nous ce désir d'être accepté ; mais tâchez d'encourager ce que vous portez d'unique ou de différent, même si vous devez pour cela vous faire taxer d'excentricité. Je cite Frost : " Deux routes se sont offertes à moi ; j'ai choisi la moins fréquentée et cela a fait toute la différence".
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L'Homme n'est jamais aussi libre que lorsqu'il rêve.
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C’est dans ses rêves que l’homme trouve la liberté ; cela fut, est, et restera la vérité.
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Carpe diem.
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« - L'homme n'est jamais aussi libre que lorsqu'il rêve, cela fut, est et restera la vérité.

- C'est du Tennyson ?
- Non... du Keating. »
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- Il ne faut jamais rougir d'avoir un esprit curieux.
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"N'ayez aucune crainte, vous apprendrez ce que cette école exige que vous sachiez ; mais si j'accomplis toute ma tâche, vous apprendrez bien plus encore. Par exemple, vous découvrirez le plaisir des mots ; parce que, en dépit de tout e ce qu'on a pu vous dire, les mots et les idées ont le pouvoir de changer le monde.
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- Mon père exige que je laisse tomber la pièce de Henley Hall. Quand je pense à carpe diem, j'ai l'impression d'être en prison ! Jouer représente tout pour moi, monsieur Keating ! J'aimerais en faire mon métier. (...) Mais il a planifié toute ma vie sans jamais me demander mon avis !
- Est-ce que vous avez dit à votre père ce que vous venez de me confier ?
- Vous voulez rire ? Il me tuerait !
- Alors vous lui jouez un rôle, à lui aussi; le rôle du fils soumis. Neil, je sais combien cela peut paraître difficile, mais vous devez parler à votre père et lui dévoiler votre vraie personnalité.
- Mais je sais déjà ce qu'il va me répondre : que le théâtre n'est qu'un caprice, que c'est frivole et que, « pour mon bien », il vaut mieux ne plus y songer. Puis il va me rappeler tous les espoirs qu'ils fondent sur moi.
(...)
- Si ce n'est pas seulement un caprice, alors c'est à vous de le lui prouver. Montrez-lui, à force de passion et d'engagement, que c'est là votre vocation.
(...)
Allez-lui parler, Neil.
- Il n'y a pas d'autre solution ?
- Pas si vous voulez rester honnête vis-à-vis de vous-même.
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- Pourquoi êtes-vous professeur ? demanda Neil. C'est-à-dire que... Avec toutes ces histoires sur carpe diem, on vous imaginerait plutôt en train d'explorer le monde.
- Mais c'est exactement ce que je fais, Neil. J'explore le monde. Ce monde nouveau, ce monde des temps modernes. Et puis, un collège comme Welton a besoin d'un professeur comme moi, non ?
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- Que reprochez-vous aux vieilles habitudes, monsieur Overstreet ?
- Elles perpétuent une vie mécanique, monsieur. Elles imposent des bornes à la pensée.
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La vérité est comme une couverture qui nous laisse les pieds froids.
(...)
On a beau la tirer à nous dans tous les sens, elle ne nous couvrira jamais entièrement.
(...)
Secouez-la, tiraillez-la, ça ne suffira jamais...
(...)
Du jour où on entre dans le monde, vagissant, (...) à celui où on le quitte, agonisant, on ne peut que s'en couvrir la tête et gémir, pleurer ou hurler !
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- Levez-vous, messieurs, et venez étudier les visages de ces adolescents qui vous ont précédés sur ces bancs quelque soixante ou soixante-dix ans plus tôt. Allons, ne soyez pas timides : venez les voir.
(...)
- Ils ne sont pas très différents de vous, n'est-ce pas ? Les yeux emplis d'espoir et d'ambition, comme les vôtres. Ils se croient promis à de grandes destinées, comme beaucoup d'entre vous. Eh bien, jeunes gens, que sont ces sourires devenus ? Et que reste-t-il de cet espoir ?
(...)
- Est-ce qu'ils n'ont pas trop attendu avant de réaliser une fraction de ce dont ils étaient capables ? A trop aduler la déesse toute-puissante de la réussite sociale, n'ont-ils pas bradé à vil prix leurs rêves d'enfance ? Dans quelles ornières, dans quelles mesquineries se sont embourbés leurs idéaux ? La plupart d'entre eux mangent aujourd'hui les pissenlits par la racine ! Mais si vous tendez bien l'oreille, messieurs, vous pourrez les entendre vous murmurer quelque chose. Allez-y, n'ayez pas peur, penchez-vous. Ecoutez ! Vous entendez leur message ?
(...)
- Carpe diem, murmura Keating d'une voix d'outre-tombe. Profitez du jour présent. Que vos vies soient « extraordinaires ».
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Pour ne pas découvrir, à l'heure de ma mort, que je n'ai pas vécu...
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N. H. Kleinbaum
La plupart des gens vit une vie de calme désespoir.
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- Quelle sera votre rime ? demanda-t-il alors en les fixant tour à tour. hein, messieurs, quelle sera votre rime ?
Un silence suivit ; la question planait dans la salle et se répercutait à l'infini dans le cœur des adolescents.
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En poésie comme en toute entreprise, consacrez toute votre ardeur aux choses essentielles de la vie - l'amour, la beauté, la vérité, la justice.
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Todd, si tu veux réussir ici, il faudra que tu apprennes à hausser la voix. Les faibles entreront peut-être dans le royaume des Cieux, mais pas à Harvard, si tu vois ce que je veux dire.
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