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Critiques de Nathalie C. Henneberg (32)
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La forteresse perdue

En l'an 2300, sur la terre, les villes sont surpeuplées et faites d'alvéoles d'acier.

L'homme vit durant 150 à 200 ans.

Il n'y a plus d'espaces verts.

La population s'accroît sur un rythme régulier.

Les gens se nourrissent de "chlorella", une algue qui fabrique des mutants.

L'hyper-espace et ses milliards de frissonnantes étoiles semblent détenir la clef de l'avenir de l'homme ...

Sous les ordres du commandant Josh Pascali, "Caravelle I", un navire d'essai, s'apprête à se lancer dans le sub-espace qui n'est qu'un trou dans le néant.

A bord, le lieutenant de la légion spatiale Arnold de Held est le second. Il commande une poignée de techniciens et de soldats dont Alix Orlova, la seule femme de l'équipage.

A l'aube du sixième jour, un globe argenté, scintillant apparaît près d'un soleil Alpha.

La planète, nouvelle terre promise, est baptisée Isis.

Un message d'accueil parvient à bord du vaisseau :

- "Soyez les bienvenus sur cette planète, ô habitants de Sol III" -

Au même instant, le contact est perdu avec la terre ...

Ne croyez pas que tout est dit.

Car si l'histoire se met en place rapidement et efficacement durant les premiers chapitres, ce roman écrit par Nathalie et Charles Henneberg réserve encore bien des surprises à ses lecteurs.

Car le récit ne va pas là où l'on attend.

Il surprend.

Mais il faut s'y accrocher car il souffre, peut-être du fait de sa traduction, d'un flou dans la narration qui trouble et vient amoindrir l'intérêt.

Pourtant le voyage au-delà des univers divergents et des ponts intercalaires, entre les ères et les planètes, vaut la peine d'être fait.

"La forteresse perdue" est le 94ème titre de la collection du "Rayon Fantastique".

C'est un excellent livre de science-fiction qui vaut qu'on passe par dessus une ou deux petites envies de l'abandonner avant d'y être définitivement accroché ...



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Le sang des astres

Il semblerait, d'après Nathalie et Charles Henneberg, les deux auteurs de ce drôle de roman, que la terre possède un spectre élémental qui la double : c'est le domaine des idées-forces, la même planète mais inversée.

On la dénomme, tantôt la planète des Elms, tantôt la dimension ESP, parce que c'est par la perception extra-sensorielle qu'on y pénètre.

Gilbert Deste est un éclaireur du système solaire, un navigateur interstellaire, un pionnier de l'espace.

Il a découvert, sans trop s'en vanter, un monde incroyable !

Anti-Sol IV est un globe qui a les caractéristiques de la planète mère.

Depuis le premier vol d'une fusée galactiques et les calculs effectués vers l'an 2000 par un savant appelé Agrest, tous les astronautes recherchaient follement cette merveille toujours promise, statistiquement possible et jamais révélée.

Gilbert Deste va y vivre de nombreuses aventures et y approcher une société médiévale ressemblant à celle de la Terre....

Ceci-dit, je n'ai pas réussi à suivre Gilbert Deste dans ses aventures.

J'ai abandonné ce récit avant la fin de sa première moitié.

Je pense pourtant, qu'écrit à quatre mains, ce petit ouvrage, très original dans son style comme de par l'histoire qu'il raconte, est un bon roman de science-fiction.

Il est bien écrit.

Les aventures de cet explorateur d'un nouveau genre sont inventives.

Elles sont racontées sans temps morts et avec rapidité.

Mais tout simplement, je n'ai pas accroché.

Peut-être vais-je poser ce livre sur un coin de la cheminée et le reprendre quand la bise sera venue...

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Les Dieux verts

En Résumé : J’ai passé un bon moment de lecture avec ce roman qui, même s’il a mal vieilli par certains aspects et possède quelques défauts, reste énergique et entraînant. On plonge dans un roman, mélange des genres, qui a rapidement réussi à me happer par un style haletant, soigné, riche et percutant, nous plongeant dans une aventure pleine de rebondissements et de surprises. L’univers est assez classique, avec une dualité entre la nature et l’humanité, mais ne manque pas de se révéler solide et offrir quelques bonnes idées, ainsi qu’une ou deux réflexions intéressantes, tout en brassant efficacement de nombreux mythes. Maintenant j’avoue je suis assez frustré que l’autrice n’ait pas pris le temps de développer certains aspects qui, je trouve, auraient mérité d’être plus soignés. De plus certains points paraissent un peu désuet. Concernant les personnages, mis à part les deux héros, ils s’avèrent très fonctionnels. Cela ne les empêche pas de remplir leurs rôles, mais on sent qu’on est dans un roman court qui cherche à aller à l’essentiel et efficacement. En ce qui concerne les deux protagonistes ils sont un peu plus soignés, ne manquent pas d’intérêt, mais en font trop par moment je trouve dans l’aspect Drame et amour impossible. Je regretterai aussi une construction plutôt linéaire, ainsi qu’une utilisation d’ellipses et de facilités frustrantes. Pour autant j’ai trouvé ce roman d’environ 250 pages plus que divertissant, qui se lit rapidement et s’avère efficace dans ce qu’il cherche à construire. Certes ce n’est pas le récit le plus marquant que j’ai lu pour ma part, mais cela ne l’empêche pas de m’avoir fait passer un bon moment.





Retrouvez la chronique sur le blog.
Lien : http://www.blog-o-livre.com/..
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Le mur de la lumière

De la Sf de pépé (j’avais 11 ans quand c’est paru !) stockée dans les bas-fonds de ma bibliothèque, avec le style ampoulé et faussement poétique de cet auteur ( « Elle leva lentement le grillage de ses cils et darda dans le visage de l’inconnu son regard d’abîme ») et un scénario abracadabrantesque : un vaisseau en route vers Andromède ( !!) envahi par des mutants au sang vert et aux pouvoirs puissants , des querelles de ménage, un bal du commandant de bord, et cerise sur le gâteau l’intervention de l’Atlantide avec idylle style « Eternel retour ». Bref , ne méritait pas l’exhumation. RIP.
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Les anges de la colère

Recueil de 6 nouvelles édité en 1978 .L’autrice reprend à son compte une thèse adorée par les Charroux , Bergier et autres farfelus !la Terre a été visitée par des ET ou des voyageurs temporel qui lui ont tout apporté. Elle nous conte leur intervention biblique à Sodome et Gomorrhe (« Les Anges de la colère » ) ,devant les invasions tatares (« La Jeune fille et les deux villes ») dans l’Italie du Rinascimento ( « Monstre à voix de sirène » ), à El Alamein ( « Les Maîtres de l'heure » ) en 3707 (« Portés disparus » ) et sur la terre mourante « Le Soleil de Thulé » .Une SF poétique , soignée dans son expression mais peu soucieuse de vraisemblance et souvent répétitive
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La plaie

Une oeuvre vraiment troublante. La Plaie est une oeuvre de space op qui m’a laissée partagée. Décousue, j’avais parfois l’impression de lire une forme d’écriture automatique, de faire face à tant de complexité que mon cerveau n’arrivait pas à tout comprendre. Mais ces moments de confusion étaient traversés par la qualité de l’écriture, son aspect lyrique débordant d’imagination qui crée ce “sense of wonder” dont j’avais beaucoup entendu parler. Une oeuvre que je ne conseille qu’aux aguerris de la SF tant elle est peu accessible.
Lien : https://lageekosophe.com/
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La plaie

La lutte est farouche entre les Nocturnes, êtres sous l'emprise du mal absolu qui gangrène l'univers habité, et les résistants qui tentent d'échapper et de mettre fin à cette folle avancée d'une maladie qui semble bien irrévocable.

Manichéen comme postulat ! Soit, mais les nombreux personnages présentent des caractères très nuancés et leurs visées ne vont pas toutes dans le même sens. Bref, l'intrigue est plus subtile qu'elle pourrait le présager de prime abord.

Et quel souffle lyrique ! Une épopée dans les étoiles comme la science-fiction française en a peu fournie. Les époques se chevauchent et les personnages finissent par se croiser, se retrouver et il faut faire preuve d'attention pour ne pas se perdre dans un récit qui n'a rien de linéaire.

De la grande aventure spatiale qui a connu une suite, "Le dieu foudroyé", dont la lecture n'est pas indispensable.

On pourra également lire la très intéressante étude/lecture de ce roman faite par Elisabeth Vonarburg présente notamment dans l'indispensable, pour qui s'intéresse au genre, "Space opera ! L'imaginaire spatial avant 1977", paru aux Moutons électriques.
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Démons et chimères

« Pavane pour une plante » – Nathalie (et Charles ?) Henneberg – dans le recueil Démons et chimères, 1977

« C’étaient trois camarades, trois amis. Leur travail consistait à remorquer et faire exploser, aussi loin que possible du système solaire, les débris de la dernière guerre interplanétaire. »

Jusqu’au jour où un container d’apparence anodine leur explose à la figure. Le vaisseau s’écrase sur un satellite artificiel. Ralph, le commandant, s’en tire bien. Aïno, l’astronome, a des côtes cassées et Henry, le mécano, l’épaule démise. Contre toute attente, il semble que le satellite dispose d’une atmosphère et même que des plantes y poussent. Ralph sort et rapporte une fougère. Le lendemain, le vaisseau se trouve englouti parmi des champignons géants. Ralph désintègre le pourtour du vaisseau afin que les secours puissent les trouver. Après les champignons, ce sont des cactées qui montent à l’assaut. Et puis bientôt, une voix se fait entendre, une voix de sirène ensorceleuse, tandis qu’une forme humaine, blanche, avec un semblant de visage et des cheveux bleus envahit l’écran du viseur. Henry s’est laissé subjuguer et voudrait sortir pour la sauver, mais Ralph l’en empêche. Plus tard, on retrouve le chien Sukkey qui s’est échappé à l’état de squelette. La créature qui revient les séduire a maintenant un visage avec une bouche très rouge, on sait dès lors comment elle se nourrit. Lorsque Ralph se lève avec son désintégrateur et ouvre la trappe pour sortir, Henry le tue et le laisse glisser à l’extérieur. Ensuite, il explique à Aïno que la créature est une mandragore et qu’il a le projet de la ramener sur terre. Lorsque la mandragore reparaît sur l’écran, elle est belle, avec quelque chose qui rappelle les traits de Ralph. Henry se lève et ouvre la trappe pour aller vers elle, mais glisse dans le vide. Aïno vient de lui décharger son arme dans la nuque. La voix appelle Aïno avec les hésitations d’Henri et les tonalités chaudes de Ralph en lui disant des mots d’amour...

Une patrouille retrouve l’astronef et trois squelettes ainsi qu’une survivante. Elle enterre sur place le cadavre d’une jeune fille très belle, aux racines brûlées de mandragore, qui a les traits d’Aïno. CB

Extrait d'un article paru dans Gandahar 5 Intelligence végétale en décembre 2015
Lien : https://www.gandahar.net
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Les Dieux verts

Bonne idée, pour les éditions Callidor que le lancement de cette collection "Age d'or" destinée à mettre à nouveau en valeur les écrits d'auteures et d'auteurs méconnus ou oubliés dans un passé plus ou moins lointain.

Bel ouvrage éditorial aussi car le livre est plaisant à feuilleter et à lire.

Grâce à ce travail, j'ai retrouvé les écrits de Nathalie Henneberg perdue de vue depuis une quarantaine d'années. Et pourtant, dans ma bibliothèque, figurent plusieurs de ses romans, publiés sous le nom de son mari, Charles Henneberg (qui n'a jamais rien écrit mais possédait "l'immense qualité" d'être un homme et donc d'être crédible comme auteur de SF), ou sous son propre nom. A l'époque c'était dans les collections du Masque ou chez Albin Michel.

"Les dieux verts" dont il est question aujourd'hui est un livre bien singulier. Il touche à différents genres, entre autres, la SF post apocalyptique, le drame antique ou le Space Opéra. Nathalie Henneberg a réussi à mélanger ces différents univers, et le cocktail, surprenant, est assez à mon goût. La thèse développée ? Sur une terre ravagée par les guerres, la pollution, la surexploitation de la nature, le genre humain autrefois dominant est maintenant totalement déclinant, voire même sur le point de disparaître, après avoir fait tout ce qu'il faut pour. De nouvelles espèces, végétales ou animales, ont pris les leviers de commandement et ne laissent plus, aux humains survivants, qu'un rôle de figurants, drapés du costume de leur ancienne splendeur.

Finie l'humanité ? Non, point tout à fait puisque subsistent des colonies terriennes sur d'autres planètes, et que figurent, parmi les survivants, quelques héros dignes d'une tragédie grecque. Pendant des siècles, le voyage retour a été impossible pour les colons vers leur mère patrie, en raison de la présence d'un redoutable bouclier magnétique. Nous en sommes à la phase finale de la domination végétale, mais il se trouve que le bouclier s'affaiblit et que quelques vaisseaux ont pu s'approcher de la surface de la planète terre...

Le récit date parfois un peu, mais il a consacré une bonne part de sa magie et de sa poésie... Je constate qu'après une longue période de désintérêt, je renoue, à pas de fourmi, avec la SF et la fantasy qui m'ont occupé de longues heures au siècle précédent !
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La plaie

J'ai pas du tout accroché à ce livre, je ne vais donc pas le conseiller.



Je le trouve trop fouilli, pas bien ficellé. L'auteur passe trop du coq à l'âne, on s'y perd.
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Le chant des astronautes

C’est de la SF de grand_papa , et elle marque bien son âge . L’intrigue est extrêmement mince et prévisible , les personnages sans profondeur aucune et très stéréotypés. Le style est soigné dans une langue raffinée et l’état d’esprit hyper romantique : belles dames sans merci et amours désespérées.
Lien : https://andre.chiaroni@wanad..
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Hecate

[...]

Dans un roman sous forme de course poursuite à travers le désert, nos deux auteurs ont essayé de donner matière aux mirages créés par Nathalie Henneberg. Les thèmes soulevés portent la réflexion sur la transcendance à travers les âges, de réincarnation en amour ou haine éternels. Mais au-delà de ces images, il est aussi question de libertés : celle d'un homme de choisir son camp, de renier son destin, de prendre une autre voie à ce fameux carrefour au-dessus duquel Hécate veille.



Le contexte, s'il a été choisi par l'auteure principale au Moyen-Orient pendant la deuxième guerre mondiale, n'est important que par la force des situations qu'il permet de présenter. On y retrouve son vécu, ses peurs, mais aussi le courage dans l'action. Les parallèles avec les doubles historiques, auraient pu être transposés ailleurs. Mais le choix fut judicieux. Les quelques références accrochent le lecteur tout en laissant la part belle à l'imaginaire. Pour qui n'est pas spécialiste de cette période, en particulier de ce front-ci, peut-être plus méconnu, il est facile de croire à la véracité des situations.



Côté écriture, les trois plumes ont su garder comme une atmosphère calfeutrée. Ils ont créé une bulle de conte à l'extérieur de laquelle ont croit entendre l'écho des canons ou des batteries anti-aériennes. J'imagine que ce n'était pas un exercice facile dans cette road story.



Dans la post face, très intéressante à lire, Didier Reboussin et Cyril Carau expliquent leur démarche. Il ne me reste plus qu'une interrogation : pourquoi avoir laissé une fin si ouverte pour le trio principal ? Je ne suis pas sûre que cela corresponde à l'image d'Hécate elle-même. J'imaginais une boucle supplémentaire ou un choix divergent qui aurait rompu le cycle, comme les derniers états d'âme le laissaient sentir. Mais c'est peut-être juste ma sensibilité à cette thématique. Comme ils l'ont dit, en l'absence de Mme Henneberg, il était tout aussi simple de laisser le lecteur imaginer sa fin.



[...]
Lien : http://question-sf.over-blog..
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Le mur de la lumière

Une histoire qui n’a ni queue ni tête avec une génération spontanée de mutants aux pouvoirs extraordinaires. Bon, pourquoi pas. Mais pourquoi y mêler les mystères de l’Atlantide ? Car les mutants ont aussi le pouvoir de se rappeler le passé… Et la narration est mauvaise en plus. A éviter.

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Les Dieux verts

En fait, je suis très embêtée, parce que je ne sais pas trop quoi penser de ce livre (donc, je botte en touche ; je ne mets pas de note).



C'est un roman entre science-fiction et fantasy, et c'est un peu dommage que ça ne soit pas précisé sur le site de l'éditeur, parce que personnellement, la science-fiction, ce n'est pas trop mon truc. Par chance je m'en doutais déjà par le résumé.



L'histoire d'amour n'a pas l'empreinte de la passion, on la suit de manière assez détachée, comme à la façon des tragédies antiques, où sentiments et raisons de ne pas se mettre ensemble sont décuplées, inextricables (et d'un autre côté le roman termine bien).



L'abondance de termes techniques que je ne connaissais pas, surtout au début, a participé à ma difficulté à entrer dans l'histoire, que j'ai finalement bien aimé, mais sans accrocher plus que ça et d'un autre côté quand même un peu… je suis perdue ! x)
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La plaie

Excellent space opera, l'imagination est grande, la plume très belle, quel récit! Une guerre fascinante a suivre, un univers vraiment étonnant, qui fourmille de bonnes idées. Une oeuvre a découvrir.
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Les Dieux verts

Magnifique travail de réédition par Callidor, qui s'attache à remettre en lumière des auteurs de fantasy pré-Tolkien tombés dans l'oubli, une initiative qu'on ne peut qu'applaudir.

Pour ma première incursion dans cette collection, c'est Nathalie Henneberg que j'ai découvert. Je ne connaissais pas cette autrice jusqu'à avoir ce livre entre les mains, alors qu'il s'agit de la 1ère femme française à avoir écrit de la fantasy.



J'ai été assez désarçonnée par ce roman. L'univers décrit par l'autrice est très fantasque, mélangeant plusieurs genres... Ainsi, on a une civilisation humaine très antiquisante, mais qui s'est divisée en différentes catégories de mutants après un cataclysme, des insectes géants et des plantes conscientes... Ainsi qu'une pincée de science fiction.

Très "WTF", mais j'ai pourtant accroché. La structure narrative est quant à elle beaucoup plus sage, mais j'ai suivi l'histoire avec plaisir.

J'ai particulièrement aimé le personnage d'Atléna, reine de cette sorte d'Atlantide décadente, et chez qui j'ai retrouvé de nombreux traits de la Salammbô de Flaubert.



C'est sans aucun doute que je renouvellerai l'expérience avec cette collection, peut-être le Serpent d'Ouroboros qui me paraît tout aussi intéressant.
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La plaie

Livre posthume qui ressemble plus à un brouillon qu’a autre chose : l’histoire divague et saute du coq a l’âne sans que ni les protagonistes ni les enjeux soient vraiment clairs, le style est très inégale d’un chapitre à l’autre, de mem pour le point de vue narratif. Cela aurait peut-être put faire un bon livre avec du travail, mais en l’état c’est difficilement lisible. Certains des nouvelles de Nathalie HENNEBERG sont bien plus intéressantes à lire.
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Les Dieux verts

Non pas que les Dieux Verts soit un mauvais roman, mais on a la sensation qu’il y avait bien mieux à faire aux vues de l’idée de base, d’autant que jusqu’ici, les éditions Callidor nous avaient habitué à une excellente qualité littéraire.
Lien : http://www.elbakin.net/fanta..
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Les anges de la colère

Je termine ce recueil de nouvelles de N.Henneberg, on ne sait trop jamais ce que l’on va trouver sous ce nom d’auteur. Ici, c’est un excellent recueil de nouvelles, présentant parmi les meilleurs textes que j’ai lus de cet/ces auteurs. Son univers très particulier y est fort bien présenté, avec ses contextes historiques et ses créatures d’ailleurs interférant dans notre histoire. Le style est toujours riche et chargé de couleurs et de textures. Je retiendrai particulièrement les nouvelles suivantes :

La jeune fille et les deux villes : l’histoire d’une fille qui vit à la fois à la renaissance dans une famille vénitienne et durant la révolution russe.

Monstre à voix de sirènes : au XVe siècle, sous le règne des Borgias, une femme tient tête aux ambitions du pape. Durant cette guerre, elle combattra un homme bien étrange.

Les maîtres de l’heure : à Damas en 1942, une femme travaillant pour les forces libres apprend qu’un avion-espion allemand s’est écrasé non loin dans le désert. Elle rencontre un étrange personnage dont elle avait censuré les lettres.
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Démons et chimères

Bon, 8 nouvelles assez originales dans les thèmes (la vie végétale ou minérale par exemple) mais qui restent assez moyennes dans le traitement. Les descriptions ne sont pas toujours claires, les personnages assez distants et la progression dramatique des histoires n'est pas toujours prenante.

Bref, c'est intéressant d'un certain point de vue (les idées et thèmes) mais sur le traitement et le plaisir de lecteur c'est un peu limité j'ai trouvé.
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