Citations de Nelson Mandela (351)
Une tête bien faite et un bon cœur forment toujours une formidable combinaison.
Prenez sur vous, où que vous viviez, de donner de la joie et de l'espoir autour de vous.
Sans langue commune, on ne peut parler à un peuple ou le comprendre ; on ne peut partager ses espoirs et ses aspirations, saisir son histoire, apprécier sa poésie et ses chansons.
Il est très facile de casser et de détruire.
Les héros, ce sont ceux qui font la paix et qui bâtissent...
Le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de vaincre ce qui fait peur.
L'honnêteté, la sincérité, la simplicité, l'humilité, la générosité, l'absence de vanité, la capacité à servir les autres - qualités à la portée de toutes les âmes sont les véritables fondations de notre vie spirituelle
Si, autrefois, j'avais considéré la loi de façon idéaliste, comme l'épée de la justice, aujourd'hui, je la voyais comme un outil utilisé par la classe au pouvoir pour façonner la société dans un sens qui lui était favorable. Je ne m'attendais jamais à la justice dans un tribunal même si je luttais pour elle et même si parfois je la rencontrais.
"Si quelqu'un pense que je suis un pacifiste, qu'il vienne prendre mes poulets, et il verra qu'il se trompe !"
L'éducation est le grand moteur du développement personnel.(.....)C'est ce que nous faisons avec ce que nous avons et non ce qu'on nous donne qui fait la différence entre les gens.
- «Nous devons nous rappeler que notre première tâche est d’éradiquer la pauvreté et d’assurer une meilleure vie à tous.»
(2009, message vidéo diffusé lors d’un meeting électoral de l’ANC, sa dernière intervention politique)
Ce ne sont pas leurs buts qui les ont rendus criminels, dit Hanson, ce sont seulement les moyens auxquels ils ont eu recours.
Pour faire la paix avec un ennemi, on doit travailler avec cet ennemi, et cet ennemi devient votre associé.
Citation mentionnée dans Zulu. Film sud-africain. 2013
Un jour, près du cabinet, j'ai vu une vieille femme blanche dont la voiture en stationnement était coincée entre deux autres. Je suis allé immédiatement pousser sa voiture pour la dégager. La vieille dame, qui parlait anglais, s'est tournée vers moi et m'a dit : "Merci, John", "John" étant le nom que les Blancs donnaient aux Noirs qu'ils ne connaissaient pas. Puis, elle m'a tendu une pièce de six pence que j'ai refusée poliment. Mais elle a insisté et j'ai dit non de nouveau. Alors elle s'est écriée : "Tu refuses une pièce de six pence. Tu veux sans doute un shilling mais tu ne l'auras pas !" Puis elle m'a jeté la pièce et a démarré.
Ce qui compte, ce ne sont pas les individus mais le collectif.
Cela semble toujours impossible, jusqu'à ce qu'on le fasse.
Les chaînes du corps sont souvent les ailes de l'esprit.
L'homme blanc avait brisé l'abantu, la communauté, des différents tribus. L'homme blanc avait faim de la terre et l'homme noir avait partagé la terre avec lui comme il partageait l'air et l'eau; la terre n'était pas faite pour que l'homme la possède. Mais l'homme blanc prenait la terre comme on prendrait le cheval d'un autre homme
Pour la première fois j'ai vu qu'il était imprudent d'aller contre l'avis d'un grand nombre de gens. Il ne sert à rien de décider d'une action à laquelle les masses sont opposées car il sera impossible de la mettre en œuvre.
La démocratie signifiait qu'on devait écouter tous les hommes, et qu'on devait prendre une décision ensemble en tant que peuple. La règle de la majorité était une notion étrangère. Une minorité ne devait pas être écrasée par une majorité.
Puis Maqhavi commença à réciter son célèbre poème dans lequel il attribuait les étoiles du ciel aux différentes nations de la terre. Je ne l'avais jamais entendu. Marchant de long en large sur la scène et dressant sa sagaie vers le ciel, il s'adressa aux peuples d'Europe - les Français, les Allemands, les Anglais - : "Je vous donne la Voie lactée, la plus grande constellation, car vous êtes des gens étranges, avides et envieux, qui vous querellez dans l'abondance." ...