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Critiques de Nicolas Remin (36)
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Les fiancés de Venise

J'ai lu cette série sur le commissaire Tron, comte désargenté dans le Venise de la fin d'occupation autrichienne (1863), dans le plus complet désordre… mais avec quel plaisir !

Le point de départ initial de ce deuxième tome de la série, est le meurtre d'une courtisane entretenue par un riche personnage. La recherche du criminel est un sujet bien accessoire. En effet, les suspects se succèdent et Tron fait preuve de plus d'imagination que d'efficacité. Figure même dans sa liste l'archiduc Maximilien d'Autriche, en instance de départ pour le Mexique où il va se faire couronner empereur. A chaque fausse piste, Tron en discute avec sa fiancée, la belle princesse de Montalcino, jeune veuve douée pour les affaires. Sous la pression maternelle (le palais Tron part à vau-l'eau), il tente d'avancer dans son projet de mariage avec elle : comment vivront-ils, et où, au palais Tron, quitte à pousser belle-maman dans de nouveaux appartements, ou au magnifique palais Balbi-Valier servis par des domestiques éthiopiens ?

Ce genre de roman historique, un peu désuet, porté par des personnages originaux et sympathiques, est franchement distrayant. Venise est un arrière plan somptueux. Les second rôles sont dépeints avec férocité (notamment le baron Spaur, chef de la police, amoureux transi et écrivaillon minable). Difficile de quitter ce roman à la dernière page...
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L'impératrice lève le masque

Je suis un peu déçue par ce premier tome des enquêtes du commissaire Tron. J'avais craqué pour la couverture du livre et j'avais envie de partir pour Venise le temps d'une lecture et comme il a déjà été souligné précédemment dans différentes critiques, Venise a l’époque de l'intrigue est sous la domination de l'Autriche. Alors il est vrai que Nicolas Remin a très bien documenté son récit, et l'on sent qu'il maitrise son sujet mais ce n'est pas vraiment ce que j'attendais.



En ce qui concerne l’enquête, la encore je ne m'attendais pas a ça, le début commençait bien, un double meurtres sur un bateau... mais très vite on découvre qu'on a a faire a un complot politique, une tentative d'attentat visant a tuer l’impératrice... A ça s'ajoute la corruption au sein de l’enquête! Alors l'intrigue est bien menée, ça ne fait pas de doutes mais je pense que j'aurai préféré quelque chose de plus simple.



Et le fait est aussi que chacun enquête de son coté m'a un peu dérouté : Tron, d'un coté, Sissi de l'autre.... Enfin sur ce dernier point je n'en tiendrai pas trop rigueur a l'auteur car j'ai beaucoup aimé y croiser l'impératrice et la voir se transformer pour lever le voile sur cette affaire.



Bref c'est plutôt un bilan mitigé, pour ce premier tome, mais je laisserai une seconde chance au commissaire Tron et je lirai la suite de ses aventures.
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Les fiancés de Venise

Les polars historiques sont toujours étonnants et ces Fiancés de Venise n'échappe pas à la règle. On assiste, parallèlement à l'enquête policière en tant que tel, à tout un tissu d'événements, qui donnent l'impression d'être transporté dans le temps et dans l'espace.



La recréation de Venise au XIXe siècle est absolument réussie. La ville devient presque le personnage central du polar et ses salons, ses bals et réceptions ne cachent pas la misère des petites gens et des aristocrates désargentés, comme le commissaire Tron. Au final, cela donne une cité très contrastée, entre ombre et lumière : raffinée le jour et inquiétante une fois la nuit tombée.



Par contre, j'ai eu beaucoup de mal à suivre les relations entre les différents personnages. Ils semblent tous se connaître d'une façon ou d'une autre, mais je n'ai pas très bien compris comment... De même, le contexte politique de Venise à ce moment précis, s'il est très bien exploité par l'auteur, n'est pas spécialement expliqué. Je ne suis pas spécialiste de l'histoire italienne, et je l'ai ressenti tout le long du livre, puisque plusieurs passages du récit m'ont paru très obscurs : l'implications des Autrichiens dans l'histoire de Venise, les relations commerciales avec le Mexique et autres finesses du récit m'ont parfois laissée totalement perdue. Pourtant, le commissaire Tron et sa fiancée, la princesse Montalcino, évoquent ces différents points lors de leurs nombreuses conversations, mais même reformulés en dialogues, ces événements sont restés très nébuleux.



C'est la preuve que le passage du Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates est tout à fait approprié. Lorsque Juliet écrit dans une de ses lettres :



" C'est ce que j'aime dans la lecture. Un détail minuscule attire votre attention et vous mène à un autre livre, dans lequel vous trouverez un petit passage qui vous pousse vers un troisième livre. Cela fonctionne de manière géométrique, à l'infini, et c'est du plaisir pur. "



Même un roman policier peut provoquer cela puisque je me rends compte, maintenant, qu'au vu de mes lacunes, j'ai intérêt à me documenter sur le sujet !



L'enquête du commissaire Tron, par contre, était très intéressante et patriculièrement bien menée par l'auteur. Tron reste humain tout au long du récit : il n'a rien des super-flics que l'on rencontre parfois au gré de la lecture des polars. Tron fait des erreurs, suit des fausses pistes et reconnaît ses erreurs. Les autres membres de la questure sont aussi passionnants et, même, attachants. Tous donnent une impression mondaine, comme si Venise influençait la personnalité de ses policiers et les rendaient plus élégants.
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L'impératrice lève le masque

J'ai commencé la suite des livres de Nicolas Remin par les tomes 3, 4 et 5, que j'ai particulièrement appréciés. Alors, évidemment, j'attendais beaucoup de cet ouvrage, qui ouvre cette série qui se place dans le Venise du milieu du dix-neuvième siècle, dans les dernières années de la domination autrichienne. La glorieuse cité entre en déliquescence et se met progressivement à vivre du tourisme.

La mise en place des personnages est longuette, et peut perturber ceux qui ne connaissent pas le commissaire Tron, de vieille famille vénitienne désargentée, son supérieur autrichien Spaur, plus préoccupé par la nourriture et les gâteries que par la recherche de la vérité, et la belle princesse de Montalcino.

L'intrigue est emberlificotée et mélange contexte politique, les partisans de l'unité italienne cherchant à provoquer des incidents en cette année 1863, crapuleries et vilenies. Mais globalement Remin maîtrise le déroulé de l'action, qui finit toutefois à la fin par devenir prévisible.

Cerise sur le gâteau (une forêt noire ?), il rajoute au canevas l'imprévisible impératrice d'Autriche, Élisabeth dite Sissi, alors en villégiature à Venise. Ses démarches apportent beaucoup à la réussite du commissaire Tron.

Au final, si on s'accroche un peu, on finit par passer un bon moment dans une Venise, très bien reconstituée, un peu décatie, mais encore pleine de trésors architecturaux et artistiques. La ballade vaut la peine, et le livre aussi.
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Les fiancés de Venise

Une jeune femme est retrouvée morte dans son appartement de Venise. Un témoin a vu le meurtrier. La police est aussitôt sur les lieux et le commissaire Alvise Tron, noble desargenté, commence son enquête.

Cette femme n'est autre que la maîtresse de l'archiduc Maximilien, frère de François_Joseph.

L'affaire doit absolument rester discrète.

Beaucoup de personnages se croisent, ce qui demande beaucoup d'attention.

L'histoire Autriche-Mexique est le fil conducteur de ce récit. Serait-ce une conspiration juariste pour désavouer Maximilien et l'empêcher de monter sur le trône de l'empereur du Mexique ?

L'enquête en devient vite secondaire.

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L'impératrice lève le masque

Février 1862. Venise est sous domination autrichienne. Un

conseillé à la cour de Vienne est retrouvé mort dans la cabine du paquebot en provenance de Trieste. Dans sa cabine gît aussi une jeune femme inconnue violée et étranglée avec des marques de morsure sur le buste.

Le comte et commissaire Tron est dépêché sur les lieux. Très vite il constate que ce que l’on a voulu faire passer pour un suicide n’est rien d’autre qu’un meurtre. Mais l’enquête lui est aussi vite retirée. C’est désormais la police militaire autrichienne qui prend le relais et le colonel Pergen boucle le dossier en un temps record. Tron ne croit pas à l’hypothèse de Pergen et va tenter malgré sa hiérarchie de découvrir la vérité.

Et c’est grâce au soutient de son altesse impériale Elisabeth

d’Autriche, en villégiature à Venise que Tron va suivre la piste de l’assassin.

Ce roman policier est le premier d’une série qui s’annonce. Le déroulement de l’intrigue est classique mais elle est bien ficelée. Non, ce qui

nous séduit dans ce polar historique c’est Venise. La sérénissime est omiprésente, elle est au cœur du livre.

On se ballade dans les Palais du grand canal, on découvre la lagune sous la neige et on plonge dans les fastes des Bals Vénitiens.

D’ailleurs certains passages ne sont sans nous rappeler avec nostalgie certaines scènes de « Sissi face à son destin ».
Lien : https://collectifpolar.com/
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L'impératrice lève le masque

Vive les boites à livres et leurs excellentes découvertes! Notamment avec ce roman et cet auteur : nous sommes en 1862 à Venise. La ville est sous domination autrichienne et l'impératrice Sissi y séjourne.

Un de ses conseillers est retrouvé mort sur un bateau, dans sa cabine en compagnie d'une prostituée horriblement mutilée.

Et c'est une enquête en parallèle qui commence, celle de Sissi et celle du commissaire Alvise Tron, l'héritier d'une grande famille vénitienne sans le sou.

Une très bonne lecture, dépaysante, avec une Sissi téméraire.
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Les fiancés de Venise

Une jeune femme est retrouvée morte sur la lagune. Alvise Tron est chargé de l’enquête tandis qu'il pénètre sans le savoir dans le monde de la politique et de la monarchie. En effet, la jeune femme n'était autre que la maitresse de Maximilien le jeune frère de l'empereur François Joseph....

Un simple meurtre se transforme en un jeu de miroir dans les entrelacs des ruelles vénitiennes.

Le commissaire va devoir démêler le vrai du faux, tout en préservant les intérêts de la princesse sa fiancé et les humeur de sa mère.

Roman bien mené. il est toujours agréable de retrouver des personnages appréciés L'intrigue est bien menée. une bonne soirée en perspective.
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Requiem sous le Rialto

Dans les années 1860, alors que l'empire austro-hongrois occupe toujours Venise, un tueur en série, éventreur de prostituées, arrive par le train de Vérone. En pleine période de carnaval, il les attire par différents subterfuges aux quatre coins de la cité et de ses canaux. Le commissaire Alvise Tron, noble vénitien désargenté, et son adjoint, l'inspecteur Bossi, dont l'intérêt pour la photographie et la modernité se double cette fois-ci d'un goût pour le travestissement, vont envisager tour à tour toutes les hypothèses pour trouver le coupable. Celui-ci ferait-il partie de l'état-major autrichien ? Est-il ce voyageur de commerce représentant en scalpels ? Appartiendrait-il à l'entourage du duc de Chambord, prétendant légitime au trône de France, alors de passage à Venise ?

Ce roman est extrêmement léger grâce aux personnages principaux, quasi-caricaturaux, et à l'ambiance de fête permanente amenée par le carnaval de Venise, ses masques et ses bals. Même les pensées intimes du tueur sont restituées avec forte distanciation, ce qui rend l'accumulation de crimes supportable. Un très bon divertissement, sans grande ambition, mais d'une réelle érudition.
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Les masques de Saint-Marc

Cette série policière, qui fait revivre les années 1860, est rendue délicieuse par le charme de Venise en cette fin d'occupation autrichienne et par la truculence des personnages. Le commissaire Tron se passionne plus pour la poésie et les desserts servi chez son amante de princesse que pour ses enquêtes qu'il mène malgré tout à terme. En bonne partie du fait de son adjoint Bossi, toujours au fait des avancées de la science en cette fin de dix neuvième siècle. Cet opus y ajoute quelques beaux portraits, comme celui du comte Königsegg, joueur invétéré, grand buveur et qui se découvre une passion pour les chiens de combat.

L'intrigue est finalement secondaire. Elle tourne autour d'une pseudo tentative d’assassinat de l'Empereur François-Joseph Ier pendant une visite qu'il a mené à Venise avec son épouse, la célèbre Sissi. Qui mène la danse dans ce complot, où on découvre tour à tour de vrais – faux patriotes italiens, une hiérarchie militaire autrichienne dépassée et un Empereur qui se pâme pour un rien ?

Le tueur choisi parviendra t-il à avoir François-Joseph dans son viseur... ? Finalement cela n'a pas grande importance...
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Gondoles de verre

Venise, 1864, un marchand d'art est assassiné à son domicile. A l'examen le vol ne semble pas le motif du meurtre, puisque aucun tableau n'est manquant. Mais le commissaire Alvise Tron va s'apercevoir qu'en fait un tableau de Titien, confié le jour du meurtre au marchand par une dame de la haute société de passage à Venise, a disparu.

Cette femme si sûre d'elle, manifestement si habituée à donner des ordres, est-elle d'ailleurs vraiment une simple touriste ? Son visage n'est pas inconnu à Tron. Et la toile volée est-elle bien le chef d'oeuvre de Titien ? Des copies du tableau auraient été effectuées quelques mois auparavant à Venise semble t-il. Qui a intérêt à voler cette œuvre, le consul général de Russie qui achemine des trésors à la cour de Saint-Pétersbourg, le copiste, ou un officier russe accompagnant la propriétaire du tableau et dont le comportement est étrange ?

Préoccupé par ses amours avec la princesse de Montalcino, le lancement de la nouvelle gamme de produits de la verrerie Tron et l'édition des œuvres poétiques de son supérieur hiérarchique, le commissaire Tron va devoir démêler les liens compliqués entre les protagonistes.



Ce roman démarre vite et fort, de fort plaisante façon, avec un commissaire et son adjoint qui progressent dans leur enquête de façon un peu burlesque, dans un décor somptueux, Venise dans les dernières années d'occupation autrichienne. Dans ce déjà haut lieu du tourisme, les vénitiens regardent les riches voyageurs déambuler, s'adonner à la boisson ou attendre la prochaine fête. Les personnages qui entourent Alvise Tron sont des plus savoureux : belle et riche fiancée, mère qui espère un succès commercial pour rénover un palais qui tombe par morceaux, adjoint fan des techniques nouvelles à commencer par la photographie, chef de la police autrichien complètement obnubilé par sa romance du moment...

Puis l'auteur, à force de fausses pistes, de déclarations contradictoires, de tableaux authentiques ou copies qui apparaissent puis disparaissent, se perd dans son jeu de bonneteau. L’excès de contre-pieds dessert l'intrigue et on finit par être pressé que le roman s’achève. C'est un peu dommage...

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L'impératrice lève le masque

Ce livre policier paru dans la collection 10/18 grands détectives raconte l'histoire d'une enquête mené par le commissaire Tron. Celui-ci fait parti de la bourgeoisie des argente si courante en cette période de l'histoire dans la célèbre dit du doge.

Ton est appelé pour un meurtre à bord d'un bateau mais à peine débute t'il les constatations d'usage que l'affaire lui est retiré par l'armée mais ce n'est sans connaître la ténacité du héros qui continue malgré tout l'enquête. Deux femmes le pousse à découvrir le fin mot de l'histoire. une comtesse dont il est amoureux et par respect pour l'impératrice Sissi qui désire que la vérité soit révélé pour qu'elle puisse reprendre ses activités normalement.

Il s'agit d'une belle histoire ou le lecteur se retrouve dans le monde merveilleux du carnaval de Venise pour suivre une enquête très politisé. Ce n'est pas le meilleur livre du genre mais il permet de s'évader pendant un moment.

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L'impératrice lève le masque

Une autre facette de Venise, la Venise autrichienne, une autre Sissi aussi...parfait pour l'été! A mi chemin entre polar, roman historique, affaire d'état, un peu biographique autour de l'impératrice également, de quoi donner envie de continuer les avec les autres livres de la série.. ou de reprendre un billet pour retourner sur place!
Lien : http://lecture-spectacle.blo..
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Les fiancés de Venise

Il s’agit du 2eme opus des aventures du Comissaire Tron, avec en toile de fond la politique, et, la raison d’état.



En effet, au cours de son enquête, Tron est amené à cotoyer, le Vice Roi de Lombardie et de Venise lui-même, c'est-à-dire, l’archiduc Maximillien, en partance vers le Mexique afin d’y être sacré empereur.



Crimes, complots, magouilles … … Tout est bon afin d’abattre Maximillien, et, le faire passer un incapable.



Comme pour le 1er volume, c’est facile et agréable à lire.

On retrouve avec plaisir les différents personnages, et, en particulier le Commissaire Tron, qui, dans ce volume, ne rêve que d’une seule chose, « étrangler » son supérieur hiérarchique.



En effet, ce dernier, autrichien nommé par le gouvernement de François Joseph, afin de surveiller la police vénitienne, est l’archétype du fonctionnaire incompétent, imbu de sa personne, etc.



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Les fiancés de Venise

Il s'agit ici de la deuxième enquête du commissaire Tron après L'impératrice lève le masque. Des allusions au premier volume figurent dans le corps du texte pour susciter la curiosité du lecteur mais ne gênent en rien la compréhension de cette nouvelle enquête.



Le début du roman plante un décor sombre et lourd de secrets mais bien que le fil de la lecture dévoile parcimonieusement les éléments, c'est un sentiment de frustration qui l'emporte. En effet, au même titre que le commissaire, nous sommes manipulés. Des forces politiques se jouent de nous, à tel point que le commissaire trouve que "l'enquête rappelait de plus en plus un kaléidoscope dont l'image se modifiait à chaque rotation". Ainsi l'auteur parvient à ses fins, semer le doute. A la longue mon indulgence pour le commissaire s'est émoussée, je commençais à perdre patience pour ce pantin incapable de maintenir fixe une piste ! Mais vous pourriez objecter que c'est là que réside le talent de l'auteur de susciter des rebondissements, sans doute mais ma lecture s'en est trouvée paradoxalement essouflée !
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Requiem sous le Rialto

Ce nouvel opus des aventures du commissaire Tron est distrayant.

On retrouve avec plaisir les différents personnages que nous connaissons bien.

Alvise doit cette fois faire face à un double meurtre de femmes et démêlé avec son fidèle adjoint le vrai du faux alors que la politique se mêle une nouvelle fois de son enquête. Mais plus grave un homme impliqué dans l'énigme se révèle être un compétiteur pour le coeur de La Princesse!

Le livre est distrayant et l'on passe une bonne soirée à chercher le coupable. les apparences ne sont pas toujours celles que l'on croit!



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L'impératrice lève le masque

Ce roman est le premier des aventures de Alvise Tron.

Issu de la grande aristocratie italienne, désargenté, il est devenu commissaire pour gagner sa vie. On suit les aventures de cet homme flegmatique qui aborde les enquêtes de manière tout à fait originale. Face à une ville divisée et aux mains des autrichiens il tentera de savoir qui a tué un des conseillers de l'impératrice Sissi et qui sait peut être pourra-t-il se rapprocher d'une certaine princesse.

Ce livre est agréable à lire, les personnages sympathiques. les pages se tournent facilement. une agréable soirée en perspective.



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Les fiancés de Venise

Un bon moment en compagnie de Tron, (pour ceux qui apprécient ce sympathique commissaire aristocratico-poète-naïf).
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Gondoles de verre

Un opus bien maitrisé et plaisant... Décidément on prends bien du plaisir à suivre Tron à Venise.
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Les fiancés de Venise

Cette série se passe pendant la très courte période de l'appartenance de Venise à l'empire d'Autriche. La partie historique est intéressante, les héros (surtout l'héroine) un peu trop modernes à mon goût, mais l'ensemble est bien écrit et on passe un bon moment dépaysant.

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