Citations de Olivier Grenson (26)
" Le fascisme est partout dans le monde et partout les loups se bouffent entre eux. Mais le plus dangereux, c'est le loup qui se déguise en mouton, celui qui fait bonne figure pour que personne ne le remarque."
Dire ses sentiments. Etre à l'écoute de ceux des autres. Voilà bien ce que personne n'a jamais fait autour de moi.
Le paradoxe de l'amour réside en ce que deux êtres deviennent un et cependant reste deux.
Accepter, c’était le premier pas.
Accepter pour pouvoir assumer et un jour atteindre la délivrance… la liberté.
J'ai eu très mal.
Et la douleur a nourri la rage qui était en moi.
Le sang s'écoulait de mon ventre et la haine m'emplissait la tête.
Je me suis toujours posé mille et une questions sur le destin…. Pouvons-nous l’orienter, le modifier…. ou quoi qu’on fasse, quoi qu’on dise, est-il le seul
Maître sur lequel nous n’avons aucune prise?
Le fascisme est partout dans le monde et partout les loups se bouffent entre eux. Mais le plus dangereux, c'est le loup qui se déguise en mouton, celui qui fait bonne figure pour que personne ne le remarque.
(page 151)
Avec Pauline, nous avons toujours voulu avoir un enfant et voilà que ma soeur en a deux et elle ne veut pas les reconnaître.
[p151]
La douceur c'est la plénitude de la force.
Si je pouvais classer toutes mes pensées dans une grande armoire, certains tiroirs seraient fermés à clé définitivement.
Si je pouvais mettre de l'ordre dans mes souvenirs, ce serait dans l'espoir d'en supprimer, qu'ils disparaissent engloutis sans résistance.
On devient heureux à jamais lorsqu'on mange des étoiles...
DES SECRETS, MON GRAND- PÈRE, iL DEVAIT EN AVOIR DES TONNES.. IL A REUSSi A LES CACHER TOUTE SA VIE, À RENONCER À SON PASSÉ POUR RENAITRE... EN ENFER
Bonsoir, Madame. Pourriez-vous m'annoncer auprès de Messieurs Calbour & Willcott ? Mon nom est Cross, Carland Cross.
Tu imagines, si chaque être humain avait la force d’un arbre et respecte la différence, il n’y aurait plus de guerres, le monde serait une belle et grande forêt, il serait le meilleur des mondes.
Des secrets, mon grand-père, il devait en avoir des tonnes ...
Il a réussi à les cacher toute sa vie, à renoncer à son passé pour renaître ... en enfer.
(page 79)
Partir c'était nager à contre-courant.
(page 55)
"Chaque personne qui passe dans notre vie est unique.
Elle laisse toujours un peu d'elle-même, et s'en va avec un peu de nous.
Certains peuvent prendre plus que d'autres, mais aucun ne peut rien laisser.
C'est la preuve évidente que deux âmes ne se rencontrent pas par hasard".
Jorge Luis Borges ("Les temps sont durs pour les rêveurs.")
PAS UN MOT, PAS UNE POIGNÉE DE MAIN. MÊME PAS UN GESTE. COMME Si JE N'AVAiS JAMAIS EXISTÉ IL DISPARAISSAIT, POURSUIVANT SA ROUTE DANS LA DOUCEUR DE LENFER. JE RESTAI DE LONGUES MINUTES À REGARDER LA PORTE QUI S'ÉTAIT REFERMÉE SUR L 'ETERNITÉ, LES LARMES DANS LES YEUX.
Le sang s'écoulait de mon ventre et la haine m'emplissait la tête.
Ma mère, c'est du genre qui a toujours un cuivre à faire briller...
Et quand ce n'est pas un cuivre, c'est l'argenterie ou des bocaux à stériliser, des confitures, des marmelades et puis le linge, les carrelages à cirer et toutes ces choses, mais jamais autre chose comme une chaise pour s'asseoir ou un livre, ou rien...
Moi, j'ai jamais pensé que c'était un rêve de femme ça!