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Critiques de Orly Castel-Bloom (19)
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Le roman égyptien

Avec Le roman égyptien, Orly Castel Bloom explore son passé familial et permet au lecteur d'avoir une vision beaucoup moins monolithique de la société israélienne. La romancière dépeint la vie heureuse de sa famille originaire d'Egypte:

« la famille vivait depuis des siècles en Egypte, depuis trop de siècles, peut-être des milliers d'années, car d'après ce que Flore avait raconté à Viviane, il semblerait qu'ils appartenaient à ce fameux clan, à cette unique famille dont il n'est pas question dans l'histoire d'Israël, ces gens qui désobéirent à Moïse, refusèrent de quitter l'Egypte durant la grande sortie, et y restèrent comme esclaves. Il fallut des siècles pour qu'ils soient affranchis et deviennent des chasseurs sauvages, et quand les juifs arrivèrent en Egypte après l'expulsion d'Espagne, ces gens s'empressèrent de se rapprocher d'eux, car d'une certaine manière obscure et mystique, ils sentirent l'antique proximité. ».



On retrouve dans les lignes consacrées à cette période de la vie des Castil la même joie de vivre dans ce pays que celle narrée par Georges Moustaki, natif d'Alexandrie, dans son livre Fils du brouillard.

Après la création d'Israël en 1948, les difficultés se multiplient pour les Juifs égyptiens, entre pogroms, emprisonnements et confiscations. Les descendants Castil prennent le chemin de l'exil, et décident de vivre en Israël, dans un kibboutz. Les Castil sont des militants d'extrême gauche, qui manifestaient déjà dans les rues du Caire tarbouche sur la tête contre le roi Farouk. Malheureusement pour eux, les « Egyptiens » doivent cohabiter avec une majorité d'Ashkénazes et le Printemps de Prague signe leur expulsion du kibboutz. Trop à gauche, trop staliniens, les Egyptiens francophones prennent le chemin de Tel Aviv, et repartent de zéro. Orly Castel Bloom va narrer ce nouvel exil, et ce décalage entre eux et le reste de la société israélienne sur quelques décennies. Trois expulsions au cours des siècles marquent les descendants dans leur mémoire et dans leur chair (troubles alimentaires chez les femmes de la famille depuis 1492). La transmission des histoire familiales, le poids des souvenirs et de l'exil, ainsi que la singularité de ces juifs méditerranéens arabophones et francophones qui peinent à trouver leur place sont les fragments les plus intéressants de ce kaléidoscope.
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Textile

Dans la famille Gruber, je demande la mère, Mandy, propriétaire d'une usine de pyjamas 100% coton destinés à une clientèle orthodoxe. Je demande le père, Irad, heureux inventeur de l'escalier en spirale, , en bonne voie pour créer une étoffe « anti-attentats »pour l'armée , la T.T., la Tenue de Terreur, et perpétuel candidat au Nobel. Je demande Lirit, la fille, qui vit modestement dans une petite ferme bio avec un compagnon qui a le double de son âge et qui est complètement allumé. Et enfin je demande le fils Da'el, qui fait son service militaire en rêvant d'ouvrir une école pour paparazzis aux Etats-Unis.

Textile est un roman- métier à tisser sur lequel la romancière Orly Castel-Bloom fixe les fils de sa trame, des destins d'hommes et de femmes de chaque côté de l'Atlantique.

Par sa structure et la grande place laissée à l'introspection, Textile est le genre de roman qui me laisse froide, surtout quand je lis que la critique qualifie son auteure « d'écrivaine post-moderne » (Ahh, les préjugés…). Et pourtant, à mon grand étonnement je me suis laissée porter par cette belle écriture à l'effet quasi-hypnotique, qui dresse un portrait peu reluisant de la bourgeoisie israélienne, d'une famille où tous se croisent, se ratent, cohabitent sans échanger, et ce jusqu'au drame. Textile, c'est la dissection de l'ultra moderne solitude.
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Parcelles humaines

En 57, une série de calamités s'abat sur Israël. Un vent exceptionnellement froid balaie le pays amenant des pluies diluviennes, des tempêtes de grêle et de neige. Une épidémie virale, potentiellement mortelle, fait des ravages et les attentats terroristes ne cessent de se multiplier, devenant quotidiens.

C'est dans ce climat rappelant les anciens fléaux bibliques qu'évoluent les personnages de ce roman. Ils n'ont rien de particulier si ce n'est que de représenter dans leur diversité sociale et ethnique, un parfait échantillon de la population de Tel-Aviv. Leurs histoires sont banales, ils (sur)vivent enfermés dans leurs préoccupations quotidiennes, oubliant le danger qui pourrait les transformer en un instant en une multitude de parcelles, dispersées sur le trottoir, que le ZACA devra ramasser soigneusement afin d'être enterrés avec intégrité.

Avec ironie, Orly Castel-Bloom suggère ainsi dans cette histoire écrite pendant la seconde intifada, que les Israéliens sont tellement épuisés par les attentats qu'ils commencent à accepter la mort par le terrorisme comme une partie du cycle naturel de la vie, aussi incontrôlable que le sont les conditions météorologiques. Malgré la gravité de la situation et la détresse des personnages, l'atmosphère du roman n'est pas plombée. La cocasserie de certaines situations réussit à faire sourire, même si on est un peu tendu, comme quand on rit par nervosité à un enterrement.

Il est à noter que l'auteure situe son histoire en 57 sans préciser qu'il ne s'agit pas de l'année 1957 mais de l'année 5757 du calendrier hébraïque, ce qui correspond à la fin de 1996 du calendrier grégorien . Netanyahou vient d'être élu premier ministre, le processus de paix avec les Palestiniens s'est « effondré comme un toit qui a cédé sous le poids de la neige »...

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Le roman égyptien



Le Roman Egyptien raconte la saga de la famille Castil, juifs égyptiens originaire d' Egypte depuis toujours, depuis la sortie d'Egypte aux temps bibliques, aux Castil chassés d'Espagne par les rois Catholiques, montés en Israël  au tout débuts des années 50 avec des idéaux socialistes, arrivés au kibboutz Ein Shemer avec un groupe de l'Hashomer Hatzair d'où ils ont été chassés. 







Viviane et Charlie, Adèle et Vita, et les autres égyptiens vont s'établir en ville, leurs enfants formeront un noyau solidaire qui traverse le temps jusque aux années 2010, déménagements, enfants, et maladies....



Ce n'est pas un récit chronologique linéaire, plutôt un puzzle qui traverse les siècles qui saute des manifestations au Caire contre le roi Farouk à l'Inquisition en Espagne à la fin du XVème siècle. Certains personnages sont nommés d'autres non, la Grande, la Petite, la fille unique et la lectrice doit s'accrocher pour se rappeler qui sont les parents, les enfants, dans cette  tribu  qui fait des aller-retours entre les divers appartements. Je me suis livrée avec grand plaisir à cette gymnastique un peu déroutante.



J'ai beaucoup aimé les descriptions  de la vie au kibboutz, repas pris en commun, réunions et débats idéologiques, travaux des champs et puis ensuite je me suis promenée dans les rues de Tel Aviv et de ses environs : un voyage dépaysant. Ce "roman égyptien" est plus israélien qu'Egypte
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Nouvelles d'Israël

Ce recueil de 5 nouvelles, ou plutôt de 4 nouvelles et 7 brèves, très brèves histoires m'a fait découvrir de belles plumes de la jeunesse israélienne.

Je n'ai pas vraiment compris les quelques brèves, quelles étaient leurs intérêts.

Les nouvelles par contre, m'ont séduites. Surtout celle de Mohammed Aldirawi, La dernière bougie, qui a encore plus de poids dans le contexte de conflit actuel (histoire croisée d'un israélien et d'un palestinien).



J'ai encore du mal avec le format nouvelle que je trouve trop court pour développer une histoire. Je suis souvent frustrée car j'aimerai en savoir plus. Cela ne m'a pas empêché d'aimer la lecture de ces quelques nouvelles d'Israël, que j'ai trouvé pour la plupart pleines de poésie.
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Textile

Au début tout va bien, enfin en apparence, et Dieu sait comme elles sont importantes dans cette famille.



Le père s’intéresse à lui, espérant le Prix Nobel après le Prix Israël, la mère s’intéresse à son usine de pyjamas 100% coton destinés à une clientèle ultra-orthodoxe, la fille vit avec son compagnon qui tente avec difficultés la culture bio dans le désert, le fils fait son service militaire en tant que tireur d’élite.



S’ensuit une mise en abîme (à la vitesse V prime) de cette famille : le père est en fait dépressif post-traumatique (celui d’avoir changé d’appartements, d’un quartier vivant vers un nouveau quartier nouveau riche), la mère s’intéresse en fait beaucoup plus à son corps et à l’éternelle jeunesse (cette fois-ci de nouvelles omoplates), la fille est tellement heureuse quand son compagnon lui annonce sa décision de la quitter qu’elle passe une après-midi à faire les magasins de mode (avec la carte bleue de sa maman), et le fils rêve d’ouvrir une école de paparazzis aux Etats-Unis.



Quand survient ‘le drame’, l’ironie de l’auteure aura encore plus le vent en poupe.



Un portrait mordant et empathique (si, si, c’est possible) de la bourgeoisie telavivienne.



Une pioche intéressante.

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Le roman égyptien

On peut lire sur la quatrième de couverture qu' "Orly Castel-Bloom est unanimement célébrée en Israël comme la romancière la plus audacieuse de sa génération". Personnellement j'ai trouvé son roman très déroutant : on commence par découvrir de nouveaux personnages mais ceux-ci sont délaissés quelques pages après ; l'auteure fait des aller-retours assez acrobatiques entre l'Espagne médiévale, l'Égypte et Israël.

L'idée d'un roman familial même lacunaire est plaisante mais le résultat m'a déçu.
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Dolly City

Difficile de résumer ce livre qui part un peu dans tous les sens. Dolly est médecin à Tel-Aviv. Elle nous raconte la mort de son petit poisson orange puis de sa chienne. Puis elle trouve un bébé dans un sac poubelle. Elle décide de l'élever et elle l'appelle Fils.

Après avoir lu quelques pages, on voit tout de suite qu'une certaine folie qui se dégage de Dolly. Elle vit dans son monde, comprend ce qu'elle veut comprendre et opère à tout va. Sur Fils aussi, elle opère. Parce qu'elle n'est pas sûre qu'il aille bien, qu'il pourrait aller mal et qu'il lui manque peut-être un rein...

Orly Castel-Bloom nous dresse le portrait de la mère possessive, Dolly fait tout pour que Fils soit mieux quitte à utiliser la pire des méthodes. Une narration assez abstraite et délirante qui m'a un peu perdue parfois : des opérations répugnantes ou inimaginables, des dialogues qui prennent des directions surprenantes...

Un premier contact assez étrange et inattendu avec cette auteur mais j'ai bien envie de continuer à découvrir son œuvre parce qu'avec Dolly city, j'ai vu un aperçu de la vie politique et sociale d'Israël, pays que je connais peu.

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Textile

Où comment extraire du quotidien les filaments surréalistes qui s'y accrochent encore ? Orly Castel- Bloom dissèque avec virtuosité la plongée en abîme d'une famille bourgeoise, les Gruber, vivant dans un quartier ultra chic des environs de Tel Aviv. Cela pourrait paraître loufoque, mais c'est aussi le portrait acide de nos vies modernes.

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Dolly City

complètement flippant, première fois que je suis sortie en trombe de chez moi, alors que j’y lisais le livre, pour aller sonner chez un ami trouver à ses côtés du réconfort



























































































































































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Parcelles humaines

Je n’ai pas réussi à rentrer dans ce livre mais j’en ai tout de même apprécié l’aspect « documentaire » sur la vie d’Israël dans un pays mortifié par le terrorisme.
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Textile

Un portrait à la fois ironique, émouvant et empathique d’une famille israêlienne où chacun des membres doit faire face à ses problèmes mais sans pouvoir compter sur la famille. Je commence bien 2001 avec ce livre formidable et bien sympathique, à déguster comme une friandise.
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Textile

Ce portrait de famille d'un humour à la fois mordant et plein d'empathie pour les personnages, est très agréable à lire et propose d'intéressants sujets de réflexion : les relations familiales et conjugales, la transmission parents-enfants, les choix de vie que l'on doit faire à un certain âge.

C'est une suite de portraits, puisque d'autres personnages apparaissant au fil du roman donnent lieu à quelques pages qui nous décrivent comment ils en sont arrivés là, mais ce n'est jamais lourd ou inutile, et on s'attache petit à petit à Ira, Mandy et leurs enfants.
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Textile

Etrange vie que celle d’Amanda, (Mandy) Gruber. Depuis que son fils est entré dans l’armée, tireur d’élite impitoyable doublé d’un lecteur forace, elle partage dorénavant son existence entre la gestion de son usine de pyjamas de coton à Tel Aviv, et les cliniques très huppées, victime consentante de la chirurgie esthétique, à l’affût éternellement des dernières opérations possibles et envisageables.

Son mari, un chercheur à présent reconnu, lui tape un peu sur les nerfs, tout comme sa fille mariée à une sorte de hippy écolo qui la maintient en dehors du petit microcosme familial.

La toute dernière lubie de Mandy : se faire implanter de nouvelles omoplates (son joli dos ayant souffert, croit-elle, des outrages du temps). Elle profite du voyage de son mari aux Etats Unis où il est allé recevoir des informations ultra confidentielles sur des araignées tisseuses d’une toile indestructible (idéal tissu anti- attentats), pour subir cette énième intervention. Mais tout ne se passera pas comme prévu…

Orly Castel-Bloom, manie l’humour noir avec brio, son style précis et sec vous détaille un personnage en deux trois mouvements.

Face à la guerre, omniprésente, chacun tente comme il peut de survivre, dans la gloire supposée, l’apparence, le luxe, ou même la lecture compulsive et horizontale (voir plus bas…)…

Mais tout cela n’est que leurre et la réalité les rattrape de plein fouet.

A découvrir absolument, si ce n’est déjà fait…
Lien : http://lily-et-ses-livres.bl..
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Le roman égyptien

Je pensais que ce roman me plairait : Il traite d'une famille juive qui quitte l'Egypte pour s'installer dans un kibboutz en Israël, en suivant un mouvement de jeunesse sioniste. Qu’il me plairait d’autant plus que cette écrivaine israélienne est reconnue et définie comme « la plus audacieuse de sa génération ».

Avec tous ces éléments qui me sont familiers et m’intéressent, je pensais plonger facilement dans cette histoire !

J’ai été déçue car l’écriture est abrupte et impersonnelle. Je n’ai pas du tout été emportée par ce livre.

Une mauvaise pioche pour moi…

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Parcelles humaines

C'est avec ce roman que j'ai découvert la littérature hébraïque. Orly Castel-Bloom compte parmis les auteurs qui ont su provoquer ces vingt dernières années un changement considérable dans la littérature hébraïque. Raymond Carver, Grace Paley et l'argentin Julio Cortazar sont les modèles littéraire d'Orly. J'ai lu ce livre dans le cadre de la rentrée littéraire Fnac 2004. Ce fut une bonne découverte, car je ne connaissais pas du tout la littérature hébraïque.

En 1957, l'hiver est est extrêmement froid en Israël. Description de la vie en Israël : la crise économique, la paupérisation croissante de la population. Cathy et Boaz vivent à Lod avec leur quatre enfants deux jumeaux garçon et deux jumeaux filles. Ils vivent dans la précarité, le racisme est présent entre la famille de Boaz et Cathy. Car la famille de Cathy est arrivée du kurdistan au cours de l'opération "Ezra et Nahamia" tout droit au camp de transit de Ramleh. Elle a été analphabète, elle a appris à lire et à écrire une fois mariée. Les Israéliens ont du mal à accepter l'arrivée des communautés russe et éthiopiennes. Portraits aussi de Liatt Doubnov, jeune célibataire qui sera sévit d'une grippe dite "saoudienne". Son frère Adir Bergson a des problème d'asthme, et sa fiancée Tasso est éthiopienne, elle est mannequin et elle a été prise pour être présentatrice . Iris Ventoura ex ami d'Adir graphiste au chômage à du mal à tenir les deux bouts divorcée.

Elle aide Adir lors du décès de sa sœur, du déménagement de son appartement, c'est un passage assez curieux surtout au niveau des mœurs juives. Et nous lecteur nous sommes un peu sonnés à la fin du livre par ces familles qui s'entraident, la fin est assez dur. Je garde un excellent souvenir de lecture.
Lien : http://livresdemalice.blogsp..
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Dolly City

Bon alors...je n'ai lu que les 30 premières pages de ce roman non identifié! Franchement je suis pas mal adepte des trucs étranges ou barjes, mais là j'étais complêtement dépassée!!! En 30 pages, l'héroïne tue un gars à la pioche, récupère un bébé à moitié mort sur lequel elle va pratiquer plein d'opérations (elle est chirurgien) parce qu'elle a la peur perpétuelle qu'il soit atteint d'une maladie, elle s'avale des pilules à longueur de journée, perd la mémoire, pète des câbles à répétition jusqu'à s'introduire dans un aéroport avec 2 flingues et tuer tout les pilotes sur son passage...j'ai arrêté tout net de lire au bout de la 4ème opération sur le bébé, quand elle commence à lui scier le tronc...Voilà voilà quoi! (et tout ça seulement dans les 30 premières pages) En tout cas ce bouquin ne laisse pas indifférent!
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Textile

Portrait au vitriol des 4 membres d’une famille atypique israélienne, mention spéciale pour celui de la mère. Drôle et tragique à la fois.



Ce roman fait partie de la sélection pour le prix du roman du Var.



Choix de Cathy

Département Adulte

19/11/2008


Lien : http://www.var.fr/dispatch.d..
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Dolly City

Voilà un court roman qui attendait depuis un certain temps sur les étagères... et que j'avais tout simplement oublié.



Mais comme inscrite au challenge "lecture féminine"... il est temps que j'aborde un peut le genre... et comme je n'ai pas eu le courage d'entamer Jane Austen...



me voilà donc avec un livre un peu difficile a comprendre pour le début... mais l'écriture est intéressante... reste juste à voir où l'auteur veut mener son lecteur...
Lien : http://mazel-livres.blogspot..
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