AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Ousmane Sembène (56)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Guelwaar

Guelwaar, Catholique et grand défenseur de l'auto-détermination de l'Afrique, a été éliminé parce que ses paroles dérangeaient. Le jour de ses obsèques, le corps a disparu et l'éloge funèbre se fait autour d'un cercueil vide...



Comme toujours, Sambene Ousmane nous fait voyager dans les contradictions africaine.
Commenter  J’apprécie          70
Le docker noir

Un Sénégalais arrive en France pour vivre de petits boulots et loger dans une chambre étroite et sordide. Heureusement l'écriture le maintient en vie, son roman lui semble-t'il est sur le point d'être publié. Hélas il se fait gruger et cela finira mal.

Ce roman africain est à la fois daté (écrit en 1970 il situe l'histoire en 1950) et d'actualité. Le racisme est présent plus que jamais, les ravages du colonialisme résonnent encore aujourd'hui.

La ville de Marseille, personnage à part entière du roman, s'anime sous nos yeux, ses habitants exubérants et de toutes couleurs aussi. L'auteur dépeint la misère des dockers du port, la naïveté de certains, la colère qui s'empare parfois de ces personnes déconsidérées et victimes d'injustice et la grande amertume du héros.

Cependant, j'ai trouvé ce récit un peu décousu, on passe rapidement d'un protagoniste à un autre.

La lettre finale d'un homme brisé mais qui conserve malgré tout son sens de l'honneur est fort émouvante.
Commenter  J’apprécie          350
Le docker noir

Le docker noir - Sembène Ousmane –



J’ai lu ce livre dans le cadre du challenge multi-défis 2018. Je ne connaissais pas cet auteur, qui m’a été conseillé par un collègue fin connaisseur de littérature africaine. Il semblerait que cet auteur et ce livre en particulier soit un classique de la littérature africaine.



L’histoire se passe dans les années cinquante, à Marseille. Un jeune africain travaille comme docker sur le port, dans des conditions très difficiles. Le racisme est omniprésent dans le travail, dans la société. Mais son rêve c’est de devenir écrivain...



Ce livre empli d’injustice, d’amertume et de violence mais où l’amour et la tendresse ne sont pas absent relate une histoire très dure. Mais l’écriture sobre et le sujet du roman font que l’on ne lâche plus ce livre avant de l’avoir fini même s’il laisse un goût de révolte.



A lire
Commenter  J’apprécie          160
Le docker noir

Ce livre de Sembene Ousmane m'a laissé un goût amer, d'indignation. Le docker noir, c'est Diaw Falla, un immigré africain qui mène une vie misérable à Marseille, dans les années 1948-1952 (l'auteur ne le précise pas). Ce qui est terrible, c'est la solitude de cet homme, et – dirait-on aujourd'hui – l'extrême précarité de sa vie. Heureusement, il existe deux lueurs d'espoir dans son morne quotidien : une femme l'aime (Catherine), et il projette son futur, si incertain, dans l'écriture d'un roman. Mais le destin d'un homme noir semble inéluctablement voué à l'échec et au plus grand malheur, quand les préjugés racistes s'en mêlent.

L'injustice dont il est victime n'en est que plus révoltante, et ce sentiment amer demeure longtemps après avoir rangé le bouquin sur une étagère.
Commenter  J’apprécie          581
Le docker noir

Ce roman publié au début des années 1970, m'a touché. Ousmane Sembène y relate l'histoire d'une trahison, d'une injustice, d'un espoir déchu aux conséquences dramatiques. Falla Diaw travaille sur le port de Marseille. La description des dures conditions de travail et de vie des dockers immigrés s'insère dans le récit et permet de mieux comprendre le caractère du jeune Sénégalais qui attend par ailleurs que le manuscrit de son roman, écrit à chaque minute de liberté glanée, soit publié par un éditeur parisien. Tout sonne juste dans la personnalité complexe de Falla Diaw, son intelligence, sa fureur, sa détermination, sa relation avec les femmes, ses doutes, éléments qui amènent le lecteur à suivre avec beaucoup d'intérêt son parcours, dont la narration s'ouvre sur l'accusation d'assassinat, avant de retracer les raisons qui ont portées le jeune homme à cette attente de jugement aux assises.
Commenter  J’apprécie          90
Le docker noir

Roman agréable à lire dont le mérite essentiel est de montrer que les immigrés africains dans las années 50/60 à Marseille, s'ils vivaient déjà entre eux, devaient se lever l'âme pour, dans de très dures conditions, pouvoir manger leur pain et louer leur chambre. Un peu pagnolesque sur les bords la description de la vie à Marseille vient télescoper d'autres éléments: le racisme, l'intégration, l'avortement, la justice. Alors, ça fait un peu trop tout à coup pour l'unité de l'écrit.
Commenter  J’apprécie          120
Le docker noir

Le Sénégalais , Ousmane Sembene est une figure emblématique de l' Afrique .C ' est un autodidacte .Il est écrivain , réalisateur de cinéma , acteur et scénariste .En 1946 , il embarque clandestinement pour la France et débarque à Marseille .

Il est docker durant une dizaine d' années au port de cette ville . Son premier roman ,"Le docker noir"est pour une large part autobiographique et où il relate son expérience de docker .Le héros du livre ,Diaw Falla est le narrateur : il est docker le jour et écrivain la nuit . Il nous décrit sa pénible vie ,les difficultés auxquelles il fait face et les privations qu' il endure .Mais il est ambitieux et a un rêve : réussir dans la vie comme cinéaste et écrivain .

Grâce à sa ténacité , il arrivera à réaliser son rêve .

Un très bon et beau livre du charismatique , Ousmane Sembene .





Commenter  J’apprécie          554
Le docker noir

J'avais découvert cette maison d'édition avec Romance in Marseille de Claude McKay. Et là encore, splendide édition de ce roman-phare et fondateur. On en apprend autant sur la vie cachée de Sembène Ousmane à Marseille dans le roman que dans le beau travail de recherche proposé en annexe. En guise de récompense, des poèmes et nouvelles inédits, que l'auteur a composés à Marseille. Bref, à lire et à acquérir d'urgence!
Commenter  J’apprécie          00
Les bouts de bois de Dieu

Un grand roman qui montre les vrais valeurs des africains, leur capacité à faire face à leur revendications la solidarité des femmes, mères et des enfants à soutenir et supporter la faim et la soif pour des jours meilleurs.

J'ai une chaine YouTube ou vous pouvez retrouver le livre avec le lien si dessous ;

https://youtu.be/4YXC8ycpc9I
Lien : https://www.youtube.com/@lep..
Commenter  J’apprécie          10
Les bouts de bois de Dieu

Afrique occidentale française (AOF) – STOP – 1947 – STOP – Ligne ferroviaire Dakar Niger bloquée – STOP – Grève des africains de la régie – STOP.



Ce pourrait être le télégramme envoyé, à cette époque, à la métropole, pour prévenir du blocage, par les travailleurs autochtones, de la voie ferrée qui reliait Dakar à Bamako.



Dans les bouts de bois de Dieu, Ousmane Sembene nous relate cet événement survenu en AOF et révélateur des premières volontés d’indépendance africaines. Mais l’indépendance n’est pas la revendication. Les demandes sont sociales : revalorisation salariale, recrutement, allocations familiales et retraites.



Durant cette grève qui dura six mois, les colonisés affrontèrent la puissance coloniale qui n’hésita pas à user de l’intimidation et de la force, des coupures d’eau et des restrictions dans les délivrance des nourritures. Malgré cela, les africains tiendront bon.



Dans ce récit à la Zola, il y a du Germinal dans ce livre, outre son intérêt historique, c’est également la description de la société africaine et de son mode de vie. Sembene insiste sur le nouveau rôle de la femme dans la famille traditionnelle. Car, si cette grève a été gagnée, c’est parce que les femmes ont joué un rôle central dans cette victoire, s’invitant dans les affaires publiques, parlant devant un quorum d’hommes. Ce qui était impensable après-guerre. Elles quittent fourneaux et enfants pour prendre part aux actions.



Bien sûr, Sembene dépeint la morgue des toubabs (les blancs) pour ces

« nègres ». Le peu de considération des français pour des africains qu’ils assimilent à des bêtes. Mais Sembene n’est pas le héraut d’une critique virulente et vengeresse de la colonisation. Par la voix du vieux Fa Keïta qui s’adresse aux jeunes, Sembene affirme qu’il faut avoir la fierté de ne pas baisser la tête et de se battre pour l’obtention du respect, mais « il ne faut pas que la haine vous habite » [p. 367].



Ce premier roman d’un auteur africain a été, pour moi, une belle découverte. C’est un récit factuel, sincère et sans animosité. Ayant eu l’occasion de passer par l’Afrique, j’ai retrouvé dans les écrits de Sembene un peur des instantanés que j’ai eu le temps de prendre lors des mes arrêts sur ce continent.
Commenter  J’apprécie          132
Les bouts de bois de Dieu

une des grndes image de l'Afrique
Commenter  J’apprécie          20
Les bouts de bois de Dieu

Un grand roman qui montre les vrais valeurs des africains,leur capacité à faire face à leur révendications,et la solidarité des femmes, mères et des enfants à soutenir et supporter la faim et la soif pour des jours meilleurs.

Alors que les colons étaient des voleurs des indésirables chez eux qui n'ont jamais aimés l'afrique et les africains,seule le désir de faire fortune les ont poussé à afrique.

Quand ils parlent d'eux :

" Intègres? Vous me faites rire,vous etes jeune à la colonie ! On peut tous les acheter,les nègres,vous m'entendez,tous ! des sauvages.

Un roman qui parle le français de l'afrique et le wolof traduit en français,très valorisant.

Nous ne sommes pas des animaux la preuvre : " votre ignorance d'au moins d'au moins une de nos langues est un handicap pour vous ,nous emploierons le français,c'est une question de politesse".

Notre civilisation c'est ce que notre sous sol regorge,nos langues,norte nourriture notre façon de nous habillés
Commenter  J’apprécie          3141
Les bouts de bois de Dieu

En 1947, les cheminots africains engagèrent une lutte, de Dakar à Koulikoro, afin d'obtenir les mêmes droits que les cheminots français. Cette lutte dura 5 mois, et, progressivement, toute la population africaine s'y impliqua. La direction des chemins de fer et l'administration coloniale répondirent très durement à cette grève, engageant un bras-de-fer intraitable. Malgré les difficultés, la répression et la faim, les africains, mêmes illettrés pour beaucoup, même soumis à la religion et aux coutumes, trouvèrent en eux-mêmes la force de faire plier l'autorité coloniale. D'économique, puis politique, cette lutte fut aussi celle de la dignité retrouvée. C'est finalement la marche des femmes, de Thiès à Dakar, qui leur permettra de gagner la partie. Sembene Ousmane relate donc ici le récit d'une prise de conscience collective, une grande expérience, enrichissante et profondément humaine.
Commenter  J’apprécie          2140
Les bouts de bois de Dieu

j aime
Commenter  J’apprécie          20
Les bouts de bois de Dieu

Les "bouts de bois de Dieu".....ce sont ces hommes du Sénégal et du Soudan ( le Mali d'aujourd'hui) travaillant sur la ligne de chemin de fer Dakar-Niger. Une voie ferrée de 1500 km. "Une superstition veut que l'on compte les «bouts de bois» à la place des vivants pour ne pas abréger le cours de leur vie" .

En 1947, ces "Bouts de bois" déclenchèrent une grève afin d'obtenir les mêmes droits que les salariés originaires de France : retraite, allocations familiales, primes aux roulants, application des conventions signées en 1936... Cette grève dura près de cinq mois....cinq mois pendant lesquels la «Fumée de la Savane» ce circula qu'une fois par semaine, conduite par les Français

En s'appuyant sur ces faits de l'histoire de l'Afrique et de la France coloniale, Ousmane Sembene écrit un roman fort en émotions et révoltant par bien des aspects... Un roman qui sur de nombreux points rappelle d'autres romans sociaux de Zola. On y retrouve le personnage de Lantier, Etienne Lantier extrayait le charbon, Ibrahima Bayakodo quant à lui le brûle dans sa locomotive.

Nous suivons le mouvement dans trois lieux emblématiques de la ligne : Dakar, Bamako et Thiès, dépôt d'entretien et de réparation du matériel

Leur peine, la chaleur, la poussière, leur sueur sont les mêmes. Lantier luttait contre la société minière, Ibrahima Bayakodo lutte aux côtés des autres roulants contre la société de chemin de fer et surtout contre le système colonial qui faisait de ces roulants africains des sous-hommes n'ayant pas les mêmes droits que les roulants coloniaux...

Femmes et enfants se mobilisent à leurs côtés, se privent de tout, auront faim, il ne fallait pas baisser les bras. Enfants et épouses seront déterminants. La troupe tirera, tuera, mais le mouvement tint bon, pendant cinq mois dans la poussière et sous la chaleur africaine.

Cinq mois contre curés et imams qui leur demandaient de reprendre le travail !

Ce mouvement social était également un mouvement contre le système colonial.

On ne peut s'empêcher d'être indigné par l'attitude de la France coloniale, par le racisme de ses représentants et des cadres de la société de chemin de fer, par la violence de son armée coloniale, y compris des tirailleurs sénégalais qui seront chargés de mater ce mouvement social. Il y aura des morts, des femmes et des enfants.

On n'allait quand même pas donner à ces "Nègres" des droits identiques à ceux des coloniaux, ces "Nègres" ayant plusieurs épouses, qui avec l'argent gagné achèteraient d'autres épouses pour faire encore plus d'enfants, qui couteraient encore plus cher...

Ce deux poids, deux mesures est abject.

Ce regard sur cette France coloniale est dérangeant : la France des Droits de l'Homme est restée en métropole. Cinq longs mois de souffrances et de peines pour faire descendre la France de son piédestal, ou plutôt pour donner de la grandeur à ces hommes, femmes et enfants africains...

Un roman coloré aux personnages multiples sur l'Afrique, sur ses habitants, sur la force de sa population. Un roman sur ces traditions et coutumes...c'était il y a soixante-dix ans...

Au hasard d'une balade sur Recyclivre, j'ai fait cette belle rencontre, cette découverte écrite en 1960.


Lien : https://mesbelleslectures.co..
Commenter  J’apprécie          872
Les bouts de bois de Dieu

Le récit de ce livre s'inspire de faits réels, la grève des cheminots du Dakar-Niger. Le roman d'Ousmane Sembene se passe dans trois endroits, Bamako, Thies, et Dakar. Dans les trois endroits, il y a multiplicité de personnages, les cheminots, bien sûr, mais aussi leurs femmes et enfants, et toute la population locale, commerçants, mendiants et tous les autres, qui d'une façon ou d'une autre sont forcement partie prenante du conflit, et qui subissent ses conséquences. C'est toute la société coloniale, son fonctionnement, la vie des populations locales dans ce fonctionnement qu'Ousmane Sembene a l'ambition de rendre. Le lien, le révélateur, le déclencheur est Ibrahima Bakayoko, leader syndical inflexible, le moteur de la grève, et en même temps personnalité fascinante, en particulier pour les femmes ; il circule entre les différents lieux et donc les relie entre eux.



Ousmane Sembene fait un portrait hauts en couleur, dynamique, et flamboyant de ses personnages, ce qui les rend très attachants. Ils ont chacun leur moment, celui où tel ou tel se retrouve au centre du récit, il nous rend chaque personnalité, en nous les montrant en action dans leur quotidien, rarement facile. Le fait de passer d'un personnage à un autre, d'un lieu à un autre, fait qu'on ne s'ennuie pas un instant, l'intérêt est toujours relancé. Néanmoins, cela rend forcement les personnages un peu sommaires, ils ne peuvent en particulier pas évoluer, et on ne peut suivre qu'un petit bout de leur histoire ce qu'on regrette parfois, on aimerait savoir ce que devient tel ou tel. Le livre est plein d'optimisme, de foi dans l'avenir de l'Afrique, de son évolution, ce que l'histoire récente n'a malheureusement pas confirmée.
Commenter  J’apprécie          70
Les bouts de bois de Dieu

ce roman m'inspire
Commenter  J’apprécie          00
Les bouts de bois de Dieu

Ousmane Sembène , est une figure emblématique , une icone de l' Afrique .Il est à la fois un autodidacte ,un syndicaliste en carté à la CGT ,syndicat de gauche en France ,cinéaste de talent ,scénariste ,écrivain et souvent il adapte ses propres romans au cinéma tels :La Noire de...,Le Mandat ,Le Camp de Thioroye ...

C' est un anticolonialiste , un défenseur de la liberté et il est contre toutes les injustices .Il dénonce les injustices faites aux Noirs ,à l' époque coloniale Il lutte inlassablement contre le colonialisme , en évoquant les souffrances et les drames endurés par les Africains .

"Pendant des siècles ,l' Europe occidentale a exploité ,opprimé ,colonisé ,les autres peuples de la terre .Elle a méprisé ,arrêté dans leur développement ou nié en les déclarant barbares ou inhumaines ,les cultures des peuples ,dont elle mettait les ressources en "coupe réglée",disait Léonard Sainville .

C 'est dans ce contexte colonial que se situe ,le roman ,Les Bouts-de-bois-de-Dieu .L' oeuvre citée , est publiée en 1960 à Paris .L 'auteur ,inspiré par la gréve des cheminots et par le souffle des Indépendances africaines, pose le problème de la discrimination raciale , de l' inégalité entre Blancs et Noirs sur le plan professionnel .Dédié aux syndicalistes du monde ,particulièrement aux hommes et aux femmes qui ont pris part à cette lutte pour une vie meilleure , comme le souligne l' auteur dans l' exergue de son livre , ce roman évoque la grêve des cheminots de la ligne Dakar-Niger en 1947 .Nous suivons les activités des grévistes dans trois villes :Thies ,Bamako et Dakar .

Les grévistes sont soutenus par les femmes et tous sont solidaires pour le même combat . A la fin , ils finiront par avoir gain de cause .

" Les Bouts-de-bois-de-Dieu " , est un chef-d' oeuvre !

N;B : les bouts de bois de Dieu signifie ou évoque les cheminots en Afrique Sub-Saharienne .













Commenter  J’apprécie          752
Les bouts de bois de Dieu

Une oeuvre touchante et bouleversante qui met le doigt sur l'action révoltante du colonialisme.
Lien : http://actu-livre.over-blog...
Commenter  J’apprécie          10
Les bouts de bois de Dieu

Quelle finesse d'observation du racisme ordinaire tout en restant me semble-t-il très objectif, quel livre magnifique, impressionnant d'authenticité et empreint d'émotion sans jamais tomber ni dans le voyeurisme, ni dans le pathos. Je pense que chaque français, vivant en Afrique, devrait le lire. Ce qui m'attriste le plus c'est que la ligne est actuellement à l'arrêt, et que les efforts engagés pour la faire repartir restent infructueux. Il me semble que le sacrifice de ceux qui ont perdu la vie devrait être respecté, et là il n'est plus question ni de racisme ni de colonialisme, mais c'est une autre histoire.
Commenter  J’apprécie          00




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Ousmane Sembène (717)Voir plus

Quiz Voir plus

Où se déroule l'action de ces oeuvres littéraires?

Dans quel pays Don Quichotte veut-il rendre la justice ?

Mexique
Pays-Bas
Espagne
Italie

15 questions
2208 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature , villesCréer un quiz sur cet auteur

{* *}