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Critiques de Ousmane Sembène (56)
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Le docker noir

J'avais découvert cette maison d'édition avec Romance in Marseille de Claude McKay. Et là encore, splendide édition de ce roman-phare et fondateur. On en apprend autant sur la vie cachée de Sembène Ousmane à Marseille dans le roman que dans le beau travail de recherche proposé en annexe. En guise de récompense, des poèmes et nouvelles inédits, que l'auteur a composés à Marseille. Bref, à lire et à acquérir d'urgence!
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Ô pays, mon beau peuple !

C'est un très bon livre vraiment j'ai beaucoup apprécié surtout les termes que auteur utilisé du début jusqu'à la fin j'invite mes frères et sœurs de venir lire ce roman qui parle et renseigner notre génération les formats sont très bien fait merci beaucoup
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Les bouts de bois de Dieu

Très belle surprise que ces "Bouts de bois de Dieu" d'Ousmane Sembene.



Nous partons en Afrique, sous domination française. 1947. Les cheminots entrent en grève, avec des revendications sommes toutes ... classiques. Le roman est l'histoire de cette lutte.



Où les lieux et les personnages se succèdent. Je confesse d'ailleurs avoir parfois eu des difficultés à suivre "l'action", d'un bout à l'autre de cette ligne Dakar-Niger, symbole de la présence européenne en Afrique, du progrès implacable, inexorable, qui vient bousculer les traditions, celles que défendent aussi les cheminots dans cette grève.



Parce que c'est là finalement que réside pour moi le sel de l'ouvrage d'Ousmane Sembene, dans cette confrontation entre deux mondes, qui cohabitent mais s'ignorent largement, celui des Européens qui s'accrochent au mythe de la supériorité de la race blanche, celui d'une Afrique qui cherche à préserver ses traditions et ses coutumes ... ces deux mondes étant en bout de course, de par leur ignorance de l'autre, mais aussi de par leur inadaptation relative à un monde en plein bouleversement.



La littérature africaine est encore un champ relativement nouveau pour moi ... nul doute qu'il me faille aller plus loin dans ma découverte après cette lecture.
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Les bouts de bois de Dieu

Un grand roman qui montre les vrais valeurs des africains, leur capacité à faire face à leur revendications la solidarité des femmes, mères et des enfants à soutenir et supporter la faim et la soif pour des jours meilleurs.

J'ai une chaine YouTube ou vous pouvez retrouver le livre avec le lien si dessous ;

https://youtu.be/4YXC8ycpc9I
Lien : https://www.youtube.com/@lep..
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Ô pays, mon beau peuple !

Bien écrit et agréable à lire, ce roman contient les thèmes favoris de l'auteur: le choc des cultures africaine et européenne, la relation noir/ blanche, le travail en France, la guerre mondiale à laquelle ont participé les Africains. Il y a également des éléments relatifs aux paysages sénégalais, à la culture familiale et à la religion. Cependant, ce livre a un côté "daté" qu'il est difficile, à l'heure du "wokisme" et de "black lives matter" d'effacer.
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Les bouts de bois de Dieu

Quelle finesse d'observation du racisme ordinaire tout en restant me semble-t-il très objectif, quel livre magnifique, impressionnant d'authenticité et empreint d'émotion sans jamais tomber ni dans le voyeurisme, ni dans le pathos. Je pense que chaque français, vivant en Afrique, devrait le lire. Ce qui m'attriste le plus c'est que la ligne est actuellement à l'arrêt, et que les efforts engagés pour la faire repartir restent infructueux. Il me semble que le sacrifice de ceux qui ont perdu la vie devrait être respecté, et là il n'est plus question ni de racisme ni de colonialisme, mais c'est une autre histoire.
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Xala

Au Sénégal, après le colonialisme. Nouveau bourgeois, El Hadji prend une troisième épouse mais n’arrive pas à « consommer » le mariage. Il est atteint du Xala. Lui aurait-on jeter un sort ?

Ce livre qui se lit vite peut prêter à sourire quelque fois. Un homme qui a « l’estomac plus grand que son ventre », polygame et qui, pour excuser son « manque d’entrain » accuse le sort. Mais ne plus pouvoir, pour un homme comme lui, c’est la déchéance et ça fait boule de neige. Avec un style très fluide et imagé, l’auteur dénonce les mœurs et coutumes d’un autre temps de son pays, la corruption, la lutte d’un pouvoir au détriment des plus fragiles et la condition de la femme.

Je n’ai pas l’habitude de lire ce genre d’histoire et ça m’a sortie un peu de ma zone de confort. La fin qui n’en ai pas une, selon moi, m’a déçue.
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Ô pays, mon beau peuple !

"O pays mon beau peuple" est un très bon livre engagé et engageant qui résonne sûrement encore plus aujourd'hui qu'au moment de sa publication à la fin des années 50.

Pourtant mon optique était beaucoup moins réjouissante aux premières pages, l'histoire prenait un temps à démarrer et il était facile de se perdre entre tous les personnages secondaires qui n'avaient malheureusement pas tous une place de qualité dans le roman. Mais le héros a su jaillir et exposé toute sa force et sa carrure rapidement et ce jusqu'aux dernières phrases au travers de magnifiques paysages sénégalais face à la dureté de la vie en colonie.



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Le docker noir

Roman agréable à lire dont le mérite essentiel est de montrer que les immigrés africains dans las années 50/60 à Marseille, s'ils vivaient déjà entre eux, devaient se lever l'âme pour, dans de très dures conditions, pouvoir manger leur pain et louer leur chambre. Un peu pagnolesque sur les bords la description de la vie à Marseille vient télescoper d'autres éléments: le racisme, l'intégration, l'avortement, la justice. Alors, ça fait un peu trop tout à coup pour l'unité de l'écrit.
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Ô pays, mon beau peuple !

Quelque part au début des années 50, alors que le Sénégal est encore une colonie française, Oumar Faye revient au pays, dans sa Casamance natale. Âgé d'à peine 30 ans, il a passé plusieurs années en France, dont quatre à faire la guerre contre l'Allemagne, et le reste à fréquenter des cercles progressistes (lire : « bolcheviques », comme disaient certains à l'époque). Il y a rencontré Isabelle, jeune Française, qu'il a épousée.

Or donc, Oumar revient maintenant au pays pour s'y installer définitivement avec Isabelle. L'arrivée de ce couple mixte provoque rumeurs et réactions en tous genres, pas vraiment positives, et suscite surtout l'incompréhension générale. Un Noir qui épouse une Blanche, voilà qui est trop inédit pour l'entourage d'Oumar, baigné de traditions immuables et de religion.

Comme si cette défiance n'était pas suffisante, Oumar décide de bâtir sa propre maison à l'écart de celle de ses parents, et de se lancer dans l'agriculture. Son dynamisme heurte l'immobilisme ambiant, incompatible avec toute idée de développement et d'émancipation. Les aspirations au changement d'Oumar sont également mal vues par l'administration coloniale, à qui le statu quo convient parfaitement.

Cruel, ce roman raconte le combat d'un homme progressiste mais trop seul et trop en avance sur son temps, et dresse le portrait d'un pays qui commence très lentement à se sentir tiraillé entre fatalisme et besoin de changement, entre soumission aux colons et frémissement indépendantiste. Il est aussi question de racisme, de machisme, de religion, de conflits entre générations.

Publié en 1957 (soit trois ans avant l'indépendance du Sénégal), ce roman n'est donc pas une relecture a posteriori du processus de décolonisation. Malgré une narration qui m'a semblé parfois confuse, et des personnages peu incarnés, et même s'il parle d'une époque révolue, il reste intéressant sur les plans historique et sociologique.



En partenariat avec les Editions Les Presses de la Cité via Netgalley.

#Ôpaysmonbeaupeuple #NetGalleyFrance
Lien : https://voyagesaufildespages..
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Ô pays, mon beau peuple !

j'ai obtenu ce livre grace a la masse critique babelio, mais je ne peux pas faire une critique car ce livre ne m'a malheureusement pas plu et j'ai abandonné la lecture apres environ 50 pages :/



peut etre n'etait ce pas le bon moment pour moi car j'avais vu de tres bons avis, je retenterai peut etre plus tard (et corrigerai içi si il y a du changement et que j'arrive a le lire en entier)
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Ô pays, mon beau peuple !

Voici le récit émouvant d'Oumar Faye qui retourne dans sa casamance natale au bras de sa femme blanche après avoir combattu au front aux côtés des colons.



Le roman fut écrit avant les indépendante ce qui en fait un émouvant témoignage de l'état d'esprit de ses jeunes africains qui aspiraient à vivre dignement tout simplement. Et qui après avoir vécu l'horreur de la guerre ne pouvaient plus se résigner à l'humiliation du racisme des colons sur leurs propres terres.



Il faut s'accrocher pour rentrer dans l'histoire car il y a pléthore de personnages. Mais ça vaut le coup car l'auteur nous immerge dans les paysages luxuriants du Sénégal et la dureté de la vie dans une colonie pour les indigènes. Le roman est foisonnant de descriptions sur la faune, la flore et les dynamiques sociales et économiques.



Ce roman se lit comme un voyage en pirogue sur les terres africaines à la veille de la révolte qui sonnera le glas à l'écoeurante domination subie dans les colonies.
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Ô pays, mon beau peuple !

Je découvre avec ce livre, que les éditions Presse de la Cité ont eu la bonne idée de rééditer, Ousmane Sembène, qui fut acteur majeur de la scène culturelle sénégalaise de l’époque de la décolonisation et des indépendances. Ce livre n’est pas son plus célèbre, mais c’est le deuxième qu’il écrit et le premier qui se passe au Sénégal. Il est publié en 1957, 3 ans avant l’indépendance du Sénégal et alors qu’Ousmane Sembène est encore docker sur le port de Marseille. Il y a donc beaucoup d’Ousmane Sembène dans le héros de ce livre, Oumar Faye, qui revient dans son village de Casamance après 8 ans passés en France, dont 4 à faire la guerre, 8 années pendant lesquelles il a eu l’occasion de se frotter à des idées nouvelles, 8 années pendant lesquelles il a eu accès à l’éducation, dispensée notamment par les syndicats (et Ousmane Sembène a lui aussi profité des bibliothèques et des cours gratuits du Parti Communiste et de la CGT).

Oumar Faye arrive donc en Casamance, fort de ses idées nouvelles et prêt à vivre dans son village, mélangeant respect de la tradition et idées nouvelles. Petit détail, il débarque avec sa femme blanche, Isabelle. Le livre, somme toute assez court, suit les premiers mois de l’installation d’Oumar Faye et de sa femme : les réticences de sa famille (un père iman et une mère un peu sorcière, c’est compliqué quand on amène des idées neuves et une femme blanche…), la défiance des villageois face à un dynamisme entrepreneurial auquel ils ne sont pas habitués. Mais Ousmane Sembène croit en son peuple (le titre du livre est assez explicite sur ce point !) et Oumar Faye arrive à emmener dans son sillage les jeunes de sa génération, et même peu à peu les générations plus âgées. Mais c’est sans compter sur l’administration coloniale qui voit d’un mauvais œil se lever la figure de cet homme charismatique et prêt à tout changer.



Il me semble que le livre a quelques faiblesses, avec notamment une galerie de personnages secondaires très secondaires et peu caractérisés, ce qui rend parfois difficile le fait de les suivre au fil de l’histoire. Mais l’intérêt du livre n’étant pas là, c’est une faiblesse que l’on pardonne aisément, d’autant qu’il s’agit d’une œuvre de jeunesse, il faut bien que plume se fasse.

Mais par-delà ces faiblesses, c’est une lecture très intéressante, qui met en scène l’évolution de la société et les rapports entre les générations, les espoirs de certains et le fatalisme des autres, les tiraillements qu’il peut y avoir au sein des individus comme des collectivités dans un moment qui précède des grands bouleversements. Ce livre ayant été écrit avant l’indépendance, ce n’est pas une relecture de ce moment en sachant ce qui allait se passer après et comment tout cela finirait, non, Ousmane Sembène est dans le même état d’expectative que son personnage, il aspire au changement, il rejette activement la colonisation, mais il ne sait pas où cela va mener, ni si sa cause vaincra, ni quelle forme cette victoire pourrait prendre. Et l’on sent bien cela dans l’écriture de ce roman, tous les possibles sont encore là, et si l’on espère, on ne peut pas savoir. Cela explique probablement la fin qu’Ousmane Sembène a choisi pour son roman, probablement le seul destin possible pour un homme qui était probablement en avance d’une décennie, mais qui représente ceux qui ont tracé le début du chemin qu’Ousmane Sembène et d’autres ont suivi après eux pour sortir de la colonisation et enfin écrire leur propre histoire sur leur propre sol.
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Vehi-Ciosane, ou, Blanche-Genèse: Suivi du Ma..

Partie 1 : Dans une petite communauté où les rumeurs soufflent dans les oreilles comme un vent du matin, une rumeur d’inceste se propage : une noble famille est au centre de l’attention. Cette 1ère partie, bien que révoltante est très intéressante ! Car elle aborde les diverses opinions de la communauté sur un sujet tabou « L’inceste ». Cette partie évoque une fois de plus la place ambivalente de la femme dans la société Africaine traditionnelle, la dualité entre la croyance religieuse et le respect des coutumes ancestrales. À cela l’auteur dénonce la hiérarchie des castes au sein de la société qui divise plus que ne rassemble. À la lecture de cette partie, on se rend compte que certaines pensées n’ont pas évolué depuis l’époque de l’écriture de ce scénario.



Partie 2 : Ibrahima Dieng reçoit de son neveu un mandat inespéré de Paris. Quand celui-ci décidera d’en toucher le montant, il vivra une parfaite désillusion. Ce heurtant à la fois à la convoitise et aux bassesses de ses voisins, amis et familles. Mais, il sera aussi confronté à la bureaucratie et l’administration qui n'est pas toujours tolérante envers ceux que ne savent ni lire, ni écrire. Malgré tous ses efforts, sa générosité aura raison de lui. Face à son impuissance, il finira par se laisser convaincre que « L’honnêteté est un délit de nos jours".



Ce livre est une vraie leçon de vie. Une société en évolution. Qu’en est-il de ses mœurs, et de ses valeurs ? La bienveillance, et l’honnêteté y ont encore leur place ?
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Le docker noir

Un Sénégalais arrive en France pour vivre de petits boulots et loger dans une chambre étroite et sordide. Heureusement l'écriture le maintient en vie, son roman lui semble-t'il est sur le point d'être publié. Hélas il se fait gruger et cela finira mal.

Ce roman africain est à la fois daté (écrit en 1970 il situe l'histoire en 1950) et d'actualité. Le racisme est présent plus que jamais, les ravages du colonialisme résonnent encore aujourd'hui.

La ville de Marseille, personnage à part entière du roman, s'anime sous nos yeux, ses habitants exubérants et de toutes couleurs aussi. L'auteur dépeint la misère des dockers du port, la naïveté de certains, la colère qui s'empare parfois de ces personnes déconsidérées et victimes d'injustice et la grande amertume du héros.

Cependant, j'ai trouvé ce récit un peu décousu, on passe rapidement d'un protagoniste à un autre.

La lettre finale d'un homme brisé mais qui conserve malgré tout son sens de l'honneur est fort émouvante.
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Xala

Cet écrit ressemble plus à un scénario et des dialogues de cinéma qu'à un véritable roman. Les préoccupations semblent essentiellement scéniques. Quant au fond, il s'agit d'un homme plutôt en haut de l'échelle sociale qui a trois épouses suivant sa religion et que son impuissance entraîne vers la chute. Très sincèrement, je n'ai guère trouvé d'intérêt ni à la forme choisie pour le récit ni sur le fond (très matérialiste) de l'écrit. (simple opinion)
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Niiwam

"Niiwam" est un livre qui comporte deux nouvelles et dans les deux cas l'action se situe au Sénégal. Comme avec le "Mandat" ou le "Xala", Sembène Ousmane nous dresse un portrait réaliste et contemporain de la société sénégalaise.



Ainsi, dans le premier texte éponyme, il relate la destinée d'un père (ancien villageois) qui souhaite inhumer dignement son fils au cimetière, dans une ville qu'il connaît si peu. Grâce à l'aide salvatrice d'un chiffonnier, il emprunte un bus avec la dépouille, qui ne doit être sue des passagers. C'est le début d'un périple fait de craintes, à chaque halte de l'autocar.



Le second "Taaw" revient sur un thème cher (entre autres) de l'auteur ; la polygamie et les distorsions qu'elle génère au sein d'une cellule familiale : violence parentale, défaillance éducative, soumission des épouses ...



Des récits denses et déroutants, notamment le second qui en abordant plusieurs thèmes, finit par brouiller le (s) message (s).





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Xala

Xala, prononcé Hâla est un roman sénégalais qui m'a permis de découvrir cette littérature. La plume d'Ousmane Sembene est agréable à lire et assez caustique. Ici il dénonce la corruption, les nouveaux riches qui s'enrichissent au détriment de la population. Rien n'est épargné à El Hadji, l'impuissance, la moquerie, la pression de sa nouvelle belle famille, les mesquineries de sa deuxième femme et la faillite.

Si j'ai supprimé des étoiles c'est que l'édition de 1973 a une erreur de 30 pages. C'est bien dommage. Mais ce fut un plaisir de découvrir cet auteur.

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Vehi-Ciosane, ou, Blanche-Genèse: Suivi du Ma..

"Le mandat"

Portrait au vitriol de la société dakaroise (Sénégal), d'un certain milieu qui attend tout d'ailleurs. La promesse d'un mandat suscite des attentions et des envies démesurées. Il sera dépensé à de coup de crédits et de paperasse inouïe, avant même qu'il ne soit encaissé.

La petitesse, l'hypocrisie l'oisiveté, la naïveté, la cupidité sont autant de thèmes abordés sans détour dans ce texte corrosif. le film éponyme, réalisé par l'auteur lui-même est tout aussi âpre.
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Vehi-Ciosane, ou, Blanche-Genèse: Suivi du Ma..

J'aime bien ça
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