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Critiques de Patrick Isabelle (114)
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Anna Caritas, tome 4 : Le carnage

A force de faire plusieurs suites, on dirait que l'on se tanne de l'intrigue. Un peu moins bons que les trois premiers tomes. Walker est toujours la proie et en danger. Et Marianne on l'as déteste de plus en plus. J'ignore si il va y avoir un tomes 5. Mais j'espère que ça va bientôt arrêter
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Anna Caritas, tome 3 : Outre-tombe

Le troisième tome est pour fermer la boucle avec les Damnés. Un peu moins plaisant que les deux premiers. Beaucoup de fantômes. William Walker s'en prend à lui même. Nouvelle école et nouveaux amis pour celui-ci mais toujours entrain de jouer avec les forces du mal.
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Anna Caritas, tome 2 : Les damnés

Après avoir survécu à tout les drames vécu dans le premier volume, William continu à jouer avec le feu. Il s'attaque à une Confrérie secrète qui existe depuis longtemps. J'ai plus aimé le volume deux que le premier tome. L'histoire nous tient en haleine et quand il y a une Confrérie je trippe toujours plus.
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Anna Caritas, tome 1 : Le sacrilège

Après avoir jouer au Ouija un soir, tout bascule dans la vie de plusieurs adolescents de l'école Anna Caritas. J'ai bien aimé et les personnages sont attachants et charmants. L'intrigue est un peu déjà vu mais ça se lit bien et on veut connaître plus. Très bon.
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Anna Caritas, tome 1 : Le sacrilège

Mon fils, qui est en secondaire 3, m'a recommandé ce livre qu'il doit lire pour l'école. Sa suggestion était surprenante, car il n'est généralement pas un grand lecteur, mais son enthousiasme était contagieux.



Bien que clairement destiné à un public adolescent et que l'intrigue ne brille pas par son originalité, j'ai été captivée par l'histoire et ses personnages charmants. Les discussions avec mon fils sur nos hypothèses respectives ont renforcé notre intérêt commun.



C'est un roman qui, tout en étant divertissant, m'a donné l'envie de découvrir la suite, et j'espère le faire en compagnie de mon fils.
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Anna Caritas, tome 5-2 : L'Éveilleur

Enfin la fin de cette saga littéraire québécoise qui m'a accompagner tout au long de ces dernière année j'ai suivie ces personnages dans leur haut et bas j'ai trouver ce dernier tome très bien à l'exception du décès important des personnage secondaires j'ai trouver leurs mort nombreuses et sans intérêt en plus de la réaction insignifiante et négligé de William sinon je trouve que ce tome claus avec brillaux Anna Caritas que je recommande vivement la réjouissance de la sortie d'un nouveau tome ainsi que mes toutes premières lectures vont me manquer.

🖤
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Anna Caritas, tome 5-2 : L'Éveilleur

C’est fini😢! Je viens de tourner la dernière page de « Anna Caritas - L’Éveilleur 2 » de Patrick Isabelle. Un dernier livre intense, où l’horreur voisine le quotidien de William. Un excellent combat finsle contre l’entitée! Et des pertes humaines, dont une difficile à accepté! Excellent livre! Si vous n’avez pas encore lu Anna Caritas, n’hésitez plus!
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Anna Caritas, tome 2 : Les damnés

L'horreur recommence à sévir au collège Anna Caritas en ce début d'année avec la découverte d'un cadavre pendu à l'envers, égorgé. Un malheur n'attendant pas l'autre, par malchance le narrateur s'y trouve directement mêlé, au point où il devient le premier suspect des enquêteurs. Le récit se développe à bon rythme, assez pour soutenir l'intérêt, sans être rapide au point de négliger les aléas des relations entre les membres du petit groupe d'ados directement concernés par cette vague de violence. L'aspect légèrement fantastique qui plane sur l'histoire, la discrète intervention d'adultes aux pratiques ésotériques et le mystère entourant la précédente génération d'élèves entretiennent un certain brouillard propice à des rebondissements inattendus. Classé roman d'horreur j'ai plutôt trouvé que la dominante était le suspense avec quelques scènes plus glauques. En somme c'est un livre qui se lit bien, sans rien casser toutefois. Et malgré une finale invitante, je ne crois pas poursuivre cette série.
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Chroniques de Molochville

« Je sais maintenant que personne ne survit à Molochville. Même pas moi. »



Oh que j’aime ce concept ! Quatre récits d’horreur, rapides, punchés, efficaces, dégueulasses, quatre plumes habiles pour susciter l’angoisse… un réel bonheur, d’autant que le cadre, avec cette ville sombre qui semble être le théâtre de nombreux phénomènes étranges, est idéal et que les auteur.rices ont tous fait des choix forts différents dans leur mise en scène.
Lien : http://sophielit.ca/critique..
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Anna Caritas, tome 5-1 : L'éveilleur

Solide! « Anna Caritas - L’Eveilleur #1 » de Patrick Isabelle est excellent! L’histoire monte en intensité au fil des livres et on sent bien l’approche du combat final dans ce cinquième volet. Un combat entre le bien et le mal qui ne laissera personne indifférent. J’ai bien aimé ce livre, tout autant que le reste de la série. J’attend la finale (en novembre)!😆
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Chroniques de Molochville

Incontournable Septembre 2023





Version courte:





Petite ville québécoise où le sinistre côtoie la pauvreté, Molochville n'a pas volé son nom. La nuit y est terrifiante, mais le jour y est traitre. Il s'y passe des évènements étranges, certains issu d'heureux mariages entre comportement à risques et forces maléfiques latentes, d'autres à la frontière de la psyché et du "monde en dessous" (#bienvenuauxenfers). On ne sait pas très bien où se situe le cauchemar du véritable crime, où le surnaturel et le réel s'amusent à se chevaucher. Certains évènements trouveront des réponses, mais pas tous. Bienvenue à Morlochville, là où les adolescents ont une espérance de vie en chute libre et une santé mentale en péril! Un roman terrifiant en quatre temps par huit mains habiles de la plume du registre épouvante de la littérature jeunesse adolescent québécoise. De quoi intriguer nos amateurs de sinistre, de frissons et de récits sanglants.





Version exhaustive:





Dans un premier temps, je mentionne que pour une fois, j'aime beaucoup la couverture de l'un des livres de la maison Les Malins. En matière de couvertures pour les romans Horreur, c'est une de leur force. Par contre, je déplore une faiblesse notable sur l'objet: Le roman est très mou et sa couverture a une texture fragile sans le moindre vernis ou renforcement cartonné, deux points faibles qui me rappellent les romans de Parc d'En Face, leurs plus récentes éditions pour les jeunes adultes, elles aussi molles et fragiles. Disons que je m'inquiète quand à leur durabilité.





Récit en quatre temps, donc, pour ce recueil de nouvelles. Elles prennent toutes place dans la même petite ville paumée et défigurée par une zone inachevée ( Oh, sympa comme idée!). Et aucun personnage ne s'en sort indemne. Du moins, indemne physiquement ET mentalement, si ce n'est pas carrément mort. Tous des adolescents et des adolescentes. Certains détails reviennent dans les autres histoires, ce qui implique un degré minimal de sinistre collaboration entre ces quatre plumes horrifiantes. Certaines histoires sont plus ou moins explicables, mais certaines comportent des éléments sans réponses (Oh, petits frissons!). À travers les éléments gores et les entités machiavéliques, on a un peu de tranche-de-vie, nos ados ne sont donc pas juste des agneaux à abattre dans un gros jeu sanglant, il y a de la substance chez eux.





Plus en détails, mais sans divulgâches:





INVASION ( Patrick Isabelle):

Lennox a seize ans et depuis près de trois ans, lui, sa sœur aînée et leur mère vivent dans cette ville glauque de Molochville, dans son centre-ville. À comprendre: ils habitent les quartiers pauvres. Shelby, ladite grande sœur, a échoué sa cinquième secondaire par un malheureux cours de math, et la maman se remet de son divorce. C'est donc pas trop la joie entre leurs murs restreints, disons. Halloween approche et en principe, Lennox doit le passer avec sa meilleure amie et complice meilleure amie Kayla, même si le plutôt-con-mais-plutôt-cute Étienne Dubé l'a invité à un party qui se compose du gratin de la population ado ( Pas difficile: Tout le monde y est présent). Seulement, quand Lennox rejoint son appartement, où sa soeur vit une petite déprime et où sa meilleure amie le félicite ensuite d'avoir bien réagit. C'est alors que Shelby pousse un cri: Dehors, cinq personnes en chienne de travail orange, portant des masques de clowns et des outils contondants, les regadent à travers la fenêtre. Et pour ne rien aider, Etienne Dubé, dans son costume de Thor, sonne à la porte, en disant à travers elle: "Ouvre moi s'il te plait. 'Y a du monde bizarre dans ton coin".





Avec cette nouvelle là, impossible de dire si on nage dans un délire particulièrement sadique ou dans un jeu particulièrement sadique d'entités malveillantes, mais c'est glaçant, quand même. Ça sort de nul part, sans raisons particulières, sans autre finalité que celle de faire du mal. Beaucoup de mal. Le côté horrifiant me semble venir du fait que c'est de la pure cruauté gratuite ou une psychose troublante, même si je penche pour la première option, et que peut importe ce qui est "vrai", le fait est que des gens sont morts et qu'ils ne seront jamais vengés ou même commémorés.





AUTOURS DU GOUFFRE ( Véronique Drouin)

Rosalie chancelle au bord de sa vie. Sa mains tremble, son coeur se noie, la pression l'asphyxie. Enfant unique poussée toujours plus loin sur le long et dur chemin de la gloire musicale, Rosalie ne vit pas comme les autres ados. Il faut que l'investissement paie, après tout. Le seul rayon de lumière dans sa vie est son chien, Macadam ( comme la noix!). Elle habite le secteur inachevé de Molochville, autant dire que sa famille est isolée du reste du monde. Dans ce secteur fantôme, elle trouve refuge souvent dans la forêt, pour promener son chien. Dans cette forêt se rassemble aussi son ancien ami proche, le grand Jacob, et ses deux "amis" plus décoratifs que réellement fraternels, dont le pas très fréquentable et stable Liam. Mais il y a aussi une drôle de brèche nauséabonde et très...organique? Qui, comme par hasard, semble de trouver non loin de l'endroit où Rosalie a vu son précieux chien, avant de le perdre subitement en jouant à la balle. Dans ces bois, Rosalie va côtoyer la monstruosité, peu importe sa forme...







L'enfant piégé par des parents ambitieux et hélicoptères, au point de devenir transparent et sans gout, ça m'a toujours semblé d'une grande cruauté. Traiter son enfant comme une compagnie, ça ne devrait même pas exister, mais ça existe. Rosalie se désincarne, ni plus ni moins, à travers un instrument de musique, devenu aussi lourd qu'un boulet. Ça c'est le volet psycho noire de la nouvelle. Pour le second, on est dans les bois, avec ce trio dépareillé et cette brèche avide de vie. Un parallèle à faire, s'il en est, entre l'avidité sans limites des humains et celle de cette chose sans nom qui draine tout ce qui vit dans la forêt? Je veux bien le croire. Il existe aussi un certain degré de corruption dans cette histoire, avec le personnage de Liam, lui aussi désincarné, mais qui le manifeste d'une manière totalement différente de Rosalie et pour qui, le rem;de à sa souffrance semble trouver réponse dans plus de souffrance... chez autrui.





DEMAIN LES TÉNÈBRES ( Jocelyn Boisvert)





Eli est trainé de force ( façon de parlé) par son meilleur chum, Danyck, au party du "gars populaire auto-proclamé" Louis-Simon Durocher ( qui est d'ailleurs cité dans les autres nouvelles, ouvrez l'oeil). Ce dernier leur propose des macarons fait maisons assaisonné de "champignons magiques" ( champignons qu'on a entraperçu dans "Autour du gouffre", juste sur le bord de la brèche vorace et maléfique, ça vous sonne une cloche?). Éli, Danyck et deux filles, Jeanne, plus jolie fille du coin à ce qu'on dit, et son amie Marie, sont les quatre ados choisi par L-S.D pour essayer les macarons, mais Éli en a prit un sans savoir au préalable qu'ils étaient "enrichies". Le quatuor quitte pour flâner dans les rues et le trip commence. Délires transcendants, hallucinations miraculeuses, émotions et béatitude, c'est la totale! Sauf que la contre-partie est dure sur le système. Éli a du mal à rester éveillé, c'est la dérape à l'école et son corps proteste ouvertement contre le traitement que la drogue lui inflige. Sauf que ça, ce n'est que le début. La suite est pour sa part l'exact opposé de la première partie ultra-trippante. Durant les prochaines heures, ce n'est pas que ses yeux qui lui envoient des images de plus en plus morbides, mais les quatre autres sens aussi. Comment se repérer quand le monde autours devient littéralement "l'enfer sur terre"?





C"est un "lendemain de veille" difficile pour nos ados intoxiqués, mais qui prend la tournure contraire du premier "trip". On vit la psychose de l'intérieur, au final. Y a d'ailleurs pas de hasard dans le nom du gars responsable de la distribution des macarons aux champignons, "L-S.D", la drogue hallucinogène qui porte la même forme contractée ("diéthyllysergamide" de son petit nom), un psychédélique hallucinogène et psychostimulant. On oublie de dire que les hallucinations ne sont pas que visuelles, elles sont aussi sonores, olfactives, gustatives et tactiles. Ça fout quand même la chienne de savoir que les cinq piliers qui nous permettent de se repérer dans notre environnement sont rendu détraqués. Ici, Eli a même des hallucinations dans son sommeil, son répit n'est nul part, tout est une menace en permanence et tout le monde est une menace potentielle. Ce vaste délire au psychédélique démoniaque a de quoi remuer, surtout quand, pendant ce temps, dans la vie réelle, il y a des répercutions directes à leur comportements à eux trois. Je dis "trois" parce que l'un.e d'entre eux n'est pas intoxiqué...et ça lui coutera cher...





"UN MILIEU OU IL FAIT BON VIVRE" ( Sandra Dussault)





À une époque, Molochville devait accueillir un tout nouveau quartier pour combler les besoins d'un essor économique dans la région. Cela dit, c'est sans compter les prédispositions nébuleuses et maléfiques qui semblent gangréner la ville de toute part, dont les nouvelles antérieures sont des exemples probants. Le contracteur a disparu, le projet est tombé à l'eau, les maisons, qui ont la beauté très relatives des projets médiocres mais accessibles, ne sont même pas toutes terminées. Il y a donc un quartier fantôme dans la ville réputé pour ses manifestations sinistres, pas de quoi fouetter un chat! Non?

On se réveille avec Romy, elle même réveillée par des coups. La mémoire lui revient par bribes et elle saigne de la tête. On l'a enfermée quelque part. Dans les séquences temporelles, on apprend par fragments que Romy est de ces ados blasé qui font des niaiseries un peu parce qu'il n'y a rien de mieux à faire. Leur plan foireux? Passer une nuit dans chaque maison inachevé du quartier inachevé, pour un total de 17 nuits. Il n'en reste qu'une, après des nuits tranquilles passées dans les autres maisons. Romy n'est pas spécialement enthousiaste, mais il y aura la présence d'une certaine jeune fille qui lui plait alors...Une dernière maison. Une dernière maison qui s'avère meublée. De meubles. Et de gens. Des gens plus très "frais", si vous voyez ce que je veux dire.





Attention, divulgâche repéré!!





Je l'avais vu venir celle-là et l'habituée des romans d'horreur espérait quelque chose de plus novateur. Pour le coup, des "tueurs en série fous", ça ne m'atteint plus beaucoup, d'abord parce que c,est très surfait, mais aussi parce que la folie a le dos large, surtout en matière de meurtres en série. La réalité, en revanche, est bien plus perturbante que ça. N'empêche, c'est Sandra Dussault, sa plume est efficace, la structure en fragment fait travailler le thriller bien mieux qu'une structure classique et continue, et reste que c'est une bonne idée de départ que de dormir dans ce très sinistre quartier délaissé et à moins terminé. Je dis juste que ça aurait pu être beaucoup d'autres choses qu'un repaire de tueur fou.









Honnêtement, on pourrait continuer les chroniques de cette ville où tout ce qui est malveillant converge commodément, telle la cours arrière du Diable. Avec de nouveaux auteurs peut-être? Avec des rappels des 4 histoires présentées ici? C'est chouette, les rappels, ça donne un filon de continuité et de cohérence entre les nouvelles, c'est plus important comme détail qu'on veut bien le croire.

À la maison Les Malins: Bon travail pour la couverture!





Comme il s'agit de nouvelles québécoises, ne vous étonnez pas d'y trouver des expressions et des termes courants propres à la province, autrement, ce ne serait pas très crédible, surtout avec la charge émotive des personnages. J'aime beaucoup le traitement du papier, qui semble veillit et parcouru de fines rainures de papier plissé, ainsi que les pages de garde noires, ça confère au recueil un air plus sinistre.





Alors, avez-vous envie de vous glissez entre ces quatre histoires lugubres au risque de compromettre la sérénité de vos nuits?









Pour un lectorat initié aux romans d'horreur de 12-15 ans, sinon aux 15-17 ans et +.





Pour les bibliothécaires et profs: On a la présence de termes injurieux, de scènes graphiques sordides et de diverses formes de violences ( sexuelle explicite exclue).
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Anna Caritas, tome 1 : Le sacrilège

Anna Caritas, le nom du collège où étudient William, Anthony, Gabrielle, Sabrina, Maddox, Sarah et Laurie. Le retour après 3 ans de Marianne, une jeune fille hors norme pour cette petite ville qu’est Saint-Hector (surtout après le drame survenu ayant causé son départ), n’augure rien de bon et c’est après un séance de spiritisme amateur que nos amis vont devoir faire appel à cette dernière pour tenter de stopper ce qu’ils ont réveillé.



Je suis sous le charme ! Pour faire simple j’ai ouvert le livre vers 20h du soir et je ne l’ai fermé qu’à 1h du matin, terminant les dernières pages à la lumière d’une petite pour ne pas réveiller mon petit monstre.



L’histoire est prenante, les temps de pauses sont courts et le surnaturel reprend vite le dessus. J’ai flippé ? Oui, ce n’est pas effrayant et en même temps, j’étais tant prise dans ma lecture que j’ai ressenti en même temps que ces ados leurs terreurs, leurs peurs, leurs angoisses et ayant un plan de vu plus large qu’eux, je peux également commencer à m’inquiéter de la suite, car suite il y aura vu que cette série comporte 5 tomes.



Le bémol, l’introduction ne m’a pas vraiment plus, la description de la ville et de son ‘’histoire’’ m’a un peu assommée, même si je comprends maintenant pourquoi elle était présente de cette façon, c’est un moyen de dire eh oh c’est parfait ? Non y’a une grosse anguille sous la roche prête à se réveiller et vous bouffer tout cru, maintenant la nature de cette anguille reste encore un mystère que j’ai hâte d’éclaircir dans les prochains tomes.



Bon par contre, j’avoue que le prix pique. Autant ce premier tome, l’ayant pris en offre découverte reste plus que raisonnable pour un beau broché comportant quelques illustrations, autant les prochains bah le numérique surtout je trouve que 10,99€ pour un numérique c’est beaucoup ! Néanmoins, le prix raisonnable de 14,90€ pour le broché va me convaincre de m’offrir les suites.
Lien : https://lillyunlivre.home.bl..
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Anna Caritas, tome 4 : Le carnage

Dans la lignée fantastico-occulte des trois premiers tomes (qu’il faut absolument avoir lu avant pour la compréhension de ce quatrième volume), mais en plus sanglant. Le suspense est toujours là, avec un tueur en série qui s’en prend aux amis du protagoniste, William, et les phénomènes surnaturels qui tournent autour de lui. Une histoire plus mouvementée, plus sombre aussi, que les précédents.
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Anna Caritas, tome 3 : Outre-tombe

J’avais beau savoir à quoi m’attendre... à la moitié du livre, j’ai senti les poils sur mes bras se hérisser. À partir de ce moment et par la suite, ce roman fantastico-horrifique pour adolescents, s’est avéré tout aussi prenant avec des passages qui ont fait palpiter mon cœur plus vite. (pour les puristes : attention, beaucoup d’expressions en Joual, ce qui -personnellement- ne me dérange pas).
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Anna Caritas - HS : Adeste Fideles

Ce livre est arrivé par hasard entre mes mains.

Il s'agit, semble-t-il, du préquel d'une série horrifique pour ados.



Ils doivent quand même avoir le coeur bien accroché les ados ! Parce que c'est sanglant, immoral, dérangeant... Mais c'est vraiment bien foutu.

J'avoue avoir presque cru à un moment que les Frères Winchester allaient débarquer.



L'auteur parvient très vite à fixer l'ambiance, même pour ceux qui, comme moi, ne connaissent pas l'univers d'Anna Caritas. On cerne assez vite les personnages même si, bien entendu, on gagnerait sans doute à lire la série dans son ordre d'écriture. Je vais d'ailleurs commander rapidement le tome 1 pour me replonger au coeur de cet univers très Supernatural.



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Anna Caritas, tome 1 : Le sacrilège

Donnez nous un collège, Anna Caritas.

Une fille flippante qui y fait son retour.

Ainsi qu'une soirée entre amis, bien arrosée et pour conclure un oui ja, pour pimenter le tout.

Cela donne un chaos phénoménal, une tension extrême entre les protagonistes, qui vont en voir de toutes les couleurs et surtout broyer du noir.

La mort est au rendez-vous, mais pas que, ses amis la tourmente,le doute, la peur...sont de la partie aussi.

Ce qui commence comme un jeu inoffensif va se terminer en carnage.

Qui va vivre ou mourir?

Qui sortira indemne de cette soirée maudite.

Personne cela je peux vous l'affirmer.

Un très bon roman,tome 1 d'une série de 4.

J'ai été bluffée par ce roman dit pour ado, mais avec une intensité époustouflante.

J'ai eu beaucoup de plaisir à le lire et le recommande chaudement.

Une histoire à glacer le sang.

Bien construite, cohérente digne d'un bon écrivain pour adulte, dans ce genre.

Je découvre la plume de cet auteur et ai déjà dans ma pal les 3 tomes suivants.







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Lui

“Lui” est un roman racontant la sorti d’un adolescent hors du centre de détention. On vit alors son retour parmi la société, et toutes les conséquences que cela amène.



Si les personnages et leurs décisions sont réalistes et nuancés à la perfection, l’écriture m’a un peu déplu. Les phrases sont trop prévisibles et manquent d’originalité. Tout semble avoir été déjà dit ailleurs.



Heureusement, le roman étant centré à 100% sur les personnages, ce manque d’originalité est vite oublié.
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Anna Caritas, tome 1 : Le sacrilège

Une excellente lecture !

C’est une lecture loin de mes genres de prédilections et une bonne initiation au genre horrifique. J’ai été agréablement surprise. Elle se rapproche du coup de cœur, même s’il m’a manqué un petit quelque chose. J’ai été happée dès les premières pages, elles ont défilé. Prise par l’histoire, j’ai même repoussé l’heure du coucher. Mon petit cœur s’est serré d’angoisse. L’action et les rebondissements sont également du voyage, pas le temps de s’ennuyer.

William est en plus de ça très attachant, il est touchant, sensible et gentil. J’ai tout de suite accroché. Les autres personnages sont un peu pâle en comparaison sans que ce soit gênant.





Le possible point manquant !



Les descriptions sont peut-être un peu trop courte, elles auraient gagnées à être étoffées. Seulement, cela peut s’expliquer par le public visé entre 12 et 16 ans. La mise en page est agréable et assez caractéristique du public visé. L’écriture est une police en gros caractère, les paragraphes sont courts, les marges plutôt larges et les interlignes plutôt espacés. C’est une mise en page caractéristique et très appréciable (notamment pour les dyslexiques comme moi). Je pense d’ailleurs que si je l’avais lu à cet âge là, ce livre aurait été un coup de cœur.

De plus, il m’a manqué des éléments explicatifs sur la fin. Elle était un peu rapide.



Si vous avez aimé…



Ce livre m’a un peu fait pensé à Supernatural dans la manière d’enquêter et peut-être un peu de l’Exorciste.



La plume de l’auteur !



Elle est efficace. Les phrases courtes ont contribué à souligner le rythme angoissant, à me rendre addicte… La plume de l’auteur est rythmée sans qu’elle soit abrupte bien que certaines phrases soient composées d’un groupe nominal seulement.



Patrick Isabelle emploie aussi des éléments visuels comme des bulles pour les SMS, des coupures de papier de journal… Ce sont des détails que j’ai vraiment beaucoup aimé.



En résumé : C’est une excellente lecture angoissante et prenante avec des personnages attachants, mystérieux et parfois même un peu terrifiant… J’ai hâte de lire la suite.
Lien : https://lesparaversdemillina..
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Anna Caritas, tome 1 : Le sacrilège

Anna Caritas me fait de l'œil depuis quelque temps déjà et je suis très contente d'avoir enfin sauté le pas. Autant parler de ce qui fâche en premier : l'écriture. Je déteste quand les personnages callent des mots en anglais, d'un coup, comme ça, sans prévenir. C'est quelque chose qui m'a toujours insupporté et ce roman en est truffé. J'ai également buté plus d'une fois au niveau des tournures des phrases… En faisant quelques recherches, j'ai vu que l'auteur était renseigné sur Livraddict, comme canadien, c'est donc peut être leur façon de s'exprimer là bas ? En tout cas, c'est un point (et le seul pour le coup) qui m'empêche de mettre une note maximale à cette histoire.



Mais du coup le reste ?



Le reste est totalement captivant, entraînant et on ne s'ennuie pas une seule seconde. Je n'ai clairement pas vu défiler les chapitres et je me suis retrouvée, bien trop vite, à la fin de ce premier tome. La fin est d'ailleurs glaçante à souhait et donne envie de se plonger dans le tome suivant, à la suite. J'ai adoré cette histoire de démon / fantôme / possession, suite à une session de Ouija. On a certains passages bien glaçant, qui font accélérer notre rythme cardiaque et ça fait plaisir. De plus, on suis beaucoup d'intrigues secondaires qui sont tout autant captivante et intéressante que la principale, avec notamment des personnages qui ont un potentiel de dingue !



Un très bon tome, qui se lit facilement, rapidement par un rythme dynamique et des scènes d'horreur comme j'aime !
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Anna Caritas, tome 1 : Le sacrilège

Il faut bien que jeunesse se passe, mais certaines expériences audacieuses ont parfois des répercussions qui dépassent l'entendement. Les collégiens d'Anna Caritas l'apprendront °a la dure, de même d'ailleurs qu'une partie de la population de la petite bourgade où est situé ce collège sélect. À partir d'un scénario assez convenu l'auteur tisse un récit efficace avec une montée en tension qui fait frissonner et un dénouement qui laisse songeur, de quoi mettre en appétit pour la suite. J'avais craint un roman trop jeunesse à mon goût, or ce n'est pas le cas; bien sûr les protagonistes sont jeunes et ont les préoccupations de leur âge, mais l'histoire est solide et n'a rien de gnagnan. En somme un roman d'horreur très classique, bien maîtrisé, qui m'a plu au point de vouloir suivre ces jeunes dans leur lutte contre, justement contre quoi au juste ?
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