Paul El Kharrat

Grâce à sa participation à l’émission télé Les douze coups de midi, puis aux Grosses Têtes, Paul El Kharrat est désormais connu du public.

Il se livre entièrement dans ce récit autobiographique. Son comportement pour le moins étrange est incompris par son entourage, et même les différents spécialistes consultés, jusqu’à ses seize ans, il est enfin diagnostiqué autiste Asperger.



Ce témoignage permet de mieux comprendre son fonctionnement au quotidien, comment son cerveau ‘bouillonne’ en permanence, ou pourquoi la seule alternative lui permettant de ‘survivre’ est de vivre seul selon une routine.

L'auteur, Paul El Kharrat, un jeune homme de 23 ans, s'est fait connaître lors de son passage brillant à l'émission "les douze coups de midi".

Autiste Asperger, il nous livre son histoire, ses difficultés d'adaptation , ses souffrances et celles de son entourage.

Intellectuellement il est brillant, sa mémoire fixe tout, mais il est aussi hypersensible, décalé par rapport à la "norme" des neurotypiques, il réagi avec des émotions inadaptées.

A chaque instant il fait des efforts considérables pour se socialiser.



Son témoignage est très touchant, Paul se livre avec simplicité, authenticité, lucidité, humour. Son style d'écriture est fluide, dynamique, évocateur. Son vocabulaire est riche et élaboré.



Un livre agréable à lire donc, mais aussi un livre émouvant qui fait prendre conscience des difficultés rencontrées au quotidien par l'auteur.

J'ai lu il y a "longtemps" "Ma vie d'autiste" de Temple Grandin (américaine qui a aujourd'hui 75 ans), et d'autres livres ou articles sur le même thème. Aujourd'hui j'ai lu ce livre, un peu particulier pour moi puisqu'avec Paul nous fréquentons le même club Questions pour un champion. Malgré cela je ne peux pas dire que je le "connais", je l'ai plutôt découvert dans cette autobiographie.

C'est un livre très intéressant parce qu'il a été écrit sans filtre. On imagine très bien que ce qu'il décrit est vraiment le quotidien de Paul, sa manière de percevoir les choses et les autres. C'est du moins, de cette manière que je l'ai lu. Je tourne la dernière page sans une opinion sur Paul. J'ai simplement lu ce qu'il avait à dire, sans juger ni admirer. Comme un message.

Paul El Kharrat nous livre avec sincérité et lucidité son quotidien de l'enfance au plateau télé et aux émissions de radio.

Son "handicap" car médicalement c'est reconnu comme tel, fait ce qu'il est aujourd'hui.

Il nous livre ses propres difficultés à accepter un monde sans ordre, manipulé, violent mais aussi les difficultés de son entourage et des relations sociales.

Il nous raconte le parcours du combattant pour mettre un mot sur son "fonctionnement" jugés atypiques, les agressions que sont pour le lui, le bruit, la lumière, les foules mais aussi la mort d'une mouche sur un plateau télé.



Sans être asperger moi même, j ai reconnu certains aspects en moi.



Il se raconte sans rien omettre, son côté "demoniaque" est illustré par la colère et la violence que peut générer une frustration.



Mais il délivre aussi plusieurs messages : l'espoir d'une vie de famille et de progresser dans les interactions sociales (il n a que 23 ans) et l'espoir peut être qu'un jour les neurotypiques fassent l effort de s adapter à la différence car lui comme des milliers d autres est déjà dans la suradaptation constante.



On ne peut que partager ces 2 souhaits (en plus de sa conscience écologique que j ai vraiment appréciee) .



Bonne lecture à vous.

Un récit autobiographique du quotidien vécu par Paul El Kherat qui a gagné sa notoriété par sa participation remarquée lors d'un jeu télévisé.

Paul El Kherat est autiste et se démarque par sa mémoire notamment.

Grandir et se construire dans les années 90 avec l'autisme n'est pas chose aisée. Ni pour l'enfant, ni pour son entourage et notamment son cercle familial restreint, à savoir ses parents et son frère.

Le monde médical n'est pas encore formé et sensibilisé à cette maladie alors méconnue. Les solutions et adaptations possibles ne font pas légion. Par chance, sa famille prend le sujet à cœur et se donne les moyens d'accompagner leur fils pour l'accompagner au mieux.

Paul El Kherat nous narre son quotidien pendant son enfance, son adolescence puis son entrée dans la vie adulte. Il a créé sa routine et se montre vite perturbé lorsque son quotidien est modifié.

Toutefois, dans certaines situations, il fait faire preuve d'adaptation face à un environnement qui ne lui convient pas, ses émotions étant décuplées. Une forte sensibilité face à des choses qui paraissent insignifiante à la majeure partie de la population, l'oblige à trouver des subterfuges et à se créer son propre mode de vie. Il l'a trouvé, il cherche encore certaines voies pour se sentir au mieux.

Paul, comme beaucoup de nombreux autres autistes, a été diagnostiqué tardivement, cette maladie est difficile à débusquer et la France est plutôt à la traîne dans ce domaine de connaissance et de recherche, ainsi que dans les thérapeutiques associées. L’asperger souffre de ce mal, compensé en général par des particularités intellectuelles qui lui permettent une meilleure intégration sociale. Paul est hypermnésique et s’est fait remarquer par ses capacités exceptionnelles de mémorisation de tout ce qu’il lit ! Il nous raconte son mal, ses difficultés relationnelles de façon sincère et lucide. Il nous fait percevoir son hyper sensibilité sensorielle et la souffrance psychologique qu’elle entraîne en nous ouvrant son monde à lui.

Paul El Kharrat est apparu pour la première fois dans le champ médiatique le 29.04.2019 sur le plateau des 12 coups de midi. Un exploit pour ce jeune homme de 20ans à qui on a diagnostiqué le syndrome d'Asperger. La foule, le bruit, les lumières lui font peur et pourtant ce jour-là il décide de se lancer et surmonter ses angoisses va changer sa vie !

J'étais devant ma télé à ce moment là et l'arrivée de ce jeune homme m'a touché ! Mettre en lumière ce syndrome dans une émission aussi suivie j'ai trouvé ça génial ! J'en ai profité pour expliquer à mes enfants quelle était la particularité de Paul et nous avons suivi des aventures pdt 153 jours ! Nous avons bcp ri, appris et même été ému ! Dans son nouveau livre Paul nous ouvre son esprit. Il nous explique sans fard (de toute façon Paul ne ment jamais!) comment il était petit puis ado. A se savoir different sans réussir à comprendre pourquoi son cerveau ne fonctionnait pas de la même façon que les autres.

J'ai été stupéfaite de voir à quel point Paul est réaliste par rapport à qui il est ! Il a pleinement conscience de ses qualités mais surtout de ses défauts ! La plupart des personnes vivent ne sachant jamais qui ils sont ou se cachant derrière des faux-semblants, lui ne peut pas et j'ai envie de dire "tant mieux" !!!

La vie n'est pas simple, encore moins quand on est "différent" mais vous êtes une très belle personne Mr Paul El Kharrat, merci d'avoir ouvert votre univers et votre cerveau à nous, pauvres neurotypiques 🤭

Mes ados souhaitent lire votre livre et je trouve ca génial !!!



N'hésitez pas à lire cet ouvrage, il vous aidera à découvrir l'envers du décor et c'est très enrichissant !!!

Ce livre a été un plaisir à lire.



Une vraie leçon de vie, qui nous apprend à mieux comprendre la vie des personnes atteintes des troubles de l'autisme. Un témoignage sincère et touchant sur des moments de vie plus ou moins faciles.



La vision de la vie que possède Paul n'est pas forcément étrange et au travers de son livre, il m'a semblé que son raisonnement était tout à fait juste. C'est une bonne remise en question sur notre mode de vie et notre société.



Ce livre permet également l'envers du décor du fameux jeu de TF1 et c'est très intéressant de voir tous les aspects de ce petit monde bien ficelé.



Un livre à lire pour mieux accepter les différences.

C'est une lecture très agréable et en plus, je l'ai dévorée en – de 24h.

Paul nous raconte à travers ce récit différentes histoires criminelles qui se sont déroulées entre la révolution française et la seconde guerre mondiale.

Un portrait du criminel a chaque début de chapitre avec une description et une présentation à couper le souffle.



J'avais l'impression d'être moi-même spectatrice des histoires.



Les histoires s'enchainent sans temps morts, une police d'écriture très agréable.

Des photos ,des illustrations et des articles de journaux pour nous mettre dans le contexte de l'histoire.

Une belle immersion dans ce roman.

J'ai eu la chance de rencontrer Paul lors d'un salon , charmant, à l'écoute, une belle rencontre.
Lien : https://www.instagram.com/p/..

J'ai pris plaisir à découvrir la vie de Paul El Kharrat, "derrière le miroir" comme il dit. Derrière le personnage de télévision, on découvre le jeune homme autiste Asperger, qui a dû lutter, et qui continue de lutter au quotidien pour vivre au plus près de la normalité, si normalité il y a.

Ce livre est très enrichissant pour comprendre l'autisme, et plus précisément ce type d'autisme Asperger, ce que l'on pourrait voir davantage comme une différence que comme un handicap.

Merci à Paul El Kharrat de nous faire partager sa vision de la vie à travers son regard.

Après un livre assez intéressant sur son expérience dans l'émission Les Douze Coups de Midi, Paul El Kharrat nous emmène "dans son monde" pour nous expliquer le monde dans les yeux d'un autiste Asperger avec toute la sincérité que requiert l'exercice. En évoquant en parallèle son enfance, son parcours vers le diagnostic final, il n'élude absolument rien des tracas et des difficultés que lui causent son handicap (difficultés d'adaptation, dépressions, crises de colère, exaspération de ses proches, etc.) mais évoque aussi ses petites manies tantôt marrantes tantôt exaspérantes tant pour lui que pour ses proches...



En refermant ce livre, sans prétendre nous permettre de tout comprendre du syndrome d'Asperger, Paul El Kharrat a au moins ouvert une porte d'accès bienvenue vers la compréhension de ce syndrome encore bien trop méconnu ou incompris.

C’est le 29 avril 2019, sur le plateau des coups de midi, que nous avons vu pour la 1ère fois à la télé ce jeune homme de 20 ans, un peu timide, un peu gauche, étudiant en histoire à Grenoble… et qui va tous nous bluffer par sa culture !

 

Dans son livre, préfacé par Jean Luc Reichman, Paul, atteint d’un trouble autistique Asperger, raconte sa folle aventure.



152 participations et victoires. La 153ème c’est SA victoire. Lui qui a l’habitude de vivre reclus, isolé de la société qui n’est pas vraiment « faite pour lui », s’est vraiment dépassé. On ne s’en rend pas compte à l’écran mais il a dû fournir des efforts considérables pour supporter l’éclairage, le bruit, l’agitation sur le plateau. A coup de 5 émissions enregistrées par jour, ce fut un vrai challenge ! Son récit est très intéressant et on comprend mieux les difficultés qu’il rencontre.

 

Les chapitres alternent son expérience dans l’émission (coulisses, relation avec le staff, les autres candidats) et sa vie d’écolier puis d’étudiant auprès de sa famille. Heureusement Paul est bien entouré, on sent ses proches très bienveillants.

 

Pendant plusieurs mois, Paul a brillé par son savoir et sa mémoire hors du commun. Il a fait kiffer les français. Il a remporté un beau pactole, de nombreux cadeaux et voitures… mais Paul les cadeaux, il s’en fiche ! C’est se challenger qui l’intéresse. Un compétiteur très humble.

 

Même si comme moi tu n’es pas trop télé, tu as forcement entendu parler du phénomène « WikiPaul ». Moi la « neurotypique » comme il nous appelle, est fascinée.

Désormais chroniqueur aux grosses têtes, je l’entends le soir quand j’écoute le replay. Il est excellent et commence même à se lâcher, à vanner et charrier. Je l’adore !

 

Grâce au jeu, il a pu parler de son trouble ouvertement et ses confidences permettent une meilleure considération de sa différence avec laquelle il doit composer.

 

Merci Paul de nous partager ton histoire !

La relecture de ce livre pour la troisième fois m'incite à la confidence, sans aucun tabou.

Le 29 avril 2019, la France entière découvrait aux 12 coups de midi, Paul El Kharrat, jeune autiste Asperger superbement intelligent. Ce même jour, à 80 kilomètres de chez moi, j'obtenais un diagnostic : je n'étais pas bizarre, j'étais autiste.

Enfant, je me suis toujours sentie en marge de la société et mes petits camarades de classe ne faisaient rien pour me dissuader du contraire. Une alien débarquée sur Terre, qui savait déjà lire avant d'entrer à l'école, passionnée de dessins-animé, de lecture, d'écriture, de puzzles, de jeux vidéo, jeux télé et cérébraux.

30 ans plus tard, rien n'a changé. Mes intérêts spécifiques sont restés les mêmes. Se sont rajoutées néanmoins d'autres activités créatives comme les perles à repasser ou le dessin. Sur de nombreux points, Paul est un alter-ego. Nous partageons le même amour des Pokémon, des jeux de cartes et cette soif d'apprendre. Lui aime les dinosaures, moi les requins. Lui est subjugué par les chiffres qu'affiche son réveil, moi par ceux des plaques d'immatriculation.

Adolescente, tout comme lui, je me réfugiais au CDI dès que je le pouvais. Madame Matthis, la documentaliste, m'avait repéré dès le départ et veillait à ce que personne ne vienne me déranger pendant que je lisais. Sans doute avait-elle perçu le harcèlement virulent dont j'étais victime... La cour de récré était pour moi synonyme de jungle. J'étais une antilope parmi les hyènes et je préférais de loin me plonger dans les pages des Schtroumpfs ou de Titeuf plutôt que prendre l'air avec mes bourreaux. Les BD ont eu une place particulière à ce moment de ma vie et c'est avec émotion que j'y repense parfois.

A l'époque, je mangeais beaucoup pour compenser, frôlant malgré moi les 70 kg. Ce surpoids n'a rien arrangé à mon harcèlement. Que c'est simple de clasher une gamine seule et sans assurance sur son physique ! Aujourd'hui, du haut de mes 37 kg, je suis jugée aussi, sans que personne ne sache réellement que ma minceur est issue d'une maladie. On est toujours trop ou pas assez.

Comme tout autiste qui se respecte, je suis à cheval sur les horaires : le moment de prendre ma douche, de préparer mes repas, de lire... Tout est minuté, chronométré et l'imprévu est pour moi une catastrophe. La phrase "on verra sur place" relève de la crise d'angoisse pour moi. Il est impossible que je n'ai pas d'information sur l'activité qu'on va faire, le restaurant où on va manger ou l'heure à laquelle on va rentrer. Les surprises sont terribles et les cadeaux de certains particulièrement anxiogènes car feindre le contentement est impossible.

Je n'ai plus de filtre. Avant, lorsque j'étais scolarisée, je tentais de rentrer dans le moule et de me conformer à la normalité des neurotypiques au prix d'efforts colossaux et destructeurs. Maintenant, j'ai cessé de le faire. Peu importe si je me brouille avec ma famille, je suis cash. Je dis ce que je pense et je pense ce que je dis. Comme Paul, je déteste le mensonge et ne peux pas supporter qu'on me mente. J'ai aussi la même philosophie pessimiste de la vie que lui. L'un de mes mantras : "N'attends rien de la vie, tu ne seras pas déçue."

Enfant, on m'a souvent laissé espérer qu'à chaque rentrée scolaire, je me ferais des amis. Une seule a laissé une marque indélébile dans mon coeur car, je crois, qu'elle a été l'unique à sincèrement m'aimer. Je ne l'ai jamais oublié et elle me manque plus que tout. Les autres m'utilisaient, mais comment le comprendre alors que j'étais incapable de reproduire ce vil schéma moi-même ?

Cela fait bien longtemps que je n'attends plus rien de la vie. J'ai la sensation d'avoir été programmée comme un robot, destiné à faire les tâches qui lui incombent et rien de plus. Etre différent dans ce monde est loin d'être un atout. C'est renoncer à une éventuelle vie de couple - qui aurait envie de vivre avec une trentenaire autiste, agoraphobe, asexuelle et intellochiante ? - une amitié sincère ou tout simplement au bonheur.

Aucun neurotypique ne peut comprendre l'effort considérable que les gens comme moi font pour effectuer des tâches de la vie courante : faire ses courses, passer un appel téléphonique, aller chercher un colis... Tout n'est que peur et anxiété. Et lorsqu'on prend sur nous et qu'on arrive à surmonter nos difficultés, personne n'est là pour nous féliciter. Car à vos yeux, c'est facile. Pas pour nous.

Ce n'est pas l'autisme qui nous fait souffrir, mais la façon dont la société traite celles et ceux qui en sont porteurs. Comme disait Sartre : "L'enfer, c'est les autres."

Paul El Kharrat s’est fait connaître par sa brillante participation à l’émission télévisée Les douze coups de midi. Dans ce livre, il nous explique ce qui le différencie du commun des mortels, lui autiste Asperger.



C’est la 1ère fois que j’entre par la petite porte, dans la vie d’une personne touchée par ce syndrome. Ce que j’en savais n’est rien par rapport à ce qu’il m’a appris.



De son enfance chaotique à l’acceptation de sa différence, il se souvient surtout de son soulagement lorsque le diagnostic est enfin tombé, après des années d’errance médicale et d’un syndrome méconnu. Il avait alors 16 ans.



Il nous livre tout de son histoire, de ses difficultés d’adaptation dans un monde qui ne correspond en rien à ses aspirations de paix, de justice et de respect de la planète. Il nous confie la souffrance de ses proches, et la sienne, physique et psychologique, avec un cerveau en surchauffe permanente et une hypersensibilité sensorielle qui le contraint à s’isoler. Il nous parle aussi du Mister Hyde qui sommeille en lui, et se réveille parfois.



Il est explicite, sincère et lucide sur sa différence, ne se cache pas derrière ses mots ni ne ment. D’ailleurs il en est incapable. Il évoque son besoin de calme et de routine, son besoin perpétuel d’apprendre et sa passion pour les livres, ses indispensables compagnons de vie. Il évoque sa capacité extraordinaire à mémoriser tout ce qu’il lit, son attirance pour les dates et l’alimentation quotidienne de ses indispensables listes.



Ce livre est à la fois limpide, bouleversant et passionnant. Sa plume est fluide et son vocabulaire riche. Je ne peux m’empêcher d’admirer la lucidité et la sincérité de ce JH fier de ses efforts et qui garde l’espoir légitime qu’ils ne seront pas vains. Utopiste dans l’âme, il rêve d’un monde plus juste mais garde les pieds ancrés dans la réalité et espère progresser encore dans sa gestion de sa différence tout en restant fidèle a celui qu’il est.



Je retiens la citation d’Oscar Wilde qu’il glisse dans l’épilogue « Sois toi-même, tous les autres sont pris ».



Je remercie @harper Collins pour ce service de presse

J'ai lu ce livre plusieurs jours étant donné qu'il est composé d'une multitude de petites histoires. Le livre est divisé en plusieurs parties qui regroupent les crimes et mystères d'une même région. Au début de chaque partie il y a un récap avec les dates des crimes et ce qui se passait en même temps dans la région à cette date là. J'ai trouvé que c'était une très bonne idée de coupler le côté historique avec le côté fait réel.



Il y a des histoires qui font vraiment froid dans le dos ainsi que la justice de l'époque si on peut appeler ça une justice 😂.

Des histoires m'ont évidemment plus parlé que d'autres genres les histoires de poisons 🤭. Certaines histoires sont pleines de mystères et certaines ne sont toujours pas résolues à notre époque!



J'ai passé un bon moment de lecture!



Si tu aimes l'histoire de la France et ses faits divers, cet ouvrage est fait pour toi!



Tu aimes les livres et émissions de crimes?



Encore un grand merci aux éditions HarperCollins pour l'envoi de ce livre!

*Produit offert pour collaboration commerciale non rémunérée.

Je lis très rarement des témoignages mais j'ai adoré celui-ci.

Paul raconte ce qu'il est avec beaucoup de pudeur, il raconte ses forces et ses faiblesses, sa vie de tous les jours, ses crises de nerfs, sa mémoire impressionnante, ses listes...



J'ai trouvé ce témoignage très intéressant et instructif pour quelqu'un comme moi qui suis une neurotypique et qui a bien-sûr déjà entendu parler de ce qu'est un autiste Asperger mais qui ne sait pas tout ce que ça représente dans la vie de tous les jours...

Un cerveau qui retient autant de choses, c'est merveilleux mais un cerveau qui fonctionne non stop, c'est épuisant !



Les émotions sont décuplées et parfois ingérables. Il faut fournir énormément d'efforts pour essayer de s'adapter aux autres ou à un environnement différent de celui habituel et c'est extrêmement fatiguant. Quelques contrariétés et "le démon" peut surgir...

Il faut apprendre à vivre avec cette différence.



Je connaissais le Paul vu à la télé dans l'émission de Jean-Luc Reichmann "Les douze coups de midi", j'ai découvert une nouvelle personne très touchante en lisant ce livre.



C'est un récit très émouvant.

Un livre sans prétention littéraire, juste une autobiographie d'un homme maintenant, atteint du syndrome asperger. Il nous livre tous ses tourments, ses joies, ses doutes, ses crises et les efforts que doit faire un asperger dans la société actuelle si normée. Il s'agit d'un témoignage personnel car, comme il le dit lui même, le syndrome se caractérise différemment selon les personnes. le livre est tout de même assez bien écrit et ce personnage est attachant. le point d'orgue pour moi est la chapitre qui traite de la norme. Une vraie réflexion philosophique, bien écrite et tellement vraie.
Lien : https://www.facebook.com/pro..

Je lis très rarement ce genre de livre, mais comme l’auteur m’avait impressionné au jeu télévisé par ses efforts je me suis laissé tenter.

Paul El Kharrat raconte ses difficultés à intégrer un monde « normal ». Certes nous prenons conscience des efforts demandés mais on peut regretter les développements sur des sujets divers. Ceux-ci nous apportent certes des connaissances mais n’ont rien à voir avec la vie de l’auteur. A ce titre le livre est décevant.

Il aurait été préférable qu’il aborde davantage sa scolarité, surtout dans le secondaire.

J’ai beaucoup apprécié ce livre que j’ai trouvé particulièrement juste.

On aime l’honnêteté avec laquelle il se décrit dans son quotidien.

On est touché, on rit parfois et on comprend un peu mieux ce que peut ressentir un autiste asperger perdu dans un monde qui ne le comprend pas et qu’il ne comprendra jamais.

A lire pour qu’un jour il se sente lui aussi bienvenue dans notre monde…

Dans ce récit, Paul se confie encore plus en profondeur que dans « ma 153ème victoire » (j’ai adoré cet ouvrage)



Il revient sur son enfance, son adolescence.



Il nous explique aussi son quotidien, ce qu’il vit, ce qu’il ressent, sans édulcorer la réalité. Car Paul, ne ment jamais, c’est inconcevable pour lui. J’aime son honnêteté.



Il est conscient de ce qu’il peut parfois infliger à sa famille, à ses proches. Mais exprimer ses sentiments n’est pas toujours facile…et il ne peut pas toujours contrôler ses réactions.

Il est lucide, assume ses défauts autant que ses qualités. Il se livre pleinement, c’est touchant.



C’est dur de s’imaginer ce qu’il vit en tant qu’Autiste Asperger, mais cela nous donne un aperçu de la difficulté.



«  𝗦𝗮𝗿𝘁𝗿𝗲 𝗮 𝗲́𝗰𝗿𝗶𝘁 : « 𝗟’𝗲𝗻𝗳𝗲𝗿, 𝗰’𝗲𝘀𝘁 𝗹𝗲𝘀 𝗮𝘂𝘁𝗿𝗲𝘀. » 𝗘𝗻 𝗰𝗲 𝗾𝘂𝗶 𝗺𝗲 𝗰𝗼𝗻𝗰𝗲𝗿𝗻𝗲 : « 𝗟'𝗲𝗻𝗳𝗲𝗿, 𝗰’𝗲𝘀𝘁 𝗹𝗲𝘀 𝗮𝘂𝘁𝗿𝗲𝘀, 𝗲𝘁 𝗰’𝗲𝘀𝘁 𝗺𝗼𝗶. »



Il nous parle aussi de son amour pour la lecture et l’importance de celle-ci dans sa vie, je ne peux que comprendre.



Nous avons des points communs avec Paul, et j’ai le plaisir à chaque fois, d’échanger avec lui. C’est quelqu’un de très gentil... une belle personne.



Je vous souhaite de découvrir son nouveau livre, pour en apprendre un peu plus sur Paul et sur le syndrome d’Asperger.
Lien : https://www.instagram.com/p/..