Pauline Gill

Ce n'est pas parce qu'elle a un cavalier qu'une fille comme elle va se priver de regarder ailleurs...

Il y a des contentements passagers qui laissent parfois de bien grandes blessures.

Si tu veux trouver, il faut te calmer, puis ça va venir tout seul.

Vaut mieux plus de précautions que pas assez.

Ça ne veut rien dire, mettre des enfants au monde. Combien de choses la nature fait bien sans qu'on y mette d'efforts.

Une femme qui ne sait pas se contenter de bien servir son mari et d'élever ses enfants chrétiennement ne peut se vanter d'avoir toujours donné le bon exemple.

Un être intelligent, doué d’initiative, accepte difficilement de rétrograder et d’apprendre l’imperfection

L’invention m’a toujours passionné. Sans elle, je ne pourrais vivre heureux. Je vais jusqu’à penser qu’elle est la qualité que nous devrions cultiver pour nous réaliser. Comme individus, et pour survivre, comme peuple. 

Ce n’est pas la fin du monde que de se quereller…

Le bonheur est une chose de l’âme et non du corps ; la source en est dans le dévouement et non dans la jouissance, dans l’amour et non dans la volupté.

La vraie paix coûte si cher que bien des gens vont préférer mourir sans l’avoir connue. Pour compenser, ils vont s’étourdir ou se réfugier dans le rêve…

Le mariage est une greffe ; cela prend bien ou mal.

La célébration des mariages est pareille pour tout le monde, à ce que je sache. Tout ce qui fait la différence, c’est le nombre de personnes qui y assistent…

Avant de semer ses conseils à gauche puis à droite, il est préférable d’avoir fait ses preuves.

Tous les hommes cherchent plus ou moins leur mère dans la femme qu’ils épousent.

À la seule pensée d’être la possession de quelqu’un, tout mon être se rebiffa. Dans nombre de cantiques, les religieux chantent, avec allégresse, n’appartenir qu’à Dieu… Est-ce donc que l’amour le plus sublime, le plus entier souhaite cette possession ?

Ils sont si rares les hommes capables de comprendre le cœur d’une mère !

C’est traître, la politique ! Un jour adulé, le lendemain, condamné.

La religion est la première responsable de l’abandon des enfants nés hors mariage. Sans égard au géniteur, le prêtre fait porter à la mère toute la
responsabilité et la punition qu’une telle faute mérite, à son point de vue.Vous devinez bien que ce certificat de bonne conduite n’est pas accordé
facilement. Certaines mères ne l’obtiendront jamais…

Il faut tenir compte du passé et des difficultés du patient pour le traiter adéquatement.