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Critiques de Pearl Buck (594)
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Je n'oublierai jamais

Buck Pearl

Je n’oublierai jamais

Ce n’est pas un de mes préférés de cet écrivain car c’est ici une œuvre autobiographique ; une suite d’expérience et de réflexions personnelles.

Elle nous décrit comment elle a sut et put surmonter les épreuves de la perte d’un être cher.

Elle revient pour cela au Japon après 25 ans de séparation pour faire le tournage d’un film « La grande vague »

C’est l’histoire de ce film, des hommes et des femmes après la guerre, de ce Japon quelque peu nouveau qu’elle veut nous faire découvrir.

Cela lui donne une inspiration et une sérénité nouvelles. Ce livre est un peu un testament moral, acte de foi, de confiance en la vie qu’il faut savoir mériter

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Je n'oublierai jamais

J'aimais Pearl Buck il y a 20 ans. Alors soit j'ai perdu en patience, ce qui est possible, soit ce titre me parle moins. Reste à voir que je l'ai abandonné car même si le thème est beau et triste, certes il ne me parle pas, mais j'ai quand même l'impression que ça écrit des sentiments, mais que ça reste flou ... (pour moi). Peut-être reviendrais-je plus tard vers ce roman.
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Je n'oublierai jamais

1963 - Une femme de lettres regarde par la fenêtre de son appartement à New York, voit son passé se précipiter des crêtes de "La Grande Vague", le film qu'elle extrait d'un de ses livres, et regarde au loin son mari disparu, cet "il" sans nom devenu âme parmi les âmes.

Le style est un marqueur des années 60, désuet et conservateur (le rock en roll n'existe que pour faire piailler les ados des sixties et sur ses 9 enfants elle a une fille arriérée), tout emprunt de modestie, délicatesse et pudeur japonaises traditionnelles et de Confucianisme.

Pearl Buck cherche et trouve son équilibre, sa réintégration au monde, malgré le deuil, en dépit de sa nouvelle solitude. Elle ajuste sa vie comme un bateau perdu au milieu d'une tempête, elle se cramponne à l'art - "apport aussi important dans l'existence"-, elle se sent capable pour survivre de cruauté et de brutalité parce qu'artiste. Ce livre déroutant témoigne de tout cela.



Je sais qu'un livre est bon quand le style ne fait pas de concession ni de courbettes à la mode, quand je veux en retenir les citations et les idées, quand je marque les pages à n 'oublier jamais. C'est le cas ici.

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L'amour demeure

On retrouve ici le talent de Pearl Buck pour dépeindre un personnage féminin.

L'erreur serait d'être tenté de s'identifier à Edith, parce qu'elle est occidentale, de la penser proche de nous.

Edith 'est pas une femme de notre époque, et il faut lire son histoire comme on a pu lire celle de Pivoine, par exemple... Alors seulement, on peut être en mesure d'apprécier ce roman.
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L'amour demeure

Je ne vais pas le cacher, j’aime beaucoup Pearl Buck.

Mais alors là….. Quelle déception ce livre.

Où est l’auteure de Vent d’Est Vent d’Ouest, d’Impératrice de Chine ?

Ce n’est pas possible, ce n’est pas la même plume.

Alors qu’elle est seule dans son chalet de montagne une riche héritière devenue veuve à 42 ans d’un mari plus riche encore, entend frapper à sa porte.

C’est Jared un jeune homme de 24 ans qui cherche un hébergement pour la nuit.

S’ensuivront alors plusieurs mois de je t’aime mais je ne sais pas.

Entre les descriptions de la vie d’une femme richissime dont la seule inquiétude est de s’assurer auprès de son majordome que sa cuisinière a bien du homard pour son repas avec sa voisine et amie, et ses atermoiements pour savoir si au final elle va devenir la maitresse d’un jeune homme qui a l’âge de son fils, j’avoue que je n’ai pas, mais alors pas du tout aimé, j’ai trouvé ce livre d’une platitude sans nom.

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L'amour demeure

Bon ben ça fait du bien quand ça se termine parce que même si l'histoire est bien écrite elle est inintéressante (enfin pour moi). Elle est aussi niaise que son titre "L'amour demeure".

En bref ce sont les états d'âme d'une riche veuve de quarante-deux ans qui a toujours aimé les hommes plus âgés mais qui s'interdit l'amour avec un plus jeune.

Pearl Buck a beau être la lauréate du prix Nobel de littérature de 1938, la romancière américaine cumule les incohérences dans ce roman. Cela commence avec un jeune skieur qui frappe à la porte de son chalet pour se faire héberger. Les domestiques d'Edith ne sont pas là mais elle accueille volontiers l'inconnu. Même si elle se sent seule depuis qu'elle est veuve on ne croit pas une seconde qu'elle va s'improviser hôtelière d'occasion d'autant plus qu'elle a des amis et un amant de coeur.

Et puis cette femme qui ne sait pas quoi faire de ses journées dans sa maison de vingt-deux pièces et qui va s'acheter une veste en phoque (même dans les années 70 c'est choquant !) ou une douzaine de chemises de nuit (pourquoi pas vingt pendant qu'on y est !), est très agaçante. C'est une aristocrate qui a du mal à vieillir sans qu'aucun élément contextuel sur la situation sociale ou économique voire politique ne soit abordé.

Le thème tourne autour de la définition de l'amour (surtout avec des différences d'âges) et son rapport à la sexualité. Parce qu'en plus de l'accueillir sous son toit régulièrement Edith se refuse physiquement au jeune homme dont elle est amoureuse, ne désirant que son amour (?). Et je passe sur les propos sur l'homosexualité et l'abstinence auto-imposée.

Le sujet pourrait être intéressant s'il était traité autrement. Je n'ai eu aucune empathie pour les personnages qui sont bien plus nombreux que ceux que j'évoque. Grosse déception.





Challenge Solidarité 2021

Challenge Riquiqui 2021

Challenge XXème siècle 2021

Challenge ABC 2021-2022

Challenge Nobel illimité



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L'amour demeure

Après avoir lu 3 romans de cette autrice j'ai eu envie de découvrir sa bibliographie, et je suis tombé par hasard sur ce titre en occasion.

Et ce fut la douche froide. Je n'ai absolument par reconnu le style de l'autrice et ai trouvé ce roman absolument sans intérêt. (J'ai d'ailleurs lu les 10 dernières pas en diagonales). Le roman commence de la même façon dont il se finit. 180 pages sur les états d'âme d'une veuve riche, qui aime un homme trop jeune sans concrètement se décider sur que faire. Bref. Un titre vite oublié.
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L'amour demeure

Je suis désolée de détruire l'oeuvre d'une auteure comme Pearl Buck mais ce roman m'a paru d'une vacuité sidérante. Le personnage principal, Édith, ne fait strictement rien de ses journées , d'autant plus qu'elle ne travaille pas et dispose d'un valet à son service. Elle passe son temps à changer de tenues et à donner des ordres à son personnel. Veuve, elle ne voit aucun problème à coucher avec Edwin mais refuse catégoriquement toute relation physique avec Jared sans que l'on ne comprenne vraiment pourquoi. Parlons à ce propos de sa relation avec Jared MON DIEU QUE C'EST LOOOONG ET PLAT. Ils se tournent autour , se font des politesses mais rien ne se passe. Passons sous silence les dialogues d'une mièvrerie saisissante et la place de la femme présentée dans ce roman. Cette dernière est effectivement réduite à sa beauté et son élégance.

Bref, je n'ai pas aimé. Je mets une étoile car le style est parfois superbe et je laisse a l'auteur le bénéfice du doute quant à la modernité du roman vis-à-vis de son époque.
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L'ange combattant

Ce livre m'a été offert par une collègue de travail lorsque j'ai quitté mon précédent emploi. J'apporte donc une certaine attention à cet ouvrage. Au-delà de cette information, à travers Andrew, nous pouvons vivre les différents évènements, changements politiques, sociologiques de son époque. Mes parents sont des réfugiés politiques du Laos. Il y avait également des missionnaires. Sans eux, je me demande toujours comment nos vie se seraient déroulées. Comme Andrew, ils se sont servis de leur écriture pour écrire la notre. Ils ont appris de nous et nous ont éduqué, élevé, protégé. Morts pour leurs pays, pour nous, pour leur religion. Nous nous rappellerons toujours de ce qu'ils ont fait, que ce soit bon ou non selon les points de vue.

Un excellent ouvrage pour un excellent rappel de ce que ces personnes ont souhaité entreprendre dans leur vie. Merci.
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L'ange combattant

ici pearl buck nous retrace la vie de son père, un homme qui voulait faire découvrir la Bible aux chinois, il a été le premier à transcrire une bible en chinois courant.
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L'ange combattant

"L'Ange combattant" est la biographie de Andrew, pasteur missionnaire en Chine et père de l'auteur Pearl Buck, prix Nobel de littérature 1938. Ce livre fait suite à "L'exilée" qui racontait la vie de la mère de l'auteur.



Andrew a une personnalité hors norme. Il est entièrement dévoué à Dieu et à ce qu'il considère son devoir, évangéliser le peuple Chinois à la fin du 19è siècle. Il va y consacrer sa vie entière, toute son énergie, sa santé, son temps, ses maigres ressources. Homme intransigeant, honnête au point d'être naïf, absolument pas accommodant avec les autres pasteurs qu'il méprise, et indifférent à tout ce qui ne concerne pas sa mission. Il arrivera à se faire aimer du petit peuple dont il prend souvent la défense, mais beaucoup de ses nouveaux convertis abuseront de lui sans qu'il s'en rende compte.



Deux choses m'ont marquée dans cette lecture : l'indulgence, et même l'affection de l'auteur vis à vis de son père, qu'elle n'a pourtant jamais connu comme "père" mais comme un homme entièrement pris par son devoir extérieur au point d'oublier combien d'enfants il avait. Et la joie que cet homme avait à accomplir sa tâche, méprisant les autres missionnaires qu'il juge paresseux, malgré les difficultés et les privations.



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L'ange combattant

Cet ouvrage est en quelque sorte, une suite de "L'exilée" dans lequel l'auteur racontait le vie de sa mère ; ici est traité celle de son père.

Personnage entièrement dévoué à Dieu et à sa cause, il nous apparaît tout de suite moins glorieux que le portrait brossé de son épouse.

On découvre un homme entièrement dévoué à sa religion et peu intéressé par sa vie de couple et de famille. C'est intéressant à lire dans le sens ou ça nous renseigne davantage sur le personnage et ses aspirations et nous conforte dans la sympathie que nous inspire Carrie, la mère de l'auteur, qui fut réellement une sainte femme pour supporter la vie que son mari lui avait infligée.
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L'arc en ciel

À l'image de "Histoire d'un mariage", Pearl Buck s'intéresse ici à ce qui se joue dans un couple. Elle prend ici le décor de Broadway, du monde du théâtre à cet époque, et prend pour hero un homme d'affaires cinquantenaire, bien peu aux faits des us et coutumes du milieu.

Le texte est vieillissant, donc forcément il ne reflète plus forcément les enjeux que peuvent rencontrer les couples installés d'aujourd'hui, mais il aborde à sa manière la crise de la cinquantaine d'un homme puissant, qui possède tout, même une belle femme, et la révolte silencieuse de cette même femme qui n'a que peu les moyens de l'exprimer.
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L'arc en ciel

Ayant trouvé ce livre au fond d'une armoire, et ayant abandonné un livre impossible à lire, je me suis donc lancé dans cette lecture.

Bon, je ne vous cache pas que j'ai été déçue. Sur la 4ème de couverture, j'ai vu que cette auteure avait obtenu le prix Pulitzer et le Nobel de littérature, je m'attendais donc à une lecture un peu plus profonde. En même temps, il s'agit de son dernier livre ...

La lecture est tout de même plaisante et on y apprend le monde impitoyable du théâtre New-Yorkais. Un metteur en scène tyrannique, manipulateur et une jeune première prête à tout pour réussir et se rendre indispensable.

Au milieu de cette histoire, un questionnement sur l'amour, ce que l'on accepte de l'autre, ce que l'on est prêt à donner ...
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L'arc en ciel

Je n'ai pas retrouvé le style de Pearl Buck que j'apprécie dans tous ces écrits sur la chine.
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L'arc en ciel

Henri Potter, la cinquantaine et homme d’affaires réputé, assiste accompagné de sa femme à une représentation théâtrale qu’il juge mauvaise. Par besoin d’un nouveau challenge mais sans en parler à son épouse, il décide d’en produire une. Il découvre alors un monde particulier, parfois dur et tombe sous le charme de la jeune vedette de la pièce.

Je n’ai pas trop adhéré à cette histoire, cet homme qui a réussi sa vie personnelle et professionnelle se lance dans un nouveau défi mais qui se pose des questions sur sa vie, sur l’amour et sur sa relation avec sa femme dont il est toujours amoureux, la crise de la cinquantaine sans doute !

En fait, je me suis demandée où voulait en venir l’auteur entre le monde impitoyable du théâtre qui ne doit pas être plus impitoyable que le monde des affaires où excelle Henri et tout ce questionnement sur l’amour. Bref une petite déception.

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L'enfant qui ne devait jamais grandir

Pearl Buck a toujours eu l'habitude d'évoquer sa vie dans ses livres mais là elle dévoile quelque chose de très personnelle en parlant de sa fille handicapée. Ce témoignage est très précieux si on le resitue dans son contexte des années 1950. A cette époque avoir un enfant si différent signifiait une honte insurmontable et il fallait cacher à tout prix ce dernier. Elle peut évoquer des sentiments très fort comme la honte pour les parents de voir leur enfant ne pas réussir à l'école, rester à un état végétatif. Elle vient raconter le début de la prise en charge de ces malheureux innocents comme elle les nomme en se réjouissant sur le fait que la société s'achemine vers une meilleure compréhension et prise en compte. Mais à la lecture de son témoignage on peut aussi se dire que les choses n'ont pas tellement évoluée, que les parents se retrouvent toujours dans une profonde détresse à l'annonce du handicap, que la société pose encore aussi souvent un regard apeuré face à la différence. elle évoque son cheminement personnelle face à sa fille, comme sa réflexion a pu évoluer. Elle explique pourquoi il lui est paru nécessaire d'écrire un tel ouvrage. Certainement pour traduire en mots, les maux ne ceux qui n'ont pas la plume facile comme elle. Elle s'est donc senti investi d'une mission envers les autres parents. c'est un tout petit ouvrage mais qui évoquent des sujets graves. Bien entendu elle fait également référence à la Chine pour expliquer comment là-bas le handicap est vécu différemment qu'aux Etats-Unis.
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L'enfant qui ne devait jamais grandir

Pearl buck est une auteure qui me touche énormément dans sa façon d'écrire et les thèmes sur la Chine. Là elle se dévoile dans sa course à la recherche d'une solution à vie pour sa fille déficiente.

Ce roman nous montre son parcours, ses questionnements, ses recherches, ses combats intérieurs. Comment accepter son enfant déficient, accepter cette prise de conscience, celui d'une recherche à long terme pour notre enfant, subvenir à ces besoins.

Ce roman daté du début du siècle, des propos peuvent choquer, mais se souvenir qu'à l'époque, les déshérités, comme elle les nomme joliement, n'étaient pas considéré comme des personnes à par entière, mais un poids dont on pouvait se défaire. Pearl Buck luttait contre cette pensée et pour la recherche de solution à long terme pour que ces enfants aient une éducation, une utilité dans le monde.

Un très jolie roman qui même s'il est ancien, peut aider des personnes actuellement confrontées à cette situation.

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L'énigme éternelle

Quel plaisir de trouver un livre de Pearl Buck à la médiathéque , dont j'avais lu il y a très longtemps : "Pivoine", "Pavillon de femmes"," Vent D'est, Vent d'Ouest " La Mère, "et surtout" "Impératrice de Chine ", qui m'avait été offert par ma marraine , une enseignante passionnée !

C'était fascinant pour la petite fìlle que j'étais alors, une merveille.......

Il retraçait la vie de l'Impératrice Tzu- Hsi, durant la deuxième moitiè du XIX° siècle ( 1835_ 1908 ) : les coutumes de la Chine ancienne, la vie derrière les murs, au sein de la cité interdite........

Ce fut le début de ma découverte précoce de Pearl Buck, prix Nobel en novembre 1938. Ce dernier livre, dont le manuscrit a été découvert quarante ans après sa mort par son fils adoptif Edgar Walsh conte l'histoire d'un jeune garçon américain , nommé Randolph Colfax, dit " Rann " , adolescent surdoué au début des anneés 50.

A l'étroit à l'université , il abandonne ses études et part à l'aventure, d'abord à New- York, puis à Londres, où Lady Mary lui enseigne la sensualité , l'échange des plaisirs charnels qui lui permet à elle , de rester jeune. ........ Un outil de satisfaction raffinée mais égoïste .



Rann refuse de se laisser utiliser , lui dit adieu, reprend sa liberté . Il débarque en France , à Paris , au mois d'août , puis à New- York, où il rencontre son grand - père maternel à Brooklyn et son fidèle serviteur Sung, qu'il a sauvé autrefois .........Il rencontre la belle Stéphanie Kung, une sino - américaine dont le pére, marchant d'art offre à Rann sa succession et la main de sa fìlle .........



Il a un esprit fortement analytique, décortique et note ses rencontres, les lieux qu'il visite, veut tout savoir sur "tout," est avide "d'apprendre , toujours apprendre", "La seule chose que je sais , c'est que je ne sais rien " dit- il , incapable de s'attacher , curieux de tout il désire rester indépendant ..Il parle peu mais comprend tout, même très jeune , son esprit rayonne d'intelligence, il sonde ses propres besoins ........

"Les livres renferment la quintessence des hommes " ........

Son introspection oblige le lecteur à faire un effort intellectuel et à réfléchir au déroulement de nos vies.........

Son évolution constante est pétrie de réflexions philosophiques profondes, et de questions existentielles.

C'est une oeuvre romantique, exotique, riche, mélancolique à visée philosophique . Ce héros à la curiosité intellectuelle insatiable réfléchit sur l'art et la Beauté , la création et la vérité, la liberté , la langue, les œuvres d'art , la destinée d'un homme quand il a "l'âme d'un créateur", le travail de l'architecture , de la peinture et de la littérature , l'éventail des possibilités et des "pulsions" "créatrices" , la science et l'art ........"L'art est le rêve de l'homme libre " .......

L'auteur explore aussi le destin contrarié des individus de sang mêlé, le fossé intangible entre Orient et Occident , le métissage ........

Une énigme éternelle ?
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L'énigme éternelle

Moi qui ai adoré lire Pearl Buck quand j'étais adolescent et dernièrement en, lisant les merveilleux " La terre chinoise " et '' La mère'' , j'ai été déçu par cette "Enigme éternelle " : je ne me suis pas attaché au personnage principal , l'histoire ne m'a pas captivé et je n'ai pas retrouvé le style et la superbe langue de Pearl Buck . J'ai refermé le livre puis en ai commencé aussitôt un autre sans en rien garder !
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