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Critiques de Peter Farris (210)
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Les Mangeurs d'argile

Une quête de vérité dans les forêts de Géorgie.

Jesse Pelham, 14 ans, vient de perdre son père qui a succombé à une chute mortelle d’une échelle. Mais les doutes assaillent le jeune homme qui ne veut pas croire à cet accident.

Il fera la rencontre de Billy, un vétéran au passé sombre qui fuit le FBI, mais aussi le monde. Grâce à cette rencontre, Jesse pourra enfin faire la lumière sur les secrets de sa famille et rétablir la vérité et la justice pour son père.
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Le diable en personne

C'est un livre très dur, les descriptions sont cruelles...

Mais il diffuse une énorme dose de tendresse.

J'ai beaucoup aimé.

Bonne fin d'année mes amis
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Les Mangeurs d'argile

Des personnages complexes, attachants ou répugnants, une intrigue rythmée : Peter Farris livre un nouveau roman puissant et cruel dans une Géorgie étouffante.
Lien : https://www.lesoir.be/246120..
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Le diable en personne

Roman américain, publié chez nous par la maison d'édition française spécialisée dans la littérature des États-Unis, le diable en personne a tout d'un classique de la littérature noire américaine, et peut-être encore plus du film noir américain, teinté de western. On y trouve les élites et les flics corrompus, les cartels mexicains, le vieux solitaire excentrique de la ruralité profonde, des fusillades maousses, l'alcool de contrebande…



Comment une très jeune prostituée se retrouve sous la protection d'un vieux misanthrope un peu cinglé, pourquoi est-il si important pour ceux à qui elle a échappé de la faire taire définitivement, qu'est-il arrivé à la femme de Léonard Moye qui la remplace par un mannequin (de paille, pas de mode) ? Les réponses à toutes ces questions sont données dans le livre. Mais sans trop de détail, ici ce n'est pas l'intrigue qui compte, ce n'est pas le pourquoi de l'action, c'est l'action en elle-même, les personnages et leurs rapports. Des personnages parfois drôles, parfois touchants, plus rarement un peu insipides.



Il ne faut pas espérer en ouvrant ce livre faire une découverte hors des sentiers battus. Ce qu'il raconte, la façon dont il le raconte… on est en terrain balisé. Il reste que c'est bien fait et agréable à lire, ce qui est le principal.



Chronique rédigée dans le cadre d'une série de 12 articles sur les romans sélectionnés pour le 2ème tour des trophées 813 2018. Vous pouvez trouver l'intégralité des chroniques sur https://romancerougenouvellesnoires.wordpress.com/tag/trophees-813/
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Le diable en personne

Ca decoiffe sévère ce roman, le diable en personne surgit des marais pour renverser une situation crée par cette amérique profonde et violente que l'on connaît. Un joli tour de froce
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Le diable en personne

Un polar haletant, qui pointe aussi les dérives d'une société américaine dominée par les rapports de force et la violence.
Lien : http://culturebox.francetvin..
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Le diable en personne

Un psychopathe, une fille paumée et un mafioso : Peter Farris brosse une triplette infernale dans « Le diable en personne ».
Lien : http://www.lepoint.fr/livres..
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Le diable en personne

The devil inside



Maya est une prostituée, une fille de Mexico, gangster proxénète qui règne sur une ville du Sud-Est des Etats-Unis avec l’aide ou en soutien du maire de la plus grande ville de l’Etat de Georgie.



Malheureusement pour Maya, le maire s’est entiché d’elle, se l’accapare et partage tout avec elle : ses projets et donc ses magouilles. Maya est ainsi devenue celle qui en sait trop et qu’il faut éliminer. Dans ces cas-là, Mexico a la solution : des terrains marécageux infestés de crocodiles qui ont l’avantage de ne pas laisser traîner de traces.



Heureusement pour Maya, les sbires de Mexico ne brillent ni par leur intelligence ni par leur efficacité. Elle va parvenir à s’enfuir et va trouver refuge auprès de Leonard qui manie le fusil comme on manipule un truc avec lequel on a grandit : avec aisance et naturel. Chez Léonard, l’hospitalité n’est pas un vain mot, qu’on soit ami ou ennemi : on y reste longtemps… mais pas dans le même état physique.



Loin de révolutionner le genre, Peter Farris livre néanmoins ici un récit parfaitement maîtrisé. On ne s’attachera pas trop à la stricte cohérence ou crédibilité des situations décrites. Elles ont pour vocation à servir de canevas au récit de la relation, ambiguë ce qu’il faut, entre Maya et Leonard. On cherche à deviner qui apprivoise qui : qui du vieux bougon qui défend bec et ongles son territoire, comme il l’a toujours fait, ou de la jeune fille à l’esprit vif séduit l’autre, sans parler de Marjean, la « femme » de Leonard, mais c’est encore une autre histoire. Le rôle de ce personnage clef du roman pourrait faire l'objet d'une analyse à lui tout seul mais en livrer une ici serait déflorer une partie de son mystère. On peut dire en tout cas qu'il crée un lien physique, on ne peut pas dire charnel, entre Leonard et Maya. Il endosse aussi le rôle capital et salutaire de catharsis qu'il remplit avec une aisance et une présence rare.



La rencontre du vieil excentrique et de la jeune paumée en fuite s’avère aussi efficace qu’explosive, Maya emmenant dans son sillage ce que Mexico propose de plus méchant et de plus pervers.



Pour autant, Peter Farris se garde bien de faire des gentils purement gentils. Si les méchants sont particulièrement méchants, retors, sans pitié… les gentils ne sont pas de gentils agneaux inoffensifs. Peter Farris les pousse dans leur retranchement pour en faire suinter, pour en expurger, quand bien même cela se fait dans le cadre d’une noble cause de défense du pot de terre contre le pot de fer, le pire. Comme si la méchanceté des truands était une maladie contagieuse qui se propagerait dans les corps et les esprits des gentils, comme si le monde envisagé par Peter Farris était forcément corrompu, comme la ville d’Atlanta, jamais citée mais pourtant présente à l’esprit, ou l’état de la Géorgie gangrenés par la plus vile des corruptions et les plus perverses collusions entre politique et grand banditisme.



Peter Farris construit son récit autour de personnages chez lesquels il va chercher les meilleurs des pires et le pire chez les meilleurs… Un livre diablement efficace !


Lien : http://wp.me/p2X8E2-S4
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Le diable en personne

Une jeune black exploitée par un méchant politicien, un vieil homme taciturne, ermite nimbé d'une aura mystérieuse, en mal d'Amour, une conspiration sur fond de trafic d'humain et de drogue, un bon flic, un méchant flic, de grosses ficelles qui n'ont pas su me transporter.

Certes cela tire partout, mais cela reste faible à mon goût pour ce qui est finalement une sorte de roman fantasme.
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Dernier appel pour les vivants

dernier appel pour les vivants » de Peter Farris.



Ca faisait un pti moment que je me l’était noté celui là, pis la sortie de son nouveau roman et l’avis dithyrambique de Lou Knox (libraire de talent) on fait tilt dans mon petit cerveau.



C’est du brut de décoffrage, à ne pas mettre entre toutes les mains, ca craque , ça gicle et on en redemande !



Les ingrédients : univers carcérale, braquage, chasse à l’homme, huit clos, drogue, famille, fraternité aryenne.



L’histoire tient le pavé et la tension est palpable, on transpire avec les personnages mais c’est un régal.



Un vrai bonbon acidulé mais confectionné avec de l’acide chlorhydrique comme sait en faire Gallmeisteir et sa collection néo noir .



Alors oui c’est violent mais pas que, il y a un juste équilibre entre action et dialogue, du coup on a vraiment le temps de s’attacher aux personnages.



Donc oui je vais lire le nouveau Peter Farris et oui je vais continuer à lire du neo noir parce que c’est très bon.
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