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3.79/5 (sur 3215 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Terre Haute (Indiana) , le 26/01/1918
Mort(e) à : Peoria (Illinois) , le 25/02/2009
Biographie :

Philip José Farmer est un écrivain américain, connu pour ses romans et nouvelles de science-fiction/fantastique. Il a inventé le concept de Wold Newton.

Né en 1918 dans l'Indiana, Philip José Farmer, qui vit à Peoria, Illinois, est l'un des derniers grands écrivains américains de l'Âge d'Or de la science-fiction.

Avec trois prix Hugo ("Les Amants Étrangers" en 1953, "Les Cavaliers du Fiel ou le Grand Gavage" en 1968, "Le Fleuve de l’Éternité" en 1972), il est reconnu pour son audace, son imagination débordante et son absence de tabous littéraires. Il est, en effet, le premier écrivain à avoir introduit l'érotisme dans la science-fiction, jusque-là très pudibonde, dès son premier roman, "Les Amants Étrangers".

Une grosse partie de son œuvre s'intéresse à la réinterprétation de personnages historiques ou romanesques. "The Other Log of Phileas Fogg" remplit les trous du calendrier dans "Le Tour du monde en quatre-vingts jours de Jules Verne". Sa série de romans "Le Fleuve de l'éternité" ("Riverworld") suit les aventures de Richard Francis Burton, Cyrano de Bergerac, Jean sans Terre, Hermann Goering et Samuel Clemens, le long d'un fleuve infini, où l'on a mystérieusement ressuscité toute l'humanité ayant vécu.

Il fait rentrer dans le monde réel le personnage de Kilgore Trout, créé par Kurt Vonnegut, en publiant sous ce pseudonyme le roman "Venus on the Half-Shell".
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Citations et extraits (120) Voir plus Ajouter une citation
Soixante-dix fois ,la bête noire avait traversé le ciel incandescent .
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On eût cru entendre claquer les portes de la mort.
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Un ver qui le rongeait, et ce qu'il adviendrait avant qu'il l'eût entièrement dévoré, il l'ignorait.
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Soudain,à l'obscurité de la forêt succéda l'éclat du claire de Lune.
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Son dos était droit, et non courbé en forme de point d'interrogation comme tant de vieilles femmes aux os ramollis. Elle s'est arrêtée devant la porte et a attendu que je la lui ouvre.
Je me suis acquitté de cette galanterie en haussant les sourcils.
- J'ai toujours pensé que les hommes faisaient de meilleurs portiers que les femmes, a-t-elle expliqué. Et je n'ai jamais cru à l'égalité des sexes. Les femmes sont supérieures, si l'on excepte la bêtise qu'elles mettent à choisir leurs compagnons. Vous êtes d'accord ?
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Notre vie sexuelle n'était pas telle que je l'aurais souhaité, en grande partie à cause des idées excentriques de Glinna. Par exemple, elle disposait des boules de cristal et des pyramides en hexagramme sous le lit pour qu'elles attirent sur nous la plus intense des énergies sexuelles. Pendant la bonne période astrologique, bien entendu.
Résultat, je me mettais à bander dès que je passais devant une boutique de cristal.
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Le décapode n'était pas un insecte malgré son aspect arachneide. Pas au sens terrestre ,en tout cas. Ce n'était pas non plus un vertébré.
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Les rêves sont les tremplins de la réalité.
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Jamais est un bien grand mot pour dire jusqu'à la mort.
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Les Seigneurs aiment le danger, c'est la seule épice de l'éternité. L'immortalité n'est rien s'il n'existe pas une possibilité de la perdre à n'importe quel moment.
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Littérature : Portrait de femme (2)

- "Ma fille vous demande pardon ; elle n'était pas encore tout à fait prête. Votre Excellence sait comment sont les bonnes femmes dans ces occasions", ajouta-t-il en exprimant en des termes quasiment vernaculaires une pensée d'une légèreté parisienne. "Mais elle sera là dans un instant ; notre maison est à deux pas comme vous savez." L'instant dura cinq minutes ; puis la porte s'ouvrit [...] Devant l'impétuosité de sa beauté les hommes furent incapables d'en remarquer, en les analysant, les défauts qui n'étaient pas rares ; et nombreuses devaient être les personnes qui ne seraient jamais capables de cette élaboration critique. Elle était grande et bien faite, sur la base de critères généreux ; sa carnation devait posséder la saveur de la crème fraîche à laquelle elle ressemblait, sa bouche enfantine celle des fraises. Sous la masse des cheveux couleur de nuit enroulés en d'exquises ondulations, il y avait l'aube de ses yeux verts, immobiles comme ceux des statues et, comme eux, un peu cruels. Elle avançait lentement, en faisant tournoyer sa large jupe blanche et portait sur sa personne la sérénité, l'invincibilité de la femme sûre de sa beauté. Ce n'est que bien des mois plus tard que l'on sut qu'au moment de son entrée triomphale elle avait été sur le point de s'évanouir d'anxiété." (Vignette)

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