Citations de Philippe Geluck (862)
La mort, c'est un peu comme la connerie. Le mort, lui, il ne sait pas qu'il est mort... ce sont les autres qui sont tristes. Le con c'est pareil...
« Au commencement, il y avait les ténèbres… Et Dieu n’ayant pas encore créé la lampe torche, il éprouva quelques difficultés à trouver l’interrupteur… Et comme il s’était cogné, il appela ce jour ‘Le Big Bang’ et il se dit ‘Cela n’est pas bon’. »
Livre premier
Quand je perds du temps à chercher des affaires dans mon bordel
je me console en me disant que ceux qui retrouvent tout facilement ont dû en perdre encore plus en rangeant tout parfaitement
Contrairement à ce qu'on pourrait croire, réussir à tout gâcher n'est pas une réussite.
Mais un échec.
- Je vous préviens: je ne couche jamais le premier soir.
- Et le dernier? Car dans l'affirmative, nous pourrions tout à fait envisager de ne plus nous revoir à partir de demain...
Si je vous dis que je suis un menteur... je n'en suis pas un... puisque je dis la vérité.
Si je vous dis que je ne suis pas un menteur... je ne dis pas la vérité.
Donc j'en suis un!
Faut bien être Finlandais pour se construire un sauna. Nous on se met à cinq dans la bagnole au soleil entre midi et 2 heures et ça nous coute 40 balles de parcmètre.
Depuis que je me suis fait imprimer un dessin de guitare sur le manteau, je peux me gratter les c*uilles en toute discrétion. (p. 22)
Les vieux aiment bien faire leurs courses avec un caddie.
Pour eux c'est un peu la formule 1 du déambulateur
Il n'est pas nécessaire d'être gros pour être un gros con. Il suffit d'être con.
Le règle de la suggestion est absolue:
voir un bistrot, ça donne soif
voir une pâtisserie, ça fait saliver
voir un matelas, ça donne envie de dormir
Il y a cependant une exception: ne pas trouver de chiottes, ça fait chier.
J'ai toujours cru que j'étais le seul à être unique, or tout le monde est unique. Et, au milieu de tout ce monde, je me sens un peu seul, mais je ne dois pas être le seul.
Quand on lui montre la lune avec le doigt, l'imbécile regarde le doigt.
Un curé bègue évitera généralement d'annoncer le moment de la quête.
Du temps des yé-yé, je jouais à cache-cache
Je faisais du yo-yo avec notre chow-chow
Ma vie, c'était miam-miam, glouglou, ronron
Puis, j'ai fait pan-pan avec des pioupious pas très fute-fute
J'ai dragué une pom-pom girl dans un boui-boui
On s'est fait des poutous poutous
J'ai fait ami-ami avec un tonton un peu toc-toc
Associés à fifty-fifty, on a vendu des pousse-pousse et des tam-tams à qui mieux-mieux et puis bye-bye!
Nous étions devenus des pépères très bling-bling
Aujourd'hui, je vis à Bora-Bora où mon train-train est plan-plan.
Les lois de l'humour sont très sévères: on ne peut pas se moquer des victimes, des noirs, des homos, des musulmans, des juifs, des handicapés...moi, je dis: de qui se moque-t-on?
Monsieur et Madame Bricot ont un fils. Ils l'appellent Judas.
Le 1er janvier 1945 à Hiroshima, les gens s'étaient souhaité une bonne et heureuse année.
Mon dieu comme j'aime les imbéciles. Ils me donnent tellement l'impression de l'être un peu moins qu'eux.
Moi l'avenir que je lis dans le marc de café est souvent le même.
C'est qu'il va falloir mettre la tasse dans le lave-vaisselle.