Pierre Gaulon

73//2023



Incroyable ultime lecture pour cette année 2023!



Cette 73eme et dernière critique de l'année sera dithyrambique, tant ce roman est une vraie surprise et une excellente lecture, qui se dévoile à la façon d'une poupée russe :)



Par rapport à ce qu'annonce le résumé, l'auteur réussit un tour de force remarquable, sur la base d'un roman chorale tout simple en apparence, mais qui contrairement au schéma classique où différentes existences se rencontrent au milieu ou vers la fin d'une histoire, ici la rencontre n'est pas une fin mais une simple étape dans un scénario beaucoup plus grand.



En effet le point de départ, à savoir un vieux qui vit en ermite, un patron de bar dans un coin rural et une jeune femme qui débarque dans un village paumé, est une vision presque réductrice tellement les rebondissements et les directions choisis par l'auteur sont impressionnants.



Difficile d'en dévoiler plus, mais c'est un roman à tiroirs qui va emprunter des chemins comme la vengeance, les plateaux télés remplis de soi-disant consultants qui donnent leurs avis sur tout et n'importe comment, l'exode rural, une partie thriller, et la fin du roman est juste une bombe avec un point final qui termine d'achever un lecteur déjà sous le choc des nombreux coups reçus :)



Découverte totale de cet auteur et de son univers, les remerciements en fin d'ouvrage et les résumés de ses autres productions donnent vraiment envie d'aller plus loin, après ce qu'il faut admettre pour cette lecture, à savoir un vrai coup de coeur pour cette dernière vie :)

Je devrais avoir l’habitude avec @betapublisher, mais je me fais toujours avoir 😉 La lecture est toujours très loin de ce à quoi je m’attends en choisissant mon prochain livre. Avec « La Dernière Vie » de Pierre Gaulon, c’est pareil : très surprise, et pas déçue ! 😍

C’est un roman policier, et dès les premières pages, j’ai eu peur. Il faut dire qu’on se retrouve en pleine forêt avec un vieil homme, un cadavre de chat (c’est là que j’ai eu peur évidemment), un trou, des barreaux d’échelle, et un village isolé. J’ai même cru que je n’arriverais pas à tenir tout le livre tant j’étais tendue dès la page 12. Et puis… c’est là que l’effet @betapublisher arrive, tout le rythme change. On tourne une page, et on se retrouve dans le village, à rencontrer les commerçants, le maire, ainsi que Mia, une jeune journaliste tout juste arrivée dans ce village qui vit en quasi autarcie. Comme dans un roman paisible. On découvre, le rythme est lent, un peu contemplatif même. Je n’ai plus du tout eu peur, et j’ai même oublié le vieux Nic et le fait qu’on était dans un roman policier. Jusqu’au dernier chapitre, où la tension remonte d’un coup. Et c’est ça que j’aime ! Le rythme n’a rien à voir avec celui des policiers traditionnels, et la tranquillité du milieu rend encore plus stressante la fin 😱

En bref, vous l’aurez compris : j’ai aimé le livre ❤, mais surtout, j’ai aimé le fait d’être perturbée une fois de plus par le rythme du récit et sa construction ☺

Dès les premières pages, nous sommes intrigués par le comportement d'un vieillard qui vit isolé, à la lisière de la civilisation. Peu à peu, d'autres personnages entrent en lice, comme l'indique la quatrième de couverture. Tous sont intéressants et nous sommes happés par leur histoire. Le mystère sur celle de Mia, la journaliste, qui arrive dans un village vivant en autarcie est maintenu jusqu'au bout, et nous tremblons pour elle lorsqu'un tueur à gages surgit...

À vous de découvrir ce thriller haletant !😉

Je suis un poil déçue, car on n’a pas vraiment de fin, c’est un roman qui prend une portion de vie des habitants de Raven à un moment T de l’histoire, T comme tempête donc. Bilan de ma lecture j’ai passé un bon moment avec La patte du diable, mais il m’a manqué quelque chose. Il aurait bien fallu 100 pages de plus pour nous développer un peu ce mystère et creuser un peu plus. J’en ai été pour ma part frustrée !
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Avouez que le résumé est intriguant et la couverture magnifique !



J’avais hâte de découvrir ce roman et, si je suis un peu mitigée au sortir de ma lecture, je dois tout de même reconnaître qu’il se dégage une atmosphère de ce roman qui colle parfaitement au thème évoqué et qui le renforce. Autre élément qui m’a plu dans ce roman, c’est le côté interactif : læ lecteur·ice attentif·ve décèlera quelques messages cachés ou quelques références discrètes (ou non, suivant le regard que vous portez à votre lecture). Et puis la fin laisse pas mal de portes ouvertes : que va-t-il donc se passer par la suite ? À l’imagination de læ lecteur·ice d’y apporter des réponses…

Je n'ai pas du tout accroché. Déjà à la plume : toutes les phrases ou presque sont construites de la même manière en "que, qu'il, qu'elle" etc. ce qui est assez lassant. Je pense que ça peut passer si on lit tout le livre d'une traite, mais en devant s'y replonger tous les soirs faut s'accrocher ! Ensuite, il y a des incohérences et des mots mal employés ("envergure" c'est pas pour la hauteur, et un "rond" n'est pas synonyme de "sphère" --'). Ajoutez à ça un narrateur que l'on doit croire sur parole parce qu'il ne nous montre rien et en dit trop et vous avez un roman assez difficile à lire… Je passe mon tour pour la suite !
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Lignes noires est un thriller avec un côté paranormal. C’est rare d’en trouver ou du moins, j’en ai lu très peu jusqu’à présent ! Il a également un petit côté policier qui est vraiment sympa.



Concernant l’histoire je l’ai trouvé vraiment très originale. On ressent le travail de recherche de l’auteur et c’est vraiment appréciable dans les romans.



Les personnages principaux sont simples donc vous ne vous perdez pas dans l’histoire. Et surtout, il n’y en a pas trop, donc vous ne vous perdez pas dans l’histoire.



En résumé, c’est un roman que j’ai bien apprécié. Ce côté paranormal m’a plu, notamment ce côté paranormal autour de la lecture. L’histoire est ni trop longue ni trop courte. J’aurai cependant aimé une fin beaucoup plus surprenante comme j’aime mais on ne peut pas tout avoir.
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J’ai lu ce texte extrêmement rapidement. Une fois que vous commencez à le lire, il est très compliqué de le poser (et ça fait limite peur quand on sait de quoi ça parle, mais je suis toujours vivante, donc je suppose que ça va). La plume est extrêmement addictive et le suspense insoutenable. Vous avez BESOIN de connaître la suite de l’histoire. J’ai passé un incroyable moment de lecture et ce texte est un énorme coup de cœur !



Nous suivons donc le personnage de Maryline, une journaliste qui étudie les événements paranormaux et bizarres pour un journal numérique. C’est un personnage super attachant dès le début et qui a déjà son lot de problème depuis que sa vie a pris un tournant dramatique après un accident. Handicapée, elle a fait de ses cicatrices une force en acceptant de les exposer sur les réseaux sociaux. J’ai adoré le background de ce personnage qui change vraiment de ce qu’on a l’habitude de lire. Le personnage est assez proche de ce que l’on rencontre aujourd’hui avec ce mouvement qui encourage les gens à accepter et se sentir bien dans leur corps. J’ai beaucoup aimé cette approche, qui en plus n’est pas là uniquement pour ajouter plus de diversité. Ce qui lui est arrivé va avoir une vraie importance dans l’histoire, et la manière dont tout est lié est super chouette et bien travaillé.



Le deuxième personnage, HP est aussi super intéressant parce qu’il vient semer peu à peu le doute dans l’esprit du lecteur et sur le vrai genre du texte. Pendant longtemps, on ne sait pas si on se trouve dans du polar, du thriller ou du fantastique. Et le meilleur, c’est que c’est au lecteur de le décider à la fin, à partir des déductions qu’il a fait sur l’intrigue. Si Maryline s’occupe de l’enquête sur le terrain, la partie gérée par HP est un jeu de piste bien plus psychologique qui se base à la fois sur l’Histoire et sur le paranormal, ce qui pousse petit à petit le lecteur à faire ses propres déductions à partir de tout ce que les personnages découvrent. Le duo de personnage fonctionne super bien et j’adore le look du monsieur, qui, quelque part, rappelle aussi ses voyages dans l’ancien temps.



Bien plus qu’un simple roman, c’est une vraie expérience de lecture. Si vous n’êtes pas attentif, vous allez rater des indices. Chaque page a son importance, y compris celles qui en apparence n’en ont pas l’air. Je vous conseille notamment de garder une loupe à proximité, ça pourrait vous être utile. J’étais contente d’en avoir une en tout cas. Le livre dans son intégralité joue avec vous du début à la fin : il y a des alternances de personnages, de taille de chapitres, mais aussi des alternances dans les médias utilisés. Il y a des articles, des mails, des SMS, des extraits de livres et j’en passe, et vous savez comme moi que c’est le gros point bonus pour ma part. J’adore les textes qui jouent sur la forme autant que sur le fond, et c’est justement le cas de ce livre.



Ce que j’ai aussi beaucoup apprécié c’est que le texte parle de sujets forts sans tabous. Il y a eu beaucoup de recherches sur le sujet du suicide, comme en témoigne la grosse bibliographie à la fin, et ça se sent dans le développement de l’écriture. Mis à part deux ou trois scènes qui peuvent un peu heurter la sensibilité, dans l’ensemble, ça reste soft et non-visuel pour ceux qui hésitent encore. J’ai beaucoup aimé qu’on traite également plusieurs sortes de suicides au-delà des cadres qu’on peut croiser le plus souvent, à savoir ceux qui concernent les personnes âgées et ceux qui touchent les travailleurs comme les policiers. C’est quelque chose qu’on croise parfois dans un journal au détour d’un fait divers, mais c’est rarement traité dans la fiction. Il y a aussi un très bon traitement des conséquences d’un traumatisme, que ce soit du côté du personnage principal ou de l’antagoniste, sur lequel je ne m’attarderai pas parce qu’il mérite d’être découvert par lui-même, n’est-ce pas un peu ce que l’on attend d’un roman policier après tout ?



Si je devais trouver un petit point négatif, c’est que j’ai eu l’impression que la fin était un peu rapide. J’aurais aimé avoir un peu plus de développement. Mais cependant, vu la forme originale de la fin du texte, je ne sais pas si j’aurais voulu une meilleure fin. Donc ce n’est pas vraiment un point négatif. Il y a aussi quelques petites infos qui m’ont parue sortir un peu de manière forcée, comme l’implication des De Sertant que j’ai trouvé un chouillas rapide.



Mais dans l’ensemble, ça reste super chouette. Beaucoup d’action et de suspense pour un livre qui mérite définitivement d’être découvert ! C’est un gros coup de cœur pour ma part 😀
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Qu'est-ce qu'un bon polar ? Deux flics, une enquête, une ex sympa qui rend service et donne des renseignements, et une intrigue qui se ficelle aussi vite qu'un rôti ? Pas vraiment, puisqu'un bon polar n'a pas de mode d'emploi. Un bon polar, c'est un livre qui vous donne envie d'enquêter, qui vous perd dans ses rebondissements, qui fait turbiner votre esprit à la recherche d'indice sur l'affaire. Eh bien je l'affirme, Lignes Noires est un bon polar. Pierre Gaulon n'en est pas à son premier essai, et ce livre-ci me donne envie de me pencher sur sa bibliographie. Comme je l'ai dit plus haut, ce polar est "canon" (je dis ça comme ça car c'est vraiment le mot qui m'est venu à l'esprit quand j'en étais à peu près à la page 30), et je vais vous dire pourquoi (oui merci, arrête de tourner autour du pot).

Contexte : des gens se donnent la mort (en apparence ?), la presse ésotérique veut en faire ses choux gras, en la personne de madame Maryline Jane. Une femme de caractère, recollée à la colle forte après un accident de voiture qui lui brisa la jambe et le cœur. Et cet ebook là, qui effraie tout le monde, qui susurre son méfait derrière l'oreille des acquéreurs, au nom plus qu'évocateur (je pense que, si je dis le nom ici, c'est du spoil, donc je me tais et vous aurez le plaisir - ou pas - de le découvrir pendant votre lecture). Point commun bien étrange entre ces victimes que tout oppose, la grand-mère bibliophile, l'influenceuse éplorée et le policier de Grand-Mare.

L'intrigue est posée, le personnage principal en la qualité de Maryline Jane nous emmène avec elle dans son enquête, tandis qu'on apprend un peu plus à la connaître (et vous allez voir comme le terrain psychologique de cette dernière est important). On nous introduit également JH, le chasseur de fantômes, personnage décalé mais totalement en phase avec son état d'esprit (et il faut dire qu'il est très cool aussi). Et puis il y a Darkage, le créateur de l'ebook, qui le dissémine au gré de son plan machiavélique (je m'emballe ? je m'emballe. bon j'en dis pas plus parce que j'en ai déjà trop dit). J'ai adoré les interactions entre les personnages et leur caractère vraiment marqué qui les rend totalement vivant à mes yeux. Le duo Maryline - JH est excellent, mêlant curiosité, bon sens, un peu de rire parfois, empathie (mais sans pitié), et pléthore de connaissances qui permettent à ces deux protagonistes d'avancer dans l'enquête des suicides. J'avoue que j'ai envie de revoir cette paire dans un autre livre (et peut être que cela sera le cas, qui sait ?).

Je parlais de pléthore de connaissances, et l'on peut saluer l'énorme effort bibliographique dont fait part Pierre Gaulon pour donner une dimension de réalité à son roman. Il nous ancre dans un univers profond et aborde le pouvoir de la suggestion, qu'il met formidablement en scène dans des interludes aux allures innocentes, camouflant le délit dans des acrostiches, des phrases masquées, qui s'immiscent dans nos cerveaux pour mieux les influencer. Un jeu de l'auteur, taquin, qui nous enjoint même à contacter Darkage, avec cette adresse mail laissée en évidence.

Ce roman ne serait pas une réussite sans l'existence d'une plume aiguisée et de grande qualité, qui laisse dérouler les pages au rythme vivifiant (tiens, c'est un drôle de mot à utiliser dans un livre qui parle de suicide) d'une intrigue bien huilée, ponctuée de rebondissements et de traits d'esprit pertinents. Un page turner donc, qui se conclut en une jolie épanadiplose, pour rester dans le thème des figures de style littéraire (on aime bien ça à la rédaction).
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Lorsque j'ai lu le résumé, je me suis dit "pourquoi pas ça change un peu "

Je l'ai assez vite fini mais je dois avouer que je suis un peu restée sur ma faim.. j'ai trouvé le dénouement un peu simpliste et j'avoue que je l'avais deviné avant la fin du livre.. dommage

Ce roman reprend une thématique bien actuelle, la drague sur le net. Quand il s'agit de ne plus être derrière son écran et de se retrouver face-à-face avec des inconnus, c'est une autre histoire qui peut tourner facilement au vinaigre si on n'y prend pas garde.



Ce livre m'a fait sourire et m'a donné un certain vent de fraîcheur parce qu'il ne s'agit pas d'un thriller mais plutôt d'un roman épicé juste comme je les aime.



Divertissant, agréable, avec une pointe d'humour et un léger soupçon d'intrigue.

Un roman prenant du début à la fin, et qu’elle fin! Vous croyez avoir compris et hop le retournement de situation vous scotche !

Le suspense est maîtrisé, le rythme soutenu et l’écriture est fluide, avec des touches d’humour. Une réussite!

Un polar sympathique.

Le ton est léger, décalé et humoristique. C'est ce qui m'a plu le plus.

L'intrigue est originale : les hommes qui ont répondu à l'annonce de Leïla et Gwen sur un site de rencontre meurent les uns après les autres.

Par contre, comme les dénouements paroxystique, ce n'est pas vraiment mon truc, je reste sur une note mitigée. Je suis très difficile avec les polars. Je trouve qu'il y a une telle surenchère d'excès. Si c'est too much, je n'aime pas.

Ici, je fais directement mon mea-culpa... Oui, j'ai mis 4 ans avant de lire ce dernier tome. La honte... Et pourtant, ceux qui me suivent depuis quelques années savent que j'aime énormément les livres de Pierre Gaulon. En plus de cela, j'ai adoré ce dernier tome, donc je n'ai aucune excuse !



Je ne vous cache pas que j'avais un peu peur de commencer ce tome 3. Pourquoi ? Mémoire de Dory, ça vous parle ? Bon, il faut dire que pour le coup, je suis la seule fautive, puisque je l'ai laissé traîner dans ma PAL sans raison. Eh bien vous savez quoi ? Le premier chapitre lu, j'ai su que j'allais adorer ce roman ! Et ça n'a pas loupé.



J'ai été happée dès les premières pages. Habituée à lire des polars de cet auteur, il est vrai que que cela peut faire bizarre de lire de la fantasy pure. Et pourtant, on le sent tellement à l'aise, qu'on est vite pris dans l'ambiance et qu'on a du mal à lâcher le roman.



C'est un troisième tome plein de révélations. Outre le grand combat final, l'auteur nous offre ici des twists totalement inattendus qui m'ont fait faire les yeux ronds. Même s'il est vrai que je ne me souvenais pas des tomes précédents, pour la première fois, ça ne m'a absolument pas dérangée dans ma lecture. J'avais plutôt limp3de re-découvrir une série avec cette sensation que ce tome 3 était en réalité le premier tome. Je ne saurais pas expliquer pourquoi ni comment, mais... C'est bien ce qu'il s'est passé dans ma tête.



Et les personnages sont tellement attachants ! Difficile de ne pas ressentir quelque chose pour eux. L'auteur a cette façon de les amener dans le récit, que peu importe qui ils sont, on s'y attache (oui, même un peu avec le grand méchant, ce qui est assez dingue). L'univers qu'a créé l'auteur est vraiment atypique et fou et surtout très intelligent. Il prend son temps pour introduire toutes ses idées (tomes 1 et 2), mais nous offre une fin en apothéose, sans temps mort (tome 3).



​En résumé, j'ai absolument adoré ce tome 3, même s'il m'attendait depuis 4 ans dans ma PAL. Contrairement à ce que je pensais, j'ai été plongée immédiatement dedans et je n'ai pas su le lâcher avant le dernier mot. Des révélations, des combats, des surprises. Bref, un dernier tome qui clôt parfaitement cette trilogie !
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Comme des mouches… ce titre correspond vraiment bien à ce livre car oui, les cadavres tombent… comme des mouches.

Me voilà plongée dans une histoire ahurissante. Leila, jeune trentenaire, vient de quitter son petit copain car celui-ci l’a trompée. Gwen, sa meilleure amie, décide de monter un plan sur un site de rencontre. Leila doit sélectionner 5 personnes et leur donner rendez-vous. Ces 5 personnes devront relever des défis et le premier sera amené à faire mieux connaissance avec elle. Mais tout ne va pas se passer comme prévu. Les prétendants meurent un par un, dans des circonstances à chaque fois différentes. Meurtres en série ou accidents?

Leila, elle, ne sera plus jamais la même…

Ce livre est vraiment addictif. Le début me fait penser à une romance, où la protagoniste perd son amoureux et s’effondre dans les bras de sa meilleure amie. Mais après quelques pages, le rythme s’accélère et je me suis vite rendue compte que j’étais embarquée dans une folle histoire.

La fin m’a laissée sans voix, je n’aurai pas imaginé un tel dénouement.

Les plumes des deux auteurs se marient à merveilles. Meurtres, peur, angoisse et folie sont les ingrédients de ce livre on ne peut plus irrésistible.

Franchement, je ne peux que vous conseiller de lire ce policier, vous ne serez pas déçu.

J’avoue, qu’au départ, j’ai éprouvé des difficultés à retrouver dans cet ouvrage le style et la plume de Frédéric Ernotte – dont je connaissais déjà C’est dans la boîte et Ne sautez pas – ceci étant peut-être lié à l’écriture à quatre mains de ce « Comme des mouches ».

Néanmoins, après quelques chapitres, je me suis retrouvée happée par l’histoire, le côté naïf de ces deux femmes et l’humour des deux écrivains.

C’est donc l’histoire de Leila qui, entraînée par son amie Gwen, se décide, suite à sa récente rupture, à se créer un profil – Régina Phalange – sur le site de rencontre Love Corner afin d’oublier son ex-copain. Très rapidement, les prétendants affluent et les deux femmes planifient des rencontres afin de mieux cerner leurs profils. Malheureusement, tout ceci tourne bien vite au drame: les prétendants meurent les uns après les autres; ils tombent comme des mouches!

Thriller très réussi, dévoré de la première à la dernière page en un temps record!
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Ne vous fiez pas au titre du livre, The suicide book est un thriller !

Pierre Gaulon a développé une histoire basée sur la perception du suicide à travers le temps.  Grâce à une large documentation, il renseigne le lecteur sur les aspects religieux, psychologiques et sociologiques de l'acte.

Avec son enquêtrice Maryline, qui m'a fait pensé par moment à la célèbre Lisbeth Salander de Stieg Larsson, l'auteur captive dès les premières pages et nous embarque dans un monde bien sombre où la lecture pourrait entrainer la mort ... De quoi vous faire froid dans le dos !

Normal ? Paranormal ? Les personnages sont bien travaillés, l'écriture est fluide, le récit sans temps mort, le dénouement sans réel surprise, mais les destins sont bien souvent tout tracés.

Oserez-vous le lire ?

J'ai relevé le défi et je suis toujours vivante !
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Bien ficelé moi même j’ai eu un doute sur le paranormal jusqu’au moment où on comprends qu’elles sont plusieurs



Quelques regrets car j’aurai aimé en découvrir davantage sur les pères de la descendance de la vengeresse.



Autrement l’enquête et l’intrigue c’est prenant.



Une profonde empathie pour le père de famille qui sacrifie ses enfants et son épouse pour leur éviter bien pire que la mort...



C’est dramatique mais courageux aussi et sans doute que beaucoup de familles ont réagis de la même façon pendant la guerre

Super livre à quatre mains deux auteurs que j affectionne dans des styles différents ils ont réussi à se trouver dans ce thriller très bien écrit sur l amour via les réseaux sociaux

Enragés, livre que je me suis décidée à lire grâce aux bonnes critiques d'une amie twitter et blogueuse littéraire à ces heures, fan de dystopies zombies comme moi. Dans ce livre on découvre le monde qui bascule dans l'horreur par le biais d'une pandémie. Le virus P2 ou pasteur 2, forme de rage de l'homme et créée par l'homme, décime la population mondiale en quelques semaines à peine à l'exception de quelques survivants immunisés. On passe tour à tour du récit de survie de Lucas et Louis, que tout oppose, mais dont la route finira par se croiser au milieu de cet enfer afin de lutter pour leur survie. En lisant Enragés, l'on pourrait penser que le roman est un peu court, peut-être pas suffisamment développé car on aurait envie d'en savoir plus sur la survie des personnages dans ce nouveau monde. Mais au delà d'un simple et énième livre de zombie, l'auteur a (à mon avis) voulu pousser le lecteur à la réflexion sur les conséquences de nos actes. L'humanité deviendra ce que nous en feront, la planète, la nature, reprendra peut-être un jour ses droits si nous continuons à la polluer, la piller sans vergogne. Merci M.GAULON pour ce message, qui j'espère pourra contribuer à faire réveiller les consciences.

En un mot, lisez "enragés".