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Citations de Poul Anderson (542)


— Pourquoi trouve-t-on toujours de l'argent pour faire la guerre et lésinons-nous pour tout le reste ? L'un provoque-t-il l'autre ?
— Je ne crois pas. Je pense que les gens préfèrent naturellement la guerre.
— Un jour, ils apprendront.
— Vous n'avez pas assez de foi dans la merveilleuse capacité de l'homme à ignorer ce que l'histoire continue de lui hurler.
("Les mondes rebelles")
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Cent mille planètes, messieurs, plus ou moins. Sur chacune, des millions ou des milliards d'habitants, chacune avec ses complexités et ses mystères, sa géographie et sa civilisation, son passé, son présent et ses visées contradictoires pour le futur, et chacune ayant donc tissé un ensemble de relations unique, complexe et en perpétuelle évolution avec l'Empire. Nous ne pouvons contrôler tout cela, pas vrai ? Nous ne pouvons même pas espérer le comprendre. Au mieux, nous pouvons essayer de maintenir la Pax. Au mieux, messieurs.
("Les mondes rebelles")
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Les hommes forts qui errent ont tant d'enfance dans l'âme.
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- Justement, je suis humain, répondit le diplomate d'un ton sec. Même pendant la fin du monde, je dois enfiler mon pantalon une jambe après l'autre.
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- Je ne me suis jamais considéré comme un esprit religieux", déclara Williams. (...) "Mais... non, c'est trop. Nous ne sommes... que sommes-nous ? Des animaux. Mon Dieu - oui, mon Dieu -, nous ne pouvons pas continuer à... à avoir des flatulences... pendant que se produit la création !"
À côté de lui, Emma Glassgold sursauta puis affiche une mine déterminée. (...)
"En tant que croyante, tonna-t-elle, permets-moi de te dire que tu racontes des bêtises. Désolé, Norbert, mon chéri. Dieu nous a créés à Son image. Rien dans Son œuvre n'est source de honte. J'aimerais Le voir fascinée de nouvelles étoiles et Le louer, dans la mesure où Il me le permettra.
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La nuit regorgeait de soleils.
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Les lointains surhommes n’étaient pas des idéalistes, après tout. Ils ne se contentaient pas de préserver une histoire peut-être divinement ordonnée menant jusqu’à eux. Ça et là, ils intervenaient aussi pour créer leur propre passé…Ne nous demandons pas s’il y a jamais eu une ligne « originelle ». À cela, gardons notre esprit fermé. Considérons la route creusée d’ornières offerte à l’humanité et disons-nous qu’elle pourrait être meilleure en certains endroits, mais qu’en d’autres elle pourrait être pire.
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La terre peut nous manquer pour vivre, elle ne peut nous manquer pour mourir.
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Qui voyage seul voyage toujours mieux. Et la terre s’accroche aux bottes qui sont souillées de sang.
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Je pense que c'est ce qui m'a poussé à étudier les peuples étrangers. Cela sert Merséia, oui; nous avons besoin de les connaître ; mais j'ai voulu les étudier pour eux-mêmes. Et, Djana, je n'ai pas toujours trouvé que des superstitions primitives... Comment osons-nous dire que rien n'a de valeur en eux quand nous abordons un monde qui a donné naissance à une espèce singulière ? Parmi les peuples sans civilisation mécanique, j'ai parfois été témoin d'événements que nulle machine, selon moi, n'aurait été capable de provoquer.
("Un cirque de tous les diables")
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Où s'arrête un "robot" et où commence un "organisme" ? Depuis des centaines d'années, ce sont des systèmes associant ordinateur, senseur et effecteur plus complexes et polyvalents que certaines formes de vie organique. Ils fonctionnent, perçoivent, ingèrent, ils ont les moyens de s'autoréparer et de se reproduire... et il y en a même qui pensent.
("Un cirque de tous les diables")
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Une flamme s'éleva, minuscule, d'un bleu pâle d'oiseau de Surt à peine éclos, encore fragile. Elle tremblotait dans le vent froid, se recroquevillait entre deux rafales, pépiait une petite chanson pour se donner du coeur à l'ouvrage. Mais elle se nourrissait ; elle grandissait ; à présent, la force accourait en elle, issue du vent ; elle se dressa, audacieuse, impudente, déploya ses plumes de lumière, contempla les alentours et fil un salut crépitant à l'adresse des soeurs qu'elle se découvrait.
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Poul Anderson
Gardons à l'esprit qu'on ne doit jamais tenir la civilisation pour acquise.
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Il suffit que le peuple donne le doigt à un gouvernement pour que celui-ci lui prenne le bras.

dans « Stella Maris »
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- Je suivrai avec la plus extrême attention chaque mot de chaque discussion dans le vaisseau, promit Wang. Devons-nous demander un moratoire en ce qui concerne toutes les questions pouvant porter sur des problèmes techniques?
- On en décidera. Chou pointa sa cigarette comme une baïllonnette : "On peut concevoir aussi que le Sigmien a de mauvaises intentions, ou peut être persuadé d'agir par les puissances du mal. Attention! Les principes de Marx, Lénine et Mao doivent être appliqués avec imagination et non pas dogmatiquement. Supposez que la race sigmienne ne soit pas celle qui a construit le vaisseau. Supposez que la créature qui le pilote soit un pirate qui l'a dérobé après que ses constructeurs, trop confiants, lui eurent appris son maniement. N'avez-vous jamais ressenti quelques doutes à l'égard de quelqu'un qui voyage pendant de longues années solitairement?
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«Le fait est que l'homme n'est jamais resté fidèle à un seul idéal. L'enthousiasme de masse quand vous étiez jeune a cédé la place à un classicisme cool et rationaliste. Aujourd'hui, cela est noyé à son tour par une sorte de néoromantisme. Dieu sait où cela mènera. Je n'approuverai probablement pas. Quoi qu'il en soit, de nouvelles générations grandissent. Nous n’avons pas le droit de les congeler dans notre propre moule. L'univers est trop vaste. »
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Elle leva les yeux vers Sakumbe.
-Moi y en a entendre petit peu,fit le Nègre dans son stygien approximatif
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Un mince jeune homme au visage sombre s'agitait non loin, s'efforçant d'arracher la javeline qui lui avait transpercé l'estomac. C'était un cavalier carthaginois, mais le paysan romain assis près de lui, à regarder sans y croire le moignon de son bras, ne lui accordait aucune attention.
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J'ai tellement bien saboté cette opération qu'elle pourrait servir à illustrer un manuel mettant en garde les Patrouilleurs contre ce qu'il ne faut pas faire. Article un : ne pas se laisser obséder par une fille qui appartient à un autre, au point de négliger les précautions élémentaires.
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« Bonne compagnie, vie facile, permissions dans un tas d’époques. » Il sourit. « Attendez de voir la période décadente du Troisième Matriarcat ! Vous ne savez pas ce que c’est de rigoler ! »
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