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Critiques de Princesse Michael de Kent (15)
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Agnes Sorel maîtresse de beauté

Ce livre fut d’une lecture fort agréable. Il commence avec l’enterrement de Yolande d’Aragon (héroïne du premier excellent tome) et finit par celui d’Agnès Sorel - et je ne pense pas vous spolier puisque on sait tous que depuis le 15ème siècle elle est desséchée depuis longtemps. Entre ces deux enterrements, l’auteure va donc continuer à nous faire découvrir cette période à cheval entre le Moyen-âge et la Renaissance par le biais de la vie de cette première maîtresse royale que fut Agnès Sorel.



Pour les décors et l’ambiance rien n’a changé. Mickael de Kent y met toujours autant de détail que précédemment, elle nous fait partager la richesse des tissus et des atours, l’ambiance de la cour et son esprit, et nous fait aussi côtoyer les plus grands noms de cette époque : Jacques Cœur ; Pierre de Brézé…

Cela étant et même si j’ai vraiment aimé replonger dans cette époque, cette lecture ne fut pas le coup de cœur tant attendu après le 1er tome sur Yolande d’Anjou. En effet et même s’il est bien, qu’il se lit facilement, j’ai trouvé quand même que par rapport au premier livre il manquait de vie, d’action, d’intrigue. Cela ne serait pas en soi un problème parce que ce n'est pas un roman vide non plus, mais le hic c'est que pour pallier ce manque d'action, l'auteure fait énormément de répétition et ça plus les niaiseries amoureuses qui donnent un petit côté Sissi Impératrice, fait que c'est un peu fatiguant à lire. En tout cas pour moi.

Alors c’est vrai que par rapport au précédent bouquin l’époque est moins troublée, le petit roi de Bourges a retrouvé son trône et les anglais posent moins de problème, mais du coup il faut bien admettre que cette ambiance quasi normale n’aide pas à faire un récit palpitant comme le précédent, riche en retournement et intrigue. Ici à part vaguement le dauphin on n’a en effet pas grand-chose à se mettre sous la dent. De ce fait et surtout quand on a adoré le premier tome, c'est peut-être un peu normal d'avoir la réaction que j'ai, parce que je m'attendais vraiment à quelque chose d'énorme.



Bien sûr c’est tout à l’honneur de l’auteure de ne pas vouloir rajouter des choses, mais du coup je me demande si vraiment ce tome était nécessaire. Certes il introduit Jacques Cœur, qui sera le personnage du dernier roman et qui sera pendant un temps accusé de la mort d’Agnès Sorel, il laisse aussi découvrir la thèse qui veut que ça soit la cousine d’Agnès Sorel qui a empoissonné cette dernière, mais à côté de ça je trouve que ce livre manque de matière. Pour moi si on enlève la fin, il fait plus effet de remplissage qu’autre chose. Le troisième tome me dira si j’ai tort, car peut-être qu’il sera impossible de le comprendre sans lire le deuxième, mais pour l’heure c’est ce sentiment qui domine.



Mais attention ce n’est pas du tout un mauvais livre, il est bien écrit même s’il manque de piment, et en fait à part le fait qu’il soit un peu redondant et presque inutile de mon point de vu je n’ai rien à lui reprocher, et en réalité juste pour son côté historique je le conseille. Parce que pour celui qui ne connaît pas Agnès Sorel ben ça reste une bonne présentation de cette femme, même si ça reste du roman et même si j’ai du mal à ignorer Agnès Sorel si niaise. (Parce que oui par moment elle fait un peu niaise.)



En conclusion même si j’ai largement préféré le 1er tome, je conseille malgré tout ce 2ème tome pour son côté historique et son personnage. Et qui sait ce que je reproche peut ne pas être un problème pour vous. Perso j’ai du mal avec les histoires d’amour, mais je sais que ce n’est pas le cas de tout le monde, donc à vous de voir. Et venez me dire. :)
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La Reine des Quatre Royaumes

J’ai connu le personnage de Yolande d’Anjou il y a quelques années en lisant un livre sur Jeanne d’Arc, voilà pourquoi quand j’ai vu ce résumé qui promettait de la découvrir un peu mieux j’ai voulu le lire, et je dois dire que je n’en fus pas déçue.



Combinant au roman, des faits historiques qui nous replongent dans la guerre de 100 ans et les guerres intestines en France, ce livre est un mélange de culture mais aussi de plaisir ; de l’ambiance aux personnages, en passant par les décors, tout est régale à lire. Probablement grâce au talent de l’auteure qui possède ce don du détail et de l’histoire sans alourdir le récit, mais aussi grâce à ce personnage central qu’est Yolande d’Anjou qui vaut bien un roman.



Brillante, intelligente, charmante, intuitive, cette femme est un personnage historique des plus intriguant qui a marqué la politique de la France en son temps. Soutien inconditionnel de Charles VII, qu’elle a élevé et marié à sa fille Marie, sa vie entière a servi à servir la France et ce petit roi de Bourges. Glissant ses pions sur l’échiquier politique, écartant les influences mauvaises dans l’entourage du roi pour mettre à la place ses hommes de confiance, maniant les alliances comme d’autres manient l’épée, Yolande d’Anjou était vraiment la femme qui savait faire face à toutes les situations, et qui se débrouillait toujours pour parvenir à ses fins, quitte à utiliser pour ça les choses les plus extravagantes.



Bien sûr c’est un roman, et sans doute que l’auteure tire de Yolande un portrait flatteur, d’ailleurs on remarque que certaines choses avancées dans ce livre ne correspondent pas aux versions officielles - comme par exemple l’introduction d’Odette de Champdivers auprès du roi qui est dans le livre dû à Yolande d’ Anjou-, mais il n’empêche que malgré ces libertés prisent avec l’histoire, encore qu’elles méritent d’apporter un autre éclairage sur cette dernière, ce bouquin donne quand même un aperçu du caractère de cette femme qui est bon à prendre. Car il est de notoriété public qu’elle avait l’étoffe d’un roi. Et pour les autres personnages j’en dirais de même. Même si ce sont des portraits pas toujours fidèles ou discutables, il est aussi intéressant de découvrir ces autres noms qui possédaient aussi une part de pouvoir.



Là, je parle beaucoup du personnage principal de ce livre, et je donne l’impression d’avoir apprécié d’avantage Yolande que la trame, et ben… pas du tout. Le contexte de la guerre de 100 ans est excellent pour un roman. En plus de nous la faire réviser, les intrigues, les jalousies, les manipulations, les empoissonnements… qui étaient courant à cette époque, donnent à ce livre tout le nécessaire pour du suspense, pour du plaisir. Rajoutez à cela une touche de chevalerie, et ça devient carrément addictif.



En résumé un personnage fascinant et une intrigue historique à découvrir et dévorer sans plus attendre
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La Reine des Quatre Royaumes



De ce grand roman historique qui brasse les alliances des familles comme le quotidien de la noblesse, et, dans une moindre mesure, des plus humbles, on conserve après lecture le souvenir d’un agréable voyage dans le temps, une lecture qui fait également réviser son Histoire de France (des provocations de Jean sans Peur à Jeanne d’Arc).
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La Reine des Quatre Royaumes

Ce livre est la preuve qu’il ne fait jamais condamner un livre sur une première impression. J’ai essayé de le lire il y a quelques mois et, rien à faire, je n’arrivais pas à entrer dans l’histoire.

A la faveur d’un challenge, je l’ai repris et là, je n’ai quasiment plus pu le poser, au point d’en avoir lu les 500p en deux jours seulement.

Au début, j’ai été un peu rebuté par le récit au présent de l’indicatif. Pour moi un livre s’écrit au passé, qui est le temps du récit. J’ai beaucoup de mal à me faire au présent. Alors pour un roman historique qui se situe dans les années 1400, c’était encore plus dur.

Et puis, finalement, l’histoire en elle-même l’a emporté sur le temps utilisé.

On suit Yolande D’Aragon depuis son mariage avec Louis d’Anjou (elle n’a alors qu’environ 19 ans) jusqu’à sa dernière lettre, écrite à l’intention de ses enfants et petits enfants alors qu’elle sent la mort arriver (vers 62 ans).

Toute sa vie, Yolande d’Aragon se consacre au royaume de France. Appréciée du Roi Charles VI, qui la réclame dans ses moments de lucidité, amie de Valentine Visconti, épouse du duc d’Orléans, et parfois confidente d’Isabeau de Bavière qui voit en elle une femme de son rang qui ne la dénigre pas, Yolande est sur tous les fronts.

Sur les conseils avisés de sa mère, elle place de nombreux espions dans les maisons ennemies comme dans les maisons amies, très tôt conscience que le pouvoir passe par la connaissance.

Veuve à 36 ans, elle va exercer un pouvoir sans contexte sur les duchés d’Anjou et de Provence, les deux principales possessions dont hérite son fils aîné et aura le cœur brisé de voir successivement son époux et ses deux fils mettre leur vie et leur santé en danger pour le royaume de Naples dont ils sont les souverains titulaires et qui leur est disputé par le cousin de Yolande, Alphonse d’Aragon.

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La lune et le serpent : Diane de Poitiers e..

La princesse Michael de Kent nous livre une belle page d'histoire de France au travers de la rivalité entre deux femmes amoureuses du même homme. D'un côté, Diane de Poitiers. De l'autre, Catherine de Médicis. Qui se partagent le roi de France, Henri II.

L'écrivain s'est très bien documentée sur son sujet et nous décrit la vie à la cour de France sous François Ier et Henri II: art de vivre, cuisine, art, religion, architecture,... La politique et les nombreuses guerres y sont aussi évoquées. Le seul petit bémol, on sent que l'auteur prend parti pour son illustre aïeule, Diane de Poitiers, et "rabaisse" beaucoup Catherine de Médicis...

Très bon livre d'histoire, à conseiller à tous ceux qui voudraient en savoir plus sur la Renaissance française!
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Jacques Coeur, le vif-argent

Voici enfin le troisième et dernier livre de cette saga écrite par la princesse Michael de Kent, et c’est avec Jacques Cœur riche marchand et grand argentier du roi Charles VII que se finit notre voyage au Moyen-âge. Et mes amis quel voyage !

Guerre de cent ans, complots politiques, noce, argent, trahison, cette saga offre de bon moment de lecture par son approche de cette fin du moyen-âge à travers ces trois personnages ; Yolande d’Aragon, Agnès Sorel et enfin Jacques Cœur. Je ne reviendrai pas sur les deux premiers romans que j’ai déjà abordé dans les deux autres avis, alors parlons de Jacques Cœur.



Jacques Cœur pour ceux qui ne savent pas et pour faire court, était un homme parti de rien, qui bâtit une fortune considérable grâce à son commerce et qui aida le roi Charles VII à financer la guerre de cent ans. Mais la bonne fortune attirant médisance et jalousie, quelques un oeuvreront à sa chute. Sa chute sera douloureuse et la sanction terrible après une farce en guise de procès ; ici, c’est cette vie que nous propose Michael de Kent de découvrir.

Comme pour les deux autres livres ce roman a une haute valeur biographique, l’auteure ne change rien à cette recette gagnante, elle mélange toujours habillement biographie et roman ; mais en ce qui me concerne, et si je mets de côté le côté biographique qui est déjà fortement appréciable, j’ai retrouvé le plaisir de la lecture que j’avais eu lors du livre sur Yolande d’Aragon et que j’avais un peu perdu avec le bouquin sur Agnès Sorel. En effet, dans le tome consacré à Agnès Sorel on tournait en rond, on vivait peu de chose à part une histoire d’amour, ici point du tout ! On renoue avec les messes basses, les trahisons de cour, la niak de réussir, les voyages. On renoue aussi avec un récit bruyant, coloré, vivant, comme c'était le cas avec le livre sur Yolande d'Aragon et qu'on avait un peu perdu avec Agnès Sorel maîtresse de Charles VII. Bref ! L'auteure retourne aux origines et qu'est-ce que ça fait plaisir ! C'est même triste d'un côté car finalement ça se lit très vite alors qu'après y a plus.



Ensuite, pour le reste sachez que rien ne change non plus, le décor riche, foisonnant de détail, luxueux est toujours présent, même plus et le contexte historique est quant à lui, lui aussi respecté, à un détail près toutefois. Le palais Farnèse à l’époque de Jacques Cœur n’existe pas encore, l’auteure est en avance de quelques dizaines d’années sur ce point, mais bon ce n’est pas très grave non plus.



En conclusion, c’était une lecture formidable qui clôt une saga merveilleuse et enrichissante, et c’est bien dommage.
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Agnes Sorel maîtresse de beauté

Agnès Sorel est le second tome de la saga Anjou. Il suit directement le premier tome consacré à Yolande d’Aragon, « la reine des quatre royaumes », puisque ce dernier se fini avec la mort de la reine Yolande et que ce tome commence avec son enterrement.

Agnès Sorel est présente à l’enterrement, d’une part parce qu’elle est la demoiselle d’honneur d’Isabelle de Lorraine, la belle fille de la reine Yolande et d’autre part car elle a passé près d’une année à tenir compagnie à la vieille dame qui souhaitait la former pour « son destin ».

Agnès, innocente de vingt ans, ne sait pas du tout quel est ce destin auquel la destinait Yolande d’Aragon, mais lorsqu’elle raconte à sa maîtresse Isabelle de Lorraine les conversations qu’elle a eu avec la reine défunte, celle-ci comprend immédiatement de quoi il retourne.

Elle fait donc ce que Yolande aurait souhaité, et fait en sorte qu’Agnès se rapproche du roi.

Le succès est immédiat et le monarque tombe fou amoureux de celle que l’on appellera la dame de Beauté après que le roi lui ait offert le Château de Beauté.

Agnès Sorel va être la première maîtresse royale a porter ce titre de manière officielle, à ne pas être maintenue dans l’ombre et mariée à un homme de paille pour sauvegarder les apparences et donner un nom à ses enfants. Les trois filles qu’elle donnera au roi seront d’ailleurs légitimées comme princesses de France et feront de grands mariages.

La jeune femme est partagée entre son devoir envers le roi et la France, comme le lui a inculqué Yolande d’Aragon, et sa conscience religieuse qui la tourmente car elle est partie prenante d’un adultère. Pour expier ses péchés, elle reverse une grande partie de ses revenus et des cadeaux du roi aux pauvres, malades, enfants abandonnés, œuvres de charités et bien sûr à l’Eglise.



Au début du premier tome, j’avais eu du mal à m’habituer au récit au présent, mais là, j’ai eu le temps de me faire au style de l’auteur, et ça ne m’a pas gênée du tout, d’autant plus qu’on est très vite happé par l’histoire et que le temps employé en devient rapidement secondaire.



La mort d’Agnès Sorel est entourée de mystère : suicide, assassinat, incompétence des médecins ? L’auteur a décidé de soutenir la thèse de l’assassinat en nous présentant un coupable ayant pu agir avec certains appuis.



Discrètement, au fil du roman, l’auteur fait prendre de plus en plus de place à Jacques Cœur, qui doit être au centre du dernier tome de la saga.

Un troisième tome que j’ai hâte de découvrir s’il se montre à la hauteur des deux premiers.
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Jacques Coeur, le vif-argent

Ce roman sur la vie de Jacques Cœur est très documenté et a valeur de biographie à mon avis.

Chaque évènement est amené au plus juste de la réalité historique et l’aspect « roman » permet de mieux rendre compte de cette vie d’aventures, de transactions, négociations de tous ordres et dans de nombreux domaines.

Jacques Cœur fut au centre de nombreuses situations conflictuelles. Son pragmatisme, sa bienveillance, et sa libéralité, rendue possible grâce à son immense richesse, toujours pour aider Son roi, Charles VII. ont permis de résoudre de nombreuses situations délicates, que ce soit dans la vie personnelle ou politique de Charles VII.

Tout ce dévouement ne pèsera rien lorsque Jacques Cœur, se retrouvera seul, abandonné de tous et accusé par le Roi de meurtre sur la personne d’Agnès Sorel.

Ce complot visant à le dépouiller de toutes ses richesses permettra au Roi et à de nombreux hauts personnages, de ne pas avoir à rembourser les dettes accumulées.

Jacques Cœur trouvera une aide de la part du roi René d’Anjou et de tous ces loyaux employés qui lui permettront de s’évader du cachot insalubre où il croupissait et de quitter le France pour se mettre sous la protection du pape Calixte III.

Cette aventure extraordinaire comporte de nombreuses zones d’ombre qui sont difficiles à éclairer plus de 500 ans plus tard !

Je conseille la lecture de ce très bon roman historique et je me lancerai dans la lecture des deux premiers romans de l’auteur, « la reine des quatre royaumes » paru en 2014et « Agnès Sorel »paru en 2015.

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Agnes Sorel maîtresse de beauté

En premier lieu, un grand merci à France Loisir, qui m’a permis de lire ce roman, dans le cadre de Top Lecteur.



Ce roman est en fait le deuxième d’une série, il s’agit du tome 2 de la saga Anjou. Le premier tome était centré sur la reine des quatre royaumes : Yolande d’Anjou. Ici, l’auteur a centré l’intrigue sur Agnès Sorel, une des maîtresses de Charles VII qui lui a beaucoup apporté, autant niveau conseil, que d’enfants.



On suit donc l’avènement d’Agnès en tant que maîtresse du roi de France Charles VII pas à pas, juste après la mort de Yolande d’Aragon, reine des quatre royaumes, la belle-mère de sa maîtresse, Isabelle d’Anjou.



L’histoire se passe quelques années après le premier tome. La reine Yolande vient de mourir, son fils René et sa femme Isabelle viennent lui rendre un dernier hommage lors de ses funérailles, en les organisant et en invitant les personnes qui connurent la Reine des quatre Royaumes. Agnès Sorel est là, car Isabelle d’Anjou, l’épouse du fils de Yolande, René d’Anjou, est une de ses dames de compagnies. Mais, ce n’est pas tout.

[...]



[Suite de la chronique sur le blog]
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La Reine des Quatre Royaumes

L'histoire de la princesse Yolande d'Aragon né en 1381 mariée à Louis duc d'Anjou en 1400. Elle devient reine des royaumes Naples, Sicile, Chypre et Jérusalem



Elle sera le mentor du futur Charles VII, de Jeanne d'Arc elle sera attentive et son rôle déterminant dans la construction du Royaume de France durant les guerres de Cent Ans qui déchirent l'Angleterre et la France.



Femme d'influence tout au long de sa vie, figure politique dotée d'une extraordinaire intuition, elle reste méconnue aujourd'hui mais elle devrait à mon sens figurer parmi les femmes qui ont marqué l'Histoire de notre beau pays



A découvrir, la lecture est agréable, fluide et l'on se prend à lire d'autres choses sur cette période si riche. Merci
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La Reine des Quatre Royaumes

Nous voilà en France dans les années 1400. Yolande d’Aragon, dix-neuf ans, vient d’épouser le duc Louis II d’Anjou dont elle tombe follement amoureuse, alors que lui semble amoureux d’une chimère : son royaume perdu de Naples. Epouse modèle, mère exigeante mais aimante, régente exemplaire, Yolande se forge au fil des années un caractère d’acier et une volonté de fer, qui vont permettre au souverain légitime, Charles VII, de monter sur le trône de France, entre autres grâce à l’aide d’une certaine Jeanne d’Arc…

La plume de l’auteur est fluide et très agréable, au point de m’avoir fait dévorer en deux jours un ouvrage de 400 pages sur une période de l’histoire qui ne m’a jamais intéressée. Une biographie romancée, donc, première d’une trilogie, qui est fort divertissante tout en restant instructive. Que vous soyez passionné par la Guerre de Cent Ans ou comme moi simple novice, jetez-vous dedans.
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La Reine des Quatre Royaumes

Voilà, il y a longtemps que j’ai acheté ce livre, que j’avais trouvé totalement au hasard.

La couverture me plaisait et la 4e aussi.

Mais voilà, j’ai bien aimé le premier tiers du livre qi se lit assez facilement. Ensuite, par contre, beaucoup de personnages font leur apparition, dont certains qui ont le même prénom. Il faut le dire, ils n’étaient pas très imaginatif pour les prénoms au Moyen-Âge. On a donc quelques Louis, Charles, Jean et j’en passe. Heureusement, il y a un arbre généalogique au début du livre et une carte des territoires à la fin.

Passé la seconde moitié, j’ai eu plutôt l’impression d’une énumération de faits plutôt qu’une histoire. J’avoue, j’ai toujours eu du mal en cours d’histoire à cause de ça ; les dates et les lieux qui sont trop nombreux.

On nous parle aussi de quelques thèmes dans certaines 4e de couverture, mais on ne fait que les survoler ou les mentionner dans le résumé

Premier tome d’une trilogie, ce sera mon premier et dernier.

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La Reine des Quatre Royaumes

J’ai eu beaucoup de mal pour la première partie, c’est mou, c’est un peu nian nian et c’est plat. Sincèrement, j’ai failli lâcher plus d’une fois.

Puis la deuxième partir, Yolande d’Aragon commence à avoir de l’influence dans l’histoire de France. Après avoir pris soins d’élever le futur Charles VII, elle mettra tout en oeuvre pour lutter contre les anglais pendant la guerre de 100 ans.

La troisième partie du livre est consacrée à Jeanne d’Arc. Là encore, Yolande à un rôle important qui marquera à jamais l’histoire de France.

La quatrième partie introduit Agnès Sorel sans en dire d’avantage.

On comprend au fur et à mesure que l’auteure a voulut dans la première partie nous montrer au mieux les valeurs de Yolande. Pourquoi elle a tout donné pour la France, le rôle important qu’elle a donné à ses enfants. Mais aussi son instinct de mère surdéveloppé pour une époque ou les enfants n’étaient qu’un moyen politique d’arriver à ses fins.

Grâce à SAR Princes Michael De Kent, j’ai découvert une grande dame 🙏



L’auteure nous met l’eau à la bouche dans son postface en nous expliquant qu’un livre suit celui-ci consacré à Agnès Sorel puis un troisième consacré à Jacques Coeur, l’un des personnages que l’ont croise dans le premier. Puis dans ses dernières lignes elle nous parle d’un personnage historique important du premier livre qui aurait été empoisonné mais que pour savoir qui et par qui il faudrait patienter et lire jusqu’au troisième roman 😭🙃 la maligne ! J’avais déjà acheter celui d’Agnès Sorel mais pas celui de Jacques Coeur... mais en lisant ses dernières lignes, je n’ai qu’une envie : acheter ce troisième tome! 😏
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Agnes Sorel maîtresse de beauté

Dans ce livre, nous partons à la rencontre d'Agnès Sorel, première favorite d'un roi de France, au 15e siècle. Connue pour sa grande beauté, elle suscite bien des jalousies à la cour du roi. Elle mourra de manière mystérieuse, dans d'atroces souffrances, à l'âge de 28 ans...

Bien documenté, ce livre a quelques défauts... Tout d'abord, l'introduction, poussive et sans grand intérêt, est beaucoup trop longue: près de cent pages! J'avoue avoir failli arrêter ma lecture. J'ai bien fait de continuer, la suite du récit étant plus agréable. Autre défaut, l'auteur dépeint ses personnages de manière trop superficielle. Agnès est ainsi parée de toutes les qualités, tout comme son amant. Une vision très naïve et manichéenne. En conclusion, si ce livre ne restera pas dans les annales, il est, passé la lourde introduction, assez agréable à lire.
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La Reine des Quatre Royaumes

Se divertir tout en se cultivant, c'est l'exploit que réussit ce roman historique, La Reine des quatre royaumes.
Lien : http://www.lefigaro.fr/livre..
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