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Citations de Raphaël Meltz (42)


J'ai toujours compris ainsi la fascination des Parisiens pour Barcelone : c'est la même ville, avec la mer et du soleil en plus.
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Gabriel n'a pas pris le temps de tellement s'inquiéter de la guerre possible, de la guerre probable, de la guerre inévitable - finalement évitée par cet accord de dernière minute. Gabriel s'inquiète seulement de filmer vite, et bien. Son métier tellement collé à l'actualité l'éloigne pourtant des questions qu'elle lui pose. Du moment qu'il a du travail.
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Misère du présent, qui détourne les yeux du futur et regarde le passé avec condescendance, se croyant éternel. Mais non. Le présent n'est pas éternel (il vient de mourir).
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Le couloir : un long, interminable couloir, avec du parquet au sol, et en haut de grandes lucarnes horizontales qui éclairent, le couloir est situé côté nord et distribue les pièces du rez-de-chaussée, c'est un L, un L dont la grande barre est beaucoup plus longue que la petite, et cet angle entre les deux parties si inégales les enfants l'adorent, parfois le soir quand il fait encore jour, à partir du mois de mai, Adrien les retrouve tous les deux en train de lire, sur les coussins, installés à l'angle du couloir, il râle toujours un peu, ils ont leurs chambres à l'étage, ou un coin avec un divan dans le salon, pourquoi s'installer là, mais les enfants sont comme ça : quand ils s'approprient un lieu, il devient sacré. Un coin pour les enfants. Un lieu magique.
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Le temps s’est mis à passer si vite soudain.Ou alors est-ce que la vie s’est ralentie,qui s’est mise à ne plus être si intense,à moins remplir les jours,qui filent sans laisser de traces ?
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Se dire qu’on voit un film vers vingt ans et qu’il ne nous dit rien puis le même film vers quarante-cinq ans et que cette fois il nous dit tout […].
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Misère du présent, qui détourne les yeux du futur et regarde le passé avec condescendance, se croyant éternel. Mais non. Le présent n’est pas éternel (il vient de mourir).
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Raphaël Meltz
Houellebecq peut écrire autant de mauvais dialogues qu’il veut, là n’est pas le problème. Le problème est qu’on lui attribue le titre de (bon) romancier, et que lui-même parle de « poésie » à propos de son écriture. […] Mais l’effet « je bande ; il pleut » est un peu éculé et facile — en tout cas, pas de quoi revendiquer un style.
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Qu'importe si on manipulait le réel pour le rendre plus impressionnant, il faut que le spectateur américain ait le sentiment d'y être, d'être dans la foule marseillaise, au premier plan de la catastrophe : c'est une règle qui ne sera plus jamais, plus jamais, omise dorénavant.
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Vous pouvez choisir de porter votre regard où vous le souhaitez. Aucune caméra ne sera plus forte que votre regard. Aucune, jamais. Merci, c’est tout.
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p. 267 Le temps s’est mis à passer si vite soudain. Ou alors est-ce que c’est la vie qui s’est ralentie, qui s’est mise à ne plus être intense, à moins remplir les jours qui filent sans plus laisser de traces ?
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Ne fuyons pas ce que nous avons sous la main, vivons-le avant de tout théoriser tu ne crois pas Antonio ? - mais au lieu de lui répondre tout cela je lui réponds. J'ose lui répondre. Moi, Adrien P., je lui réponds : mmh. Signe de mon grand courage dans la vie.
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Gabriel n' a pas pris le temps de tellement s'inquiéter de la guerre possible, de la guerre probable, de la guerre inévitable - finalement évitée par cet accord de dernière minute. Gabriel s'inquiète seulement de filmer vite, et bien. Son métier tellement collé à l'actualité l'éloigne pourtant des questions qu'elle lui pose. Du moment qu'il a du travail.
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Je dois écrire 11000 signes, encadrés compris. Encadré, encore une notion qui détermine ma vie, m'enferme dans un rectangle mental, une pensée close, un cercueil de formules courtes. Le journalisme, c'est la pensée encadrée.
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Misère du présent, qui détourne les yeux du futur et regarde le passé avec condescendance, se croyant éternel. Mais non. Le présent n’est pas éternel (il vient de mourir).
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J’étais tellement jeune : c’est compliqué de donner un sens à sa vie quand on ne comprend pas vraiment ce qu’est la vie.
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Être différente, c'est quelque chose qui a toujours été au cœur de ta vie.
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Après cette nuit, Kafka ne sera plus le même. Il a enfin atteint "l'enfer éternel des vrais écrivains" qu'il appelait de ses voeux deux mois plus tôt.
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Nous Sommes las de nous-même. Nous souhaitons arrêter de dire nous pour parler de moi. Et moi je m'arrête là.
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[...] il n'y a pas de chef-d'œuvre qu'il ne faille pas un jour tenter de dépasser.
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