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Citations de Raymond Devos (185)


J'adore être pris en flagrant délire.
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Raymond Devos
Si vous cassez un bout de bois en deux, il y a encore deux bouts à chaque bout.
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Raymond Devos
En général, ceux qui font des généralités sont des cons.
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Raymond Devos
Un jardinier qui sabote une pelouse est un assassin en herbe.
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Raymond Devos
Qui prête à rire n'est jamais sûr d'être remboursé.
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- L'essence augmente...L'essence va encore augmenter. A lieu d'acheter des 25 ou 30 litres, faites comme moi :
Vous n'avez qu'à en prendre pour cent francs ! Moi cela fait des années que j'en prends pour cent francs, j'ai toujours payé le même prix !
- Oui mais vous allez de moins en moins loin !
- Je vais où je veux !
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Raymond Devos
Sévère mais juste
Hier soir, je rentre chez moi... Qu'est-ce que j'apprends ?
J'apprends que le chat avait mangé la pâtée du chien...
Ah, mon vieux ! J'ai mis le chat dehors.
Là-dessus, qu'est-ce que j'apprends ?
J'apprends que le chien avait mangé la côtelette de ma femme...
Ah, mon vieux ! J'ai mis le chien dehors.
Là-dessus, qu'est-ce que j'apprends ?
Que ma femme avait mangé mon beefsteack.
Ah, mon vieux !... J'ai mis ma femme dehors.
Là-dessus, qu'est-ce que je découvre ?
Que le lait que j'avais bu le matin était celui du chat.
Ah, mon vieux !... J'ai fait rentrer tout le monde…
Et je suis sorti.
Sévère… mais juste.
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LA MER DEMONTEE


J’avais trois jours devant moi… Je dis :
« Tiens, je vais aller voir la mer. »
Je prends le train… J’arrive là-bas…
Je vois le portier de l’hôtel ; je lui dis :
- Où est la mer ?
- La mer… elle est démontée !
- Vous la remontez quand ?
- Question de temps.
- Moi, je suis ici pour trois jours…
- En trois jours, l’eau a le temps de couler sous le pont…
- … Le pont ?... Merci… Je vais attendre demain.
Le lendemain, je lui demande :
- Où est le pont ?
- Le pont ?... Quel pont ?
- Ben… le pont, quoi !
- Y a pas de pont !
- Comment, il n’y a pas de pont ?
- Non… y en avait un, mais on l’a démonté.
- Vous démontez tout ici, alors !
- C’est la guerre !
- Vous la remontez quand ?
- Tous les vingt ans.
- Moi je suis ici pour trois jours !
- En trois jours vous avez des chances…
- Bon, merci… Je vais attendre demain.
Alors le lendemain je me dis :
« Tout de même avant de partir, il faut que je me débrouille pour voir la mer. »
Je demande au portier de l’hôtel :
- Puis-je voir la mer ?
- Pas possible !
- Pourquoi ?
- Parce que c’est la fête !
- Ah !... C’est la fête ?
- Oui… Alors on fait le pont.
- Eh ben… Si vous refaites le pont je vais pouvoir voir la mer !...
- Non, parce qu’il y a le feu d’artifice.
- Le feu d’artifice, je le verrai de la mer.
- Vous le verrez mieux de votre chambre.
- Ma chambre, elle donne pas sur la mer !
- Le feu d’artifice non plus !
(Explosant)… J’m’en fous de votre feu d’artifice ! J’veux voir la mer !
- Pas possible, pas possible !
- Comment, comment ?
- Non, parce qu’il y a les gradins.
- Les gradins ?
- Oui… Ils ont mis les gradins sur la plage pour voir le feu d’artifice.
- Oui... Ils ont mis des gradins ?... Ils ont mis des gradins ?... Alors moi je viens de Paris... Je prends le train… Je me donne du mal, tout ça…
- Pleure pas, tu la reverras, ta mer !
- Je veux la revoir tout de suite !
- Pas possible ! Pas possible !
Alors je lui dis :
- Les gradins… Vous les démontez quand ?
- Quand la mer sera remontée.
- vous la remontez quand, la mer ?
Il me dit :
- Quand vous serez reparti !
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Moi, j'ai un copain, il est pilote d'essai ... enfin, il ne l'est pas encore; pour l'instant, il essaie d'être pilote !
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Raymond Devos
"Je regarde la carte des vins pour éviter les bouchons."
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Raymond Devos
LE RIRE EST UNE CHOSE SÉRIEUSE AVEC LAQUELLE IL NE FAUT PAS PLAISANTER.
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N’ai-je pas toujours accepté avec joie et résignation les épreuves que le ciel a eu la bonté de m’envoyer régulièrement ? N’ai-je pas toujours gardé à mes côtés la sainte femme que vous m’avez choisie en pénitence de mes fautes ?
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Il se surprit à penser que, dans ce monde imaginaire et au-delà de ce monde, il était immigré.
Pourquoi s'entêtait-il à toujours fuir le réel ?
S'y sentait-il indésirable ?
Le monde imaginaire n'était-il qu'un asile ?
Il pensait à ceux-là qui, toujours, gardaient les pieds sur terre, contre vents et marées !
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Raymond Devos
Je crois à l'immortalité et pourtant je crains bien de mourir avant de la connaître.
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Raymond Devos
Moi, je m’appelle Devos. Ça veut dire “renard” en flamand mais je suis français ! Mon pianiste s’appelle Dupont et il est belge... Je sais que j’ai l’air de faire un numéro mais c’est la pure vérité ! Je suis français, j’ai toujours été français et tout le monde me prend pour un Belge, que voulez-vous que je vous dise ? Ce sera ainsi jusqu’à ma mort.
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Cette nuit, j’ai fait un affreux cauchemar. J’ai rêvé que mon nom était écrit en grosses lettres sur le fronton d’un théâtre.

Et tout à coup, sans raison apparente, une des lettres est tombée… puis une deuxième, puis une troisième… comme des feuilles mortes…
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Raymond Devos
Mon pied droit est jaloux de mon pied gauche. Quand l'un avance l'autre veut le dépasser. Et moi, comme un imbécile, j'avance.
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Raymond Devos
Raymond DEVOS / Sens dessus dessous. (sketches) / Stock 1976 LdP5102
À tort ou à raison :
« On ne sait jamais qui a raison ou qui a tort. C’est difficile de juger. Moi, j’ai longtemps donné raison à
tout le monde. Jusqu’au jour où je me suis aperçu que la plupart des gens à qui je donnais raison avaient
tort ! Donc j’avais raison ! Par conséquent, j’avais tort ! Tort de donner raison à des gens qui avaient le
tort de croire qu’ils avaient raison. C’est-à-dire que moi qui n’avais pas tort, je n’avais aucune raison de
ne pas donner tort à des gens qui prétendaient avoir raison, alors qu’ils avaient tort. J’ai raison, non ?
Puisqu’ils avaient tort ! Et sans raison, encore ! Là, j’insiste, parce que... moi aussi, il arrive que j’aie tort.
Mais quand j’ai tort, j’ai mes raisons, que je ne donne pas. Ce serait reconnaître mes torts ! ! ! J’ai raison,
non? Remarquez... il m’arrive aussi de donner raison à des gens qui ont raison aussi. Mais, là encore, c’est
un tort. C’est comme si je donnais tort à des gens qui ont tort. Il n’y a pas de raison ! En résumé, je crois
qu’on a toujours tort d’essayer d’avoir raison devant des gens qui ont toutes les bonnes raisons de croire
qu’ils n’ont pas tort ! »
< p.123 >
Pierre DAC /
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Raymond Devos
DU MOMENT QU'ON RIT DES CHOSES, ELLES NE SONT PLUS DANGEREUSES.
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Raymond Devos
VOUS SAVEZ, LES IDÉES ELLES SONT DANS L'AIR. IL SUFFIT QUE QUELQU'UN VOUS EN PARLE DE TROP PRÈS, POUR QUE VOUS LES ATTRAPIEZ !
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