Un petit ouvrage qui nous rappelle les bienfaits de la lecture.
Lire nous console, lire nous rassure, nous ne sommes pas seuls à vivre certaines situations, lire nous apprend des choses, lire nous fait voyager, nous offre l'évasion. Et lire peut soigner. Je le conseille à tous ceux pour qui lire c'est vivre.
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Je m'attendais à un essai plus fouillé, plus documenté...avec des analyses , des expériences partagées et plus savoureuses...cela reste assez léger et plat (pas ou peu d'humour ou de recul par rapport à ces idées...). J'avais entendu 10 minutes de l'interview de Régine Detambel chez Busnel...il n'y a rien de plus dans le livre, elle a tout dit et tout décrit sur le plateau. Il en faut plus pour me convaincre et me procurer un plaisir de lecture ! Ici, pour le coup, ce livre n'a pas été un bon médoc !
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L'auteure démontre que les livres, sans se substituer à la médecine, peuvent empêcher le malade d'être malade. Ils prennent soin de l'âme. Elle descend la littérature facile qui ne remue pas les tripes et place au-dessus de tout la poésie.
Une approche différente du monde livresque, parfois trop pratique pour celui qui ne se destine pas à la bibliothérapie.
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Je crois que je le suis trompée de livre. En lisant le titre, Les livres prennent soin de nous, je pensais qu'on me proposerait des lectures "soins". Mais en fait, il s'agit plutôt d'un essai à destination des bibliothérapeutes et non pas des patients. Et donc il est plutôt question de comment choisir les livres à conseiller que de conseils de lecture.
C'est très intéressant, mais je ne suis clairement pas le bon public.
Par contre, il y a une jolie Bibliographie qui va me donner plein d'idées de lecture à l'avenir.
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Côté face : c'est un livre qui fait l'éloge des livres et recense tous les bienfaits qu'ils peuvent procurer aux lecteurs, avec pour preuve ce qu'en disent des dizaines d'auteurs (dont on peut penser qu'ils sont en la matière à la fois juge et partie...) parmi les plus célèbres : Montesquieu, Hugo, Freud, Gide, Proust, Malraux, Kundera, Kertesz, Huston... Moi pour qui la lecture est une passion dévorante, je ne peux qu'applaudir des deux mains, métaphoriquement bien sûr, sinon mon livre risquerait bien de tomber.
Côté pile : j'ai trouvé ce livre trop sage, trop scolaire, trop "recueil de citations". Les arguments sont ici bien ordonnés comme les étapes d'une recette de cuisine, le plat est saupoudré, abondamment, des références indispensables. Mais il y manque de la fougue, de l'audace, de l'invention. Dans les premières pages du livre, Régine Detambel persifle "les publications à l'eau de mélisse" mais j'ai bien peur que l'on puisse y ranger son propre livre. Quelques pages plus loin, elle s'interroge : "Est-ce vraiment au médecin de nous expliquer l'art et la manière de nous servir des livres ? Est-ce qu'on peut penser que quelqu'un maîtrisera un jour l'effet d'un livre sur le lecteur ? Doit-on ignorer que tout principe actif est à la fois remède et poison et qu'un livre peut blesser effroyablement ?". Ce questionnement laisse présager une suite puissamment dialectique.
Hélas, l'afffrontement tourne court et laisse rapidement place à un plaidoyer pro domo en faveur d'une bibliothérapie dont la définition nous est donnée presque à la fin du livre : "Le patient est malade. Il a un médecin pour le traiter. Mais de plus il est malade d'être malade. C'est là que le bibliothérapeute intervient. Si le patient est malade, le bibliothérapeute n'y peut rien. Il n'intervient que pour empêcher le patient d'être malade d'être malade. C'est quand on est malade d'être malade qu'on sombre dans la dépression. Ici le bibliothérapeuthe pourra apporter du sens." Doit-on ici parler de simplification outrancière ou bien d'une inquiétante naïveté de la part de l'auteur ?
Côté tranche : lorsque Régine Detambel accepte, le temps d'un paragraphe ou deux, de laisser de côté ses références et ses citations, on aperçoit enfin l'auteur qui aurait pu donner du souffle à ce livre. Ainsi, lorsqu'elle nous raconte l'écriture de son premier texte de fiction, où, prenant un récit de Bob Morane, elle entreprend d'en remplacer chaque mot par un synonyme, persuadée qu'elle crée ainsi une œuvre personnelle. Cette histoire est magnifiquement racontée. Serait-ce là (paradoxalement) le seul passage véritablement authentique de ce livre ?
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Le livre est-il un médicament? Il n'agit certainement pas au niveau physique, mais au niveau psychique, la lecture est un baume, une médecine douce à consommer sans modération. Bien choisir ses lectures en fonction du moment que l'on vit, de son humeur du jour, pour retrouver le sourire, sécher ses larmes. Bref "mieux vivre" sa vie en savourant des textes adaptés à soi, à son envie c'est le conseil que vous donne Régine Detambel dans cet ouvrage qui décortique les livres pour que vous puissiez choisir celui qui saura vous "soigner".
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Les livres prennent soin de nous, écrit Régine Detambel. Que dire de plus...
Pour être précis et cela a son importance, l'ouvrage de Régine Detambel s'intitule : « Les livres prennent soin de nous : pour une bibliothérapie créative. »
Les livres nous cajolent, nous caressent. Ils nous apaisent. Ils nous tendent la main sur le fil ténu de la vie. Ils nous rattrapent au bord du précipice.
Les mots se posent sur nos plaies béantes et les cautérisent.
Ils prennent soin de nous parce que nous sommes fragiles, mais lorsque nous sommes entre leurs mains, tout semble brusquement possible. Les pages chuchotent à nos oreilles.
Régine Detambel est bibliothérapeute. Soigner les maux par les mots, quel magnifique métier. Je ne dois pas être le premier à le dire...
Contre toute attente, Régine Detambel ne nous entraîne pas vers le rayon des ouvrages de développement personnel qui enfle au milieu des Grandes Surfaces. Non, Régine Detambel nous parle de littérature tout simplement, des livres dont les noms nous sont familiers, ou d'autres moins, mais qui appartiennent au patrimoine culturel ou tout simplement sommeillent dans nos bibliothèques. On les croyait poussiéreux, Régine Detambel nous propose de les ouvrir au grand air.
Nous sommes tous fragiles et les livres nous aident à tenir debout, un peu comme les marges des pages aident les mots à ne pas se déverser sur nous lorsque nous les déplions trop vite.
Les livres nous aident à reconquérir des lieux que nous avions perdus. L'horizon devient un lieu insoupçonné où poser nos ailes fatiguées.
Les livres sont des oiseaux. Ils picorent dans nos mains tendues.
Les livres sont des fleurs qui se penchent sur nos doigts étonnés.
Les livres sont des oasis. Nous venons boire à leur source.
L'enfant grandit, cherche à s'affirmer et brusquement les livres, qu'on croyait si vite oublié dans cette dictature du digital, deviennent des bouées, des rêves éveillés, des chemins, des cerfs-volants, des rires fous, des petits cailloux qu'on sème devant nos pas...
Les livres sont infinis et inachevés, un peu comme nous finalement. Ils nous ressemblent parce qu'ils nous connaissent déjà...
Nous enfouissons nos visages éblouis dans les pages emplies d'odeurs légères. Nous sommes ivres des chemins qui s'ouvrent comme des trappes sous nos pieds, des mains qui nous enlèvent brusquement, du désir qui s'allume comme une fenêtre brûlante. Les livres sont des fruits qu'on croyait défendus...
L'odeur du papier, le bruit des pages, la musique des phrases… Tout nous emporte si loin, là-bas. Et en même temps, si près de nous.
Les livres sont des miroirs. Et nous nous sentons brusquement beaux dans leurs regards éperdus.
Les livres sont des chemins vers nous-mêmes. Ils nous aident à revenir sur nos pas ou bien à aller un peu plus loin.
Le rôle du bibliothérapeute est fondamental. Il nous écoute et nous nous confions à lui. « J'ai peur du regard de l'autre, que puis-je lire ? On vient de m'enlever un sein, que dois-je lire ? J'ai peur de vieillir, quoi lire ? »
Il nous prend par la main, il nous prescrit des ordonnances. Ici, c'est Colette. Ailleurs ce sera plutôt Stendhal. Là, je sens que Rousseau vous conviendrait parfaitement. Tiens, ici, pour ce que vous avez, une seule prescription : Les Misérables, de Victor Hugo ! Le traitement sera long, mais si c'est la meilleure manière de guérir...
Les livres nous aident à vider nos armoires à pharmacie.
Les livres deviennent alors peu à peu nos amis...
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Je ne vais pas faire une analyse de ce livre. Je veux seulement crier "Lisez-le !
C'est un baume, il rassure tous les fous de lecture qui ont si souvent entendu que les livres coupent de la réalité, que l'on y perd son temps, qu'ils empêchent de vivre vraiment, et donne envie à ceux qui ne le sont pas de le devenir. Régine Detambel nous montre que lire offre un surplus de vie et aide à guérir, que les livres sont de "véritables oasis de bien-être psychique, dénouant les tensions intérieures". Lire est "un cérémonial de guérison magique" et comme le dit si bien Montesquieu
“Je n’ai jamais eu de chagrin qu’une heure de lecture n’ait dissipé.” Et tout le corps participe à la lecture.
Un livre que je vais m'empresser de racheter sur papier (comme je le fais souvent après avoir lu sur tablette quand je sais que je vais désirer relire un livre)
"La liseuse, l’écran ne peuvent pas de la même manière faire entrer en nous le texte, au plus profond du corps. Quand j’écris ou lis à l’écran, je n’ai plus besoin de toucher pour sentir, j’effleure seulement. Mon écrit est de la graine de traces."
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Un essai très intéressant. La lecture, oui, parfois, peut être thérapeutique et nous faire du bien mais l'écriture, elle, on en est CERTAIN. Bravo Régine.
Vincent L. (stagiaire)
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Vue dans La Grande Librairie, Régine Detambel m'avait convaincue de lire son petit opus consacré à la bibliothérapie "créative". Pourquoi créative ? Parce que, par ce terme, elle écarte les livres de développement personnel, de conseils "psys", etc..., qui pour elle, justement parce que c'est leur but affirmé et explicite, n'ont rien de "soignant". Régine Detambel, dans cet essai, nous explique donc, en gros, comment et pourquoi la lecture de fictions et d'essais peut aider à aller mieux, peut même aider à guérir, faisant de la lecture une véritable thérapie de l'esprit et du corps...
J'adhère totalement à ses considérations et, il faut dire les choses telles qu'elles sont, ses critiques sur cette mode des livres de développement personnel, alors que la lecture de fictions voire d'essais est celle qui nous forge, qui façonne notre vision du monde et des sentiments. D'intéressants passages sur les conseils de lecture (elle rappelle qu'une lecture aura un effet différent d'une personne à l'autre, d'où la grande responsabilité qu'ont les prescripteurs, bibliothécaires et libraires notamment), sur ce qu'apporte le récit en termes de repères, de calme, d'apaisement, d'enracinement, sur ses propres lectures fondatrices.
J'ai moins aimé, car peut-être moins compris, les passages consacrés aux considérations purement médicales, sentant bien que l'on n'en est pas encore là en France (prescrire du Proust pour soigner une neurasthénie passagère ?), ainsi que l'organisation un peu aléatoire des chapitres.
Néanmoins, une approche intéressante qui passionnera les professionnels du livre (mais pas que !) et leur rappellera leur importance ! Et, surtout, un livre qui donne envie de lire, et ça, c'est toujours bien !
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L’être humain a besoin de récits pour vivre, nous sommes une espèce affabulatrice. Que recherchons-nous ? L’imbibition par le texte, l’infusion des signes, des mots, parfois la question du sens est même secondaire. C’est ce qui caractérise la bibliothérapie créative fondée sur les œuvres de fiction littéraire présentée par Régine Detambel.
Il en existe d’autres versions, notamment des bibliothérapeutes américains, qui estiment nécessaire la lecture d’ouvrages ‘’faciles’’ prônant ‘’ l’estime de soi par gros temps’’, ce qui fait bondir notre auteure sur vitaminée.
Grace aux fictions, on voit vivre, évoluer des personnages, mais il faut prendre conscience qu’ils sont des miroirs et non la réalité. Ils nous donnent cependant des leçons.
A quoi sert la littérature ? (question souvent posée, de manière plus simple, par nos élèves : Pourquoi lire ?) Pour résumer, qu’est-ce que la littérature ?
Une éducation sensible, une expérience de vie, un « cérémonial de guérison magique ».
Je comprends mieux pourquoi je ne peux pas me passer de lire !
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La thématique de la bibliotherapie m'intéresse beaucoup. Après avoir lu plusieurs articles, cet essai est complémentaire de mes lectures. Un peu répétitif parfois, dépassant souvent le cadre de la pratique de lecture, tombant dans l'autobiographie. Toutefois très bon pour découvrir ce qu'est la bibliotherapie, ses buts ... En espérant que ce courant prenne racine en France ...
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Un livre court, mais tellement complet. Un livre didactique, pédagogique et instructif qui nous en apprend plus sur la bibliothérapie et le métier de bibliothérapeuthe. Livre qui peut être lu tant à titre personnel qu'à titre professionnel. Personnellement, j'ai découvert la bibliothérapie il y a quelques mois et cela a attisé ma curiosité. Ce livre m'a encore plus donné envie d'approfondir le sujet et pourquoi pas, un jour, de me former. De plus, l'auteure fait référence à de nombreux ouvrages littéraires et partage de nombreuses citations. Enfin, cela nous invite à réfléchir sur un point, à savoir ce que nous procure la lecture.
Comme je l'ai dit précédemment, un livre court, mais tellement riche ! Lisez-le !
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Retour de lecture sur “Les livres prennent soin de nous”, un court essai, donc rapide à lire, publié en 2015 et écrit par la romancière Régine Detambel. J’étais plutôt sceptique quant à l’intérêt de ce livre, prêté par une amie libraire et donc une professionnelle du livre. Peut-être à cause de son sous-titre “pour une bibliothérapie créative”, je m'attendais à quelque chose de technique, qui risque d’aller trop loin pour le simple amateur de littérature que je suis. Si on décline en thérapie tout ce qui nous fait du bien, on n’a pas fini. Cette petite appréhension passée, j’ai finalement été très agréablement surpris, ce texte fait un tour relativement complet de ce que les livres nous apportent, explique tout le bien qu’ils nous font, et répond finalement à la question: pourquoi nous lisons ? Detambel réussit à mettre des mots sur notre expérience de lecteur, sur des choses que nous vivons de manière inconsciente depuis que nous lisons. Elle nous explique pourquoi nous le faisons, ce que cela nous apporte dans la vie, et nous sommes surpris de constater que ce qu’elle explique correspond tout à fait à la réalité de notre propre expérience. Par extension, elle nous explique comment cela peut être géré pour ensuite être décliné et utilisé comme une thérapie dans certains cas. Le début n’est pas forcément le plus passionnant, elle insiste beaucoup sur cet aspect “bibliothérapie”, mais l’argumentation est plutôt solide et finalement elle justifie tout à fait l’existence et l’utilisation de ce terme. Ce n’est pas une invention de l'auteure comme je le pensais, cette thérapie est même quelque chose de fréquemment appliqué dans certains pays anglo-saxons. Elle élargit ensuite le périmètre pour aborder la lecture d’une manière beaucoup plus large et cela devient alors passionnant. Ses réflexions autour du livre sont très intéressantes, elle explique le rôle clé de la métaphore et elle illustre toujours très bien son propos par de nombreuses références, des expériences vécues ou des citations. Celle qui m’a notamment interpellée est celle de Freud, “Partout où je suis allé, un poète est allé avant moi”, c’est exactement ce qui m’a attiré en premier vers la littérature, le fait de découvrir que des choses intimes, des expériences ou des blessures personnelles trouvent un écho dans certains livres ou romans. Savoir que d’autres ont vécu les mêmes expériences, certaines douloureuses, m’a aidé dans la vie. Celui-ci d’une certaine manière en est lui-même un parfait exemple, puisque l'auteur en partant de l'expérience d'autres personnes arrive à décrire précisément des choses que nous avons pu ressentir à travers la lecture. Chacun trouvera forcément des choses qui le renverront vers sa propre expérience et son parcours personnel avec les livres. Elle parle aussi des habitudes qu’on peut prendre en tant que lecteur, de nos petites manies et de l’importance de la manière dont est organisé l’ordre de lecture des livres. Pour être tout à fait complet, si les livres sont une thérapie on peut éventuellement regretter qu’il manque quelques mots sur le danger à abuser de cette thérapie ou de s’y plonger sans modération, ni réflexion. Cela aurait été l’occasion de citer également Chopenhauer qui a donné dans “La lecture et les livres” quelques arguments pour illustrer cet aspect potentiellement négatif. Pour finir, même si c’est souvent un peu redondant, c’est un petit livre plutôt intéressant que je conseille à tous les amoureux de la lecture qui souhaitent faire une pause, prendre un peu de recul et mener une réflexion pour comprendre un peu mieux leur rapport aux livres.
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"Quels maux soignent les livres? Ils sont innombrables: l'ignorance, la tristesse, l'isolement, le sentiment de l'absurde, le désespoir, le besoin de sens, parmi quelques autres. C'est que l'écriture est aussi un scalpel, un outil de compréhension de soi-même et du monde, d'accouchement de la pensée même qui s'élabore dans le texte. Il faut déchiffrer. Critiquer. Juger. interroger la langue."
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Lu en 2015 (date de publication).
Les livres nous font du bien, nous soignent, nous rendent perplexes, nous consolent, nous rendent heureux, nous surprennent, nous font réfléchir. Bref, ils mettent des mots sur nos émotions, sombres comme gaies, négatives comme positives, personnelles comme universelles !
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Lucie Guillet, Psychothérapeute française, lointaine cousine de Claude Bernard, chercha après guerre à expérimenter les effets bénéfiques de la poésie sur le psychisme des nerveux. En 46, elle publiait son essai sur la poético-thérapie et montrait comment soulager des patients psychiatriques par la poésie ou plus exactement par l'efficacité du fluide poétique. Selon elle, le fluide poétique est la synthèse de 3 puissants pouvoirs : le rythme, la sonorité et la pensée qui sont aptes à réguler certains cas de phobies, d'anxiété, d'indécision, des idées noires, l'angoisse, la mélancolie, le découragement.
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[Abandon]
Un titre qui était si prometteur : "Les Livres prennent soin de nous". Je ne peux être que d'accord avec cette phrase !
Mais je m'attendais à des exemples concrets et le texte est trop philosophique et on passe d'une thématique à l'autre sans vrai fil conducteur.
Je devais rendre ce livre alors je n'ai pas insisté car je n'accrochais pas...
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