Je n'ai pas beaucoup apprécié cet album, pourtant la couverture avait retenu mon attention et surtout, l'histoire était bien partie. Mais très vite, j'ai décroché, je trouve les graphismes un peu trop fouillis. Je pensais suivre un Harry Potter moderne et au final je me retrouve embarquée dans une sorte de manga.
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Encore une histoire qui surfe sur la mode Harry Potter, avec un collège pour sorciers caché derrière un placard à balais dans un lycée normal, et où un monde d’elfes, de trolls et de lutins vit en parallèle du notre. Le graphisme est influencé par les mangas, avec des traits un peu anguleux et raides, une colorisation qui n’est juste qu’un coloriage. Cette série n’est pas d’une grande originalité, elle est dans l’air du temps, à la limite du plagiat d’idées, mais les personnages sont assez attachants, l’action bien rythmée. C’est plutôt bien fait, bien construit, et malgré son aspect formaté, stéréotypé et académique, ça se laisse lire avec un certain plaisir. Est-ce que je lirai la suite ? Oui, si l’occasion se présente, mais je ne courrai pas après.
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Bien entendu, ça n'est pas un chef d'œuvre. Les allusions à Harry Potter sont lourdes. Le récit en lui-même est déséquilibré et le monstre final est vaincu trop rapidement à mon goût.
Pourtant, j'ai passé un bon moment en lisant cette histoire. Guillaume est élève dans un collège de magie. Il n'est pas un brillant élève, plutôt flemmard et tête en l'air. C'est malgré tout un gentil garçon et lorsqu'il doit agir, il agit.
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Je n'ai pas ressenti autant d'engouement que les avis présents sur la page. Un semblant de parodie à notre célèbre sorcier à cicatrice en version cancre et têtu. Un anti-héros inattendu mis en valeur avec un monde typique (trolls, fées et cie) et beaucoup de dialogues se chevauchant dans les bulles. Un peu trop brouillon pour ma part et un manque complet d'attachement aux personnages. Malheureusement, ce sera sans moi pour la suite.
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Un petit moment sympa qui rappelle beaucoup de souvenirs, de l'humour et de l'aventure c'est tout ce qu'on demande
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On suit encore une fois une aventure des jeunes héros de ce collège à la Harry Potter (un peu plus moderne avec les nouvelles technologies qui existent maintenant dans la vie de nos chères mômes). Des enfants n'auront pas de mal à s'identifier à ces personnages mais l'adulte que je suis bloque un peu. Les personnages adultes et méchants sont un chouilla stéréotypé et malgré une histoire intéressante le courant entre cette bande dessinée et moi à du mal à passer.
Challenge bande dessinée 2020.
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Il est difficile de ne pas voir le clin d’œil à Harry Potter avec Guillaume et son école. Le style physique, la médiocrité à l’école voilà ce qui les relie et sans aucune cicatrice, du moins pour l’instant. On se doute bien que ce jeune homme maladroit sans être vraiment bon à l’école cache un grand talent. Il a réussi à invoquer un sort sans même bien savoir comme il le connaît. De plus, Dragonnet est devenu son ami et a suivi ces ordres quand il a fait appel à ces talents de dragon. Une chose qui ne s’était encore jamais passé auparavant. Un tome qui introduit la dualité du monde des humains normaux et des êtres magiques qui la peuple discrètement. Bien entendu des forces du mal vont sévir et il va falloir que des braves jeunes gens interviennent. Guillaume, son dragon et son cousin vont être de la partie. Mais pour en savoir plus, il va falloir poursuivre la découverte au-delà du premier tome introductif.
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Une nouvelle professeure d'histoire arrive au collège invisible avec pour ambition de reformer l'ordre des Chevaliers dragons. Ange trouve le moyen de relier cette série à son titre phare. Un album orienté jeunesse (humour et dessins moyens) mais qui se lit avec plaisir.
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Duel de magie entre le collège Péquaure, invaincu et grandissime favori et le collège invisible. Un scénario classique mais efficace, des dessins pas toujours convaincants mais une lecture plaisante.
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Le professeur Etrange amène ses élèves dans l'Astral où cohabitent rêves et cauchemars. Les dessins sont toujours moyens mais le scénario gagne en intensité. Ce troisième volume est pour le moment le meilleur de la série.
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Le collège invisible est menacé de fermeture par un inspecteur zélé. Avis mitigé pour cette série. Les dessins sont approximatifs et le scénario mal maîtrisé. Mais l'environnement est sympathique et la lecture agréable.
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Panne d'inspiration passagère, épuisement du filon... la suite le dira. Toujours est-il que ce tome 8 marque une nette baisse de régime, en ce qui me concerne, dans une série de BD jeunesse que je trouvais fort emballée, plaisante et drôle.
Le côté drôle reste bien présent dans ce tome. Un comique de situation, la plupart du temps, et quelques gags en forme de réminiscences par rapport aux albums précédents.
Le Collège invisible est en cours de reconstruction. L'entrée est encore bricolée, un portakabin trône dans la cour du vrai lycée et sert de portail. Lors de l'ouverture de celui-ci, Guillaume, Capucine et Dragounet sont projetés dans la dimension de poche du collège. Ils y rencontrent d'adorables créatures anthropophages... et devinez qui est au menu? Tout juste, Auguste !
Au niveau du Collège invisible, il faut donc tout démonter "en surface" afin de pénétrer dans la dimension de poche. Au grand dam des architectes. C'est chose faite, tout est bien qui finit bien, donc.
Un épisode qui n'apporte vraiment rien au récit global, si ce n'est par sa chute (que je ne dévoile pas) et qui pave le chemin vers la suite. Tout ça pour ça.
Tous les rouages sont éculés et téléphonés. Pas de jeux de mots innovants. On sent les auteurs en roue libre. Côté dessin aussi il y a du relâchement. C'est pauvre. On ne retrouve plus le trait achevé et fin des trois premiers albums. Une déception.
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Le Collège Invisible étant en reconstruction, les élèves et les profs sont hébergés à Péquaure... et cela ne va sans doute pas être une partie de plaisir. Le collège de Péquaure est perdu au milieu de la cambrousse. A part étudier, il n'y a pas grand-chose d'autre à faire.
Autant en profiter pour jouer la revanche entre les deux écoles, non?
Mais peu à peu, les choses dérapent. Merlin, le cousin de Guillaume, la proviseure de Péquaure, les mages, l'astral... tout cela commence à gripper... C'est le retour d'une vieille ennemie que l'on croyait disparue à jamais.
Une intrigue qui se boucle (ou on le dirait) en un seul tome, avec quelques gags semi-comiques et les habituels running gags de la série. Cela ne réinvente pas la série, mais cela se lit avec plaisir. Les dessins sont toujours au top et le rythme ne faiblit pas (c'est l'intérêt d'avoir un duo de scénaristes sous le pseudo d'Ange).
On note une très chouette couverture avec un brin d'animation dans la boule de cristal de Guillaume où Dragounet mange la chouette de son cousin...
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Le point positif que je retiens de cet album est que les auteurs ont la grande intelligence de terminer assez rapidement l'épisode du Grand Destructeur. Cette grosse chenille verte grandit et ravage l'environnement du Collège Invisible, à tel point que le principal du collège n'a d'autre possibilité que de sortir le collège de sa bulle. C'est donc sur terre que le Grand Destructeur exécute sa tâche de mort.
On va passer du Collège au Grand Destructeur, en passant par Guillaume et ses lutins ou aux Drims jusqu'au final un peu étrange, où les auteurs semblent botter en touche.
Ce n'est pas mauvais en soi. C'est juste que j'attendais quelque chose de plus flamboyant. UCn peu comme quand les convives se réjouissent du repas à venir, sentent les effluves des cuisines puis voient arriver un soufflé au fromage et truffes qui se prend un courant d'air avant d'atteindre la table.
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Les auteurs poursuivent les intrigues à une vitesse folle. Dans les fourrés, le Grand Destructeur grandit et gagne en puissance. La nouvelle prof d'histoire, mademoiselle Vidaura, est là pour réorganiser l'ordre des Chevaliers Dragons. Elle a eu une aventure avec le mage devenu jardinier taciturne, Radovar. Tabatha va fouiller les archives afin d'en savoir davantage. Guillaume envisage de déclarer sa flamme à Capucine, qui semble vouloir faire de même. Sylvie, la Mort est déclarée apte au service dans le Collège. Thomas demande aux lutins de lancer un sort pour inverser les effets de sa lycanthropie...
On devine bien que tout cela ne se passe pas toujours comme prévu.
Magistralement rythmé, ce 5è tome apporte son lot de péripéties, présentées avec l'humour habituel, et se termine sur un hangover particulièrement réussi. Je suis fan.
Le bémol, à ce stade, c'est le physique des héroïnes. Les 95C défient la pesanteur. Les hanches sont anormalement larges. La taille plus fine que celle de la poupée Barbie... C'est un brin "too much", même si on sait que l'on est dans le fantasme et la caricature.
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Je suis fan, donc il est fort possible que cette critique soit peu objective. On retrouve le Collège Invisible juste après l'arrivée du Collège de Péquaure. Ils sont redoutables et surtout ils n'ont pas envie de perdre. Et parmi les meilleurs de Péquaure, il y a Merlin (il s'est renommé ainsi), le cousin de Guillaume, la quiche des quiches des mages du Collège Invisible.
On saute donc directement dans le vif du sujet avec le début des épreuves opposant les deux écoles. L'enjeu est tellement important que les professeurs trichent... (ce qui n'est pas idéal dans une BD destinée à notre belle jeunesse... humour) A ce jeu, Péquaure est assez forte, même si c'est le Collège Invisible qui a plus ou moins commencé à prendre de petits arrangements avec les règles (peu nombreuses) du duel d'écoles.
Mais les auteurs continuent aussi l'ensemble des intrigues précédemment développées. Ainsi, Guillaume et Thomas croisent un gothique du collège (visible) qui s'est adonné à un rituel de magie qui a foiré... la Mort s'est incarné en lui... pour le sauver, il faut inverser le sortilège. Mais les épreuves continuent face à Péquaure... et il apparaît que Guillaume va affronter son propre cousin. L'arme secrète du Collège Invisible, les voyages dans l'astral...
J'aime bien cette série, c'est frais, reposant, drôle sans vulgarité, très second degré avec de chouettes valeurs d'amitié et de dévouement de soi. Les héros symathiques sont toujours un peu décalés et dépassés par les événements. Cool. Ici, j'ai moins aimé l'humour assez lourd sur les noms des sorts en rapport avec le foot... style Barteszum... avec le commentaire "avec ce sortilège, ça passe ou ça rate complètement".
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Un peu déçu par ce troisième tome... car on a une sorte de redite du premier tome avec un méchant combattu par tout le monde. C'est linéaire, direct. Cela ne m'a donc pas trop convaincu.
Les élèves de Collège Invisible apprennent à aller dans l'astral. Ils en découvrent les possibilités et les dangers. Dès lors, pas de quoi s'étonner que Guillaume finisse perdu dans l'astral (mais ce n'est pas de sa faute). On a alors droit au couplet "Guillaume est le sauveur", qui fait l'effet d'une redite par rapport au premier tome. Il est ici le sauveur d'un petit peuple d'animaux à fourrure qui sont réduits à l'état d'esclaves par une femme (à gros seins, car tous les personnages féminins de cette série ado ont de gros seins et une taille minuscule à rendre Bardie jalouse), qui est la personnification d'un cauchemar.
Tout le collège se mobilise, car il "faut sauver l'étudiant Guillaume"... et hop le tour est joué. Un peu faiblard comme scénario. On aurait pu avoir davantage de développements sur l'essence des rêves et des cauchemars, sur le pourquoi du comment, sur l'origine des choses, etc. Rien de tout cela.
Le tome se termine sur l'arrivée du collège de Péquaure, un groupe de magiciens que l'on croirait directement issus d'Harry Potter. Rien d'étonnant à cela. Quelques nouvelles énigmes sont livrées au lecteur, comme le fait que tout le monde, y compris les nouveaux arrivants, ont rêvé de Guillaume... Tome finalement assez creux au niveau du contenu, mais toujours aussi envolé au niveau humour et gaudriole (et 95C).
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