Renaud Marhic

J'ai adoré, j'avais beaucoup aimé le premier, et celui la ne se dément pas. les apartés du petit reporter sont toujours à point nommées ( et j'attends toujours la suite des 246 pages d'explication du troll!), extrêmement drôle. Et cette histoire de gnome qui fait faire n'importe quoi aux appareils électronique, qui porte le nom de Bug... je suis d'ailleurs persuadée qu'il est passé chez moi à un moment, et qu'il squatte, parce que j'ai pas mal d'ennui avec mon téléphone, sans compter une certaine pompe à essence qui refuse de fonctionner une fois sur trois!!! et ce pauvre Gustave qui fait tout pour se convaincre qu'il a rêvé... franchement je ne peux que recommandé cette série pour les petits et aussi pour les grands, surtout qu'en plus de rigoler et de passer un bon moment, on apprend aussi des choses. On a tout à gagner à faire un tour par le monde Onirique du petit reporter, que je remercie de m'avoir invité de nouveau dans son monde délirant.


Lien : http://lecercledelivres.blog..

Un livre très drôle, voir même complètement dingue, hallucinant et ludique. L'auteur s'amuse à prendre le lecteur à témoin en faisant des apartés "Psiiiiit!" ce qui rend le récit particulièrement vivant. j'ai vraiment apprécié ce livre qui m'a fait à plusieurs reprise exploser de rire, "une souris verte à pois bleus qui roule en quad"ou encore "le sort d'Ecrabouillette" sont le genre de phrase que vous devez vous attendre en mettant le pied dans le monde crée par Renaud Marhic. C'est un roman jeunesse pas YA pour une fois, ne vous trompez pas, hein?

Ce roman est ma première collaboration en tant que Breizhblogueuse, il va maintenant tranquillement continuer son chemin parmi nous, si il n'est pas dérober par un lutin revanchard, qui n'apprécies pas qu'on dévoile son monde :p.

je remercie Lalydo et Renaud Marhic pour la chance d'avoir eu ce livre entre les mains.


Lien : http://lecercledelivres.blog..

Ah j'avais presque oublier combien l'auteur était ultra présent dans ses récits. Il intervient souvent notes en bas de page et nous explique le pourquoi du comment car il faut bien suivre. Au début tout paraît facile, logique, mais avec ces lutins urbains, il y a de quoi devenir fou en moins de 5 minutes ou de de deux chapitres.



Beaucoup d'humour et de bonne humeur au fil des pages. Quelques illustrations de bonne facture en noir et blanc pour nous distraire un peu. Elles apportent un petit plus, une bouffée d'air frais. On les détaille avec plaisir. C'est notre petite pause au cours de la lecture. C'est que le rythme est soutenu et que pour les non sportifs, c'est juste un coup à y perdre un poumon en route !!! Et puis comme Gustave, possible que de bonnes migraines nous prennent, mais on avait été prévenu par l'auteur en avant propos. Ça on ne peut pas dire...



On retrouve des personnages déjà connus et c'est fort sympathique. Des visages connus, c'est déjà ça dans toute cette pagaille. Vos lutins à vous vont adorer et se bidonner. Le monde est tout foutraque, mais on retrouvera un semblant d'ordre jusqu'à la prochaine fois qui ne saurait tarder...


Lien : http://espace-temps-libre.bl..

Quand Renaud Marhic (le "Petit Reporter de l'Imaginaire") m'a proposé un partenariat pour L'Attaque du Pizz' Raptor, il m'a envoyé un lien pour découvrir les premières pages du roman. J'ai tout de suite été séduite, et la lecture complète de l'histoire a confirmé cette première impression très positive.

Ce roman jeunesse (de 7 à 77 ans selon l'éditeur) est un concentré d'humour et de bonne humeur : l'auteur fait preuve d'une grande inventivité et les jeux de mots fusent, jusque dans les noms des personnages. L'intrigue est loufoque à souhait et nous entraîne dans un monde légèrement futuriste, où les établissement publics sont sponsorisés par de grandes marques et où le fait de penser à une créature imaginaire peut lui faire prendre vie... L'enquête, farfelue, est menée par un jeune policier attachant et mêle habilement découverte de créatures fantastiques, action et suspense.

Les chapitres sont assez courts, quelques illustrations noir et blanc accompagnent les points principaux de l'intrigue, et l'auteur fait participer le jeune lecteur à l'histoire par le biais de notes de bas de page (« Psiiiiit ! Au fait, cher lecteur, tu as bien gardé le dictionnaire près de toi, comme je te le conseillais à la page 25 ? Non, moi, si je demande ça, c'est question sécurité. Parce que ceux qui l'ont pas, le dictionnaire, dans un instant, ils pourraient bien le regretter... »). C'est loufoque et amusant, ni lourd ni vulgaire, et écrit avec beaucoup d'intelligence tout en restant extrêmement accessible.

J'ai eu le sourire aux lèvres durant toute la lecture, et cet état d'esprit a perduré le reste de la journée. Rien que pour cela, j'en redemande !
Lien : http://andree-la-papivore.bl..

Dans un futur proche, notre monde a succombé à toutes les choses qui planent dès à présent sur nos têtes : la malbouffe, des entreprises et leurs publicités omniprésentes – qui en viennent à sponsoriser tout et n’importe quoi – et bien d’autres choses. Au milieu de cela, nous trouvons Gustave Flicman, un jeune policier travaillant dans la Grosse Pomme, qui est confronté à des vols tous particuliers : un homme vole les livreurs de pizzas… mais ne prend pas l’argent, seulement les pizzas ! Et le soir où Gustave se retrouve face à face avec lui, quelle n’est pas sa surprise en constatant qu’il s’agit d’un… lutin ! Et se prendre une enclume sur la tête de suite après n’aide pas à ne pas se croire fou ou à avoir eu une hallucination… Mais Gustave va vite se rendre compte que les lutins sont bien dans la Grosse Pomme, et pas n’importe lesquels, des lutins urbains, sous la houlette d’un Professeur travaillant dans l’Université d’Onirie !



Ce roman pour enfants est pleins de surprises, et réenchante un monde qui semble se passer de magie… Ces petits lutins, leur professeur très loufoque, la brigade policière secrète s’occupant des problèmes liés à ces êtres féériques, le tout dans un monde où la technologie est partout et les entreprises prépondérantes, autant dire que Renaud Marhic réussit à insuffler un peu de magie dans un monde bien désenchanté.



Un roman, donc, pour les enfants. Mais pas que : les adultes au coeur d’enfant prendront beaucoup de plaisir à ces courtes lectures. En effet, le romans est truffé de jeux de mots, de petites réflexions plus ou moins cachés sur notre société, de petites constations amères présentés avec beaucoup de drôlerie. Parce que je ne l’ai peut-être pas encore précisé, mais ce livre est très drôles !



La narration est de plus bien menée, on ne s’ennuie pas, l’histoire va très vite – normal pour des livres pour enfants ! L’auteur se permet de nous parler et de nous renseigner quant à notre conduite à tenir, nous rendant acteurs dans l’histoire, au travers de notes de bas de page, dénommés “Psiiiiiit !”. Et c’est bien là que réside toute l’originalité de ce roman.



Pour résumer : un roman pour enfants plein d’originalité, mêlant un monde pragmatique à de la féerie, un roman bourré d’humour, de jeux de mots et de références à notre société de consommation. Un roman, donc, pour enfants, mais qui ravira plus d’un adulte !
Lien : http://breveslitteraires.wor..

Maintenant que j’ai le livre entre les mains une question se pose, vais-je prendre autant de plaisir qu’au premier ?



Mon attente sera-t-elle récompensée ?



Dès les premières lignes, on retrouve le style et l’univers des Lutins Urbains.



Les titres des chapitres mettent dans l’ambiance jeux de mots et autres messages à double sens.



Le « générique » permet de donner au lecteur la liste des personnages, pour les jeunes lecteurs cela peut aider.



Les notes en bas de page continuent à interpeller le lecteur et rajouter des touches d’humour. Ex : « il y a quelque chose qui cloche… » Et il s’agit des cloches de la cathédrale Little Kitty®. Eh oui la ville est toujours sponsorisé par les grandes marques.



Drame conjugal au commissariat un bug a transformé le texto du commissaire à son épouse… Plus moyen de fermer les yeux Gustave Flicman est obligé de replonger dans le monde des Lutins Urbains s’en suit une série de catastrophes et de courses poursuite à travers la « grosse cité » pour finir en un feu d’artifice un peu trop rapide à mon goût d’autant plus que l’épisode fini on doit attendre l’automne 2015 pour une autre aventure !!!
Lien : http://ramettes.canalblog.co..

Nous retrouvons dans ce roman, les mêmes personnages que dans le premier tome. Gustave Flicman, encore ébranlé par sa décoouverte de l'Université d'Onirie et par sa rencontre avec le Professeur B., reprend le chemin du commissariat. Mais il ne va pas mettre longtemps à être confronté aux Lutins urbains. En effet, toutes les technologies numériques se détraquent. Les montres sont déréglées, les images à la télé sont déformées, les habitants de la ville ne peuvent plus communiquer... Gustave se retrouve dons sur le chemin de l'Université...

Je ne peux pas vraiment donner plus d'explications sur ce livre. J'ai aimé, comme pour le premier tome, l'écriture de Renaud Mahric. Elle est rythmée, pleine de burlesque. On ne s'ennuie pas un instant. Les personnages sont égaux à eux-mêmes. Nous faisons connaissance ici avec le Nain jaune et Bug le Gnome. Sûrement des personnages que nous recroiserons dans les prochains tomes.
Lien : http://laptitesourisduweb.bl..

Si vous avez gardé votre âme d'enfant (ou si vous avez moins de 12 ans et demi), vous pourrez lire et apprécier ce roman jeunesse complètement loufoque ("Psiiiiit ! Tu comprendras ça quand tu s’ras p’tit !").



C'est drôle, frais, au vocabulaire judicieux. De multiples rebondissements ponctuent le récit. Les dialoguent sont truculents.



Renaud Marhic semble avoir pris plaisir à écrire chaque mot de cette enquête policière pas comme les autres. Dieu que c'est bon !



Une première aventure qui donne envie de découvrir le tome 2 sans tarder.


Lien : http://bibliobleu.blogspot.fr

Dans un monde dominé par les marques, les livreurs de pizzas sont continuellement attaqués. Gustave Flicman, jeune policier, met toute son énergie à résoudre cette affaire. Quand il est sur le point d'attraper ce voyou, il se rend compte que ce n'est pas un homme. Mais qu'est-ce que c'est ? Et pourquoi ses supérieurs lui demandent-t-ils d'abandonner l'affaire ?

Je remercie Renaud Marhic de m'avoir contacter pour me faire découvrir ses Lutins Urbains. J'ai passé un bon moment avec eux. Ce petit roman est vraiment jeunesse, mais c'est un peu compliqué pour les premiers lecteurs, à cause de tout le vocabulaire autour du monde des Lutins.

Gustave est touchant, assez innocent. Il est assez rationnel et l'intrusion de personnages imaginaires dans son enquête le perturbe énormément. Il va devoir se positionner et ce n'est pas facile pour lui. L'intrigue n'est pas très compliquée, mais côtoyer des lutins et un troll n'est pas de tout repos. les rebondissements s'enchaînent et les notes de bas de page (qui font partie intégrante de l'histoire) apportent des précisions sur l'univers lutinesque et le caractère de ses habitants.

A découvrir absolument !
Lien : http://laptitesourisduweb.bl..

Gustave Flicman et son coéquipier Pticop, deux jeunes policiers, sont sur les crocs : depuis trois mois, un mystérieux voleur de pizza sévit dans la Grosse Cité sans que rien ne semble pouvoir l’arrêter. Lorsque Flicman se trouve enfin nez-à-nez avec le coupable, il n’en croit pas ses yeux. Non, ce n’est pas un p’tit vieux, mais bel et bien un lutin !



Après avoir reçu une enclume sur son véhicule, Gustave est bien sonné. Le coupable présumé, ne tarde pas à être arrêté. Le pauvre "Papy Caddie", SDF de son état, a beau protester, derrière les barreaux, illico-presto, il est mené !



Mais pour Gustave, l’affaire ne s’arrête pas là, et il est bien décidé à mettre la main sur le véritable Pizz’Raptor et à libérer l’innocent. Son enquête va dès lors le conduire jusqu’à la très étrange Université d’Onirie, un lieu sauvegardé, protégé par le mystérieux Professeur B…, docteur en Lutinologie… Autant dire que l’affaire est loin d’être bouclée !



Vous l’aurez compris sans aucun souci, j’ai véritablement adoré, cette enquête trépidante et délirante. Du début à la fin, j’ai rigolé et nul lutin ne m’y a forcée ! Vraiment, le style de l’auteur est formidable. La plupart du texte rime mais ce n’est pas de la frime. J’ai trouvé excellente l’idée du commissariat et de toutes les autres institutions sponsorisées (ça donnera à réfléchir aux jeunes lecteurs sur la place de la publicité dans la société). J’ai particulièrement apprécié toutes les interventions (et digressions) du narrateur/auteur avec ses notes/conseils en pieds de pages. Grâce aux Lutins Urbains, on lit, on se divertit et on réfléchit, bref, jamais on ne s’ennuie !



En résumé, une lecture fort rafraîchissante qui ravira petits et grands (si ces derniers n’ont pas perdu leur âme d’enfant !) Je le fais commander dès lundi au CDI, je pense que les futurs 6ème seront ravis !

Je connaissais les lutins, ceux qui se cachent dans les bois, amis des elfes, des fées et des Korrigans mais je ne connaissais pas les lutins urbains ceux qui vivent parmi nous en ville. Dans ce premier épisode on fait la connaissance d'un lutin qui attaque les livreurs de pizzas non pour les délester de leur argent mais pour se nourrir de la dite pizza. On fait la connaissance aussi de Gustave Flicman tout jeune policier plein d'idéalisme et a l'esprit cartésien, pour lui les lutins font partis des contes de son enfance et ne peuvent exister dans notre vie de tous les jours. Jusqu'au jour où il va se retrouver nez a nez avec un lutin détrousseur de pizza, un troll qui pue des pieds, un professeur en lutinologie, une ado au look gothique mais aussi faire face a un mystérieux supérieur inconnu aux intentions machiavéliques.



Voila un livre jeunesse plein d'inventivité qui dépoussière avec bonheur nos contes et légendes de Bretagne. On sourit et on rit souvent aux mésaventures du pauvre Gustave Flicman et on n'a qu'une idée : savoir comment va finir cette épopée a bord d'une voiture digne de celle de Gaston Lagaffe. Une autre trouvaille : le psiiiit de bas de page qui permet a l'auteur de crée une complicité avec le lecteur et de le faire bien rire. Vivement la suite !



Merci a l'auteur a Renaud Marhic pour le prêt et la découverte.




Lien : http://desgoutsetdeslivres.o..

Des lutins voleurs, une ville moderne dans laquelle les établissements publics sont sponsorisés par des marques… voilà un univers fantasque et humoristique qui a de quoi attirer la curiosité!

Dès les premières pages de Les lutins urbains – Tome 1 : L’attaque du Pizz Raptor, on est mis dans le bain : cette affaire n’est vraiment pas comme les autres et le flair du jeune policier va le démontrer! En alternant entre le loufoque et les scènes d’anticipation, Renaud Marhic oscille entre le monde enfantin et celui de l’adulte, offrant à ce roman une double lecture intéressante.

Les enfants y trouveront leur compte dans cet imaginaire farfelu, parsemé de nombreux jeux de mots, de monstres sortis dont on-ne-sait-où et d’apartés de l’auteur, entraînant le jeune lecteur dans un univers qui ne pourra que les faire apprécier ce roman.
Lien : http://lalydo.com/2014/03/je..

Pas le temps de respirer, dès les premières lignes du récit, on est dans l'action. Paf, pif et pouf !

Plongé dans un monde à la fois très familier et un peu farfelu, on suit vite la narration car le rythme est enlevé. Néanmoins les détails ne sont point bâclés. Un excellent point car c'est dans ces derniers que les plus belles pointes d'humour se trouvent.



Des petites illustrations amusantes ponctuent notre lecture. C'est bien agréable de les détailler car elles aussi fourmillent de détails pas si anodins que cela.



Une intrigue sympathique qui vous entraîne dans des aventures rocambolesques, ces lutins urbains n'ont pas fini de nous en faire voir de toutes les couleurs. On sait qu'on les retrouvera ainsi que ce pauvre Gustave qui ne sait vraiment plus à quel saint se vouer. Un prochain tome 2 est en route. Aïe aïe aïe, on va encore prendre cher !!!!
Lien : http://espace-temps-libre.bl..

Renaud Marhic est l’auteur des ouvrages Lutins en milieu urbain et Lutins à la mode de Bretagne; on reconnaîtra donc la passion de l’auteur pour ces petites créatures!



Ce premier tome pose le personnage de Gustave, le jeune policier un peu à l’ouest et dépassé par les évènements. Plus qu’une intrigue complexe, l’auteur pose une ambiance amusante avec beaucoup de comédie et de jeux de mots bien menés. Les "Psiiit" de l’auteur sont là pour remplacer les astérisques, une façon ludique de permettre aux enfants de rester concentrés sur l’histoire. De plus, si les astérisques sont habituellement là pour expliquer des mots, l’auteur les utilise pour faire de grosses digressions. Un moyen de détourné intelligemment les techniques d’écriture! Les seuls traits d’humour un peu limites sont ceux mettant en avant des références très modernes comme Lady Gaga: on se demande pourquoi ne pas garder le style léger et merveilleux du reste de l’histoire.



Finalement le Pizz-Raptor n’est pas suffisamment exploité et on aurait préféré le voir plus présent que le Troll et ses pieds puants. Le personnage de Gustave est bien travaillé et montre de façon subtile aux enfants qu’on peut réaliser de grandes choses même si on pense ne pas avoir les moyens. Son évolution est intelligente et logique. En plus d’un protagoniste drôle et touchant, l’auteur réussit à passer des messages importants sur le respect des traditions, de la nature, des plus jeunes, mais aussi des anciens représentés par le vieux professeur que l’on croit fou, mais qui est finalement le détenteur de connaissances ancestrales qui sont les bases de notre culture.



Oui on sourit, même parfois on rit! Les Lutins sont drôles et le pauvre Gustave est emporté dans une aventure étrange entre modernité et féerie. Cependant, l’histoire en elle-même manque un peu de complexité et de dynamisme. L’ouvrage est clairement destiné aux 7/9 ans. Certes, on est amusé, mais l’histoire se lit en moins de 2h et ne reste pas trop en tête à cause aussi d’une fin un peu trop expéditive. Il est également dommage de ne pas avoir joué sur un "cliffhanger" pour nous donner envie de découvrir le prochain épisode.



CONCLUSION

Les Lutins Urbains – l’Attaque du Pizz-Raptor est un petit roman sympathique vraiment adapté aux enfants. Certains termes de vocabulaire plus recherchés ou les jeux de mots bien ficelés leur permettront d’ouvrir le dictionnaire et d’apprendre tout en s’amusant de l’aventure farfelue de Gustave. On sent la passion de l’auteur pour la Féerie et c’est certainement le plus agréable!

Renaud Marhic est un grand amateur de récits folklo­riques et légendaires. Journaliste indépendant, il vit en Bretagne où les traditions les plus populaires étaient celles concernant les nains. Il a déjà publié une quinzaine d’ouvrages et se lance ici dans une nouvelle série sur les Lutins urbains.



Par où commencer ? Le début ? hum... avec un ouvrage pareil on pourrait se permettre de le faire à l’envers. Décalé, déjanté, l’auteur met une bonne dose de folie, d’humour, de cynisme et de sarcasme dans ce premier tome.



On ne s’ennuie pas une minute, pas le temps de s’arrêter de peur de se voir écrabouillé par une enclume tombée du ciel ! Les lutins urbains sont partout et attention, plus on y croit, plus il y en a !



Les rebondissements sont abracadabrants, les personnages loufoques, les noms des lieux, objets... tournés en dérision. On sent que l’auteur a pris un malin plaisir à créer un univers futuriste où le sponsoring régentera la vie.



Cette série est destinée selon l’éditeur au 9 - 13 ans et je pense que c’était juste parce qu’il fallait définir une tranche de vente. Il est facilement abordable à partir de 7 ans et les adultes l’apprécieront et rigoleront tout autant, voir même plus. En effet, certains jeux de mots, allusions, clins d’œil et situations cocasses parleront davantage aux "vieux".



« - Mademoiselle, veuillez prévenir le dénommé "Professeur B."...

- Faites erreur, m’sieur. ... On a un dé à jouer nommé "Double-Six", un dé à coudre nommé "Coud-Coud", mais on n’a pas de dé nommé "Professeur B.", promis juré ! »



Les personnages sont tous important dans cette histoire, tout le monde met la main à la pâte pour faire avancer le schmilblick et même la chienne Margot de Papy caddie apporte la petite touche de tendresse.



Jusque dans les notes de bas de page, l’auteur fait preuve d’originalité. Oubliez les * ou petit numéro, ici vous découvrirez le "Psiiiiit !" Dans ces notes, l’auteur s’adresse directement au lecteur, il joue, blague, interpelle. On en vient à attendre avec impatience ces petits commentaires.



En ce qui concerne la fin, là aussi l’auteur s’amuse, nous annonce une fin, écrit en gros "FIN" et au final change d’avis. Comme un rappel pour un musicien, si, si, il ose et continue pour nous livrer encore une meilleure fin.



Au fil des pages, on découvre des petites illustrations en noir et blanc. Des coups de crayons simples, efficaces qui représentent à merveille les descriptions de l’auteur, rendent encore plus attractif ce livre pour les plus jeunes.



Le titre du tome 2 ainsi que le thème est dévoilé dans la dernière note de page. Ordinateur, console, ... tout bug. Attention à l’arrivée de Bug le Gnome !
Lien : http://www.yozone.fr/spip.ph..

Au début, ça démarre mal. J’avais l’impression que l’auteur ne se mettait pas au niveau de la lectrice du soir que je suis. Je me retrouve comme une collégienne à noter le vocabulaire qu’elle ne connait pas. Premier paragraphe et je n’ai malheureusement rien compris. Je manque de vocabulaire et ma lacune est pointée du doigt par l’homme de lettre qu’est sans aucun doute Renaud marhic. J’en ai été un peu vexée et un peu agacée.

Ensuite, le journal intime de Christophe est une corvée. Délire schizophrène d’un jeune complètement disjoncté ou bien le livre est un réel polar fantastique ? Je me suis réconciliée avec le livre vers la moitié de la lecture quand j’ai pris mon parti par rapport au récit du garçon. Monde merveilleux ou hallucinations ?

L’enquête de Maël me plaisait bien, c’est un personnage que j’ai apprécié et c’est grâce à lui si je n’ai pas abandonné au début. La chute finale n’est pas vraiment une surprise mais est assez abrupte. Ca peut ressembler à une fin en queue de poisson pour certains, perso elle me convient.

« Terminus Brocéliande » n’est pas le polar de la décennie, ce n’est pas une lecture fluide, aisée mais ça se laisse lire. Je n’ai pas détesté, je ne regrette pas cette lecture, c’est déjà pas si mal.
Lien : http://majanissa.over-blog.c..

Bon, plus sérieusement, à la lecture de cet ouvrage, je ne sais pas sur quel pied danser. Soit l'auteur a voulu faire un thriller fantastique le plus sérieusement du monde et, franchement, c'est risible parce que c'est tout sauf sérieux. Soit il a voulu faire un polar un peu déconnant auquel cas il manque un petit quelque chose qui donne la folie au truc. Dans tous les cas, je trouve le truc un peu inachevé.



D'autre part, le scénario aurait pu être sympa si la fin n'avait pas été si honteusement bâclée. On part d'une disparition et on alterne entre pages du journal intime qui décrivent le voyage dans le monde parallèle du disparu et l'enquête du profiler jour pour jour un an plus tard. C'est sympa, rythmé, tout qui va bien. Et puis, sur la fin, on n'a plus que le profiler, mais sans enquête puisqu'il lit un bouquin. Et puis, dans les derniers chapitres, la chute. Je serai vraiment méchant que je dirai qu'elle est nulle. Mais bon, je sais être mesuré, je dirai seulement qu'elle est ratée.



Au final, on a à faire avec un court polar rythmé mais mal défini sur sa forme avec un dénouement assez vilain qui gâche un peu le délire hallucinogène dans lequel on était entré.
Lien : http://croqlivres.canalblog...

L'album s'ouvre sur une lettre du Pr Le Brac au Pr Bonnet dans laquelle il y expose ses intentions concernant l'ouvrage. Une introduction originale qui permet de rentrer immédiatement dans l'univers proposé.



Le forme du texte est particulière puisqu'il ne s'agit ni d'une histoire suivie ni d'une encyclopédie. Chaque créature est introduite grâce à une minie-histoire. Une personne vient rendre visite au Pr Le Brac et lui expose un problème d'ordre surnaturel dont il est victime. Avec humour et rimes, le livre nous fait découvrir les lutins inconnus jusqu'alors. Le choix d'écrire le texte de façon littéraire tout en y ajoutant les rimes de poésie m'a semblé très sympathique et tout à fait adapté au thème féerique de l'ouvrage!



Les premiers lutins présentés sont ceux des terres. Tous sont plus ou moins désagréables avec les humains à qui ils aiment jouer de mauvais tour. Qualité principale de tous les lutins!



Les seconds lutins présentés sont ceux de mer. Plus mystérieux et plus effrayants, il nous rappelle que les Bretons ont toujours mystifié la Mort. La mer est également une source de mystères et s'avère aussi dangereuse que magique.



Enfin les derniers lutins sont ceux de l'habitat. Selon moi ce sont les moins intéressants, car les moins sauvages. Cependant, le Distribill Boléguéan m'a bien fait rire, lui qui vole les objets et les rend avec une partie en moins!



L'album se conclue sur quelque croquis du Pr Le Brac; une idée qui m'a toujours semblé brillante, car ainsi la véracité du travail ne peut être mise en cause.



CONCLUSION

Lutins à la mode de Bretagne est un album bien agréable qui fait sourire à chaque page. Certes les illustrations de lutins disproportionnés sont particulières, mais la qualité des couleurs vous transportera dans un monde merveilleux parfois enchanté et d'autres fois plus sombre. A lire!



PS: Pour des extraits d'images, voir mon blog...
Lien : http://faeries.unblog.fr