Ridley Pearson

Rose Red est un manoir hanté, pour sûr chers amis ! Cependant, n'allez pas uniquement chercher la frayeur, l'angoisse et les gros frissons dans ce journal intime car vous repartirez insatisfaits de cette lecture.



J'ai connu le cas du manoir de Rose Red à travers la mini-série scénarisée par Stephen King, que j'avais visionné.

Dans cette série il était question d'un parapsychologue, le Dr Reardon qui enquêtait avec un groupe de personnes possédant des pouvoirs psychiques sur les phénomènes surnaturels survenus à Rose Red. Ils devaient s'immerger dans la demeure afin de trouver des preuves formelles de l'existence de phénomènes paranormaux.



Ce journal intime est le sujet de la thèse du Dr Reardon du Département des Phénomènes Paranormaux de l'université de Beaumont. Il l'avait acquit lors d'une vente aux enchères. En menant ses recherches, il a regroupé les extraits les plus intéressants du journal pour en faire une publication. Ce sont les mystérieuses découvertes de son contenu qui l'ont conduit a organiser plus tard son expédition à Rose Red que l'on peut suivre à travers la mini-série.



Dans ce roman épistolaire qui est présenté comme l'authentique publication du journal intime, nous découvrons les confidences de Ellen Rimbauer datant du début du XXe siècle.

C'est une jeune femme innocente qui confie ses craintes, ses instants de joie, ses douleurs face à son mariage avec un homme plus âgé qu'elle, le richissime et autoritaire John Rimbauer. Elle parle aussi de ses désirs les plus intimes et des trahisons répétées de son époux infidèle.

Mais elle confie surtout son angoisse face l'étrangeté de leur demeure: cet immense manoir qu'ils ont fait construire à Seattle et qui ne cesse de s'agrandir, surnommé Rose Red.

Entre les morts, les disparitions et les phénomènes inexpliqués, nous suivons la passionnante et troublante narration d'Ellen au fil des années.

Son langage est plutôt soutenu et agréable à lire. le personnage d'Ellen est très attachant. Ses descriptions sont fluides et les situations parfois inquiétantes. J'ai pris beaucoup de plaisir à me plonger dans ses pensées et à suivre son existence dans la mondanité.

J'ai également aimé l'étrange personnage de Sukeena, la servante africaine d'Ellen, et l'étroite amitié entre les deux femmes.

Ce roman ne vise pas à plonger le lecteur dans l'angoisse extrême, mais plutôt à l'immiscer dans la tête d'une femme inquiète et tourmentée par les événements irrationnels qui l'entourent.



J'ai apprécié le fait de pouvoir visualiser une partie du plan de rez-de-chaussée du gigantesque manoir Rose Red qui est imprimé à l'intérieur du livre. Ainsi, j'ai pu mieux situer les déambulations des personnages au fil de l'histoire, ce qui était assez sympathique.

Un bon moment de lecture !

L’Amérique s’est passionnée pour le cas Rose Red qui a également fasciné Stephen King. Le maître du fantastique a signé en tant que scénariste et producteur exécutif une grande série télévisée inspirée par la maison maudite.



Présenté comme un authentique journal intime, ce roman raconte l'histoire d’Ellen Rimbauer, jeune fille naïve et amoureuse mariée à un homme plus âgé qu'elle, qui multiplie les maîtresses et la traite avec une certaine rudesse.

Étonnant récit que celui du témoignage d'Ellen Rimbauer. Le roman est écrit sous forme épistolaire. Le thème de la maison maléfique qui tue a rarement été abordé et c'est donc avec un certain plaisir que le lecteur découvre les mystères de la demeure de Rose Red. En effet, les phénomènes paranormaux et les disparitions se succèdent au fil des ans au manoir de Rose Red, imposante demeure dont la construction dura plusieurs années, avec en "toile de fond" la vie difficile de l'épouse du maître des lieux, un être autoritaire et infidèle.



La narration est fluide, la description est forte et troublante... Cette œuvre très réussie se lit rapidement, et le scénario digne d'un maître du genre comme Stephen King ne peut que nous allécher.

On n'y trouve pas d'épouvante comme on aurait pu s'y attendre, c'est plutôt un journal dans lequel Ellen Rimbauer nous parle de sa vie, de sa grande maison Rose Red offerte par son mari et bien sûr de la vie de son époque..



Ellen Rimbauer, est une jeune femme heureuse lorsqu’elle se marie à vingt ans avec un homme bien que plus âgé qu'elle de vingt ans, c'est un riche entrepreneur qui, dans leurs premières années de vie commune, va la faire voyager partout dans le monde surtout en Afrique d'où elle ramènera une servante africaine Sukeena . La joie de femme mariée de la jeune Ellen va s’altérer peu à peu quand elle découvrira que son mari n'est qu'un volage. Malgré tout, il va lui construire, sur plusieurs années, une grande demeure à Seattle qu'on nommera Rose Red, une maison au fil des années deviendra une maison hantée. En effet, Rose Red va connaitre mystérieusement des morts et des disparus...



C'est livre beau à lire, on se laisse conduire par Ellen comme si elle nous entraînait dans les turpitudes d'un labyrinthe qui n'est en fait qu'elle-même, ensuite Rose Red et ses mystères. De par là aussi, on découvre la vie mondaine de l'époque où l’aristocrate n'est que le bon jouisseur, à l'époque où un simple nom pouvait faire sensation, et aussi où la place de la femme est encore limitée entre l'épouse soumise et la mère d'un héritier...

Une lecture qui change de l'ordinaire, c'est plus ma curiosité qui m'a attirée vers ce livre. Je n'avais jamais entendu cette histoire ni vu les séries du grand maître en la matière. J'ai bien aimé également le format de ce livre, il est très beau et agréable à lire. La construction sous forme de journal intime est aussi à mon goût.

J'ai voulu me rendre à l'adresse du site internet noté, hélas sans succès. Si cette histoire troublante d'une maison qui réclame "à manger" qui est jalouse etc... c'est vraiment curieux et creusé un peu ce domaine avec des documents à visionner c'était un beau complément à cette lecture.

J’ai adoré ces 19 récits d’écrivains diffèrent dont Harlan Coben. Entre les histoires d’amour de trahison. Un mari trompé, pour lui ca femme n’a plus le droit de vivre. Quelques-unes que je n’ai pas aimé, mais les autres fabuleuses. (Mon avis)

J'ai lu ce roman sur les conseils, à l'époque de France Loisirs et de sa vendeuse.... Je m'attendais donc , selon ces dires, à un roman " qui fait peur", mais alors quelle grosse déception. je m'y suis ennuyée à un point!!! J'attendais toujours la scène ou! "GROU!!!! j'ai peur", mais non, elle ne venait pas. Partons donc du principe que ce livre est basé sur des faits réels, ce n'est donc en rien comparable avec du Stephen King et Compagnie.

Mais alors j'aurai donc été induite en erreur par la vendeuse, qui je pense n'avait pas ouvert le roman.



depuis j'ai acquis une expérience littéraire ( ne riez pas!), qui me permet de flairer le piège, et de classer les romans dans le bon genre, ce qui m'évite de nombreuses déceptions.

Le récit est construit comme un roman mémoire, sur la base d'un journal intime déniché lors d'une vente aux enchères par le Dr. Joyce Reardon.

Ce dernier se fend d'une lettre en guise de préambule aux lecteurs de ce journal. Il y évoque son intérêt pour le manoir de Rose Red, sujet à de nombreuses controverses. Le décès de 26 personnes entre les murs de ce domaine durant 41 ans l'intrigue au plus haut point.

Il y évoque également l'expédition qu'il compte mener, suite à sa lecture du journal intime, et qui devrait permettre de lever le voile sur le mystère Rose Red. Cette expédition a fait l'objet d'une série télévisée produite par Stephen King.



Le livre est agrémenté de photographies du domaine, de plans, et surtout du vécu, au sein de cette étrange entité, d'Ellen Rimbauert, l'épouse d'un membre de l'élite de la haute société de Seattle.

La jeune Ellen vient d'épouser John Rimbauert, un homme plus âgé qu'elle et très influent. Intimidée par cet homme austère et déçue par les liaisons qu'il entretient très vite avec d'autres femmes, elle ne cesse de revenir à l'étrange atmosphère qui règne dans sa demeure et aux décès et disparitions inexpliquées qui marquent l'agrandissement du bâtiment.



J'ai aimé le style de l'auteur qui donne à la narratrice une personnalité douce et naïve. On se plaît à se demander si ce qu'elle écrit arrive vraiment ou si tout cela n'est que le fruit de son imagination rendue fébrile par l'attitude de son époux.

J'adore les histoires de maison hantée et si celle-ci reste toujours ambiguë, elle a le mérite de m'avoir fait passer un très bon moment de lecture.

Cet ouvrage est à l’origine de la mini-série scénarisée par le Maître Stephen King. "Rose Red" est une suite, une histoire qui se passe de nos jours, avec des passionnés de phénomènes paranormaux qui tentent de percer le mystère de la maison (style "La Maison du Diable"), alors que "Le journal d’Ellen Rimbauer" est une préquelle relatant les faits étranges qui s’y sont déroulés durant les 20 années suivant sa construction et qui existe également sous forme de téléfilm retraçant l’histoire narrée dans ce journal intime, dont le scénario a également été écrit en partie par le Maître King.



Le journal commence en 1907, quand Ellen a 19 ans. Elle vit à Seattle, état de Washington, Etats–Unis. Issu de la bourgeoisie, Elle s’apprête à épouser un richissime industriel de 20 ans son aîné, John Rimbauer, qui a déjà planifié leur vie conjugale, en entreprenant la construction de ce qui sera leur résidence : un manoir colossal, s’étendant sur plusieurs centaines de mètres carrés, sur un vieux cimetière indien. A la fois impatiente de découvrir les secrets du mariage et angoissée par cette union avec un homme puissant, autoritaire et à la réputation sulfureuse (ses activités nocturnes donnent lieu à de nombreuses rumeurs dans la ville), la jeune Ellen s’imagine néanmoins vivre dans cette demeure qui sera certainement la plus grande et la plus extravagante des environs de Seattle, et qui lui permettra de mener une vie sociale enviée et respectée. Mais à peine la longue lune de miel autour du monde entamé, son futur s’assombrit, elle réalise que son mari est très infidèle, attiré par des pratiques perverses, et qu’il ne voit en elle qu’une génitrice qui lui fournira des héritiers légitimes.

De là, elle essaiera de se protéger comme elle le pourra pour garder sa dignité, se liera d’amitié avec sa bonne Kenyane aux étranges pouvoirs, Sukeena, qui deviendra sa confidente dans les épreuves difficiles qu’elle devra supporter dans sa grande demeure, Rose Red, qui attend d’être remplie des nombreux objets rapportés du voyage de noces. Car les évènements tragiques et étranges seront nombreux : meurtres, disparitions, bruits en tous genres, apparitions, et surtout, la perpétuelle modification de l’organisation des pièces la maison, qui serait possédée…



Le journal intime est publié sous la direction du Docteur Joyce Reardon, responsable du département d’études des phénomènes paranormaux de l’Université de Beaumont à Seattle. Joyce Reardon raconte qu’il a trouvé le journal dans une vente aux enchères, qu’il en a fait le sujet de sa thèse et qu’il s’apprêtait à mener une étude dans la maison, accompagné de spécialistes du paranormal.

A cela, s’ajoutent le plan de la maison, les quelques photos du manoir et des personnages, les notes éditoriales du professeur et la postface d’un descendant d’Ellen Rimbauer, que tout contribue à donner une impression de vérité à l’histoire.



A la manière de "Dracula", le récit concernant "Rose Red" est uniquement constitué d’extraits du journal intime de son personnage central, Ellen Rimbauer. C’est une forme très intéressante pour le fantastique, car le fait de partager le point de vue du narrateur à partir de ses pensées les plus intimes vous fait rapidement pénétrer dans l’histoire, et peu-à-peu ses peurs deviennent les vôtres, et jouer sur le caractère réel des évènements est beaucoup plus facile.

J’ai facilement accroché à l’histoire, avec ses personnages si particuliers : le puissant et énigmatique mari John, Ellen qui découvre les joies et les malheurs du mariage, sa fidèle bonne Sukeena qui joue les protectrices et les initiatrices. Les premiers évènements étranges donnent envie d’en savoir plus, de découvrir la face cachée du mystérieux domaine de Rose Red. Les drames se succèdent et les relations du couple deviennent totalement tendues et perverses. Certains passages sont assez violents. Le suspens est bien conduit jusqu’à la moitié du journal, mais la tension retombe ensuite, car il y a de moins en moins de mystère, c’est plutôt la violence des évènements et des rapports entre les personnages qui retiennent le lecteur. C’est un ouvrage étrange, qui même s’il n’est pas exceptionnel pour un livre fantastique, mérite d’être lu, ne serait-ce que pour la tentative de construction d’un mythe autour de cette pure fiction.



C’est un bouquin fantastique assez efficace, car il vous fait vraiment entrer dans l’ambiance angoissante de cette maison. Je trouve que la construction du mythe de Rose Red autour de cette fiction est plutôt intelligente. Ce livre se lit relativement vite (275 pages) et il est difficile de le lâcher avant d’en avoir terminé. Âmes sensibles s’abstenir. Une œuvre que je vous recommande sans hésitation.

Je n'ai plus autant de difficultés qu'avant pour abandonner un roman. C'est donc sans regret que je ne continue pas cette lecture... Lecture à laquelle je n'ai pas du tout accrochée, vous vous en doutez et ce, dès les premières lignes.



Tout ceci n'est évidemment que mon avis personnel !



Pour être brève :

• Je ne m'attendais pas à ce que le récit se passe en Amérique - Sherlock en Amérique, sérieux ? - ni que tout se déroule dans un monde moderne avec internet, les téléphones, les voitures... (Même si dans la centaine de pages que j'ai lu ils n'utilisaient pas ces derniers, on savait malgré tout que cela existait). Rien que cette modernité, cela m'a fortement déplu car sincèrement, je pensais me plonger dans un monde londonien de ''l'époque''. Petite déception de ce côté-là.

• Je n'ai pas du tout trouvé crédible le fait que ça soit Moria, la soit disant petite soeur de James Moriarty, qui raconte l'histoire alors qu'elle n'a pas tout vécu, même si l'autrice a tenté de nous expliquer comment Moria s'est débrouillé dans l'introduction... Bof, bof.

• Je n'ai pas apprécié le personnage de James qui était désagréable au possible. D'ailleurs, ce tome 1 devait nous montrer ''son changement '' en tant que futur criminel mais, je n'ai pas bien saisi car dès le début sa soeur Moria nous dit que son frère n'est déjà plus le même. J'aurais préféré être davantage témoin de son ''changement'' voire même que James Moriarty soit un "méchant" né !

• Pour finir, je n'ai pas apprécié la plume/traduction, question de goût.



Voici donc pour les principaux points qui m'ont fait abandonner ma lecture, j'ai lu les derniers chapitres pour voir comment ça allait se terminer et (cela peut spoiler si vous voulez lire) : aucune surprise puisque Sherlock avait déjà émis quelques pistes dès les 100/150 premières pages (sur presque 400).



Pour conclure... Cette version moderne des ados de Sherlock, James Moriarty et sa petite soeur - inventée pour le bien de l'histoire, j'imagine - entraînés dans une ''enquête'' au sein même d'un établissement scolaire, plaira sûrement à d'autres, je le souhaite pour ce roman. Comme dit plus haut ceci n'est qu'un ressenti purement subjectif, si ce livre jeunesse vous tente, n'hésitez pas à vous en faire votre propre avis. :-)

J'ai lu ce livre parce que dès que je vois marqué Stephen King, je fonce, mais je ne peux pas prétendre avoir été emballée par ma lecture.

.

L'héroïne ne m'a pas attirée du tout, faisant parfois preuve de caractère, mais le plus souvent timorée.

.

Au fil de mes lectures, vous vous serez peut-être rendu compte que les personnages qui jouent à la valse hésitation, ce n'est pas du tout mon truc. On fonce, on rue dans les brancards, on agit, ou on se casse, pour résumer.

.

À mon grand regret, j'ai trouvé ce livre sans intérêt, tout comme l'histoire des personnages. Je n'ai pas vu la mini-série, mais de ce fait, elle ne me tente pas.

🏰 Le journal intime de Ellen Rimbauer : Ma vie à Rose Red 🏰

Traduction : Frédérique Fraisse @editionsalbinmichel



Au début du XXe siècle, Ellen Rimbauer, qui venait d'épouser un industriel de Seattle, entreprit d'écrire son journal. Il devint très vite le jardin secret où elle confessait ses inquiétudes au sujet de son mariage, exprimait son trouble sexuel naissant, et contemplait le cauchemar qu'était en train de devenir sa vie.

Ce journal ne suit pas seulement le passage d'une jeune fille à l'âge adulte, mais aussi la construction d'un manoir - Rose Red -, immense demeure qui sera le théâtre de nombreuses et inexplicables tragédies.

Le journal intime d'Ellen Rimbauer est un document rare qui donne du quotidien de l'aristocratie des années 1900, une vision peu habituelle. révélant les émotions cachées d'une jeune femme, il rappelle aussi les mystérieux événements survenus à Rose Red qui ont tant troublé la société de l'époque.

Ce journal a été publié par le Dr Joyce Reardon dans le cadre d'une thèse alors qu'elle se préparait à mener une enquête à Rose Red pour élucider les étranges phénomènes qui s'y sont déroulés.



J'aime beaucoup les romans sous forme de journaux intimes, rien de tel pour entrer pleinement dans la tête du protagoniste. J'ai lu ce livre très rapidement, tellement je me suis plongée dans la vie des Rimbauer et de leur majestueuse maison.

Ellen confie à son journal ses envies et ses espoirs sur sa future vie conjugale, ses premières déceptions lors de son voyage de noces et surtout les phénomènes étranges qui ont lieu à Rose Red, la maison qu'à fait construire son mari pour leur future famille. La maison semble être hantée, il y a des disparitions inexpliquées de membres du personnel, des réactions étranges d'invités et il semble même que les lieux changent de configuration pour perdre ceux qui y flâneraient. Plus on avance dans l'histoire, plus l'ambiance est angoissante, tendue, fiévreuse, violente, si bien qu'il est difficile de le lâcher avant d'en connaître le dénouement.

Vous l'aurez compris, j'ai beaucoup aimé ce roman.

Je suis rarement effrayée par mes lectures, même par les plus noires , mais lorsqu'il s'agit de phénomènes paranormaux et d'histoire vrai c'est autre chose.



Ce journal intime m'a passioné, et... effrayé !



Quel est la part de faits réels dans ce que vit Ellen Rimbauer ? cette maison est-elle réellement hantée? Comment expliqué toutes ces disparitions? Ce livre m'a laissée avec des dizaines de questions en tête, il est difficile de concevoir que les mystérieux évènements relatés par Ellen Rimbauer sont réels, et non pas tout droit sortis de son imagination.



Bref un livre troublant, qui m'a donné d'en savoir plus sur Rose Red, le manoir "tueur"....

J'ai été passionné par se récit glaçant.

Quel rapport avec Stephen King ?

L’Amérique s’est passionné pour le cas Rose Red qui a également fasciné Stephen King. Le maître du fantastique a signé en tant que scénariste et producteur exécutif une grande série télévisée inspirée par la maison maudite.

Ce livre raconte ce qui s’est passée avant la série et comment la Maison est devenue Rose Red....

Ce journal ne suit pas seulement le passage d’une jeune fille à l’âge adulte, mais aussi la construction d’un manoir - Rose Red , immense demeure qui sera le théâtre de nombreuses et inexplicables tragédies.

Le journal intime d’Ellen Rimbauer est un document rare qui donne du quotidien de l’aristocratie des années 1900, une vision peu habituelle. révélant les émotions cachées d’une jeune femme, il rappelle aussi les mystérieux événements survenus à Rose Red qui ont tant troublé la société de l’époque.

Ce journal a été publié par le Dr Joyce Reardon dans le cadre d’une thèse alors qu’elle se préparait à mener une enquête à Rose Red pour élucider les étranges phénomènes qui s’y sont déroulés.

Excellent je le recommande vraiment !

Aussi bizarre que cela puisse paraitre, je n'ai cessé de penser aux écrits de Virginia Woolf tout au long de ma lecture; l'homosexualité féminine, la condition des femmes dans la haute société à cette époque ?

Cette histoire m'a touchée, mais au-delà de la monstruosité je pense avoir frôler du doigts certains point socio-historiques expliquant certainement les différences entre les mouvements féministes américains et européens. C'est un récit poignant avec un brin de fantastique, mais avant tout il décrit en clair-obscur une époque et une histoire de la haute société. J'y reviendrai certainement car, à l'image de Rose Red, ce livre me semble contenir plus que je n'en ai perçu !

Ce livre est du voyeurisme car c'est un journal intime. Et voilà une belle façon de nous faire peur car il n'y a pas mieux pour comprendre ce que ressent le personnage et se mettre à sa place. Ce journal crée une ambiance angoissante. Rose red est mis en avant par Ellen Rinbauer car elle est envouté par sa demeure. Cette maison est démoniaque. Et c'est en découvrant les écrits de la maitresse de maison qu'on parvient à avoir peur car elle même est à la fois fascinée et effrayée.Ce style d'écriture est une réussite, la peur est au rendez-vous.

Étrange document que ce journal qui montre comment une femme sombre peu à peu dans l'amertume et la haine, avant de glisser doucement mais sûrement vers la folie. Deux thèmes sont à retenir : celui de la maison hantée, Rose Red étant "vivante" et rappelant légèrement la maison Belasco de Matheson, et celui de la condition féminine au début du XXème siècle. Ellen nous apprend comment une femme ne devait pas répondre à son mari, devait se soumettre à ses moindres désirs, à quel point il était important pour elle de ne pas le contrarier, car il est souverain dans sa maison. On a pitié de ses mésaventures, on comprend sa colère et sa haine envers son époux, qui la trompe, lui transmet la syphilis, qui la rend stérile après la naissance de leur deuxième enfant. Un livre assez touchant, d'autant plus, que c'est un journal intime, qui se veut véridique...
Lien : http://witty-fool.cowblog.fr

19ème lecture du challenge #payetonslip et wahooo quelle claque.

Je partais avec quelques a priori même si lors de l'achat de ce livre j'étais très emballée : couverture très jolie, résumé intriguant, mais quelques mois plus tard j'étais un peu plus dubitative et plus très pressée de le lire. Mais j'ai bien fais et plus que bien fais.



Dès les premières pages j'ai été passionnée par l'histoire, le personnage d'Ellen et l'attraction de sa fameuse maison.

En effet les pages se tournent les unes après les autres car il s'agit donc du journal de Ellen Rimbauer et nous suivons sa vie de toute jeune fille de 19 ans à sa vie de femme une fois unie avec John Rimbauer de 20 ans son ainé.



Pour elle il fait construire un manoir gigantesque et après leur lune de miel qui aura duré 1 an ou ils auront traversé le monde entier, ils emménagent enfin dans cette demeure de 1800 m² qui se prénomme "Rose Red" !

Ellen est au courant des frasques de son mari tant sur le plan professionnel que personnel, mais accepte malgré tout cette vie puisqu'elle vit entourée de sa femme de chambre africaine, Sukeena qui au fil du temps est devenue plus qu'une amie et de ses deux enfants qu'ella dore plus que tout.



Tout pourrait donc être parfait si ce n'est qu'au fil des jours et des mois, des morts ainsi que des disparitions surviennent mystérieusement. Et chose plus étrange encore, il semblerait que Rose Red soit possédée vu les évènements de plus en plus étranges qui surviennent.

C’est l’histoire d’Ellen Rimbauer, sa vie intime, son mariage avec le richissime John Rimbauer.

Et son quotidien dans ce grand manoir Red Rose.

On y découvre ses peurs dans cet étrange endroit où elle vit désormais.

Je n’ai nullement était effrayé, j’ai tout bonnement découvert la vie de cette jeune femme très attachante.

Un récit passionnant dans un lieu envahi de fait mystérieux.

Bonne lecture !
Lien : https://angelscath.blogspot...

Ce livre est une belle trouvaille, tardive certes mais je suis enchantée par cette découverte. Je connaissais bien évidemment la série télé créée par Stephen King qui a connu pas mal de succès, suspense et angoisse sont au rendez-vous.



Ellen Rimbauer nous parle de sa vie avec son mari John Rimbauer, de leur rencontre à la construction de leur manoir : Rose Red où elle va voir sa vie bouleversée par d'étranges phénomènes qui l'amèneront à douter de tout et de tout le monde.



Nous sommes plongés à travers ce livre dans l'angoissante atmosphère que dégage Rose Red. Les phénomènes paranormaux et les disparitions s’enchaînent, j'ai beaucoup apprécié Ellen, une femme fragilisée par sa nouvelle vie dans ce manoir où rien ne va, et par sa vie conjugale qui n'est guère mieux. C'est cependant une femme au fort tempérament qui est en avance sur son temps, elle reste digne et classe.



Le travail d'édition, fait sur ce livre est fantastique, rien que la couverture donne l'impression d'un vrai journal intime retrouvé et usé par les années. A l'intérieur derrière la 1ère de couverture se trouve le plan du manoir ce qui permet de se situer lorsque Ellen nous parle de Rose Red. Des dessins ainsi que des photos viennent agrémenter le témoignage de cette dernière ce qui nous offre vraiment un ouvrage complet.



Je vous conseille ce livre, n'hésitez plus, plongez dans ce grand manoir rempli de mystère, Rose Red vous attend !
Lien : http://benebooksblog.blogspo..

Je l'ai lu en pensant que c'était du H. Coben.

Mais , en fait, c'est un recueil d'autres auteurs.

On y retrouve de vraies histoires, mais en aucun cas, le style de H. Coben.

Décevant pour un fan de H. Coben !