Roald Dahl

Quand j'étais plus jeune, j'avais adoré le roman de Roald Dahl. Je fus donc très curieux lire cette BD.



Quelques petits remaniements dans l'histoire, beaucoup d'humour, et une histoire toujours aussi captivante.

En ce qui concerne les dessins, je suis plus mitigé, peut être un peu trop simples, pas du tout réalistes, mais au final, ils ont aussi leur charme, une fois les premières pages lues.

OK, je ne suis pas un enfant de 8-10 ans, mais je n'ai pas du tout aimé ce livre.



J'ai trouvé que cette transposition d'un conte vers notre époque ne fonctionnait pas du tout. Sans la distance donnée par le temps passé et le pays lointain, tout ici paraît outré, grotesque : l'ogresse qui torture les enfants et les insulte à tout bout de champ, les parents négligents, incultes et malhonnêtes, qui finissent par abandonner leur fille, la bonne fée sous les traits de l'institutrice à la personnalité sucrée et molle comme une guimauve, qui protège Matilda et ses super-pouvoirs.



Je n'avais déjà pas aimé "Sacrées sorcières", et je pense que mon divorce avec cet auteur est consommé. Mais je ne doute pas que de jeunes lecteurs apprécient plus que moi et pourront se projeter dans cette histoire.

Un des premiers Roald Dahl que j'ai dévorer enfants et qui m'a beaucoup marqué, de part la douceur, la malice et le courage de Mathilda. Un roman facile à lire, très drôle et très touchant !!!!

Les personnes me connaissant bien savent tout l'amour que je porte à Roald Dahl depuis que son livre Matilda, découvert quand j'étais petite et dans lequel j'ai pu - en partie - me retrouver.



Ici, nous suivons aussi un enfant dont nous ignorons le nom. Après avoir tragiquement perdu ses parents, il est confié à sa grand-mère qui le met rapidement en garde contre les sorcières. Mais elle ne se doute pas un seul instant que malgré ses conseils, son petit-fils va être la victime directe de ces êtres malfaisants.



J'ai pu voir le film l'année dernière qui m'avait pas mal plu (je dois avouer que la présence d'Anne Hathaway n'y était pas pour rien) mais j'ai trouvé que le livre mettait beaucoup trop de temps à démarrer. La description des sorcières ainsi que la recette de ces dernières pour anéantir les enfants prennent, à mon sens, une trop grande partie du livre.



Néanmoins, la fin de l'histoire reste très touchante et on voit combien le petit garçon est attaché à sa grand-mère.



Aussi, je n'ai pu m'empêcher de faire la relation entre l'évocation du vrombissement du coeur d'une souris dans ce roman et la même information rapportée par Matilda à Mademoiselle Candy dans le film.



Un livre qui se lit vite, parfait pour les enfants à une période comme Halloween.

Ma fille est en train de lire ce livre pour son cours de français en 6ème. Bien que ce soit un de ses auteurs préférés, elle semble galérer à le finir. Il faut reconnaître que la lecture n'est pas sa passion principale et une lecture imposée ne la motive pas trop. Donc j'ai décidé de l'aider en lisant le livre pour pouvoir l'accompagner dans la rédaction de sa fiche de lecture. Quoi en dire, Roahl Dahl comme d'habitude nous emporte dans un récit magique et drôle, les 2 personnages principaux sont attachants et il y a matière à discuter des thèmes très modernes comme la tolérance, l'entraide et même l'alimentation et la place de l'espèce humaine sur Terre. J'ai vraiment aimé cette petite histoire qui se finit bien comme il se doit

Bonne histoire imaginée par Roald Dahl.

J'ai apprécié la première partie avec la quête des fameux tickets d'or. Les personnages de Charlie et de sa famille m'ont tout de suite accrochée. J'ai bien entendu partagé la joie de Charlie quand il décroche le fameux sésame qui va lui permettre de visiter la chocolaterie et d'avoir à sa disposition tout le chocolat dont il souhaite. Comme quoi il faut toujours garder espoir et croire en ses rêves, un beau message.

En revanche la partie visite de l'usine et le personnage de Monsieur Wonka, m'ont – comment dire - agacée, dérangée …. et j'en passe !

Mais en fin de compte, je me dis que le but ultime de ce récit est peut-être de titiller notre sens moral, de nous faire réagir face aux injustices qu'il recel tels que sexisme, grossophobie, …. !!

En général, je ne suis pas forcément attirée par les bandes dessinés, mais ma fille a flashé sur celle-ci, et j’avoue que la couverture m’a donné envie !



Une BD pleine de rebondissements, avec beaucoup d’humour.

Petit orphelin, c’est sa grand-mère qui s’occupe dorénavant de lui, difficile de retourner tant d’années en arrière et de lui donner une bonne éducation.

C’est alors qu’elle commence à lui raconter des histoires… de sorcières !



De très belles illustrations, hautes en couleurs, avec de nombreux détails.

Une histoire palpitante, rigolote, avec des émotions et même quelques morales cachées.

Une BD donc intéressante, où une suite peut éventuellement se glisser.

J’attendais peut-être une solution plus positive à cette chasse aux sorcières, mais après tout, cela change un peu !

Vraiment un moment agréable, où mes lèvres se sont mises à sourire plus d’une fois.

Un histoire à dormir debout comme aime à les écrire Roald Dahl à qui l'on doit entre autre Charlie et la chocolaterie, Matilda....

L'auteur s'est inspiré de l'histoire du magicien Kuda Bux, surnommé l'homme aux yeux à rayons X; qui avait le don de voir sans utiliser ses yeux.

Cette aptitude sera reprise par un autre personnage qui s'en servira à des fins peu légales avant de se reprendre.

Drôle et décalé, cette littérature jeunesse sort de l'ordinaire.

Un incontournable classique !

Une jolie lecture Mathilda est une petite fille très attachante entourée de gens qui ne la comprennent pas.

J’ai trouvé l’égoïsme des parents et l’indifférence envers leur fille difficile à lire mais par dessus tout le personnage de la directrice d’une méchanceté imparable m’a fortement agacé !

Heureusement la vie est faite de belles rencontres !

Roman court pour enfants, comme la plupart de Roald Dahl.

Simple, efficace, il aborde la question de la survie et de la défense pour sa survie.



Nous nous prenons rapidement d'affection pour Maître Renard prêt à tout pour sauver sa famille, en élaborant de nouveaux plans pour subvenir à ses besoins, à ceux de Dame Renard et à leurs petits renardeaux.



L'écriture est rapide, fluide, puisque adaptée entièrement aux enfants.

Difficile d'ajouter une énième critique à un livre qui date des années 60 qui n'a pas pris une ride et qui rencontres toujours un franc succès.

Mon fils qui habituellement ne lit que des romans historiques et qui a des difficultés à se tourner vers l'imaginaire a adoré ce livre. Il a été conquis par ce monde féerique et magique qui fait rêver surtout les amateurs de chocolat.

C'est une histoire pleine d'espoir qui rappelle que dans la vie tout peut changer si on s'en donne les moyens, qu'il faut savoir saisir les opportunités qui se présentent et tendre la main à la chance.

Cet album cartonné reprend des phrases de la prose du britannique Roald Dahl (auteur décédé) et les fait illustrer par l'illustrateur emblématiquement associé Quentin Blake.

C'est une manière d'introduire leur œuvre pour des plus jeunes, le tout avec l'humour que l'on connait chez ces britanniques. Le côté dégoutant et monstrueux est bien illustré par les matières à toucher et plaira sans aucun doute aux tout-petits.

Un roman graphique qui réécrit un grand classique de la littérature jeunesse : Sacrées Sorcières de Roald Dahl. J'en attendais beaucoup de cette réécriture. C'est peut-être pour ça que j'en étais déçue, après la lecture.

Un petit garçon et sa grand-mère se lancent dans une grande chasse aux sorcières. Ces sorcières détestent les enfants et ont pour objectif d'éliminer tous les enfants d'Angleterre à l'aide d'une potion magique qui les transformeraient en petite souris.

Sur une note humoristique, un peu trivial, une mamie complètement déjantée, l'objectif va être de partir à la chasse à la sorcière.

Ca reste une lecture agréable mais je m'attendais à mieux encore. Je laisse cette lecture avec un léger goût amer.

Pénélope Bagieu a adapté le roman de Roald Dahl en Bande Dessinée pour la jeunesse.

Un garçonnet orphelin se retrouve chez sa grand-mère. Elle s’occupera de lui maintenant. Cette grand-mère fume le cigare, elle est aussi excentrique. Elle lui révèle un secret, les sorcières existent et s’en prennent aux enfants.

Le fil narratif reste inchangé : l’orphelin, la grand-mère loufoque et attachante, les sorcières qui masquent leur apparence horrifique sous un profil de normalité, le dessein morbide de tuer tous les enfants après les avoir réduits à l’état de souris.

Pénélope Bagieu relate bien les aspects sombres, la mort, omniprésente, que ce soit à travers l’accident des parents, l’action des sorcières ou l’âge de la grand-mère qui préoccupe le petit-garçon. Elle présente aussi des planches colorées.

Elle reste fidèle aussi à l’esprit déjanté : la grand-mère trop maquillée, fumeuse compulsive dont les traits traduisent générosité et amour.

Le petit garçon sans prénom va se faire une amie qui ne figurait pas dans le roman original. L’autrice reste cette artiste résolument féministe, déterminée à faire voler en éclats clichés et stéréotypes à travers ce personnage de petite fille foncièrement bonne, courageuse et autonome.

Cette BD plaira aux plus jeunes , mais aussi aux adultes. Je fus ravie de lire cette adaptation, j’avais lu il y a longtemps le roman de Roald Dahl. Ce fut une lecture réjouissante et pleine de malice. Je la recommande à tous !
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"Sacrées sorcières" de Roald Dahl, paru en 1983, est un véritable trésor de la littérature jeunesse qui a conquis le cœur de plusieurs générations de lecteurs. Cette œuvre captivante raconte l'histoire de Bruno, un jeune garçon qui passe ses vacances avec sa grand-mère. Leur vie tranquille bascule lorsqu'ils croisent la route de la Grandissime Sorcière et de son sinistre plan visant à métamorphoser tous les enfants du monde en souris.



L'un des atouts majeurs de ce roman réside dans son mélange subtil de conte fantastique et de récit d'apprentissage. Bruno, au départ naïf et innocent, découvre avec horreur l'existence des sorcières et le péril qu'elles représentent. Cette expérience le transforme, lui permettant d'acquérir des compétences de défense et de développer son courage pour affronter le mal qui les menace.



L'écriture de Roald Dahl est un véritable trésor en elle-même. Son style humoristique et décalé transporte les lecteurs dans un monde où la magie et l'absurde se mélangent harmonieusement. Le langage simple et accessible aux enfants est compensé par une imagination débordante et une créativité étonnante. Les sorcières, bien que terrifiantes, sont également dépeintes de manière ridiculement grotesque, ce qui ajoute une touche d'humour à l'histoire.



Parmi les points forts du roman, on peut souligner son intrigue captivante qui maintient un suspense constant. Les personnages, en particulier Bruno et sa grand-mère, sont attachants et bénéficient d'un développement soigné. Le roman aborde des thèmes universels tels que le bien et le mal, la peur et le courage, ce qui en fait une lecture riche en enseignements pour les jeunes lecteurs.



Cependant, il est important de noter que "Sacrées sorcières" peut parfois contenir des éléments un peu violents qui pourraient ne pas convenir à tous les jeunes enfants. De plus, certains lecteurs peuvent trouver le dénouement un peu abrupt.



En conclusion, "Sacrées sorcières" est un incontournable de la littérature jeunesse. Son histoire captivante, ses personnages mémorables, son style unique et ses thèmes intemporels en font une lecture qui séduit les enfants et les adultes. Ce roman continue de divertir et d'émouvoir, et il perdurera longtemps dans les mémoires comme un classique indémodable de la littérature pour la jeunesse.
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J'ai toujours entendu parler de Charlie et la chocolaterie mais jusqu'à présent je n'avais ni lu le livre, ni vu le film.



J'ai terminé le livre ce matin et j'ai adoré. J'avais déjà lu Matilda, sacrées sorcières et le BGG et, dans ce roman j'ai retrouvé l'écriture propre à Roald Dahl. C'est toujours super agréable à lire.



Mr Wonka paraît un peu foufou mais a dans un certain sens quand même bien les pieds sur terre.

Au fur et à mesure de la lecture on comprend la morale liée à chaque personnage.



Je n'ai qu'une envie: lire Charlie et le grand ascenseur de verre qui est la suite de l'histoire. Et...voir le film.

Lorsque j’étais enfant, j’adorais ce film ! Pourtant, cela avait plutôt mal débuté quand, en maternelle, nous étions allés le voir au cinéma et que toute ma classe s’était retrouvée en pleurs à l'arrivée du terrible nuage rhinocéros… Personnellement, je ne me souviens pas avoir été traumatisée. Mais cela demeure un souvenir amusant.



Bref, tout ceci pour dire que je n’avais en revanche jamais lu le roman (Honte à moi, je n’ai jamais lu aucun Roald Dahl étant enfant). Donc, je me rattrape !



J’ai beaucoup aimé la lecture de ce livre, malgré la tristesse de James, la perte tragique de ses parents et sa vie austère auprès de ses deux affreuses tantes, ce petit garçon, qui aurait toutes les raisons du monde d'être l'enfant le plus malheureux de la terre, va vivre une aventure incroyable et fantastique avec un optimisme et une jovialité à toute épreuve.



James va embarquer à bord d'une pêche géante et s'y faire des amis pour la vie, des amis hors du commun, puisqu'il s'agit d'insectes à taille humaine. Ces insectes compteront sur James et son intelligence pour se sortir des situations dangereuses et périlleuses engendrées par leur fameux périple. Ce petit garçon, jadis dénigré par ses tantes et traité comme un moins que rien, va devenir un véritable héros aux yeux du monde.



Une jolie histoire, qui débute dans la tristesse et s'achève dans la joie. Après la pluie, le soleil brille toujours de mille éclats.



Challenge Multi-Défis 2023

Sophie, orpheline de 8 ans, se fait enlever une nuit par un géant. Pas par un géant mangeur d'hommes comme tout les autres, mais par le Bon Gros Géant (BGG pour les intimes!). Ce Géant aux grandes oreilles, va se révéler très surprenant aux yeux de la jeune Sophie, qui va aller de surprise en surprise. Voilà pour le pitch de départ.



Pour ma part, il s'agit d'une relecture de ce livre que j'avais lu étant bien plus jeune. Ça fait du bien de se replonger dans cet univers fantastique de Roald Dahl, ça n'a pas prit une ride ! Au-delà de l'histoire enfantine, ce livre offre une vision d'un œil extérieur (le géant) sur les Hommes en général et cela nous surprend et nous questionne. J'ai apprécié cette lecture.

Pénélope Bagieu signe une adaptation complètement réussie du roman jeunesse de Roald Dahl. Un petit garçon orphelin vit avec sa grand-mère qui se revendique spécialiste en sorcière. Elle lui apprend donc à les reconnaître. Le jour où ils partent en vacances, ils se retrouvent dans un hôtel avec une assemblée de toutes les sorcières du Royaume-Uni. S’engage alors une chasse aux sorcières comme tous les enfants pourraient en rêver sauf qu’elle s’avère particulièrement périlleuse car les sorcières sont très dangereuses pour les enfants qu’elles détestent et dont elles veulent se débarrasser.



J’ai lu ce roman graphique à ma fille de 4 ans et demi et elle l’a tout simplement adoré. Je l’avais prévenue avant de commencer que certaines illustrations pouvaient lui faire peur et je les lui avais montré. Passé cette étape, elle n’a pas voulu que j’arrête ma lecture avant la fin et j’avoue que moi aussi j’avais du mal à le lâcher.



Les illustrations sont particulièrement réussies. On prend plaisir à frissonner en voyant les sorcières parfois assez terrifiantes.



Personnellement j’ai eu un coup de cœur pour ce roman graphique, que je conseille de lire aux plus jeunes enfants ou que les enfants lecteurs peuvent lire seuls car le texte est assez facile.

Un des meilleurs livres sur et pour les adolescents.

Tout y est: la bêtise et l'egoisme du père et de la mère. l'idéalisme , la comprehension, la poèsie ,l'innocence de Mathilda

l'histoire est merveilleusement conté.Qn sent que Ronald Dahl a eu beaucoup de plaisir à l'écrire.Ce qui est une AUTRE marque de famille des livres de Ronald Dahl est l'étrangeté des histoires qu'il raconte et ce n'est jamais mièvre

Mais on ne ressent aucun malaised'etre plongé dans cette étrangeté car l'humour anglais attenue l'étrangeté de l'histoire et ne pourra jamais oublier le personnage de Mathilda.