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Critiques de Robert Pobi (307)
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L'invisible

j'ai trouver ce livre passionnant telement bon et bien ecris que des que je l'ai fini j'ai voulu le relire je recherche une personne qui la lu pour que l'on puisse en parler . livre exelant
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L'invisible

j'ai trouver ce livre passionnant telement bon et bien ecris que des que je l'ai fini j'ai voulu le relire je recherche une personne qui la lu pour que l'on puisse en parler . livre exelant
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L'invisible

j'ai trouver ce livre passionnant telement bon et bien ecris que des que je l'ai fini j'ai voulu le relire je recherche une personne qui la lu pour que l'on puisse en parler . livre exelant
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L'invisible

Rarement une couverture de roman aura eu autant d'évocation et d'impact que celle de L'Invisible. Elle évoque, dans un visuel finalement fort simple, la puissance du mécanisme que cache la majeur partie des thrillers et romans à mystères que l'on prend plaisir à dévorer durant l'année.



Elle est surtout à l'image de ce premier roman de Robert Pobi puisque ce dernier morceau de puzzle évoque la pièce manquante qui est sous notre nez pendant toute la lecture de L'Invisible et qui prend place dans son emplacement lors des ultimes pages du livre, révélant ainsi l'incroyable vérité cachée de l'histoire.



Un jolie titre aussi, puisque l'invisible est à la fois devant nous, autours de nous mais aussi hors de notre portée. Il nous nargue, en restant à la périphérie de nos yeux. Comme cet emplacement rouge, le vide devient visible grâce à ce qui l'entoure.



"Il n'y a pas de chemin vers le bonheur, le bonheur EST le chemin."



La dernière fois que j'ai eu l'occasion d'appliquer ce joli proverbe à la lecture d'un roman, c'était avec 658 de John Verdon (la chronique en cliquant ICI). Juste pour dire que parfois, le plus important n'est pas la conclusion d'une histoire mais ce que l'on découvre pendant qu'on la découvre. Mais autant la conclusion de 658 ne m'a pas dérangé plus que ça, alors que la lecture du livre de John Verdon avait été pour moi très enthousiasmante, autant la conclusion du livre de Robert Pobi m'a vraiment déconcerté. La lecture de L'Invisible se révèle être passionnante mais il est difficile de ne pas tenir compte des nombreux faits qui peuvent devenir des incohérences, si l'on prend la peine de les analyser.



Il y a les pièges habituels : à chaque fois que vous allez avoir l'impression de mettre le doigt sur cette fameuse pièce de puzzle manquante, vous allez avoir un élément qui va court-circuiter votre raisonnement.



À l'image de la monstrueuse tempête qui se lève au fur et à mesure que se déroule le roman, l'auteur emmagasine de nombreux éléments qui font monter la puissance de son intrigue. L'angoisse est à son paroxysme, l'électricité est dans l'air, les nerfs deviennent à vif.



Malheureusement, j'ai l'impression que la tempête accouche d'un simple zéphyr. Curieusement, l'auteur semble peiner à véritablement utiliser sa tempête, alors qu'elle est sensé être particulièrement destructrice dans les dernières pages du livre. À l'image de la révélation finale, qui est vraiment une bonne idée mais qui ne gagne aucune épaisseur aux vues des nombreuses incohérences qui sont autant de failles dans la crédibilité de cette explication.



Cependant, L'Invisible forme un magnifique diptyque avec les Visages de Jesse Kellerman (chronique ICI), en nous révélant encore une fois, les nombreuses analogies existantes entre la peinture et les romans.



Laissez-vous hanter par L'Invisible et son horrible vérité...

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L'invisible

Pour son premier roman, Pobi se lance dans le thriller dit "littéraire". On ne peut nier un certain talent d'écriture au bonhomme, même si son style manque de personnalité.

L'histoire est glauque à souhait, sombre et violente. Le contexte d'une enquête en plein milieu d'une tempête est plutôt une bonne idée. Le personnage principal est complexe, écorché (normal, vu le thème du bouquin) et assez atypique.

Et pourtant, malgré ses bons points, je n'ai que partiellement accroché à cette lecture, où qualités et défauts se mélangent à mon sens. Plusieurs longueurs et redites inutiles, une violence répétitive et (malheureusement pour moi) peu de surprises (surtout concernant la fin).

La vraie bonne idée concerne la comparaison faite entre le coté "visionnaire" des artistes et celui du personnage principal doté d'une mémoire photographique.

Quelques mots concernant la version française : le titre frenchy est assez ridicule. Il vaut mieux éviter de lire la 4° de couverture. Le parallèle avec "ne le dit à personne" et "le silence des agneaux" est hors de propos et purement racoleur.

Une déception donc me concernant.
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L'invisible

Ce roman partage avec Les Visages, que j'avais adoré, le thème de l'art mais aussi celui du secret de famille. Malheureusement, je me suis ennuyée pendant 300 pages et même si les cent dernières pages pendant lesquelles le lecteur s'approche peu à peu du dénouement sont bien ficelées et plus surprenantes, cela ne m'a pas suffi. Je pense cependant qu'il plaira beaucoup à ceux qui aiment l'action dans les polars, à ceux qui aiment découvrir des corps bien abîmés à intervalles réguliers. D'ailleurs, je n'ai trouvé que des billets positifs. Le thème d'une certaine forme de folie est bien traité mais il reste que certains passages ne m'ont pas convaincue.
Lien : http://vallit.canalblog.com/..
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L'invisible

Comme l’indique la sobre et éloquente couverture, c’est pièce après pièce que ce construit ce roman…jusqu’à la dernière pièce. Et bien malin qui pourra la poser avant les autres. Je me suis bien laissé prendre ; par l’histoire qui happe le lecteur, et par le vilain qui s’est bien joué de moi tout au long de ces 400 pages. Pour mon plus grand bonheur.

Tout tourne autour de Jake revenu dans la maison de son père , peintre fécond en pleine démence, et qui se voit embarqué sur une sombre histoire de meurtre. Jake a certains pouvoirs, et cela intéresse beaucoup la police locale. A l’extrémité de Long Island, ‘ambiance n’est pas des meilleurs, d’autant que l’ouragan du siècle pointe le bout de son œil.

Comment, à partir d’un millier de toiles, l’auteur va peindre à son tour une seule et même toile qui va livrer sa propre vérité ?

Si Robert Pobi, antiquaire de son état, remet le monde de l’art au centre de son histoire, come Jesse Kellerman l’avait fait avec les visages, j’ai trouvé que Pobi l’avait utilisé de manière on ne plus subtile et machiavélique, pour servir au lecteur un thriller qui sort des sentiers battus.

Les personnages ont tous une personnalité très bien exploitée. Tout au long de ce roman, ce sont ces mots qui reviennent à Jake « écorché vif » Ecorchées, comme le seront toutes les victimes, écorché comme Jake qui cache bien des zones d’ombre, écorchée comme sa femme, elle aussi particulière, écorché comme le père dont on dit qu’il est fou…mais l’est-il vraiment tant que cela ?

Le ton est juste, bien dosé entre le beau parlé, et celui un peu moins classieux qui sied si bien au FBI. Si les scènes décrites ont de quoi combler les amateurs du genre sans tomber dans l’extrême ; ceci dit, parfois, il faut rester accroché à son livre…heureusement, il s’agit d’une fiction !!!

La tension générée par la succession de meurtres, et de disparitions, est alimentée par le stress bien palpable qui va crescendo alors que l’ouragan arrive et s’abat sur la région…

Voilà, à mon humble avis, un premier roman abouti ; et un auteur à suivre.

Un petit bémol cependant, enfin deux… une quatrième de couverture qui en dit un peu trop, et le titre anglais the bloodman qui convient mieux que l’invisible.

Je remercie chaleureusement Fabienne Reichenbach des éditions Sonatine, pour cette nouvelle collaboration, et sa confiance. Encore une fois, cette maison aura su me surprendre, et me captiver.


Lien : http://leblogdemimipinson.bl..
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