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Citations de Robert Soulières (83)


Quand on danse le meringue comme au chapitre 3 ½, est-ce qu'on a l'air tarte ?
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Quand on tue le temps, est-ce que c'est de la légitime défense ?
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C’est vrai, c’est écrit dans le journal!
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Mise en garde :
Ce roman ne contient pas de phosphate ni cholestérol ni matières grasses ni gags trop salée ni même l'ombre d'une trace de CFC ou de BPC.
De plus, ce roman n'a pas été testé auprès d'animaux et il a été imprimé sur du papier partiellement recyclé comme certains mots d'esprit d'ailleurs.
Les phrases de ce roman sont entièrement biodégradables et les dialogues ne présentent aucun danger pour l'environnement. Tenir hors de la portée des enfants de moins de six ans.
Ne pas avaler. Ne pas inhaler.
Piles vendues séparément.
Peut rétrécir au lavage.
Ce roman a été écrit sous pression : ne pas mettre dans l'eau chaude ni près des radiateurs, cuisinières ou autres sources de chaleur. Ne pas percer le livre ni le mettre au feu ni le conserver à des températures dépassant 50 C.
Ne pas se laisser influencer par les mauvaises critiques.
Garantie : 5 ans ou 50 000 lecteurs.
Ce livre ne colle pas, ne tache pas, ne laisse pas de cernes autour des yeux et peut se lire d'une seule traite si on veut. Si vous éprouvez des vomissements à la lecture de ce roman, cessez de lire et consultez un médecin.
Pour de plus amples informations, voyez le libraire ou le bibliothécaire de votre région.
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Les jeunes sont comme ci ! Les jeunes sont comme ça ! Enfin, je ne vous apprends rien. Mais surtout, on entend sur tous les tons depuis des lustres : LES JEUNES NE LISENT PAS !
Eh bien, prouvez-leur le contraire en achetant (!) d'abord, ou en empruntant et en lisant ensuite, ce roman complètement ahurissant de 1000 pages ! Mille pages pleines de mots, de phrases, de suspense et d'humour.
1000 pages ! Oui, vous avez bien lu (c'est une façon de parler, car vous n'avez encore rien lu) : c'est à peine croyable, mais c'est suffisant pour leur clouer dé-fi-ni-ti-ve-ment le bec [...].
Et ça continue ainsi pendant deux pages. Eh oui ! La quatrième de couverture se poursuit à l'intérieur du livre... C'est tellement long, en fait, que je ne peux pas tout retranscrire ici, j'aurais l'impression de voler les droits d'auteur !
Maintenant, si vous voulez savoir de quoi parle ce roman (parler est un bien grand mot !), voyez plutôt cette critique de Martin Francoeur du Nouvelliste :
Un professeur de maths détesté par tout le personnel et par tous ses élèves est mystérieusement assassiné… dès le premier chapitre. L’inspecteur et son adjointe enquêtent, mais trop d’indices, c’est parfois comme pas assez. Un cadavre de classe, un roman policier complètement débridé, totalement fou, qui multiplie avec bonheur de nombreux clins d’oeil au lecteur.
Une lecture réjouissante.
« Du vrai bonbon ».
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Achetez ce roman tout de suite, ne payez rien avant d'être rendu à la caisse et ne le lisez que l'année prochaine !
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Même s'il n'est pas encore quatre heures de l'après-midi, l'inspecteur décide qu'il en a assez et lève les feutres en direction de son domicile coquet et tranquille. J'espère que personne ne le dénoncera pour avoir pris ce petit congé... pendant que sa collègue travaille comme deux.
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Allez dites-moi tout, je brûle d'impatience, souffle l'inspecteur en allumant un cigarillo
(on a d'Ia classe quand on a un peu de fric) .
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« - Et que comptes-tu faire avec l'enquête ? Poursuivre ou abandonner ?
- Je dois t'avouer que le mystère entourant cette affaire me fascine. Le cas Beaulieu est un dossier irrésistible , mais décourageant par bout. J'ai vérifié auprès des compagnies aériennes, des hôpitaux. Rien. J'ai interrogé les voisins. Rien d'intéressant non plus. Les pistes se dérobent comme des veines fuyantes.
- Alors ?
- Alors je pense poursuivre l'enquête tout de même, par défi, par curiosité, par conscience professionnelle aussi.
Cécile détourne le regard pour ne pas rire au mot “conscience professionnelle”. »

« - Si je savais au moins pourquoi cet individu bizarre a disparu comme ça du jour au lendemain. Qui aurait intérêt à faire disparaître Michel Desmarais ? »
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Nous comptons visiter Central Park, Ground Zero, la statue de la Liberté,
Times Square, etc. Nous avons hâte aussi de grimper les 1 576 marches de
l’Empire State building, de voir l’édifice Chrysler, sans oublier le musée d’Art moderne ainsi que le célèbre Metropolitan Museum.
On pense aussi aller au Yankee’s Stadium, pour une partie de baseball, petite concession pour faire plaisir aux gars de la classe.
– Hum ! très intéressant. Avec tout ce que vous voulez faire et voir, vous
en avez pour un mois !
– Non, pas du tout, le voyage va durer cinq jours seulement. Il faut que nous amassions trois cents dollars par élève. Si on fait un petit calcul mental, il faut que je vende 100 tablettes de chocolat. C’est beaucoup. Vous êtes mon premier client, voulez-vous m’encourager, s’il-vous-plaît, monsieur, dites oui.
– Hummm...
– Chaque tablette coûte seulement trois dollars.
Louise sourit avec un air angélique, la tête légèrement penchée sur le côté comme la tour de Pise. Elle est mignonne comme tout.
Achètera ? Achètera pas ?
– Bon c’est bien pour t’encourager, ma petite. Je vais t’acheter une
tablette de chocolat. Mes enfants la mangeront... Louise a un sourire fendu jusqu’aux oreilles.
– Ah ! et puis ajoute le monsieur, je vais t’en prendre deux. Louise est aux anges. Pour un début, c’est un bon début... mais est-ce que ça sera toujours comme ça ?
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En moins de temps qu'il n'en faut pour bâcler un devoir de mathématiques, le prince magicien, d'un coup de baguette magique, transforma la grenouille en...
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Tes histoires de trésor et d'épave, c'est bon pour les films de série B. Franchement ne nous prends pas pour des poires. Tu essaies de te rendre intéressante, un point c'est tout.

- Mais puisque je vous le dis. Pourquoi je vous conterais des histoires? Et puis, je n'ai pas parlé de trésor. J'ai parlé d'épave seulement.

- Ouais…

- Puisque vous n'avez pas du tout l'air ni l'envie de me croire, Salut ! conclut sèchement Nathalie.

Laurent et Benoît restent là décontenancés.

Laurent regarde son ami, hésite, puis crie de toutes ses forces.

- NATHALIE ! NATHALIE ! ATTENDS-NOUS, ON ARRIVE! »

« Je pense que la cabane est le lieu le plus sûr (…)

Derrière eux, un bruissement de feuilles, et ce n'est pas le vent qui joue dans les arbres. Des bruits de pas feutrés. De l'ombre sur les bosquets.
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En route vers le secrétariat, l’inspecteur se perd dans le dédale de ses pensées et Chamberland le suit et s’embourbe dans les siennes.
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S’il n’y avait

pas d’enfants sur la terre,

il n’y aurait rien de beau.

Réjean Ducharme

Cité dans ce livre
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Les petits vieux regardaient la télé.
Nous aussi, parce qu'on était fatigués
de courir comme des malades.
Mon frère a lâché un gros pet sonore.
Tous les petits vieux se sont mis à rire
comme des enfants.

Ce soir-là, la Grande Faucheuse
a passé son tour.
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Il est là, étendu, immobile, on dirait qu’il dort ou… qu’il est mort. Une seule lettre et cela fait toute la différence. (p.177)
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— As-tu entendu parler de la maladie du baiser? demande l’inspecteur. Il y avait un article dans le journal là-dessus ce matin.

— Oh! tu sais, moi, les journaux… Je sais qu’on en parle beaucoup, en tout cas on peut dire que ce sujet est sur toutes les lèvres. (p.15)
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Les chansons, les films entretiennent profondément l'idée d'un amour éternel, mais dans la vie, on frappe un mur parce que ça dure plus qu'une heure et demie...
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Caroline pleure maintenant toutes les larmes de son corps. Enfin, c'est ce qu'elle croit. Mais il en restera encore assez pour toutes les autres peines d'amour qu'elle aura dans sa vie. Le corps a assez de larmes pour toutes les déceptions, pour toutes les peines du monde, pour toute une vie. Le corps contient 80% d'eau...
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Le brave chevalier de Chambly, sans peur, sans sommeil pour l’instant et sans reproche jusqu’à maintenant, continua son incursion sournoise dans le château.
La plupart des salles portaient un nom affiché au haut de la porte. Chambly, dans sa tournée d’inspection pour récupérer les objets volés du roi Gustave et de la reine Larissia, visita les cent douze salles et chambres du palais vraiment pas laid.
Ainsi le chevalier, en bon touriste, visita :
. la salle des circonférences, (quand les discussions tournent en rond)
. la salle des tortures (la salle Igo),
. la salle à manger, (la salle Hade, le nom du cuisinier sans doute),
. la salle des pas perdus, (c’est là qu’on se retrouve !)
. la salle de danse (la salle Sa),
. la salle de jeux (la salle Timbanque),
. la salle des cuisines (la salle Hier),
. la salle des bons débarras (la salle Migondis),
. la salle des vins et de la bière (la salle Oune),
. la salle d’habillage (la salle Opette),
. le salle d’attente du médecin (la salle Monellose),
. le salon de thé (la salle Thé),
. la salle du trône (la salle WC)
. il fit une courte halte à la salle de bains (euh ! oui, des fois quand il faut, y faut !) justement nommée la salle Ubrité,
. la salle d’entrée (la salle Amalec),
. et finalement, la salle de balles où il fit une découverte ahurissante. Nous y reviendrons, car je n’ai pas le temps de vous en parler tout de suite.

Avant de partir, Chambly fit un saut dans la chambre du roi Nicolas pour y déposer sa carte de visite sur la table de chevet, près de son verre où reposait son dentier. Sur cette carte, on pouvait y lire : Avec les compliments d’Arsène Lupin, le gentleman cambrioleur.

Le roi Nicolas n’y comprendrait sans doute rien et se demanderait durant des lustres qui est ce sacré Arsène, mais Chambly aimait bien dérouter les gens à l’occasion.

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