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Citations de Roxane Dambre (222)


"Avant que j'ai le temps de dire ouf, il m'attrapa pour me serrer dans ses bras. Abasourdie, je n'osais pas protester. Mais en cet instant précis, l'hôtel me manqua. Un peu. L'air aussi."
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- Et vous êtes ? tentais-je.
- Framboise.
Framboise. Charlotte et Framboise. il ne faudrait jamais raconter ça à personnes.
[...]
- Je suis heureuse d'avoir pu vous porter secours, princesse, mais j'espérais vous rencontrer pour une toute autre raison.
- Laquelle ?
- Je suis à la poursuite de l'assassin d'Abricot.
L'assassin d'Abricot. Je clignais des yeux. Je n'avais assassiné aucun abricot, je le promettais. Et Adam non plus, à ma connaissance.
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- Oui. Telle que je te connais, tu vas paniquer tout le temps, au décollage et à l’atterrissage du jet par exemple, et je ne saurais pas à quel moment tu as vraiment besoin de moi.
- Hein ? m'insurgeai-je.
- Donc il faut convenir d'un signal.
[...]
- L'idéal, reprit-il sans paraitre remarquer mon attitude, ça serait que tu fasses battre ton cœur en morse et que tu m'envoies un SOS quand tu veux que je vienne.
L'effarement m’empêcha de trouver une repartie intelligente. Faire battre mon cœur en morse?
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- C'est ça, ton petit animal de compagnie ? s'étrangla-t-il.

- Oui, approuva fièrement Nicolette. Il est mignon non?

Firmin cligna des paupières. Flegmatique. Flegmatique. Flegmatique. Cette fée était le meilleur entrainement qu'il ait jamais eu.

- Ma chère, déclara-t-il, j'ai peur que ce sanglier ne puisse guère être classé parmi les êtres "mignons" qui peuplent ce monde.
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L'Italie rimait pour moi avec soleil, glaces en terrasse et beaux garçons bronzés à la chemise ouverte. Evidemment, en cette fin octobre, l'homme qui accourut sur le tarmac pour nous réceptionner en bas des marches du jet portait un blouson fermé jusqu'en haut.
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— Je disais que tous les enfants jouent à cache-cache, quand ils sont petits, répéta l’inspecteur un peu plus fort – malgré ma certitude qu’il n’avait pas dit ça la première fois.
— C’est vrai ? s’exclama mon fiancé, ravi. Avec des couteaux, aussi ?
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— Mieux vaut leur parler une fois qu’ils sont morts, me confia-t-il sur le ton de la complicité. C’est plus prudent.

Ah
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Upsilon scorpii est une étoile, indiqua-t-il en appuyant sur le second i. Mais Upsilon Scorpi est une organisation criminelle dominée par une famille de tueurs à gaga. La famille Lesath, qui lui a donné son nom.
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"-Tu as envoyé un chauffeur à Sophie, fis-je remarquer.
-Et alors ?
-Les humains normaux n'ont pas de chauffeur.
-Mais si. Presque tous ceux que je tue en ont un. Tu veux que je demande aux mecs en face de moi ? Il y en a encore un qui peut parler.
-Non, ça ira, merci."
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Lassé de courir partout, Élias s'était réfugié sous notre table en bois et suivait l'avancée d'une colonie de fourmis.
-Charlotte ? s'enquit-il au bout d'un moment.
-Oui, mon chou ? répondis-je sans y penser.
-Comment on fait pour arracher le coeur d'une fourmi ?
J'avalai de travers et vérifiai que personne d'autre que moi n'avait entendu .
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"Ca ne t'empêche jamais de dormir, la nuit ? Demandai-je en pressant mon visage contre son torse. -Quoi donc ? -De tuer des gens. -Non, pourquoi ? Je redressai la tête, désabusée. Il avait l'air surpris, en plus !"
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— Tu viens déjeuner quand même ?
— J’arrive, répondis-je en enregistrant le document sur lequel je travaillais. Je meurs de faim ! Tu paries sur quoi, à midi ?
Sophie regarda la fenêtre derrière moi et fit la moue.
— On est mi-juin, il fait super beau, répondit-elle, la température approche des trente degrés, donc ils nous ont sûrement préparé un truc frais et léger. Une tartiflette, peut-être. Ou un bœuf bourguignon.
Je ris à nouveau. Elle n’avait pas tort. La veille, le restaurant d’entreprise proposait en plat du jour un pot-au-feu que nous avions longuement contemplé, dubitatives, avant de nous rabattre sur les salades prévues pour l’entrée.
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Manèges, chaises volantes, chenille… Si je dus le pousser un peu au départ pour l’encourager à me suivre, il prit vite le pli et me devança même lorsqu’il fallut gravir le petit escabeau pour monter sur les dromadaires. Son enthousiasme faisait plaisir à voir. Nous finîmes par nous arrêter au stand de tir à la carabine.
— Mon papa dit qu’un bon tueur à gages n’a pas besoin d’une arme, déclara Élias en prenant une carabine tandis que je payais le forain.
— Un tueur à gages sans arme ? relevai-je avec un sourire moqueur.
Voilà qui me semblait hautement rassurant. Élias hocha la tête avec gravité.
— Pour éviter de toucher quelqu’un qui ne serait pas la cible, précisa-t-il. Avec une arme, il y a toujours un risque de faire une victime collatérale.
Une victime collatérale. Il avait du vocabulaire, cet enfant !
Il porta la carabine à son épaule et tira ses cinq cartouches avec une négligence troublante. Au fond du stand, cinq ballons explosèrent dans un claquement sec. J’en restai bouche bée. Il n’avait même pas visé !
— Je voudrais le lapin bleu avec le nœud rouge, dit-il au forain aussi ébahi que moi.
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- Il y a deux jours, vous avez fait une recherche Internet concernant Adam Lesath, dit gravement le policier, n'est-ce-pas?
Je restai figée une seconde, toujours sous le choc, puis mes réflexes de survie reprirent le dessus.
- Vous me surveillez! balbutiai-je. Vous avez fouillé mon ordinateur?
Il balaya ma remarque de sa large main comme on écarterait un moucheron.
- Nous parlons de l'un des plus grands assassins de ce siècle, mademoiselle Laroche. N'importe quelle recherche contenant son nom et son prénom fait sonner l'alarme de mon service.
Bon sang! En plus du reste, Google m'avait trahie!
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Félix, le maître Lynx, nous attendait sur le palier. Sous sa forme humaine, bien entendu, celle d’un grand homme d’une quarantaine d’années au visage long et aux cheveux poivre et sel. Sa femme ignorait tout de sa véritable nature.
— Bienvenue chez nous, nous accueillit-il chaleureusement. Vous avez trouvé facilement ?
— Plutôt, oui, sourit Joshua en serrant la main tendue de mon semblable. Les explications d’Élisabeth étaient parfaites.
Je pris un air innocent. Le sourire narquois du Daïerwolf ne laissait guère de doute sur la crédibilité qu’il accordait à cette dernière affirmation. En même temps, Joshua ne pouvait pas clamer sur le palier que Rex et moi avions trouvé leur rue à l’odeur…
— Encore une minute, papa ! supplia la voix de Terry de l’intérieur de l’appartement.
Félix fit la moue et les prunelles vertes de Joshua s’enflammèrent de joie.
— Il n’est pas prêt ? devina-t-il.
— J’ai été envoyé pour vous ralentir, avoua notre hôte. Je vous sers l’apéro dans le couloir ?
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— Depuis le temps que Terry nous parle de vous ! s’exclama Élisabeth en avançant pour nous embrasser. Je suis enchantée de faire votre connaissance. Vous savez, il a dévoré tout le manuel du code de la route en une nuit !
En une nuit ? Nom d’un chat ! Il fallait lui donner des choses plus intéressantes à lire, à ce malheureux petit !
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— Mais-heu… bougonna le maître Chien. Tu racontes n’importe quoi, papa.
— Terry est amoureux ! chantonna Pic.
La présence de Félix rayonna dans l’inconscient collectif.
— Un jeune humain doit nier, Terry, l’avertit-il.
— Mais papa, c’est bête ! gémit-il.
— Oui, mais c’est comme ça.
— Pas du tout ! rugit donc le garçon.
Joshua et Élisabeth sourirent d’un air complice.
— Ah oui, conclut le jeune maître Chien. Tu avais raison.
Rex jappa en signe d’approbation et tout le monde se mit à rire.
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— Mais-heu… bougonna le maître Chien. Tu racontes n’importe quoi, papa.
— Terry est amoureux ! chantonna Pic.
La présence de Félix rayonna dans l’inconscient collectif.
— Un jeune humain doit nier, Terry, l’avertit-il.
— Mais papa, c’est bête ! gémit-il.
— Oui, mais c’est comme ça.
— Pas du tout ! rugit donc le garçon.
Joshua et Élisabeth sourirent d’un air complice.
— Ah oui, conclut le jeune maître Chien. Tu avais raison.
Rex jappa en signe d’approbation et tout le monde se mit à rire.
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Joshua me raccompagna au quatrième étage, l’étage du département des mystères comme nous l’appelions nous-mêmes, le dossier noir sous le bras.
— Je vous avertis, capitaine, dis-je en arrivant dans le hall blanc à moquette verte. Quand j’ai laissé mon équipe, ce matin, Arthur avait décidé de fignoler la mise au point de sa combinaison antigravitationnelle. Ne vous attendez pas à un accueil chaleureux si vous lui demandez de construire un bête téléphone.
Il hocha très sérieusement la tête.
— Compris, Mlle Duncan. Merci de m’avoir prévenu.
Les microcrispations au coin de ses lèvres trahirent ses efforts pour ne pas sourire.
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— Un coupé cabriolet, hein ? me lança-t-il d’un air appréciateur. Vous avez bon goût, mademoiselle Martin.

— Sûrement, répondis-je avec un sourire contrit. J’ai dit au vendeur que je voulais une voiture bleue et il m’a montré celle-là. Alors je l’ai achetée.
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