Ryosuke Takeuchi

Cette série c'est vraiment une de mes préférées.

J'avais refermé le tome 14, en me disant qu'il aurait parfaitement pu conclure cette histoire, sincèrement ça aurait été un vrai beau final... En tout cas je me demandais bien comment la suite allait pouvoir être à la hauteur, et ce que l'auteur allait bien pouvoir nous raconter.

Force est de constater que je l'avais sous-estimé, la suite est géniale.

Dans le tome 15, on va retrouver la team Moriarty, puis par la suite les habitants du 221B Baker Street, le tout dans une ambiance bon enfant. Un nouveau personnage va aussi être de la partie Billy The Kid, c'est lui qui a permis les retrouvailles et on va découvrir son histoire dans le tome 18.

Pour le moment, on a encore quelques missions qui nous sont proposées mais le coeur du sujet porte plus sur les sentiments, les ressentis et les aspirations des personnages. C'est à la fois, beau, plein d'émotions et parfois drôle.

Je suis heureuse de voir que les équipes sont réunies et c'est en fait ce qu'on attendait depuis le début. À partir du moment où on savait les plans des Moriarty on ne pouvait pas les détester (à moins d'être un mauvais riche bien entendu 😛).

J'espère que la suite ne nous réserve pas une mauvaise surprise avec un retournement de veste… Mais pour le moment j'adore énormément cette suite.
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Un manga qui m'intriguait : j'étais curieuse de savoir comment était présenté l'adversaire de Sherlock Holmes !



▪William est enfant quand il est adopté par une riche famille (les Moriarty) avec son frère Louis. C'est l'aîné des enfants, Albert, qui a orchestré l'adoption, mais on se rend vite compte que les parents comme le plus jeune frère cherchent à se débarrasser des deux orphelins. Ces derniers subissent brimades et vexations, mais la vengeance approche...



▪J'ai un faible pour les livres qui se passent au 19e siècle, et j'ai trouvé l'atmosphère, bien qu'elle soit très déprimante, intéressante. On y découvre le clivage entre ceux qui ont tout, et les autres, exploités et maltraités. Les nobles dépeints sont souvent brutaux, égoïstes. C'est dans cet univers que grandit le génie du mal, Moriarty, et c'est ce qui le motive à lutter contre les inégalités. Il est présenté ici comme un justicier qui cherche à instaurer une société égalitaire, mais de manière sanglante. Âmes sensibles s'abstenir, le sang et la violence sont bien présents dans ce manga !



Ce que j'ai le plus aimé, c'est la présentation de l'esprit brillant de Moriarty, la logique et la réflexion dont il fait preuve. Son "frère" Albert n'est pas en reste - c'est le plus jeune, Louis, qui est moins présent. Tout est fait pour qu'on s'attache au personnage machiavélique de Moriarty, malgré la noirceur de ses actes.



Le dessin est très beau, les traits sont fins et les décors détaillés rendent bien cette ambiance sombre de l'époque. Le découpage est dynamique.



Une belle surprise, j'attends de lire le tome suivant pour voir si l'on rencontre Sherlock Holmes !



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Sherlock découvre le plan et une lettre laissé par William où se dernier lui demande de le tuer. Mais pour Sherlock comme pour les frères et amis de William sa mort n'est pas une finalité.

Alors que Sherlock retrouve William sur le Tower Bridge, les habitants de Londres sont aux premières loges pour assister à l'affrontement.



Le duel tant attendu arrive enfin, un incendie dans Londres fait rage et un esprit de vengeance règne dans ce tome. On peut dire que c'est la fin d'un premier cycle et qu'un nouveau va s'ouvrir.

Dans ce premier tome de la série nous faisons connaissance avec les personnages de la famille Moriarty et plus particulièrement William. Ces talents hors du commun seront mis à profit pour résoudre différentes énigmes et aider les autres, mais aussi, ici, à orchestrer des crimes parfaits afin de débarrasser l'Angleterre des membres de la classe sociale jugés "pourris".



Les dessins sont plutôt sympathiques, même si j'ai eu un peu de mal a différencier les personnages au départ. J'ai beaucoup aimé la représentation de la ville et de l'université de Durham, où j'ai moi-même vécu.



L'intrigue se met en place, plusieurs enquêtes sont résolues déjà, les personnages bien introduits.



J'ai hâte de lire la suite et de voir comment ceux-ci vont s'intégrer dans l'image et la connaissance (plutôt limitée) que j'ai de l'univers de Sir Conan Doyle.



Pour un premier tome c'est réussi et pour le moins intriguant, assez addictif et donnant vraiment envie de lire la suite.

J'ai un peu moins accroché sur ce troisième tome. J'ai trouvé l'histoire de Baskerville très violente, avec des nobles de plus en plus pervertis, sans nuance et des longueurs dans les dialogues surtout dans l'équipe de Moriarty et avec des scènes proches du ridicule (pet simulé de Holmes par exemple). Ce tome manque un peu de finesse à mon goût.

Sherlock Holmes est emprisonné car il a tué Milverton mais son corps reste introuvable.

Dans le même temps, tout Londres découvre l'identité du Prince du crime. Mais pour William Moriarty cela ne change en rien son plan et les bourgeois trépassent à la pelle.



William est à découvert mais Louis et Fred sont bien décidés à le sauver car ils leur est inconcevable que cela se termine par son décès.



Un tome captivant où le devenir du personnage principal est indécis.

Ouuh, c'est un tome comme je les aime. Complet, complexe, trépidant et stressant. La première partie est un peu bateau sur Holmes, Watson et sa fiancée mais quand les 2 grands esprits de la série se rencontrent pour faire tomber le plus grand malfaiteur malsain du coin, c'est bien plus intéressant ! Avec une fin de tome mortelle, pan pan, mais qui meurt ? Enfin, les Moriarty sont de nouveau sur le devant de la scène !

La couverture porte à confusion car de Moriarty, on a uniquement l'évocation de son nom dans tout le tome.. on est centré sur l'affaire des perles de la fiancée de John Watson avec Holmes. Ce n'est pas déplaisant mais les interludes reviennent souvent.. et je veux voir l'avancement de l'histoire principale avec la famille Moriarty !

Avec cette belle couverture réversible où l'on voit Sherlock et Moriarty s'affronter et se chercher le sourire aux lèvres, les auteurs signent la fin d'un des axes principaux de l'histoire, quitte pour cela à prolonger un peu le plaisir en ajoutant un chapitre inhabituel. On les remercie !



L'affrontement entre Moriarty et Sherlock nous tient déjà depuis un moment. Je ne suis donc pas fâchée de le voir se terminer ici pour voir ensuite l'intrigue se relancer. Ça fera un bien fou à la série. Pour autant, cela ne doit pas se faire n'importe comment et les auteurs le sentent bien. Ils prennent donc un temps infini ici à placer leurs pions et à écouter tout le monde afin de préparer le grand final.



Si j'ai aimé l'attention qu'ils prêtent aux sentiments de chacun, notamment à l'amitié que Sherlock ressent pour Moriarty ou à l'amour de tous les proches de ce dernier pour lui, j'ai trouvé que narrativement cela rendait la lecture assez molle. En effet, on place plus de temps en palabre que face à de l'action et parfois cela se répète même, ce rend la lecture assez particulière. L'action n'intervient que brutalement qu'au milieu du tome et elle a tout d'une pièce de théâtre montée à la dernière minute, ce qui enlève toute crédibilité. C'est dommage.



En revanche, j'ai beaucoup aimé la façon dont les auteurs utilisent ici une véritable histoire de Conan Doyle qu'ils réinterprètent à leur sauce, changeant le lieu et les caractères des personnages. C'est futé ! J'ai aimé voir un Sherlock qui comprend et approuve d'une certaine façon les actions et idéaux de Moriarty, car ceux-ci sont parfaitement justifiés. C'était donc plaisant de le voir chercher une solution pour l'épargner. De la même façon, l'aspect politique de l'histoire est parfaitement géré, ainsi que l'après de cette terrible affaire, avec des répercutions bien dosées et de nouveaux rôles endossés qui rendent curieux de la suite.



Ainsi malgré la peur des auteurs de ne plus avoir de lecteurs ensuite parce qu'ils clôturaient ici tout un pan de l'histoire, moi, je serai au rendez-vous, car au contraire tout ce qui a été minutieusement mis en place ici visant la rédemption de chacun m'intrigue beaucoup. Alors c'était un tome longuet à lire mais avec une belle densité et des idées riches et bien tournées, montrant qu'on peut faire du neuf avec du vieux tant qu'on a une intention en tête.
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Dans ce tome, nous ne verrons pas du tout les Moriarty. Du coup, la couverture est plutôt trompeuse. Nous nous concentrons sur une toute autre affaire avec notre Sherlock Holmes, qui gère en parallèle ses sentiments sur une affaire de cœur de John.

La belle et énigmatique Mary rentre en scène. Jolie brin de jeune femme, mais aussi une belle intelligence. A priori elle semble douce, gentille, compréhensive. Elle et Sherlock ont des relations tendues pour plusieurs raisons. Cacherait-elle quelque chose ?

Après avoir été anéanti par la précédente affaire, là où on en était resté, on introduit a priori un peu de calme, pourtant cette affaire va se révéler de plus en plus à nous, et nous tenir sous tension avec de multiples rebondissements.

Comme bien des fois, il est question d'argent, enfin plutôt d'un trésor, caché, qui a fait tourner bien des têtes, certains voulant se l'accaparer.

En parallèle, Sherlock, John et Mary se livrent également à une certaine réflexion sur le trésor, la richesse qui vient d'un coup, son côté qui fait briller les yeux, autant que la jalousie qu'il risque de susciter, le fait de risquer sa vie, d'y perdre la tête.

Si vous voulez en savoir un peu plus, sinon passez votre chemin. A la fin du tome précédent, on nous a introduit Mary, comme la fiancée de John. Elle se présente, mais cherche aussi à résoudre la disparition de son père il y a quelques années, ainsi que de savoir qui lui envoie depuis quelques années une perle par an. Mary ne dit pas tout, Sherlock le sent mais en même temps il se montre jaloux d'elle, qui accapare l'attention de John.

Jusqu'à la fin, nous sommes tenus en haleine, et tout se recoupe.

Le tome est agréable à suivre, l'affaire à plusieurs niveaux mais vous serez sans doute impatients de découvrir la suite et retrouver les Moriarty, il y a juste les petites histoires entre les chapitres qui nous amusent et aident à patienter.

Et revoilà la famille Moriarty au grand complet, prête pour de nouvelles aventures dans lesquelles, cette fois, n’intervient pas Sherlock. Après s’être occupé de l’affaire Jack l’Eventreur et avoir engagé Irène Adler (rebaptisée pour l’occasion…James Bond !), nos frères organisent un thé, prétexte à un épisode amusant où ils seront courtisés par toutes les célibataires entreprenantes de la région. Un chapitre très léger mais plaisant avant le retour aux affaires sérieuses grâce à Milverton, lequel s’était signalé brièvement à la fin de l’affaire sur Jack. Ici, le voici bien décidé à percer l’énigme du « prince du crime ». Voici le prétexte à une histoire en deux chapitres sur l’enfance des Moriarty. James et William sont à l’orphelinat mais imagine déjà les grandes lignes de leur projet de lutte contre la noblesse pourrie d’Angleterre. Nous aurons droit à un étrange procès basé sur le principe du Marchand de Venice, un récit quelque peu décalé et forcément théâtral avec intervention d’avocat, plaidoiries et objections ! L’intrigue est ingénieuse, les rebondissements nombreux, c’est bien ficelé, référencé sans sombrer (comme cette série le fait parfois un peu trop, surtout dans les derniers volumes) dans le fan-service à base de citations quasi parodiques.

Le dernier épisode annonce la suite en présentant un « chevalier blanc », un député soucieux d’égalité qui va croiser les Moriarty et Milverton. Est-il sincère ? Va-t-il s’en sortir ? Il faudra attendre le tome 10 pour la conclusion de cet arc intéressant.

A la fois respectueux et innovant, n’hésitant pas à opérer un mix de mythologie proche des traditions du steampunk (c’est la bonne époque alors on ne dira rien), MORIARTY constitue jusqu’ici une saga fort appréciable qui a, certes, connu des hauts et des bas mais, demeure, dans l’ensemble divertissante et efficace. Agréable, futé et bien charpenté, ce tome donne encore envie de prolonger l’aventure.


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J'ai largement préféré ce tome 2, grâce à l'entrée en scène de Sherlock Holmes (et aussi John Watson!). J'ai trouvé la rencontre entre Sherlock et Moriarty très intéressante. Et j'ai hâte de lire le tome 3. Selon l'avis que je me fais de celui-ci, je verrais si je continue ou non cette saga.



Par contre, j'ai un peu de mal avec les dessins : je trouve que certaines personnes se ressemblent et je suis parfois obligé de retourner en arrière pour être sûre que je ne me trompe pas de personnages ! ^^' Également, je trouve qu'il y a pas mal de textes sur certaines pages, et cela me lasse un petit peu... Ce n'est pas agréable pour moi de lire autant écrit en si petit, dans pleins de bulles différentes sur la page.



Ce manga n'est donc pas un coup de coeur pour moi, mais cela reste tout de même assez plaisant. En même temps, j'ai toujours apprécié le personnage de Sherlock (que je trouve plus intéressant que Moriarty... oupsi ^^')

Voila enfin la résolution de l'affaire de Jack L'Eventreur. Louis et William règlent leur compte à la troupe découverte dans le tome précédent.

Holmes est lui même sur cette enquête et se retrouve face à un dilemme que Moriarty lui a lancé : dire une vérité qui dérange ou mentir pour ne pas envenimer la situation ?

Holmes va devoir vite choisir car un innocent a été arrêté, accusé d'être Jack L'Eventreur. Et ni Sherlock, ni William ne peuvent laisser passer cette injustice !

William joue avec le feu dans l'aventure d'un étudiant. Il laisse des micro indices à son "ennemi" et Sherlock va sans doute bientôt découvrir qui se cache derrière le "prince du crime" !

Bon premier tome introductif où le personnage de Moriarty est revisité en justicier de l'époque contre les inégalités de classes et sociales qui touchent l'Angleterre à la fin des années 1870. On retrouve ici trois histoires différentes qui se suivent mais ne sont pas liées.

Début intéressant, hâte de voir ce que la suite va donner...

Ce deuxième opus monte en puissance. Tout d'abord, le plan des Motiarty se précise: certes, William est le cerveau de l'affaire, mais Albert n'est pas en reste. Le premier chapitre nous montre la machination mise en place pour créer le MI6 et en prendre la tête - même si le chef reste M : Ian Fleming est visiblement passé par là!

Ensuite, les deux chapitres suivants permettent le face à face tant attendu entre le Napoléon du crime et son adversaire légendaire Sherlock Holmes. En ce qui concerne celui-ci il faut s'éloigner de l'image traditionnelle qu'on en a mais le personnage reste savoureux.

L'objectif des Moriarty est de changer la société par le crime: quel rôle va jouer Sherlock dans ce plan?

J'aime piquer des mangas à mes amies. Moriarty en fait partie héhé. Mais en fin de compte, je suis contente de ne pas m'être engagée dans cette série, car je suis qu'à moitié convaincue.

Il y a un bon potentiel, l'idée de base est sympathique et bien amenée. Découvrir "l'ennemi" de Sherlock Holmes change un peu des routines habituelles et c'est évidemment plaisant. En revanche, je suis un peu mitigée sur plusieurs points. D'une part, les personnages. J'ai trouvé qu'ils manquaient de consistance. Le dessin lisse aide pas beaucoup (le dessin n'est pas désagréable en soi, mais il manque trop de profondeur, de marques très personnelles, à mon goût). Moriarty est une figure rusée et manipulatrice. Prête à tout pour atteindre ses objectifs. Il m'a pourtant semblé gentillet. À côté Sherlock (qui n'apparaît pourtant que brièvement au T2) m'a paru plus impactant. Puis Moriarty et sa bande ne rencontrent pas de difficulté, ils paraissent superbement brillants et doués alors que… pour le coup, ils ont affronté des antagonistes pas bien malins. Et… ils sont trop bavards omg. Ça, dans les mangas, quand un perso passe des pages et des pages à nous expliquer ce qu'il compte faire alors que….. Il suffit de nous le montrer, c'est une fiction graphique. Je… pour des mangas comme Bakuman ou Asadora! (deux titres bavards qui me viennent en tête, là) je comprends. Il y a des tas de personnages, des tas de destins mêlés, pas mal de background… je comprends. Dans Moriarty, j'imagine que cet aspect bavard est en partie dû à son côté "adaptation d'un roman" où il est peut-être difficile de se détacher d'une narration de roman. Mais j'ai vraiment trouvé que les personnages parlaient trop et pour pas grand-chose. Sur le T2, je sautais carrément des dialogues car je savais que je pourrais parfaitement comprendre sans.

Bref, je suis pas assez convaincue pour poursuivre ma lecture.

Et ma question préférée pour la fin : où sont les femmes ?! (nan pas la cruche qui apparaît pour exiger à Sherlock son loyer et sert d'appât pour des violences sexuelles).


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Moriarty et Holmes travaillent ensemble pour résoudre avec brio le crime du train. Ça m'a beaucoup fait penser au crime de l'Orient-Express, affaire bien plus complexe. L'histoire se solde très rapidement et Moriarty disparaît du volume. C'est un volume vraiment axé sur Holmes et c'est un peu dommage. Par ailleurs, Irène Adler apparaît et c'est une sublime femme fantasque et rusée. Elle va réussir à rentrer dans la vie de celui qu'elle admire depuis si longtemps : son cher Sherly! Elle amène un vent de renouveau devant ce Moriarty absent et le fameux Holmes.

Dans ce tome 2, le grand projet de Moriarty se concrétise. Les "crimes" sont bien ficelés même si quelquefois cela semble un peu facilité par les évènements. Je trouve notamment la création du MI6 trop facile... Sherlock Holmes fait enfin son apparition. Il est aux antipodes de celui de Doyle (entouré de jeunes femmes...il a un petit côté Nicky Larson). J'espère qu'on le verra un peu plus dans les prochains tomes. Cela me donne d'autant plus envie de connaître la suite.

Ce tome revisite vraiment l'histoire de Sherlock Holmes et Moriarty en allant jusqu'à introduire une mise en abyme avec Watson qui écrit ses exploits sous forme de roman.

Assez sombre, ce tome réserve un bon nombre de rebondissements.
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Je suis de plus en plus fan de la série Moriarty dont j’ai dévoré le troisième tome. Sherlock Holmes tient une place de plus en plus importante dans la série et l’on sent se mettre en place une dynamique intéressante entre le célèbre détective et son « ennemi ».

J’adore la construction du personnage de Moriarty qui est ici tout en nuances. Ses actes sont terribles, mais ses motivations compréhensibles, ce qui fait de lui un être qui soulève des sentiments ambivalents chez les lecteurs.

Quant aux dessins, ils sont toujours aussi beaux et soignés !