Ryosuke Takeuchi

ça fait un petit moment que je n’attends plus le tome suivant.



Pire, je suis obligé de relire le tome précédent car j’oublie en moins de 6 mois où nous en sommes dans l’histoire…



Bref. J’ai lu ce nouveau tome, et j’en ressors peu enthousiaste par cette nouvelle direction (encore une en quelques tomes…) ; celle ci est plus farfelue et encore plus éloignée de l’esprit originel de la série.

Nous voilà au farwest… pfff…

(Au passage je déteste les westerns… ce qui n’arrange rien…)

On continue sur le chemin de la rédemption… rien d’étonnant… c était déjà la direction prise dans les tomes précédents…

Mais ce revirement est presque incompréhensible. Et je préférais le côté sombre du clan moriarty qui agissait et voulait changer la société même si pour cela il fallait franchir la ligne rouge…



Je trouve cette transition longue et un peu ennuyeuse. Les dialogues et situations sont lentes et sirupeuses. On bordure la « tranche de vie » ; mais pour cela je préfère me tourner vers d’autres séries de meilleurs factures.



J’ai quelques doutes sur la suite… Ce chemin s’éloigne tellement de celui emprunté au début, qu’il risque de me perdre définitivement…

L’impression d’être revenu à une nouvelle transition… (déjà !)



Alors que la nouvelle équipe, sans William, prenait ses marques dans des nouvelles aventures, Holmes et William reviennent déjà, bouleversant ce tout nouvelle équilibre.



Le passage sur le passé dès moriarty est certes intéressant. Mais la fin du tome, comme les aventures de la nouvelle équipe le laisser présager, semble nous diriger vers quelque chose de plus conventionnel, voir un brin moralisateur…

« chacun de mes jours sera voué a racheter mes crimes »…



Cela semble s’éloigner de l’essence même de ce manga, de son origine, de ce qui faisait son originalité !

Affaire à suivre…

J’adore toujours autant cette série mais je dois bien avouer que plus l’histoire avance et plus je reste sur ma fin à chaque fois que je finis un nouveau tome. J’attendais celui-ci avec impatience afin d’en découvrir plus sur l’histoire de Billy the kid, sur cette partie je n’ai pas été déçue. Malgré cela, j’ai l’étrange impression que les intrigues avancent de moins en moins, au départ il y avait beaucoup d’action mais pour moi, la série commence à perdre de sa valeur… à voir avec les prochains tomes. Ps: je ne sais pas si cela est juste une erreur dans mon exemplaire mais il y a un problème avec les fiches des personnages. En effet, John ne fait pas 1m55 mais 1m79 et Lestrade ne fait pas non plus 1m55 mais plus d’un mètre quatre-vingt, j’avoue avoir été très surprise en voyant de tels chiffres !

J'ai compris une chose sur cette série, c'est que plus c'est GROS mieux ça passe !



Je le prend, maintenant, avec le sourire, autant avant cela m'avait agacé, c'est complétement loufoque.

Déjà, beaucoup d'incohérences, en lien avec l'époque victorienne où se situe l'histoire, un langage pas toujours adapté, des choix scénaristiques complétements irréalistes, et j'en passe...



Bon cela reste une fiction, mais quand même, quand c'est trop, c'est trop. Un Sherlock qui provoque l'explosion de son appartement pour faire croire à une réelle explosion... mais non ! et ben si !

Le contenu du fameux document volé... bon c'est bien pensé, mais quand même ! non, non, non... C'est historiquement abusif... mais en fait ça m'a fait sourire.

Et puis, il y a la référence à James Bond.... ah sacrilège ! Nom de bleu, il a osé... là, c'est peut-être pousser le bouchon un chouilla trop loin, Maurice !



J'ai fini par trouver ce manga plutôt drôle finalement, mais non sans intérêts parce que j'ai tout a fait envi de lire la suite et voir ce qui en retourner.

Tout n'est pas négatif, attention, les dessins sont de qualité, il a y certains moments dans le scénario qui sont vraiment bien, et ce Moriarty, qu'elle classe, d'où mon envie de continuer.



Mais jusqu'où le mangaka va-t-il aller dans sa loufoquerie ?! La suite au prochain tome.

Après la capture de Moran, ce tome n° 16 est dédié à Albert qui a préféré assumer ses responsabilités en prison plutôt que de rejoindre le MI6 pour expier ses crimes.



Les auteurs ont décidé de décortiquer intégralement la culpabilité d'Albert et de nous présenter ses motivations qui sont à l'origine du passage à l'acte de William.

Ils présentent Albert tel un être bon mais incapable de gérer et instrumenter à grande échelle les réformes nécessaires et salutaires pour établir une société équitable.

Albert prend conscience de l'étincelle qu'était William pour mettre le feu aux poudres et ourdir à long terme leur projet.

Reste les crimes commis, atroces, inexcusables mais nécessaires... Et la redemption à atteindre..

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La "famille" Moriarty est au complet 3 ans après, au service de sa majesté, dans une quête de pardon auprès d'eux-mêmes, pour porter leur propre croix...

15ème opus et je reste très attaché à cette série.



La fin du cycle précédent qui couvre "Le dernier problème", marquait un tournant significatif dans le projet de William et la possible prise en main des rênes par Sherlock.

3 ans se sont passés depuis les événements du cycle précédent et Londres réapprend à vivre avec une noblesse ébranlée mais consciente du problème de la répartition des richesses, un monarque qui s'est vu vaciller et un prolétariat qui a cru mourir de faim et de désespoir face à l'arrêt économique du pays.

La condition qu'Holmes a imposé pour l'arrestation du Prince du Crime rend l'avenir possible, à savoir la remise en question politique de l'omnipotence de la Chambre des Lords.

Le pays panse ses blessures dans une Europe en plein développement économique, industriel et territorial.

La "famille" Moriarty privée de son maître à penser continue le projet original et assume ses fautes pour la mise en place d'une prise de conscience nationale des disparités économiques et de ses changements nécessaires, soit en intégrant le MI6, soit en disparaissant ou soit en purgeant sa peine.



Holmes ne réapparaît pas... On ne retrouve aucun corps après le grand saut...

Mais de nouvelles têtes apparaissent et le destin suit son cours...



L'auteur mélange plusieurs nouvelles de Sir A. C. Doyle dont "Les plans du Bruce-Partington" dans ce tome qui initie un nouveau cycle.

Le tome 14 achève le cycle "Son dernier crime" et comporte 5 chapitres au lieu de 4 comme habituellement.

La suite du 13 qui met en place les derniers éléments pour que Liam coalise l'ensemble des protagonistes contre un ennemi commun : le manque d'avenir, le désespoir de voir ses conditions de vie se dégrader sans intervention ni solution possible avec Sherlock Holmes à la manœuvre.

C'est sans compter les sentiments fraternels et de loyauté qui animent la famille "Moriarty"...



Holmes va-t-il prendre en mains son destin ?



Le cycle "Son dernier crime" fait apparaître le côté psychologique des personnages, la complexité des rapports entre les personnes, les motivations personnels et les résultats obtenus.

Le tome 13 est la conséquence directe du 12... Lapalice n'aurait pas dit mieux !



La réaction d'Holmes force Moriarty à accélèrer son projet et à mettre en place la phase finale.

La série de meurtres annoncés est ainsi effective mettant les forces de l'ordre en déroute, la population au chômage et le royaume à l'arrêt.

Holmes est convoqué par la plus haute autorité pour mettre fin aux agissements du Prince du Crime.



Les dialogues sont toujours aussi savoureux et on prend plaisir à suivre le déroulement programmé du projet de Liam. Ce tome accentue davantage sur la loyauté des Moriarty et leur efficacité face à la police largement dépassée.

En prenant conscience de son rôle, des liens entre certaines affaires et des faits survenant, Holmes comprend qu'il va avoir l'opportunité de s'affranchir du rôle que Liam lui a assigné et prendre en main son destin pour ne plus être un pion dans les mains de Moriarty !



A moins que tout ça ne soit aussi programmé...

Dans cet opus 10, l'apparition d'un nouveau venu, le député Witteley qui marche sur les plates-bandes des Moriarty en prônant rien de moins que l'égalité sociale ou quasiment par le vote, permet d'agiter les forces en présence soit les Lords, le peuple, Milverton, le magnat de la presse et ignoble maître-chanteur et le prince du crime, Moriarty !

Les uns soutiennent ouvertement le député, les autres le conspuent, quelques-uns tentent de l'assassiner et enfin le marionnettiste Milverton exécute comme au billard la demande d'assistance de ses commanditaires et pairs.



Les auteurs ont su utilisé la nouvelle "Charles Auguste Milverton" de AC Doyle pour nous concocter un méchant de qualité.



Jusqu'où l'apparition du député et la pression qu'il reçoit va influer sur les plans de tous ?



Une belle fin qui renoue avec les intrigues du pouvoir, l'argent et les hommes de toutes les conditions qui veulent suivre leurs idéaux pour certains et ne pas perdre leurs privilèges pour d'autres.



A suivre

Voilà le tome 11 et pas de Moriarty dans ce manga "Moriarty" !

C'était le seul point étonnant à noter puisque ce tome est dédié au canon de AC Doyle avec "Le signe des 4" dans sa presque totalité avec aucune surprise, pas de révélation issues de l'envers du décor comme nous en avons été habitués... C'est vrai que le roman se suffit à lui-même mais pas de Moriarty quand même qui viendrait ajouter un complot, un fil de trame supplémentaire pour desservir ses plans d'amélioration de la condition sociale des britanniques de ce siècle... C'est agréable à lire, bien dessiné mais j'en attendais plus... Et on ne peut pas compter non plus sur l'humour dans ce tome ci... Un peu court...

Avec ce tome 12, l'un des quatre romans du canon de AC Doyle, "La marque des 4", prend fin et tous les personnages cruciaux se sont enfin démasqués les uns aux autres dans une mise en scène remarquable avec une fin inattendue qui s'émancipe du roman initial.

Milverton, dans son rôle de maître-chanteur est à la manœuvre et parvient à ses limites après une erreur de jugement funeste ! Seuls les plus brillants s'en sortent ! L'élément clé réside dans l'imprévisibilité d'Holmes... Liam est confronté également à ses limites... Le prochain tome risque d'être surprenant... La mise en place de la phase finale du plan originel de Liam va pouvoir commencer...

J'avais un peu peur de ce tome qui marchait dans les pas du précédent et copiait sans originalité le roman initial mais les auteurs ont remis leur grain de sel pour nous raconter l'envers du décor... Ce que j'aime par dessus tout dans cette série.

Un tome 5 sympa.

Alors que j'abordais ce tome avec dédain, le tome 4 ne m'avait vraiment pas convaincu, et bien j'ai été agréablement surprise.



La première partie, plutôt agréable, bien que "facile", a piqué ma curiosité.

Il s'agit d'un meurtre commis à bord d'un train, où se trouve Sherlock et William, et où ils prennent le pari d'être le premier à trouver le coupable dans un temps imparti.



La deuxième partie introduit un nouveau personnage, il s'agit d'une femme, Irène Adler, et cette partie fût très intéressante.

L'auteur nous met dans la confidence d'un secret, inconnu de Sherlock, et rend la lecture de "chapitre" tout a fait intéressant.

Irène est assez surprenante, elle semble avoir certaines capacités qui rend le scénario vraiment intéressant, accompagné de beaucoup d'humour ce qui rend la lecture assez agréable.

J'ai aimé aussi, la fin de ce deuxième chapitre, sans trop faire de révélations, Irène m'a agréablement surprise. La conclusion m'a plu et m'invite à découvrir la suite.



Le seul bémol pour moi, se serait le langage familier de Sherlock, compte tenu de l'époque, et également certains comportements, notamment où ils se met a genou par terre pour se confondre en excuses auprès d'Irène, alors que quelques minutes avant, son intention était toute autre. Bon, ce sont vraiment des détails, ça ne gâche pas non plus la lecture.



Finalement ce tome m'a réconcilié avec Moriarty et m'a donné envie de poursuivre la série, comme quoi parfois, il faut persévérer.

Pour tous les fans de l’univers de Sherlock Holmes, cette nouvelle version vous plongera de l’autre côté et vous donnera une nouvelle vision de cet univers où l’ennui ne sera pas permis. Je le recommande vivement, même pour ceux qui ne connaissent pas encore ce formidable monde ayant lieu dans la ville de Londres du XIXème siècle.

Alors, 1 étoile ou 5 étoiles ? Bonne question et compliqué d'y répondre.

Les puristes diront à juste titre que nous sommes loin voire très ou trop loin du Sherlock Holmes de Conan Doyle. Que la série Moriarty part en cacahuètes. Qu'elle aurait dû s'arrêter avec la "mort" des 2 héros. Ok. D'accord.

Sherlock Holmes est et restera aussi pour moi un personnage de Conan Doyle.

N'empêche que d'autres auteurs s'en sont inspirés avec plus ou moins de génie.

Avec les derniers Moriarty, série inspirée de Conan Doyle et non adaptée en manga, nous sommes effectivement dans le cas où c'est : "stop ou encore ?"

Et franchement, j'hésite.

Soit on se range du côté Conan Doyle et on dit stop parce que du point de vue de l'histoire ça n'a vraiment rien à voir et ça devient n'importe quoi.

Soit on fait abstraction des "originaux" et on se contente de la qualité du manga et là, on continue.

Faire la part des choses est peut-être la meilleure solution. Conan Doyle reste Conan Doyle. Avec Moriarty, on part sur autre chose. Il faut le savoir avant de se lancer dans cette série.

Ce tome aura eu au moins le mérite de m’aider à prendre une décision, celle d’arrêter la série et potentiellement de la revendre, car trop c’est trop, je n’aime vraiment pas la direction prise et j’ai l’impression de tomber de plus en plus dans de la caricature peu inspirée…



Nous avions découvert précédemment que Sherlock et William étaient en vie et qu’ils s’étaient reconstruit à New York avant de revenir à Londres. Les auteurs décident de revenir sur leurs années là-bas le temps d’une aventure où ils empruntent un personnage culte de la culture western : Billy the Kid.



Si vous aussi vous trouvez que ça sort de nulle part, que c’est foutraque et excessif, vous êtes en plein dans ce qu’ils proposent : une version mal digérée, bas de gamme et caricaturale du western et des thèmes qu’il y a derrière. Vous l’aurez compris, je n’ai pas du tout aimé. Je n’ai rien de crédible ici. On sent les auteurs qui se font leur petit kif et tentent d’y insérer des revendications sociétales maladroites avec en prime de belles incohérences, le tout avec des duos d’amis qui se déchirent. Bof bof.



Après si ça ne vous gêne pas de voir un mauvais western vu par des japonais, vous trouverez peut-être votre plaisir dans ces échanges de coups de feu avec un génie de la gâchette, avec cette lutte pour sauver les habitants d’un village perdu de l’ouest américain des griffes d’accapareurs de terre, le tout avec des amitiés portées aux nues et un William qui réalise son « amour » (?!) pour Sherlock et veut aller le sauver du piège dans lequel il est tombé. (Je veux pas dire mais il ne sert pas à grand-chose pour le moment le Sherlock…)



Pour moi, c’est le tome de trop. Je n’aimais déjà pas la direction que la série prenait, cela se confirme, ce n’est pas pour moi, ce n’est pas ce que j’attendais de la série. Du subversif du début, on tombe dans un gloubi-goulba convenu avec plein de fan service mais sans ligne claire ou ambition qui se dégage. A oublier.
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Ce 8ieme tome voit se terminer l'affaire Jack l'éventreur et l'arrestation d'un quidam innocent mise en scène par Scotland Yard. Afin de rétablir la vérité, William fait intervenir Bond et Holmes et en profite pour assainir les rangs du Yard et le noyauter davantage. Un ennemi dans l'ombre les épie.

La nouvelle des "trois étudiants" est revisitée pour faire apparaître un potentiel allié qui l'ignore...

Les protagonistes sont toujours aussi affûtés et voit confirmer l'arrivée du majordome dans la famille Moriarty. Les pions sont mis en place.

Une version XIXeme siècle de la scène des découvertes des gadgets de Bond à Q nous ramène dans les références cinématographiques. Ce décalage très amusant et très frais permet de relâcher la tension amenée avec l'affaire Jack l'éventreur et sa suite.



Vite la suite...

R. Takeuchi s'accapare les 59 romans et nouvelles de Sir A.C. Doyle, les détourne et nous les présentent à sa façon...

La réalité dépassant la fiction... En absurdité, en décadence, en horreur et en sadisme... Et met le doigt sur les clivages sociaux de la société de l'époque victorienne en Angleterre.



Un brillant mathématicien, William Moriarty, ourdit une révolution sociale à long terme avec l'aide de sa "famille" qu'il compose au gré de ses rencontres et de ses torts redressés.



R. Takeuchi revisite les références anglaises : Sherlock Holmes, la création des services secrets anglais, le MI6 et leur "permis de tuer", Miss Moneypenny, M., Q., James Bond, Jack l'éventreur...

Ceci n'est pas sans rappeler "La ligue des gentlemen extraordinaires" de A. Moore et K. O'Neill en BD ou sur le grand écran (S. Connery).



Trois histoires jalonnent ce neuvième tome en explorant les thèmes de l'assimilation de la famille "Moriarty" dans la société aristocratique et les obligations qui en découlent, l'apparition d'un nouvel ennemi issu d'une nouvelle de A.C. Doyle (encore une autre détournée pour notre plus grand plaisir...) et l'arrivée d'un nouveau venu qui marche sur les plates-bandes du "Prince du crime"... Et nous conduira au tome 10.



À partir du tome 8, R. Takeuchi met en place des personnages qui se hissent à la hauteur de l'intelligence de William mais pas forcément avec le même réseau hautement qualifié... Cela promet beaucoup de "remue-méninges"...



H. Miyoshi rend les décors très esthétiques et parvient à bien retranscrire chaque défaut ou/et qualité principal(e) sur les visages de ses héros, ce qui les rend différentiables mais c'est malgré tout, surtout grâce à leur coupe de cheveux qu'ils sont identifiables !

Donc, j'ajouterai un petit bémol sur l'androgynie, la jeunesse et la similarité des visages (en gros plans !) qui nuisent à la fluidité de la lecture.



Il reste que ce manga est très addictif surtout lorsqu'on connaît l'épopée de Sherlock Hommes qui jusqu'à présent fait tapisserie et on attend avec impatience son réveil et son émancipation des desseins de M !

J'ai été intrigué par la promesse de ce manga alors j'ai profité d'une offre pour l'acheter et me faire mon avis.



Quelle agréable surprise !



Étant une fan inconditionnelle des enquêtes policières un peu poussées sur le côté psychologique, c'est le manga idéal.



Je ne m'attendais à rien, j'ai été convaincue. À voir si la suite est à la hauteur du premier, mais pour le moment j'adore.



La seule chose est qu'il est difficile de s'y retrouver avec les personnages car ils se ressemblent énormément, j'ai dû revenir en arrière pour être sûr de qui est qui etc.. mais on s'y fait



Bref, je recommande 😊

C'est l'extase ce tome sous fond de far west / western, ça nous change, et quel régal. Le plus difficile étant d'être laissé en pleine action, la suite va impatiemment se faire attendre. De mon côté, je suis vraiment contente qu'on revienne sur leurs années de disparition. C'est aussi un plaisir de faire plus ample connaissance avec Billy The Kid, et de le voir interagir avec nos deux compères. Sherly et Billy vont faire équipe pour une mission. Le cas mis en avant est également assez connu, ce sont des gens qui perdent leur terre, sont à peine payés, menacés sous couvert de gangster, de progrès, de mesquinerie. Et la loi ne fait plus foi.

La nouvelle mission qui s'annonce Billy veut absolument en être. Il va nous dévoiler son passé pour poser ses arguments, un moment aussi intéressant que touchant. Sherly ne fera pas sa mission avec

Liam qui doit encore se remettre. Mais nous le verrons aussi vaquer à ses affaire, et faire une petite connaissance sympathique.

Sherly va donc partir avec Billy, qui a des surnoms pour eux deux, c'est une équipe qui nous fait rire par moment, ils sont attachant, doués, et nous avons hâte de les voir à l'action ensemble. Notre cher Sherly n'oublie pas de faire fonctionner son cerveau et établit une stratégie.

Nous sommes totalement pris du début à la fin du tome, cela nous rappelle des westerns que nous avons pu voir. Bien entendu, nous avons enfin de voir la justice enfin triomphée et hâte de voir ce que va donner l'affrontement. Sherlock Holmes prépare bien tout le monde, tout en pensant à exposer les dangers.

A la fin, nous avons des bonus très sympa : fiches des personnages et une version chibi.