Samuel Archibald

Un orage frappe, un groupe de cinq se réfugie dans le bar Le Cristal à Saint-André-de-l'Épouvante. À leur tour, chacun raconte une histoire à faire dresser les cheveux sur la tête.

À vrai dire, chacune des histoires/ légendes méritent l'attention des lectrices et des lecteurs. Par contre, le fil conducteur qui les relit me semble faible, voire artificiel. La trame de fond est décousue, tenue en sourdine pendant que les conteur.e.s font aller leur langue, et soudainement, elle réapparaît comme un ancien fantôme.

Première pièce de théâtre pour Samuel Archibald.

Une histoire sans suspense et sans intérêt. Le seul point positif du livre est qu'il est court et qu'on le finit rapidement!

Ce livre, composé de différentes histoires d'intensité variée, est un laboratoire d'écriture dont la lecture n'en demeure pas moins essentielle.

Je ne sais pas trop quoi pensé de ce court roman, de cette nouvelle, écrite par Samuel Archibald. Professeur universitaire, il enseigne les romans policier et polars à ses étudiants. Je m'attendait vraiment à une découverte extraordinaire mais ce ne fut pas le cas. J'ai aimée parce que j'ai vécue au Saguenay pendant longtemps et j'y ai reconnu les endroits où j'avais plusieurs bons souvenirs. Mais en dehors des souvenirs, l'histoire ne m'a pas du tout intéressée. Mais il faut aussi dire que, en pleine lecture de deux autres romans, je n'ai pas portée toute mon attention à ce roman. Mais le genre m'a donner envie de lire Arvida, qui se déroule aussi dans cette région que j'ai adorée. 3 étoiles.

J'ai lu ce court essai sur la classe moyenne du Québec avec beaucoup de plaisir.

Excellent! A lire! Je le recommande à tous au Québec!

J'ai lu ce premier roman de Samuel Archibald dans le cadre de l'opération Masse Critique de la rentrée littéraire. J'ai choisi ce livre pour différentes raison, la première j'avais vu l'auteur au Festival America de Vincenne en septembre 2012, son livre m'avait alors retenu mon attention. Puis, il se trouve qu'adolescente lors d'un voyage au Québec, je suis allée du côté du lac St Jean, est ce que je suis peut-être passée à Arvida je ne crois pas dans mon lointain souvenir.

Une fois que j'ai eux en main l'ouvrage d'Archibald, j'ai commencé à lire ses histoires de sa ville Arvida, de ses souvenirs et je dois reconnaître que je n'ai pas trop accroché au style et à l'univers de l'écrivain. Au final je ne suis pas arrivée à entrer dans les histoires de Samuel Archibald qui est pourtant il ne faut pas le nier un véritable conteur.
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J'ai été attirée par ce livre par le titre exotique et le fait que l'auteur soit canadien. J'ai beaucoup aimé l'écriture, les tournures de phrases particulières. Les nouvelles sont très courtes, presque trop. Et comme dans tous les recueils, elles sont inégales. Mais l'ensemble est cohérent. On découvre l'univers de l' auteur, qui m'était totalement inconnu ; on se laisse porter dans ce Canada mi-rural mi-urbain. Un bon moment de lecture.

La personne qui a inventé Mass Critique est un génie. Babelio : tu as ma reconnaissance éternelle (je ne vous ferai pas le coup des petits extraterrestres verts de Toy Story, même si j'en ai eu très très envie). En plus d'un concept bougrement original, ce système est digne de confiance et des plus agréables. Merci !



Pour ce qui est du livre, j'ai eu beaucoup de mal à m'y mettre (des grosses gouttes de sueur me tombaient devant les yeux en voyant le chrono de Mass Critique). Le fait est que ce bouquin est divisé en toutes sortes de mini-histoires, qui ont un rapport de près où de loin avec la ville d'Arvida. Et chacune de ces fictions auraient à mon sens mérité un livre à part entière (pour ce point on a une explication dans la dernière histoire, mais tout de même !). A chaque fois, j'ai eu l'eau à la bouche pour que boum patatra, l'histoire se termine. Le fil conducteur, c'est juste l'impression qu'on est en train d'écouter le même grand père qui raconte ses histoires au coin du feu ("Père castor, raconte-nous une histoire… Même deux histoires !" J'vais pas faire tout le générique en entier non plus). On a l'impression de zapper et de capter quelques minutes de chaque programme. On entend presque toujours parler de ce "Jim", un peu comme si vous ne tombiez ce soir à la télé que sur des films avec Brad Pitt (on va pas choisir de la merde non plus). Je m'attendais à une succession de petites histoires mais je pensais qu'Ariane serait plus claire. Et parfois le rapport avec la ville est vraiment dur à saisir.



Et puis surprise, après quelques histoirounettes bien gentilles, on embraye sur une plus trashy et la suivante l'est encore plus… Mon intérêt est de plus en plus piqué (et c'est là que je me dis que j'ai un sérieux grain parce que je préfère ces histoires-là). Ceci étant dit, j'aime le gore mais je pense que je préfère le voir à la télé plutôt que de le lire. Voir des explosions de ketchup, j'adore. Mais lire des détails de mutilation… C'est autrement plus perturbant !



Attachant mais je pense que je l'oublierai vite.

Le sel de la terre trône déjà dans les palmarès, ce qui en dit long sur la popularité de l'auteur d'Arvida, cet étonnant recueil de nouvelles inspiré de sa ville natale, de même que sur la popularité de son sujet: la classe moyenne
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Arvida est un recueil de nouvelles d'un jeune auteur québécois prometteur. Je n'aime pas forcément lire des recueils de nouvelles, le problème étant qu'on est toujours déçu par l'une ou l'autre de celles-ci. Arvida n'échappe pas à la règle, certaines nouvelles - qui tournent toutes ou presque autour de la ville d'Arvida, située au Saguenay - ne sont pas à la hauteur de l'ambition de l'auteur. Mais j'ai vraiment aimé la plupart d'entre elles, certaines sont sombres et entourées de mystères, d'autres brutales et teintées d'humour noir, et certaines encore sont contées avec le langage des habitants du Saguenay et écrites avec la virtuosité de grands auteurs nord-américains. Une très belle découverte en tout cas que l'univers de Samuel Archibald.

J'ai bien aimé ce premier livre de Samuel Archibald, originaire du Saguenay j'aime bien retrouver les lieux de ma région.

Est-ce le niveau d'attentes? J'ai été déçu par ce recueil, inégal, à l'écriture pleine d'aspérités. Je continue de me demander pourquoi on a autant vanté Arvida...