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Citations de Samuelle Barbier (120)


Vous m'avez dit que nous ne nous limitons pas à la somme de nos erreurs et j'aime cette idée. Je suis certain, par contre, que chaque coup que l'on reçoit laisse une trace, indélébile et invisible, sur nous. Les cicatrices sont la preuve que nous sommes plus forts que ce qui a essayé de nous blesser.
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Chacun ses barreaux, même s'ils ne sont pas faits de la même manière . Mais moi, je peux m'en affranchir. Moi, je peux voler.
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Ne vois pas le verre vide. Vois les millions de possibilités de le remplir
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Se pourrait-il qu’à force de trop chercher le bonheur à l’extérieur de nous, on en oublie que c’est la manière dont on le cultive en nous qui importe vraiment ?
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Voici un joli roman épistolaire plein d'amour et qui met en scène un jeune détenu et une jeune agoraphobe.
Alors oui, l'histoire d'amour semble un peu facile et le tout a un goût de chamallow. Mais qu'on aime ça! On en redemande même.
Un livre pour tous les passionnés d'histoires d'amour donc.
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Belle découverte, je l’ai lu d’une traite
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On ne refait pas le passé, Clara. On construit le futur, c'est déjà suffisamment galère. Et puis, justement, Constance est morte. Ça devrait te faire prendre conscience que la vie est courte, et parfois moche, et qu'être deux pour faire face à ce merdier, c'est mieux.
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J'ai fait de mon mieux, toute ma vie, pour me conformer à ce qu'on attendait de moi. Sans jamais me demander si c'était bien ce que je voulais, moi aussi. J'ai coché des cases, rempli des listes, suivi la voie tracée, la voie royale, fermé les yeux avec obstination sur les chemins de traverse qui se sont présentés, bien trop peureuse, bien trop faible pour m'y engager, parce que je sentais que c'était au fond un cheminement que je devais accomplir seule. Et seule, je ne l'ai jamais été.
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Je donne le change, peut-être pas encore parfaitement, mais assez bien.
Tous se demandent quand la vraie moi reviendra, pour que leur monde recommence enfin à tourner rond. Ils ne comprennent pas que le mien a cessé de tourner. Pour la première fois, j'ai échoué. Cette partie-là, on ne peut pas la recommencer. Échec et mat, Clara. Ta reine est morte.
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On dit que la douleur s'estompe avec le temps. C'est faux. On apprend à vivre avec, c'est tout. Tu vas me traiter de folle, mais cette douleur, je l'aime, moi. Je l'aime tellement que je ne pourrais pas vivre sans elle, puisque je ne veux pas vivre sans toi. Ton absence, c'est tout ce qui me reste de toi.
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Mais vingt-huit ans, ce n'est pas un âge pour mourir. C'est un âge pour danser, pour aimer, pour vivre, pour se fabriquer des souvenirs qui nous tiendront bien chaud la nuit quand on aura quatre-vingts ans. C'est trop jeune pour forcer sa grande sœur a choisir cette saloperie de cercueil en bois, pour que le type des pompes funèbres lui débite toutes les options possibles comme un putain de concessionnaire auto. C'est trop jeune pour reposer dans une saloperie de cercueil en bois d'if, avec des poignées chromées et un linceul ivoire.
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Je ressens soudain le besoin que le temps extérieur reflète mon tourment intérieur. Vas-y, Zeus, lâche tes éclairs déclenche une tempête, une tornade, un tsunami. Mais rien ne se passe. Il n'y a pas le plus petit souffle de vent. Aujourd, j'ai perdu ma sœur, et l'univers s'en fiche.
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Je veux vivre enfin ! Pas seulement survivre.(P133)
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Ça se passe dans ma tête, mais là douleur n'en est pas moins présente
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Le père n'était pas indiqué, et leur mère était morte. Je me suis dit que c'était mieux ainsi. Aucune mère ne devrait avoir à enterrer son enfant
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On dit que la douleur s’atténue avec le temps c’est faux on apprend à vivre avec c’est tout. (P126)
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Je commence à comprendre qu’en rendant aux autres ce qu’ils ont perdu, je me reconstruis. Comme quoi, une gifle mène parfois au bonheur.
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Connaître l’amour d’une vie est-il devenu le privilège d’une génération d’élus ? Ceux qui avaient compris qu’il vaut mieux réparer que remplacer, que le premier choix est souvent le bon, que le premier amour est le seul qui compte ? Se pourrait-il qu’à force de trop chercher le bonheur à l’extérieur de nous, on en oublie que c’est la manière dont on le cultive en nous qui importe vraiment ?
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Se servir de l'orthographe de "procrastination" pour ne rien faire, ça confine au génie.
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< Ce que nous étions l'un pour l' autre, Nous le sommes toujours. Donne-moi le nom que tu m'as toujours donné. Parle-moi comme tu l'as toujours fait. N'emploie pas un ton différent. Ne prends pas un air solennel ou triste. Continue à rire de ce qui nous faisait rire ensemble. Prie, souris, pense à moi. Que mon nom soit prononcé à la maison Comme il l'a toujours été, sans emphase d'aucune sorte, Sans une trace d'ombre. > Henry Scott Holland
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