Citations de Sandra Brown (158)
Vous êtes la femme la plus désirable que j’aie jamais connue. Et je ne parle pas simplement d’un désir d’étreinte physique, de sexe si vous préférez ! Dans tous les domaines, je vous trouve fascinante. Je vous veux, j’ai besoin de vous de toutes les fibres de mon être. Votre sourire, votre douceur, toute votre façon de vous comporter…
Tu ne peux pas menacer un homme qui n'a absolument rien à perdre.
Parfois, les psychopathes traitaient bien leurs otages, avec tendresse même, avant de les faire passer de vie à trépas de la manière la plus violente qui soit.
Elle était une reine de beauté et une héritière. Elle aurait pu avoir n'importe quel homme qu'elle désirait.
Il faut que tu t'arranges pour avoir l'air crédible, si tu veux gagner le respect et la confiance des ouvriers.
C'est pas dans ces écoles de mauviettes qu'on apprend à vivre et à se battre.t
Elle exsudait une beauté bien plus profonde que la pureté de son teint, bien plus rare que ses yeux bleus extraordinaires, une beauté qui ne correspondait pas aux critères de la société contemporaine, qui n'en possédait pas la froide sophistication. Au contraire, elle dégageait une chaleur et une simplicité qui vous faisaient sentir que vous étiez aimé et accepté malgré vos défauts.
La rumeur seule suffirait à détruire ta réputation de bon juif, et les dommages seraient irréparables.
L'écriture est un exercice difficile. Ça tient presque du masochisme. Alors si le cœur n'y est pas, toute tentative reste vouée à l'échec.
Le temps avait beau être calme, il savait qu'au loin, quelque part, la tempête rassemblait ses forces et se chargeait d'humidité, aspirant l'eau de la mer avant de la déverser sur terre.
C'était si bon d'avoir un homme auprès de soi !
Si vous faites un sondage auprès des meurtriers qui croupissent en prison, quatre-vingt-dix-neuf pour cent d'entre eux vous soutiendront qu'ils ont agi en état de légitime défense. Leur version ne nous suffit pas.
L'obsession constitue un ennemi redoutable. Dès qu'elle s'est emparée d'un individu, elle régit sa vie, motive ses décisions, allant parfois jusqu'à le mener à la catastrophe.
Elle méprisait toute idée de relation sentimentale, arguant que les efforts exigés pour qu'elle dure n'étaient jamais récompensés et que si, par miracle, l'alchimie avait opéré, une liaison se serait révélée incompatible avec son emploi.
La passion menant à la possessivité, à la jalousie, elle-même engendrant des désordres qui, parfois, conduisaient au meurtre.
Les femmes finissaient toujours par vouloir entretenir des relations sexuelles avec leur supérieur. Or le truand avait pour principe de ne pas mêler idylles et affaires. Les femmes étaient en outre plus sensibles à la flatterie. Une poignée de compliments suffisait souvent aux flics ou aux Fédéraux pour soutirer des informations à une demoiselle.
Un homme n'atteint pas un tel but à force de douceur et de gentillesse. Il lui faut au contraire se montrer plus rude, plus malin, plus cruel que les autres.
Lorsqu'on constitue un jury, la défense et le ministère public sont autorisés à éliminer tout juré susceptible, selon eux, d'influencer le verdict dans un sens ou dans l'autre. En l'occurrence, M. Adams estime qu'un juré dont le fils appartient aux forces de l'ordre risque de nourrir un a priori négatif à l'encontre de tous les prévenus, et plus encore d'un prévenu accusé, comme c'est le cas aujourd'hui, d'un crime abominable.
Quelle importance! Le sacerdoce de Frère Gabriel ne connaissait pas de répit. Il était infatigable. Les lignes téléphoniques du Temple fonctionnait vingt-quatre sur vingt-quatre, sept jours sur sept. En outre, Frère Gabriel avait exigé d'être informé immédiatement des nouvelles. Bonnes ou mauvaises.
— Comme d'habitude, Parker force le trait, répondit le vieil homme. Mais je dois admettre qu'il y a là une part de vérité. Si vous grattez un peu, vous découvrirez, chez toutes les familles implantées depuis longtemps dans le Sud, au moins un ecclésiastique, un fou, un hors-la-loi et assez d'alcool pour mettre à flot une armada.