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Citations de Sarah Barukh (159)


De toute façon, où qu'on aille, les hommes sont toujours aussi violents, stupides et égocentriques. Ils ne se contentent pas d'avoir raison. Ils veulent imposer aux autres le fruit de leurs certitudes.
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XXX était la personne la plus cultivée qu'elle ait connue. Avec lui, les choses compliquées devenaient simples.
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- Mon lapin, tu sais, la plupart des gens sont des moutons. Il y a un chef, les autres ne font que suivre. Ignore-les.
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P199
Alice ne savait pas quoi répondre. Elle avait toujours aimé lire, il n'avait jamais songé à faire de choix selon son âge. Elle se laisser guider par un titre, une couverture, les premières lignes ... Parfois, elle sentait que quelque chose lui échappait , elle se disait qu'elle y reviendrait plus tard ce qu'elle aimait dans ces histoires, c'était quel etaoent évidente, logique et l'évidence la calmait. Il y avait un début un milieu et une fin.
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Une photo me touchait plus que les autres. Elle montrait des lycéens qui fumaient aux Buttes-Chaumont. C'était plus de vingt ans après nous, pourtant ils étaient nos copies conformes. Même fausse assurance, même envie de défier le monde et même détresse face à l'étendue de la montagne à gravir pour y parvenir.
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J'en avais assez d'être un objet. Un corps pour les médecins, une présence pour Solal, un déversoir pour les clients de la plage, un vague souvenir pour mon père, une bouée pour Marie....ça suffisait. Je voulais qu'on me laisse respirer un peu. Vivre en paix et en silence, loin de tous, loin de leurs attentes ou de leur indifférence.
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Quelle que soit l’époque , l’adolescence charriait la même violence . Un âge ingrat qui traversait les générations en laissant des traces qu’une vie entière ne suffisait pas toujours à effacer
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Comme elle devait être belle sa mère ! Forte, élégante, avait dit Jeanne. Quand elle reviendrait, puisqu'elle l'avait promis, rien ne serait plus merveilleux que leur vie ensemble. Elles s'aimeraient, visiteraient Paris, achèteraient de belles robes. Sa mère lui apprendrait tant de choses, elle l'inscrirait dans les meilleures écoles de la capitale, où tous les grands écrivains avaient étudié avant elle, et ensemble, elles se construiraient un avenir heureux. Oui, un jour, sa vie serait lumineuse. Sa présence à la ferme n'était qu'un passage, pour être en sécurité, en attendant que les belles promesses se réalisent, alors les mots de Claudine ne l'atteignaient plus autant.
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Alice passait des heures sur le pont. Le vent giflait son visage, s'infiltrait dans ses cheveux. Elle était si proche de l'eau qu'elle pouvait en sentir quelques gouttes, lorsque les vagues étaient hautes. C'était dans le vacarme de la foule et des hélices qu'elle parvenait à oublier...
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- Je ne partirai pas sans toi.
Il la serra dans ses bras. Ils restèrent ainsi un long moment, plus rien d'autre ne semblait compter. Vadim caressait ses cheveux. Il lui disait qu'elle était une personne magnifique, qu'elle deviendrait une femme extraordinaire. Qu'elle était la seule à ne pas voir en lui qu'un aveugle.
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- Si ta mère est morte ou qu'elle meurt, tu ressentiras plein de choses. Tu te diras que tu aurais pu faire plus, mais ce n'est pas vrai. Tu as fait tout ce que tu pouvais. Retiens bien ça. Tu auras mal à chaque fois que tu penseras à elle. Et puis, ça fera de moins en moins mal. Un jour, tu te souviendras d'elle et ça ira quand même.
...
- Comment on vit quand ceux qu'on aime disparaissent ? Moi je ne pourrai pas.
- Tu feras avec, comme tout le monde. Tant que la musique est là, on continue à danser. p.362
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- Tu crois que ma mère m'aime ? ...
- Elle t'aime sûrement comme elle peut... Les gens aiment avec ce qu'ils sont. p.361
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Si tu veux comprendre l'histoire, pose-toi trois questions : qui déteste qui ? Qui couche avec qui ? Où est l'argent ? p.265
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Elle avait toujours aimé lire, et n'avait jamais songé à faire de choix selon son âge. Elle se laissait guider par un titre, une couverture, les premières lignes... Parfois, elle sentait que quelque chose lui échappait, elle se disait qu'elle y reviendrait plus tard. Ce qu'elle aimait dans ces histoires, c'était qu'elles étaient évidentes, logiques, et l'évidence la calmait. Il y avait un début, un milieu, une fin. Les méchants étaient souvent punis, par les autres ou par eux-mêmes, ceux qui péchaient finissaient par le payer, les bonnes personnes étaient tôt ou tard récompensées. Il y avait un sens, et de ce sens se dégageait l'espoir. p.193 et 194
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Quand les journées sont courtes, ça les rend plus intenses. Comme si l'obscurité et la lumière fragile aidaient les gens à se rapprocher. p.47
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- Mais enfin, tu n'es pas un peu jeune? Balzac, Flaubert, Maupassant... c'est quand même pour les grands. Tu devrais lire des choses de ton âge !
Alice ne savait pas quoi répondre. Elle avait toujours aimé lire, et n'avait jamais songé à faire de choix selon son âge. Elle se laissait guider par un titre, une couverture, les premières lignes... Parfois, elle sentait que quelque chose lui échappait, elle se disait qu'elle y reviendrait plus tard. Ce qu'elle aimait dans ses histoires, c'était qu'elles étaient évidentes, logiques, et l'évidence la calmait. Il y avait un début, un milieu et une fin. Les méchants étaient souvent punis, par les autres ou par eux-mêmes, ceux qui péchaient finissaient par le payer, les bonnes personnes étaient tôt ou tard récompensées. Il y avait un sens, et de ce sens se dégageait l'espoir.
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"_ T'es pas la seule à vouloir comprendre. Personne sait comment ça marche, et ça rend les gens dingues. Y en a même qui y ont passé leur vie. Regarde Marx. Tu connais Marx ? Le communisme ?
_ Je crois.
_ Il voulait créer un système qui aurait rendu le monde logique et juste. La théorie était belle, mais il avait oublié qu'en pratique, rien ne se passe jamais comme on veut. Tu piges ?"
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Ses dents claquaient, ses lèvres tremblaient. Jeanne la secoua.
_ "Que se passe-t-il ?
Alice souffla :
_ L'homme qui n'était pas là. Je crois qu'il est mort."
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- Tu es un meilleur médecin que je ne pensais.
- Pourquoi ? s'étonna Laurent.
- Parce que tu soignes enfin avec ta tête, ton coeur et tes tripes.
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Les cahiers ne parlaient pas, mais ils savaient écouter.
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Elle a grandi au Japon et en garde la nostalgie (heureuse!) . Elle publie un roman à chaque rentrée littéraire. Pourtant, elle en écrit quatre par an.

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