Citations de Sarah McCoy (532)
J'ai dû me séparer du majordome... il avait la main un peu trop lourde sur mon meilleur brandy. Un type toujours très jovial, mais maintenant nous savons pourquoi.
Elle avait accumulé trop de spectres au cours de son existence, elle en avait assez de la mort... Place à la vie!
Si seulement les gens pouvaient voyager comme vos croquis, avec un simple timbre. Peut-être la technologie nous offrira-t-elle un jour cette possibilité. Jusque-là, nous devrons nous contenter du train.
La connaissance et la modernité rendent possible l'impossible.
J'ai vu un reportage de la chaîne animalière sur une meute de loups qui semblaient bien plus calmes que cette famille.
J'ai vu un reportage de la chaîne animalière sur une meute de loups qui semblaient bien plus calmes que cette famille.
Une petite touche d'amour améliore toujours la recette.
Les livres ne supportent pas le bruit, ça leur donne la migraine.
Sarah se demanda à quel âge on perdait cette capacité à ignorer les souvenirs et le désir, le passé et le futur. Cette capacité à vivre pleinement le moment présent.
- J'ai toujours pensé que les perce-neige étaient des fleurs étranges. Ils fleurissent en plein coeur de l'hiver.
- Comme un spectre, ajouta Annie.
- Comme un miracle, corrigea leur mère.
Quand un coeur s'arrête de battre, la seule couleur qui demeure, c'est le rouge du sang. La chair est égale. Une personne est bonne ou mauvaise par son caractère seulement.
Les gens étaient capables de bien plus d'amour et de bienveillance qu'ils ne l'imaginaient. La parole collective ne laissait pas toujours transparaître la bonté individuelle.
La mort de son père ne marquait pas la fin de sa mission, mais le début d'une oeuvre plus importante.
Pas étonnant qu'il ait fallu deux jours aux déménageurs pour tout sortir de leur appartement de deux pièces: ils étaient trop occupés à dessiner sur les cartons!
Eh ben... Si ça, c'est de la nourriture pour chien, je ne sais pas comment je devrais appeler ce que je mangeais à Philadelphie.
Il l'entoura de ses bras musclés, et elle eut l'impression d'être une amande dans un casse-noix.
L'être humain. Nous ne sommes que des sauvages.
C'est incroyable de constater comme personne n'accepte de sacrifier son temps pour un homme bien qui fait un travail de valeur, et comme tous sont prêts à accourir pour le voir souffrir.
La nature produisait plus que des apparences. C'était une source de pigments inépuisable, gratuite pour tous, mais avant tout appréciée par ceux qui savaient lire les nuances et les formes. Une vague de myrtille: un cours d'eau vers la liberté. Des coeurs roses: des gens qui s'aiment. Du jaune: la sécurité d'un refuge. Du noir: un danger à proximité. Du vert: la vie.
Les enfants étaient créés pour porter l'héritage de leurs aïeux. Son père le lui avait enseigné. C'était dans la nature des choses: les vignes montrent aux graines commet germer; les oisillons apprennent de leurs mères à s'envoler; les poissons nagent contre le courant pour pondre. Dieu les bénit en leur disant: "Croissez et multipliez! Remplissez la terre..." La Genèse. Le livre préféré de son père, la fin de l'existence solitaire de dieu, le début de la Création. Elle comprenait désormais. Le jour n'avait de sens qu'avec la promesse d'un dénouement. La naissance et la mort, le début et la fin. Ils ne faisaient qu'un dans la promesse de l'univers.
Mais qui se souviendrait d'elle demain?