Sébastien Latour

De cette série, je n'ai lu que le présent tome (Rome, encore et toujours!...) dans lequel le bras de l'Histoire est quelque peu tordu dans seulement deux ou trois cases. On ne va donc pas bouder son plaisir!

L'état mental de César sur la fin (pour les puristes, après sa victoire de Munda en vérité) trouve ici dans l'imagination des créateurs de la bande dessinée une explication plausible, par Esculape!

L histoire des duellistes n est pas originale, j ai bien aimé le passage en revue des grandes campagnes napoléonienne, mais cete bd ne m a pas captivé. J ai trouvé le dessin quelconque, sans attrait.

Bon ça m’a rappelé un peu Neverwhere, mais juste dans l’idée d’un second londres un peu caché et magique. Dans cette BD se mélange mythologie et monde réel est c’est très sympa. Rythmé et drôle. Un dessin très sympa bien rythmé aussi.

2019. Un vaisseau alien stationne dans le ciel au-dessus de la ville de Hon-Kong. Dans le même temps, d’étranges anneaux sont apparus dans toutes les grandes villes de la planète et permettent la téléportation entre chacun. Afin de contrôler des flux démultipliés par ses moyens de transport, des unités spéciales sont mises en place pour contrôler les anneaux. Spyder, un de ces agents, part en intervention sur une intrusion sur le portail Paris-HongKong. Il tombe sur un agent de la DGSE chargé de veiller à la sécurité du cœur du président contre les attaques des services américains et britanniques …



Une histoire assez complexe et longue à mettre en place. Utiliser un premier tome pour mettre en place un univers SF aussi complet tout en faisant un récit d’aventure est assez risqué, et 48 pages c’est court.

On a donc l’impression que le récit file à tout allure sans repos ni explication.

Si on ajoute un dessin assez imparfait, mêlant influences comics et manga assez maladroitement, on a un album assez dur à lire.

Comme son titre l’indique, ce second volume s’intéresse à la société secrète qu’on créé les créatures féériques. Celle-ci se ...
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Wisher-



Ce premier tome nous dépeint un décors assez intéressant, sombre et mystérieux.

Teinté de fantaisie, on se retrouve plongé dans un monde dans lequel il n'y a pas que des humains...

Nigel, le personnage principal, seretrojve confronté à une nouvelle réalité... mais je n'en dirais pas plus.



Les dessins sont assez esthétiques et rendent la lecture intéressante. De plus, l'histoire est tout à fait prenante.



Une lecture donc agréable et qui donne envie de lire la suite...

Ce quatrième tome marque la fin du premier cycle des aventures de Nigel. La lutte entre le MI 10 de Sir George Cross et les créatures fantastiques de Merlin bat son plein, poussant Nigel à se frotter à Sir Cross, au cœur même du QG des agents secrets aux chapeaux melons.



C’est avec plaisir que l’on retrouve ce cadre londonien remis au goût du jour, où Sébastien Latour développe un univers d’Urban Fantasy accrocheur où contes et légendes se retrouvent intégrés dans une société contemporaine. Si cette intrigue qui repose sur le combat millénaire qui oppose des créatures magiques, au bord de l’éradication, aux agents de Sir Cross, privilégie à nouveau l’action, cette fin de cycle s’avère assez décevante. De nombreuses questions demeurent en suspend, abandonnant le lecteur sur sa faim.



A l’instar du scénario, le dessin de l'italien Giulio de Vita ("James Healer") combine admirablement bien le fantastique et le réel, avec d'un côté des fées, gobelins, trolls, djinns et vampires qui évoluent dans un environnement souterrain enchanteur et de l'autre, des policiers et services secrets qui traquent inlassablement ces créatures féeriques dans un décor d'urban fantasy très réussi. Avec un changement de coloriste à chaque tome, cette série semble malheureusement avoir beaucoup plus de mal à trouver le bon équilibre au niveau des couleurs.



Une revisite intéressante du monde de la féérie au sein d’un contexte urbain contemporain, mais une fin de cycle fort décevante.

C’est dans un cadre londonien remis au goût du jour que Sébastien Latour développe un univers accrocheur où contes et légendes se retrouvent intégrés dans une société contemporaine. L’arrivée du Minotaure ajoute d’ailleurs une nouvelle pierre à ce labyrinthe féérique qui invite le lecteur à découvrir la richesse des sous-sols de Londres. Si le personnage principal se trouvait jusqu’à présent à cheval entre deux mondes, le jeune homme inventif qui passait son temps à réaliser les souhaits les plus divers de ses clients contre paiement semble progressivement s’effacer au profit de son locataire ancestral. L’auteur choisit cependant de ne survoler que très (voire trop) brièvement le passé du génie qui sommeille dans son héros et qui s’affiche de plus en plus comme le sauveur potentiel du peuple féérique. Privilégiant l’action, l’auteur développe une intrigue assez simpliste qui repose sur le combat millénaire qui oppose des créatures magiques, au bord de l’éradication, aux agents de Sir Cross. Ponctué d’un cliff-hanger qui donne tout son sens au titre de l’album, ce troisième volet propose cependant un récit parfaitement maîtrisé et riche en rebondissements.



A l’instar du scénario, le dessin du jeune italien de Giulio de Vita ("James Healer") combine admirablement bien le réel et le fantastique, avec d'un côté des fées, gobelins, trolls, djinns et vampires qui évoluent dans un environnement souterrain enchanteur et de l'autre, des policiers et services secrets qui traquent inlassablement ces créatures féeriques dans un décor d'urban fantasy très réussi. Avec un changement de coloriste à chaque tome et un premier volet déjà retouché lors de son récent relookage, cette série semble malheureusement avoir beaucoup de mal à trouver le bon équilibre au niveau des couleurs.



Sans crier au génie, "Wisher" a néanmoins tout pour combler les souhaits de nombreux bédéphiles.

Commençons d'abord par un coup de gueule envers l'éditeur: Relooker une série, alors que celle-ci ne compte qu'un seul tome et inaugurait encore la collection « Portail » il y a moins de deux ans, est une preuve d'incompétence qui a tendance à sérieusement m'énerver ! Voilà, c’est fait !



Parlons ensuite de ce second tome qui replonge immédiatement le lecteur dans un cadre londonien remis au goût du jour. Un univers accrocheur où contes et légendes se retrouvent dans un univers contemporain. Un deuxième volet riche en révélations et qui va placer le personnage principal, Nigel Grant, à cheval entre deux mondes. D'un côté, il y a ce jeune homme inventif qui réalise les souhaits les plus divers de ses clients contre paiement et de l'autre, le sauveur potentiel du peuple féérique. Cet album permet ainsi de découvrir plus amplement le sanctuaire des êtres fantastiques dans les sous-sols de Londres, ainsi que le passé du Djinn qui sommeille en Nigel.



Si l'intrigue, reposant sur un combat ancestral qui oppose les créatures féeriques (au bord de l’éradication) aux humains, est plutôt simpliste, le mélange de fantasy et de contemporain s'avère efficace. Le dessin du jeune italien de Giulio de Vita ("James Healer") parvient d'ailleurs admirablement bien à combiner le réel et le fantastique, avec d'un côté des fées, gobelins, trolls, djinns et vampires qui évoluent dans un environnement souterrain enchanteur et de l'autre, des policiers et services secrets qui traquent inlassablement ces créatures féeriques dans ce décor « d'urban fantasy ». A noter que la colorisation est meilleure que lors du tome précédent, marqué par une colorisation trop sombre sur certaines cases, rendant leur lecture difficile. A noter également que la réédition du premier tome n'est pas seulement marquée par une nouvelle couverture, mais également par une retouche au niveau des dessins.



Une histoire dynamique, un mélange de réel et de fantastique réussi et un éditeur qui chipote ...

Napoléon amène son armée dans les quatre coins de la terre (même jusqu'en Russie). Et pour cela il possède une armée puissante et dévouée à ses conquêtes.

On suit deux grognards qui sont en rivalité pour être reconnu par l'empereur comme des bons soldats. Ils enchaînent les distinctions....

Pour faire court, c'est mauvais.

Vraiment mauvais.

J'ai acheté l'intégrale en destockage à 3 EUR. Je ne m'attendais à rien de particulier. Et même ainsi j'ai été déçu.

Je passerai déjà sur le dessin de Griffo, qui n'a jamais été un modèle de dynamisme. Il conserve son caractère figé. Les personnages masculins ont tous le visage taillé à la serpe. Les femmes se ressemblent toutes, mise à part la coupe de cheveux. On sent par contre l'influence grandissante de Marini. Griffo semble s'inspirer plus que lourdement du dessinateur italien.

Côté scénario, il n'y a pas grand chose qui tient la route. Les prémisses sont très mal exposés. L'intrigue semble toujours danser d'un pied sur l'autre, sans se décider s'il s'agit d'une rumba, une valse ou du square dance. Il y est fait mention d'une tempête onirique qui s'est abattue sur New York, coïncidant avec l'arrivée massive de migrants au cours du XIXème siècle. La conséquence de cette tempête onirique est que certaines personnes ont acquis la faculté (inconsciente) de leurs rêves matérialiser. La brigade ELLIS est chargée de gérer toutes les situations qui peuvent en découler, depuis le cas de cet homme qui a rêvé posséder un ticket gagnant à la loterie jusqu'à ce projectionniste qui s'est assoupi pendant le service, causant les protagonistes du western qu'il était en train de projeter de littéralement sortir de l'écran. Et certains rêves échappent à leur créateur, semant le chaos.

Personnages mal campés, facilités en pagaille, étonnant cocktail du pire de Dufaux (avec sans le cul mais une sérieuse couche de confusion en plus) et du pire de Yves H (références mal digérées, vague piste d'une idée potable expédiée à la hussarde...), il y juste le tome 2 qui est relativement inoffensif, se contentant d'aligner les ingrédients qui vont se mélanger dans une bouillasse infâme pour le troisième tome. Ce dernier épisode proposera par contre un beau moment de vulgarité totale en la personne d'un virus informatique représentée par une bimbo russe, tendance URSS-guerre froide, tout droit sortie d'un fantasme de petit adolescent américain conservateur, avant de sombrer définitivement dans une conclusion qui s'écrase mollement comme une pomme trop mûre. Soit les auteurs pensent qu'il s'agit d'une conclusion satisfaisante (pourquoi pas?) et ils l'ont amené extrêment mal. Soit cette série a été abandonnée et une suite aurait dû voir le jour pour apporter une fin digne de ce nom à cette série.

En tout cas, c'est un des trucs les plus mauvais que j'ai lu depuis longtemps.

Les tomes précédents sont bien fichus. Un monde magique cohabite en secret avec les humains et une guerre est en cours pour annihiler les derniers rescapés féeriques. Grâce au Souhaiteur le revanche est possible... Par contre ce dernier épisode laisse croire qu une suite est possible. Ce n'est même pas vraiment un fin d ailleurs. Un peu déçue​ de ce final en queue de poisson dommage car c'est une chouette bd avec une belle ambiance et un style .

Un album plutôt sympathique malgré quelques grosses ficelles.
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On reste sur sa faim avec une fin qui n'en est pas une ! Pas de tome 5 annoncée, la série présente peu d’intérêt donc.

ce 1815 est une bonne surprise que je vous recommande sans hésiter. Découvrez l'histoire de l'homme qui hurla "merde !" à Waterloo. Au moins on ne l'oubliera pas comme ça !
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Si les deux premiers volets peinaient à sortir des lieux communs, ce dernier opus gagne quelque peu en profondeur et les inévitables ellipses liées à la densité du scénario de Sébastien Latour n’édulcorent en rien un récit qui décolle dans ses ultimes planches.
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La bataille d’Angleterre, vue d’en haut. Grâce à des personnages bien campés, ce joli ballet de chasseurs au-dessus des nuages évite les clichés habituels du monde militaire.
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Au dessin, Patrick Tandiang s'est parfaitement adapté aux designs définis par Manchu et Didier Cassegrain et ses scènes d'action spectaculaires décoiffent. Ajoutez à cela les couleurs vives de Pierre Schelle et David Lunven et vous obtenez un très bon divertissement qui aurait tout à fait sa place dans la collection série B.
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Un régal pour les amateurs de fantasy urbaine. Une suite du même tonneau serait un véritable plaisir.
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Thriller d'excellent niveau où Sébastien Vastra distille quelques références hommages à James Bond et où Sébastien Latour saupoudre ses dialogues de très légers traits d'humour, agréables contre points à la tension ambiante.
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