Serena Giuliano

J'ai beaucoup aimé ce livre bourré d'humour et criant de vérité. C'est drôle, émouvant, touchant. On se retrouve parfois dans cette maman angoissée et imparfaite.

Je l'ai dévoré et je vous le recommande.

Ce livre n'est pas de la haute littérature. Ce n'est pas une œuvre extraordinaire et incontournable.

Ce livre n'est, à mon avis, pas un roman. C'est plutôt une suite de minuscules chapitres, dont le fil conducteur est la succession des séances d'Anna chez la psy, fil conducteur assez léger.

Maizalors... késako ?

Ciao Bella, c'est le journal intime d'une névrosée qui se soigne, une succession de petites chroniques qui racontent la vie d'Anna.

La structure se répète tout au long de l'ouvrage : un dialogue avec la psy suivi d'une histoire actuelle ou de souvenirs d'autrefois.

Certains passages sont drôles, très drôles, et j'ai ri de bon cœur. À d'autres moments, j'ai été touchée, et l'ensemble a donné une lecture agréable, légère et vite avalée. Un peu trop vite, peut-être.

Je ne connaissais pas du tout Serena Giuliano et je remercie l'éditeur Le cherche midi pour l'envoi de ce livre, ainsi que Babelio pour la rencontre avec l'auteur.

J'y ai fait la connaissance d'une jeune femme charmante et simple, et ce moment partagé fut bien agréable.

J'ai compris les motivations qui l'ont conduite, après le succès de son blog, à écrire ce livre.

J'ai eu la surprise de découvrir qu'être italienne ne signifiait pas forcément être ultra exubérante, même si les textes assez pétulants de Ciao bella le laissaient présager. Disons que Serena Giuliano est italienne... à l'écrit, et plus réservée à l'oral !

En tout cas, sa timidité sincère était très touchante.

Au vu de l'engouement général que j'ai constaté lors de la rencontre, et des critiques dithyrambiques que j'ai lues, je me dis que je ne suis pas la cible idéale de ce genre de livre : question de génération, d'habitudes ou tout simplement de goûts ?

Je ne suis aucun blog, et cet ouvrage assez proche de cette forme de communication est sans doute fait pour d'autres lectrices. Car si ma lecture a été agréable, ça ne fait pas pour autant de Ciao bella le coup de cœur que beaucoup décrivent.

Très bien fait, Ciao bella n'est pas le livre du siècle, n'exagérons rien ; je lui prédis toutefois un beau succès. Succès mérité, car je lui reconnais de belles qualités.

Il m'a souvent fait rire, émue parfois, et beaucoup de mamans se retrouveront dans ce que raconte Anna, dont les histoires sont quelquefois universelles.

Sans oublier ce délicieux parfum d'Italie !

Ciao bella, ciao Anna, evviva l'Italia!

C est toujours plus compliqué, pour moi, de faire la critique d un livre que je n ai pas vraiment apprécié ... qui plus est quand il s agit d un premier roman donc aucun point de comparaison.

Bon allez, je me lance quand même !

Ce qui m a attirée vers ce roman, d abord, c est sa couverture et toute la symbolique qu elle représente. Un bel iceberg plutôt original du fait qu il soit verdoyant dans sa partie émergée. Une couverture, donc, qui colle parfaitement à l histoire : une jeune femme, Anna, enceinte de son 2ème enfant, se retrouve face à une psychologue car victime de terribles angoisses ... le moment est venu, pour elle, d affronter ses blessures d enfance, la partie sombre et immergée de l iceberg ...

Alors voilà, je me suis accrochée jusqu à la fin mais non, rien à faire je n ai pas réussi à rentrer dans l histoire ! Sans doute l écriture un style « parlé » qui justement ne me « parle » pas ! l'héroïne aussi que j ai trouvé trop stéréotypée : la jeune mère « hyper-branchée » et  « connectée », blogueuse des temps modernes. Un goût de « too much » pour moi ! Il m a manqué, je pense, une ptite dose de sensibilité et une pointe de profondeur ..

Par ailleurs, j ai apprécié les références à l Italie, son pays natal et surtout la relation fusionnelle d Ana avec sa grand-mère, sa Nonna. Là, de ce point de vue, j ai senti une belle émotion.

Ce roman, c est aussi dans le franc-parlé, beaucoup d humour mais, à mon sens toujours, un peu trop répétitif et parfois « lourd » ...

Alors peut-être que ce roman, qui fleure bon les parfums italiens, n a pas su émoustiller mes papilles car un peu trop épicé à mon goût ... peut-être ...

Enfin voilà, une critique quelque peu négative dans ce flot d avis plutôt positifs mais ce n'est que mon ressenti. D'ailleurs pour terminer, tout de même, sur une note positive, j ai apprécié particulièrement les remerciements de l auteure. Remerciements teintés de sincérité et de sensibilité. Ils m ont touché et ils cachent certainement une belle personne ... ciao Serena !

Voici un livre que j'ai trouvé agréable. L'écriture est fluide, c'est facile à lire. C'est drôle et touchant, et on peut très facilement s'identifier à l'héroïne. Des chapitres courts qu'on enchaîne rapidement pour en découvrir davantage sur son histoire.

Mon ressenti tout au long de la lecture c'est que l'auteure se raconte, joliment, même si elle intègre une part de fiction pour ne pas que cet ouvrage soit complètement autobiographique. Ce mélange entre la réalité et la fiction permet un attachement au personnage encore plus important puisque nous pensons forcément qu'Anna et l'auteure ne font qu'une, et cela amène le lecteur à ressentir plus d'émotions, connaissant déjà l'auteure via son blog. Mais pour ma part c'est probablement ce que j'ai le moins apprécié dans cet ouvrage. J'aurai préféré que les points communs entre l'auteure et l'héroïne soit peut-être un peu plus subtils, l'auteure insistant toujours sur le fait que si le lecteur pense qu'elle et Anna sont une seule et même personne se trompe... Difficile d'éviter la confusion (volontaire ?).

Mais cela reste un joli premier roman à découvrir.

Merci à Babelio et aux Editions Cherche midi de m'avoir envoyé cette pépite !! J'ai rencontré Serena chez Babelio lundi dernier mais je n'avais pas eu le temps de lire le livre avant malheureusement. Je l'ai donc démarré le lendemain à la première heure, terminé en 24h et je suis passée par des émotions incroyables. Alors c'est vrai qu'elle n'est pas à l'aise à l'oral mais elle a une plume !!! J'aurais été déçue de passer à côté !! Et si je peux me permettre, ce n'est pas pour rien qu'elle est amie avec Virginie Grimaldi, cet humour est tout simplement divin !! A quand un livre à 2 mains avec Virginie ?

Entre la fiction et l'auto-biographie, Ciao Bella est le premier roman de Serena Giuliano, auteure franco-italienne, qui écrit ceci sur son site à propos d'Anna, la narratrice :

"On a de nombreux points en commun toi et moi Anna, et certains penseront même qu’on ne forme qu’une seule et unique personne, mais ils se trompent." (https://serenagiuliano.fr/)

Le roman se déroule entre 2010 et 2018 : nous suivons Anna, très angoissée, mère de deux enfants, qui nous raconte des pans de sa vie avec ses parents, avec sa grand-mère, ses amies, son mari et sa psy. Les journées ne sont pas faciles pour cette jeune Italienne qui a pourtant un mari charmant, contrairement à sa mère qui a vécu l'enfer avec le père d'Anna qu'elle a fini par quitter au bout de plusieurs années. C'est ainsi qu'Anna s'est trouvée complètement déracinée, passant de son pays natal, l'Italie, à la France dont elle ne parlait pas la langue. Inutile de dire que la petite fille était complètement déroutée à son arrivée en France. Les séance chez la psy sont le fil conducteur de ce roman plein d'émotions et d'humour.

Une lecture qui résonnera avec le vécu d'un bon nombre de lectrices. On ne s'ennuie pas un seul instant et les courts chapitres défilent rapidement. J'ai apprécié la rencontre avec Serena Giuliano organisée par Babelio. L'auteure est telle que je l'imaginais au travers des pages du roman. Une agréable découverte.

Ce livre est l'histoire d'une jeune maman d'origine italienne, dont la vie en France est loin d'être simple. Nous sommes les témoins de son parcours et de ses avancées à vaincre ses phobies, trouver des solutions à ses questionnements.

Les relations qu'Anna noue avec sa thérapeute au fil des années dépassent le simple lien professionnel.

Racontés sur un ton très humoristique, avec des chapitres courts et percutants à la façon d'un journal, les thèmes abordés ne sont pas anodins (violence conjugale, immigration, difficultés liées à la maternité, amitié....)

Un style d'écriture tonique, moderne et sans ambages sur des sujets importants de notre société.

Merci Babelio et les Éditions du Cherche Midi pour cette jolie découverte et agréable rencontre.

Lire un chapitre de « Ciao, bella ! », c’est un peu comme manger un Ferrero... l’emballage est classe, la forme est sympa, alors tu te dis que tu vas tester, juste « pour voir »...

D’abord, ça craque sous la dent, y’a de la matière ! ... et puis, oh surprise : c’est tout fondant de douceur... et le temps de digérer l’information, bim, ça croustille à nouveau !! Après le premier ? Bah tu n’as qu’une envie, passer au suivant... et ainsi de suite 😁 #addict
Lien : http://www.ateliers-de-mirei..

’ai découvert ce livre sur Instagram. Il est passé plusieurs fois dans mon fil… J’étais curieuse. Le résumé me tentait bien. J’ai profité du salon du Livre de Paris pour me le procurer et rencontrer l’autrice Serena Giuliano. Serena incarne l’Italie. Elle a dans le regard cette bonté mêlée à un semblant de timidité. Je lui ai assurée que j’allais aimer son livre, elle m’a dit qu’elle espérait sincèrement. La réponse ? J’ai adoré !



Anna, le personnage principal est une jeune trentenaire, traumatisée par sa première grossesse, enceinte de son deuxième enfant, qui a de nombreuses peurs dans la vie, qu’elles soient rationnelles ou non. Elle nous raconte donc, au fil des échanges avec sa psy, sa grossesse, mais surtout sa vie en général : ce job à la banque où elle s’ennuie, sa vie avec son mari qui est son amour de jeunesse, le racisme dont il est victime et dont elle est une victime collatérale,… toutes ces petites choses qui font une vie à raconter.



Dès le début, je me suis sentie proche d’Anna (ou de Serena?). J’avais beaucoup trop de points communs avec elle : le job chiant dans la banque les peurs l’envie d’écrire, sans trop savoir par où commencer, le syndrome de l’imposteur, l’est de la France…

J’ai dévoré ce livre en 2 jours, je l’ai finis en me sentant légère et apaisée, un vrai sourire aux lèvres, mais tellement triste de devoir quitter ce personnage auquel je me suis réellement attachée.



Ce livre est drôle, touchant, vrai. Serena, par le biais d’Anna évoque des thèmes de société : l’épuisement des parents, la peur d’être un mauvais parent, le racisme, la place des femmes dans l’entreprise versus celle des hommes, la Journée de la Lutte pour les Droits des Femmes, les violences faites aux femmes, le besoin de s’accomplir…



Malgré les moments difficiles et les peurs d’Anna, ce livre est une bouffée d’air frais en provenance d’Italie. Une invitation au voyage.



J’ai énormément apprécié cette lecture, et je suis certaine de ressortir un jour ce livre pour me plonger à nouveau dans le récit d’Anna tant j’ai aimé l’écriture de Serena Giuliano. Merci Serena de m’avoir fait rencontrer Anna.
Lien : http://amelitunlivre.com/201..

C’est complètement par hasard que j’ai découvert ce roman, au hasard d’une file d’attente lors du dernier salon Livre Paris : une grande affiche sur l’un des stands. Attirée par la couverture et aussi pour tuer le temps, je suis allée lire le résumé. J’ai de suite été intriguée et me suis promis de découvrir ce roman dès que possible. Voilà c’est chose faite !

Avant de découvrir cette histoire, je ne connaissais pas la plume de Serena Giuliano, ni à travers son blog ni ses précédents livres. Ce premier roman fut donc l’occasion de la découvrir. Drôle, cinglant, juste, honnête, voilà comment je pourrais résumer son style. Son écriture est à la fois franche, pétillante et non dénuée d’humour. Elle est aussi vivante et vibrante. Tout au long du texte, on rit autant que l’on s’inquiète face aux angoisses de l’héroïne. On en vient même parfois à douter.

Mais je crois que ce qui fait la force de ce récit c’est l’imbrication de faits réels au milieu de la fiction. Il est difficile de démêler l’un et l’autre. Car ce roman n’est pas un roman banal. C’est une partie de l’histoire de l’auteure. Au fur et à mesure que l’histoire progresse, on essaie de distinguer ce qui relève du vrai et ce qui est purement fictif. La part de réalité intégrée à l’histoire la rend encore plus touchante et authentique. En commençant ce livre, je m’attendais à tout autre chose mais je ne regrette pas la tournure de ce récit. Il a su me séduire, m’évader...

La suite sur mon blog:
Lien : https://misscroqbook.wixsite..

=Magnifique !=



Tout le long de ce roman, le lecteur va suivre le personnage d’Anna. Une femme dont les peurs et angoisses rythment son quotidien de femme et de mère.



Tel un journal intime, l’autrice va dans son premier roman faire des chapitres au jour le jour avec l’avancée de la vie d’Anna et de ses entretiens avec sa psychologue.



Dès la première page, elle expose au psy ses problèmes.

‘‘Je suis très perturbée par cette nouvelle grossesse : je fais des cauchemars, des crises de panique incontrôlables ; j’ai des idées noires. J’en arrive à espérer que cet enfant quitte mon corps. Je l’ai pourtant vraiment désiré.’’



Bien que ces mots soient durs à lire, Anna ne tombe pas dans le pathos, elle ne va pas se lamenter de ses craintes, bien au contraire !



Le lecteur voit évoluer Anna, une jeune femme attendrissante, marrante et qui sait faire dans l’autodérision.

Avancer coûte que coûte, et ce malgré les démons qu’elle va falloir affronter. Des démons enfuis dans son enfance et se trouvant dans son pays natal : l’Italie.



Bien plus qu’un roman sur les peurs et angoisses d’une femme, ce livre est une ode à la vie, à la force intérieure cachée que nous possédons tous.



J’ai beaucoup aimé ce roman dans lequel je me suis parfois reconnue et qui m’a aussi beaucoup fait rire.



Ne vous fiez pas à la quatrième de couverture, car comme je vous le disais plus haut, pas de pathos dans ce roman. Et préparez vos zygomatiques, le sourire, le rire sont au rendez-vous !



Une vie de femme, de mère, de famille avec une magnifique histoire qui vous fera voyager.

Un premier roman très réussi, dont vous ne ferez qu’une bouchée !!!! Et vous procurera une explosion de sentiments !

Un livre qui à frôlé mon coup de cœur.


Lien : https://livresdeblogue.blogs..

Anna, grande angoissée, va consulter une psy pendant sa deuxième grossesse, de peur que le drame de son premier accouchement se reproduise. Là, elle explore toutes les autres angoisses qui l'habitent, son enfance difficile, son travail qui l'ennuie, ses joies aussi, l'amour de son mari, de sa nonna, de ses amies. Finalement, Anna est comme tout le monde. Et c'est le grand intérêt de ce livre, car on peut tous s'identifier à Anna !

Sous couvert de fiction, on surfe ici sur la mode des livres de développement personnel, et c'est très réussi. Le style d'écriture frais et moderne donne l'impression qu'Anna est une copine qui se confie, et on se sent aussi écouté.

« Ciao Bella » est le premier roman de Serena Giuliano. L'auteure est italienne, vit en France et écrit en français. Son livre ressemble à un journal, celui de ses rendez-vous avec son psy. Car elle en a besoin. A 28 ans la narratrice est une éternelle angoissée. Ses peurs et surtout celle de devenir mère pour la deuxième fois la mettent dans un état de stress qui l'empêche de décolérer.

Pourtant, elle a un mari, du travail, des amies et une famille. Vu comme ça on se demande ce qui lui arrive.

En fait, c'est un roman très autobiographique pour ce qui est de la partie professionnelle et qui permet à l'auteure de raconter comment lui est venue l'idée de créer son blog autour de la maternité et d'en faire la promotion.

C'est très à la mode et on peut dire que c'est gentil. Rien de bien original, on retrouve tous les stéréotypes de la femme moderne hyper angoissée. Les propos sont assez convenus voir parfois d'une grande banalité. Je reste affligée par certains passages.

Ce qui est surprenant, c'est que seule la narratrice a des angoisses. Elle a un mari gentil, des enfants gentils, une grand-mère gentille et pour trouver une raison à ses malheurs un père qui battait sa mère mais à qui elle va pardonner. C'est cousu de fil blanc et ça m'a vite agacée alors que le début était plutôt sympathique.

J'avais choisi ce livre pour son titre qui m'évoque la chanson « Bella ciao » évidemment, mais ce livre ne m'a pas donné envie de chanter.

Au final, c'est un roman plein de bonnes intentions mais pas tellement réussi. Quand je pense que Serena Giuliano fait référence à Elena Ferrante, elle aussi napolitaine, on est loin même très loin de ses qualités littéraires.

Anna est une maman très angoissée. Elle a beaucoup de phobies mais elle se fait suivre par une psy. Dans ce récit elle nous fait part de ses angoisses et toute l'histoire se passe sur le fauteuil de la psy ou Anna nous livre ses peurs. Elle nous raconte son enfance en Italie, l'importance de Nonna sa grand-mère, de ses amies et elle parle de son père. Elle lui en veut beaucoup, elle est très en colère après lui. Elle évoque également son mari qui est marocain et des problèmes de racisme qu'elle a pu rencontrer. Tout cela raconté avec beaucoup d'humour et de sensibilité. Ce roman Feel good est comme un bonbon acidulé qu'on laisse fondre tout doucement, pour en apprécier toutes les saveurs jusqu'au dernier instant. Un vrai bijou. Le même style d'écriture que Virginie Ginie Grimaldi. On ressent cette joie de vivre contagieuse qu'elles ont toutes les deux. Elles ne sont pas amies pour rien !

Que tu bonheur...A lire absolument !

**** un très bon livre



Attention coup de cœur !



Anna, jeune femme trentenaire n'a pas eu une enfance insouciante, sa première grossesse a été particulièrement difficile, elle a un travail déprimant avec un chef misogyne et enfin elle a des tas de phobies.



Mais à part cela tout va bien...



Un jour elle décide de "consulter", "d'être suivie" et là commence ce récit plein d'humour et de tendresse.



Anna confie à Liz (sa thérapeute) ses peurs, ses envies et nous emmène en visite au cœur de son enfance italienne auprès d'un père dévastateur, auprès de Nonna cette grand-mère aimante. Mais nous l'accompagnons aussi au présent dans son quotidien auprès de son mari, de ses enfants et de ses amies.



L'Italie, les amies, la nourriture, les enfants et Adel sont des composantes essentielles de ce récit.



Mais derrière le ton badin et l'humour Anna nous confronte à des problèmes douloureux, la violence conjugale, l'emprise du jeu, le pardon, le racisme...



Mais quand la vie fait mal, existe-t-il une meilleure thérapie que l'humour ?



Un grand merci à Babelio pour cette découverte et la rencontre avec Serena Giuliano.

Anna va chez la psy.



Elle lui raconte sa vie. Cette tristesse qu'elle cache à grands coups de colère. Son fils. Puis sa fille. Ses origines, sa belle Italie. Son père, violent. Sa mère, victime peut-être. Elle se raconte et nous offre sa vie sur un plateau.



Nous sommes dans le cabinet du psy et on écoute Anna. D'une oreille attentive. Parfois émue, souvent amusée. Car Anna n'a pas la langue dans sa poche. Elle se raconte avec un naturel désarmant et beaucoup d'entre nous se retrouveront dans le portrait de cette maman moderne.



La thérapie et ces dialogues enlevés durera plusieurs années, le temps de suivre Anna et ses colères jusqu'au bout.



Je ne connaissais que très peu Serena Giuliano, honte à moi ! Ne la suivant pas spécialement sur ses réseaux sociaux, j'ai pu lire son livre sans aucun à priori. J'ai découvert une sacrément jolie personne. Avec une voix. Qui porte. Et qui a de belles choses à dire.



Elle évoque les réseaux sociaux, sa vie de maman, l'amour, le racisme ordinaire, le sexime ambiant, les séries télé, la maternité ... Toutes ces choses qui vont sa vie, qui font notre vie. Avec une plume alerte, énergique, vivante et surtout sans prétention.



Elle offre à lire un beau portrait de femme. le sien. On est entre roman et autobiographie. Elle offre un livre où chacun peut se reconnaître et arrive pourtant à rester unique. Preuve d'un vrai talent. Beaucoup de sujets évoqués, une nana de son temps pour qui la journée de la femme n'est pas que l'occasion d'un bouquet de roses …



Un ton, une plume, une ardeur de vivre …



J'aime souvent parler de famille ici et j'ai trouvé ici un nouveau membre de cette belle famille de coeur. Qui se nourrit d'une certaine forme de sincérité, qui peut faire pleurer de rire ou d'émotion. Car on est souvent entre les deux dans ce joli livre …Comme dans nos vies …



Le livre est maintenant dans toutes les librairies et je lui prédis un joli succès au vu de la belle notoriété qui entoure Serena sur la toile (oui, je me suis quand même renseigné). Mais au-delà de l'image, il y a celle qui existe vraiment, tellement sincère et pleine de sa vérité.



Bienvenue Séréna Giuliano parmi ces plumes qui rendent plus belle la vie des gens ! Simplement, juste en se racontant. Et ça, ce n'est pas donné à tout le monde …



Ciao Bella ! Viva a te e ti auguro tanta felicità!



(Ce passage a été gentiment traduit par Google Traduction, pas la peine de venir me dire que ça ne veut rien dire !)


Lien : https://labibliothequedejuju..

ALERTE ALERTE ALERTE coup de coeur  !!!



Il faut acheter le 1er roman de Serena Giuliano qui est sorti là, le 14 mars, et le lire bien évidemment !

Je ne veux pas donner d'ordre mais.....Faites-le 😆

Vous sourirez, aurez la larme à l'oeil voir plus , rirez puis de nouveau serez très émus. Du moins c'est ce qui m'est arrivé. Ce roman est un condensé de tous ces sentiments, il a fait son job car c'est ce que je veux d'un livre, qu'il me procure une émotion quelle qu'elle soit.

Il se lit très vite de par ses chapitres courts qui donnent un super rythme.



Anna est une femme, une maman très angoissée mais elle se soigne. Elle nous fait part de ses peurs, nous embarque avec elle dans le bureau de sa psy. Nous raconte ses relations avec ses parents, son mari, ses enfants, ses amies, sa psy et sa Nonna (grand-mère). Chaque femme, mère, peut se retrouver par moment en Anna. Elle a un sacré caractère, une personnalité d'enfer et quel humour, quelle sensibilité ....un peu, beaucoup, comme sa créatrice, l'auteure (autrice je ne sais jamais quel terme utiliser) Serena Giuliano 😉 !



J'ai eu le plaisir, la chance de la rencontrer, d'échanger avec elle le we dernier à Lyon. C'est une femme attachante (elle dirait "attachiante"), drôle, sincère et tellement abordable. Je ne regrette pas d'avoir osé être allée à cette dédicace.

 Dans ce roman, Anna nous explique  l'importance qu'ont ses amies dans sa vie. Moi j'ai lu "Ciao Bella" en même temps que mon amie Nadia, on partage entre autre le goût de lire. On aime échanger nos avis, et c'est avec elle que je suis allée faire dédicacer ce roman.

Je dois avouer quelque chose, je n'ai  pas dévoré ce roman, non......... je l'ai dégusté, savouré, ai noté une multitude de citations. Cette histoire a eu pour moi un goût particulier que j'ai plus qu'aimé, d'une part car elle fait  écho aux relations que j'ai eu avec ma grand-mère ; et par le fait également  d'avoir rencontré Serena Giuliano Laktaf.

Merci à elle, merci à Anna et merci à ma mamie ❤

Agréablement surprise par ce livre. Grâce à ce livre je me sens moins bizarre . Très bon premier livre

Merci aux éditions du Cherche-Midi et à Babelio de m'avoir fait parvenir ce livre.



Anna souffre d'angoisses et décide de consulter une psy. Après chaque consultation Anna se remémore des épisodes marquants récents ou plus anciens.



Au fil du livre, on suit le parcours d'Anna, son évolution.



On peut avoir des vies différentes de l'héroïne de ce livre et malgré tout partager des points communs. Elle est directe, touchante et ne se voile pas la face.



J'ai beaucoup aimé lire ce livre plein d'allant et d'espoir. L'écriture est alerte, spontanée, pleine d'entrain.



Il me tarde de rencontrer cette auteure sincère et talentueuse.

Anna est inquiète. Son premier accouchement s’était mal passé et elle attend le deuxième. Elle prend alors rendez-vous avec une psy. Elle nous retrace dans ce roman les entretiens qu’elles ont eus ensemble. Comme tout est souvent lié à notre enfance, Anna replonge dans certaines périodes difficiles de son enfance et nous raconte la peur qu’elle ressentait face à son père qui

battait sa mère. Année après année, elle chemine et essaye de comprendre pourquoi elle a autant de craintes au quotidien, notamment concernant ses enfants. Elle va enfin oser évoluer, créer son blog, entreprendre beaucoup de nouvelles choses qui vont changer sa vie.

Un roman facile et rapide à lire. On ne s’ennuie pas. Beaucoup d’humour. Merci Babelio !