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3.88/5 (sur 1181 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Mariée et mère de deux enfants, Sonia Dagotor est responsable marketing d’un centre commercial en région parisienne.

Elle écrit trois tomes de sa première histoire "Épouse, mère et working girl", inspirée de sa vie de maman à cent à l’heure. Et, comme elle veut avancer par elle-même, elle se lance dans l’autoédition sur Amazon.

Elle récidive avec plusieurs autres romans dont certains ont remporté des prix et ont été publiés, notamment chez City éditions. C’est le cas d’"Un anniversaire au poil" sorti en 2017. En 2018, "Sortez-moi de là" fait un démarrage en trombe.

Elle travaille désormais avec les éditions du Cherche Midi qui éditent son nouveau roman, mais également le best-seller numérique "Sortez-moi de là".

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Entretien avec Sonia Dagotor à l'occasion de la rencontre entre l'autrice et les lecteurs de Babelio.com le 16 juin 2020. Découvrez les mots choisis par l'autrice pour évoquer son roman 'Ceux qui s'aiment finissent toujours par se retrouver', paru aux éditions du Cherche-Midi. Retrouvez toutes les critiques de 'Ceux qui s'aiment finissent toujours par se retrouver' sur Babelio : https://www.babelio.com/livres/Dagotor-Ceux-qui-saiment-finissent-toujours-par-se-retrou/1214469 Abonnez-vous à la chaîne Babelio : http://bit.ly/2S2aZcm Toutes les vidéos sur http://bit.ly/2CVP0zs Suivez-nous pour trouver les meilleurs livres à lire : Babelio, le site : https://www.babelio.com/ Babelio sur Twitter : https://twitter.com/babelio Babelio sur Facebook : https://www.facebook.com/babelio/ Babelio sur Instagram : https://www.instagram.com/babelio_/

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Citations et extraits (100) Voir plus Ajouter une citation
Pourquoi les gens attachent-ils autant d’importance aux apparences ? Faut-il impérativement être beau et sexy pour être heureux, pour mériter d’être aimé ? Cela n’est pas juste… 
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—     Moi aussi, je me suis fait larguer, reprend Stéphane, sérieusement. 
—     Ah, mercredi…
—     Quoi, mercredi ?
—     Ça, c’est parce que j’ai des enfants. Dire des gros mots est interdit. Alors, au lieu de dire « merde », je dis « mercredi ». 
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je me rappelle avoir été choquée par les triangles poilus de certaines de mes voisines. Mais quand je dis « poilus », c’est vraiment très poilus ! Je pense qu’elles n’avaient jamais vu une bandelette de cire de leur vie et encore moins un épilateur électrique. Je ne voulais pas regarder mais mes yeux étaient automatiquement interpelés par les masses noires placées dans mon champ de vision. Imaginez-vous sur une plage de nudistes, vous savez que vous ne voulez pas regarder mais vous voyez quand même. Là, c’était pareil. Nous étions tellement dégoutées qu’on n’a pas trainé longtemps.
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Mon grand regret est de voir les mines si tristes ou dures des usagers. Je regrette que l’on soit si individualiste. Je rêve d’un peuple qui se salue même s’il ne se connait pas. Je rêve de politesse instantanée, sans hypocrisie, sans arrière-pensée. Cela rendrait ce moment passé ensemble bien plus agréable, non ?
Par exemple il m’est déjà arrivé de proposer mon aide à un couple d’italiens penchés sur une carte RATP. Je voulais peut-être leurs montrer que les français peuvent être avenants et accueillants. Je me souviens qu’ils ne m’avaient finalement pas besoins d’aide mais qu’ils m’avaient chaleureusement remerciés de ma gentillesse. Cela avait dû les surprendre un peu. On a parlé quelques minutes le temps que le train arrive. Je me suis tout de suite sentie plus sereine. Comme si j’avais accompli une bonne action qui me mit de bonne humeur pour la journée. Je le fais dès que je peux, c’est dans mon karma.
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— Au pif ! Mais avec Internet, on ne peut plus faire au pif. Vous avez Internet, Odette ? — Bien sûr que non ! Je n’en veux pas de ce machin. Que veux-tu que je fasse de l’Internet ? C’est pour les jeunes ; moi, j’ai passé l’âge. Je ne saurais même pas allumer un ordinateur. — Il n’y a pas d’âge, Odette, pour s’y mettre. — Peut-être bien mais tous ces trucs, moi, je dis que ça tue la communication. Voilà ce que je pense, mon petit : trop de communication tue la communication ! Au lieu de se voir pour de vrai, les gens ne communiquent plus qu’à travers tous ces machins, titter, face de bouc et tous ces trucs, moi, je ne veux pas les connaître ! — C’est Twitter et Facebook, Odette ! Ah… Nom d’un chien bisexuel, vous allez me faire mourir de rire ! dis-je en pleurant de joie. — C’est ça, ris, mon petit ! Ah… Heureusement que je n’ai pas de gosses, parce que, franchement, je les vois les jeunes dans le bus, ils ont leur téléphone à la main, les écouteurs dans les oreilles, ils ne disent même plus bonjour au chauffeur. Et les couples, franchement, même au restaurant, ils ont chacun leur téléphone sur la table et au lieu de discuter, ils passent leur temps à zieuter leur téléphone. C’est pathétique, si tu veux mon avis. Je les imagine au lit, chacun dans leur coin, quelle tristesse !
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Heureusement que le téléphone portable existe, comment faisait-on avant ? Il y a tout de même un truc qui m’épate. Avant, on avait que le fixe à la maison. Aujourd’hui, il y a le fixe, le portable, le net, les réseaux sociaux et pourtant il manque toujours cette chose primordiale : le temps.
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A la question :" A quoi tu penses ? ", l'homme répond toujours "A rien !". C'est bref, net et précis , et ça coupe court à toute discussion.
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C'est une rupture que je nous impose alors même qu'il ne s'est rien passé entre nous. J'aurais adoré qu'il soit mon amant. J'aurais adoré être sa maîtresse. Mais je ne saurais le faire. Je ne veux pas devenir cette femme-là. Celle qui a une autre vie, qui trahit et qui blesse, qui engendre des souffrances.
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Bon, O.K., allons jeter un œil sur les photos justement. Eh ben là, je ne suis pas déçu non plus : je vois d’abord des filles, à la pelle, sans doute des copines de la nuit, on est en boîte, il y a des dizaines de selfies, avec des tas de filles différentes. Tiens ! Paul aussi est là. Et cette nana qui revient souvent doit être Samantha, je suppose. Si c’est elle, effectivement, elle est « physiquement intelligente ». La bouche en cul de poule, l’index sur une langue suggestive, le regard qui transpire le désir, hum… Voilà que je me mets à penser comme un mec. Bizarrement, mon « truc » réagit. Putain ! Je suis un mâle. Dès que je vois une fille, mon sexe frétille ! — Hey popol ! Couché ! dis-je tout haut.
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J’essaie juste de donner le meilleur de moi-même. Mais à vouloir trop en faire, on s’épuise. Il y a quelques mois, j’ai cru qu’une psychologue pourrait m’aider à retrouver ma sérénité. Après lui avoir expliqué mes soucis, elle résuma mes maux en une phrase : Madame ! Vous voulez être une super épouse, une super maman et une super travailleuse ; il va falloir que vous admettiez que vous n’êtes pas une Superwoman.
Point ! Boum ! 90 euros !
Quatre-vingt-dix euros pour entendre que je ne suis pas Superwoman ! Sans blague ! Mais pour qui elle se prend cette mégère ? Elle peut toujours attendre de me revoir. Je vais me débrouiller toute seule pour retrouver ma sérénité !
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