Citations de Sylvie Allouche (102)
CRITIQUE :
Quatre ados disparaisses à l’approche d’un grand concours, aucun témoin, quatre policier sur l’enquête . C’est ados ne sont pas du genre à fuguer le concours était bien trop important pour eux.
Ce livre m’a plus parce que cette histoire est étonnantes et émouvante. Du suspense jusqu’au bout , impossible de lâcher avant la fin , des personnages attachent avec des histoires passionnantes « Il y a eu des tas des musiciens sourd , je serai le premier muet. »A ne pas lire avec des yeux d’adulte l’histoire vous paraîtrais identique à beaucoup d’autre , il faut ce laisser prendre par l’histoire , idéale pou des petits lecteurs ou des près-ados
berthet zoeline 4c
« Il y a eu des tas des musiciens sourd , je serai le premier muet. »« Ce n’était pas prémédité. Mais tout est devenu soudain très claire pour moi. Il ne pouvait en être autrement. Ma décision était prise et rien ni personne n’aurait pu m’arrêter. » Berthet zoeline
NON comme un homme ivre, un somnambule, Matthis quitte la chambre de sa mère en se cognant aux mures, à droite, a gauche. Il n’arrive pas à marcher droit, ses jambes ne le portent plus. Le coup qu’il a reçut le terrasse. La main de sa mère. La marque, nette,visible. La peau boursouflées. Et puis la voix de Valentin qu’il entend comme s’il était dans la même pièce.
Il va avoir un sacré souvenir de moi!
Ma mâchoire incrustée dans sa main!
Ma mâchoire incrustées dans sa main!
Ma mâchoire incrustées dans sa main!
AgatheR 4C
La bonne musique ne se trompe pas et va droit au fond de l'âme chercher le chagrin qui nous dévore.
- Et toi, tu as une idée de qui a pu harceler de cette façon ton amie? Un élève, un ou une amie, un prof, le directeur...
- Quand je les ai vus tous, aussi bien les filles que les garçons, se délecter des photos postées sur les réseaux, quand j'ai entendu leurs rires, quand je les ai vus la montrer du doigt... je me sui dit...
Les souvenir refont surface avec une clarté insupportable. Elle revoit son amie courir s'enfermer aux toilettes du lycée pour échapper aux insultes de la horde. Fermer les yeux ne les efface pas, au contraire. Les larmes franchissent ce frêle barrage. Maude serre les poings. Et crache:
- Ils sont tous coupables. Tous!
Il avance au pas. La commissaire peste. Le périph est archi bouché, comme toujours. Mais où vont tous ces gens, tout le temps et à toute heure ?
Durant toute sa vie de flic elle a côtoyé chaque jour la violence sous toutes ses formes [...] mais elle se sent soudain démunie face à ce nouveau fléau qui touche tant les jeunes : le harcèlement via les réseaux, les téléphones portables, elle n'en mesurait pas l'ampleur.
Un harceleur veut toujours constater les effets de sa persécution. Il se délecte – si je puis dire – de voir sa « cible » perdre pied.
. Le cybercrime n’existe pas seulement dans les films ou dans les livres. Elle pensait ne jamais y avoir affaire, elle se trompait. Il peut atteindre n’importe qui, n’importe quand. Quel que soit le milieu social.
. Il l’a terrorisée, persécutée et humiliée pendant des semaines. À seize ans, on n’est pas armé pour lutter contre ça. Et pour bien enfoncer le clou, il a utilisé le sexting.
– Le quoi ?
– Diffuser des photos ou des vidéos via les réseaux. En rendant publique son intimité, même falsifiée, il l’a atteinte dans sa dignité, il l’a achevée. Les violences psychologiques répétées ont des conséquences dévastatrices pour les personnes.
Cette fille est une perle, une pierre précieuse, un diamant brut, qui vient de lui ôter un kilo de culpabilité.
On a tous des façons différentes d’affronter les épreuves, ça ne signifie pas qu’on est indifférent.
Quel amalgame ! Cataloguer quelqu’un seulement sur son apparence, sur ce qu’il laisse à voir, sur ce qu’il inspire. Ne jamais douter de ce que l’on croit ou pense, mais persévérer dans son jugement inique...
Il avait tout pour lui, ce mec. Toutes les filles étaient raides dingues de lui. Il avait une belle gueule, il cartonnait dans toutes les matières, et il était bourré de fric.
Personne n’a jamais compris pourquoi elle était amoureuse de lui. Elle, si joyeuse, si vive, et lui toujours dans son coin à écrire ou à lire. Dès qu’elle a vu « le nouveau » – tout le monde l’appelait comme ça au lycée –, elle a craqué.
Vous êtes nés avec ces technologies, vous ne pouvez pas y échapper. Tout est fait pour que vous ne vous posiez pas plus de questions. Tout va très vite. Mais c’est bien que tu y réfléchisses désormais et que tu utilises autrement ces réseaux.
- Merci.
C’est rien. C’est un tout petit mot de rien du tout qui lui fait pourtant un bien fou. Elle pousse un profond soupir. Quelle épreuve !
Réveiller une insomniaque relève du crime de lèse-majesté, il le sait. Alors il s’est donné pour consigne de toujours laisser passer l’orage.
"il faut que l’œuvre que vous interprétez ait du sens. La musique est un langage. Et là, quand je vous écoute, c'est comme s'il me manquait des mots. Comme s'il n'y avait aucune ponctuation pour me laisser respirer ou apprécier ce que je viens d'entendre. En d'autres termes, vous êtes les rois de la disparition!" p. 21
"La main de sa mère. La marque, nette, visible. La peau boursoufflée." (p.274)
– Nietzsche disait : « Sans la musique, la vie serait une erreur. » Mais vous, ne commettez pas celle de ne pas la comprendre. Vous devez restituer l’œuvre dans son intégralité, avec intensité, avec ses silences et ses nuances. Oubliez la performance pour le moment. Faites-moi chanter ces doubles croches, que diable ! Bref, soyez conscients, à chaque instant, de la beauté de ce que vous jouez.
Leur professeur les nourrit, leur donne la becquée. Il est intarissable. Passionné. Passionnant.