Thibaut Lambert

Ce livre écrit par Stéphanie Trouillard parle de la seconde guerre mondiale, c’est une histoire vraie: l’histoire d’une fille juive nommée Louise Pikovsky. Son histoire est raconté par sa professeure Mme Malingrey. Louise est finalement arrêtée avec sa famille puis tuée . Plusieurs lettres ont été retrouvées et quelques photo. Celles-ci ont servi de base pour les dessins de la bande dessinée.J’ai aimée ce livre car je l’ai trouvé très intéressent...l’histoire de cette fille était très bien racontée . C’était intéressent captivant, émouvant, réaliste et triste. Je conseille ce livre à ceux qui aiment les histoires vraies, apprendre des choses et qui aiment les histoire sur la seconde guerre mondiale. Léana



Mme Malingrey prend un thé avec ses copines et elle sort d'une armoire le sac de Louise une lycéenne juive. Comme dans ses années 40 il y a tous les juifs qui sont déportés et Louise va subir se sort Louise et sa famille. Une liaison extrêmement forte lié les 2 jeunes femmes.



C'est une magnifique histoire parce que la vielle professeure d'école va réunir d'ancien élèves dans les années 1980 pour évoquer la mémoire de Louise Pikovsky.



Celle-ci avait laissé son cartable et des lettres a Mme malingrey avant d'être emmené dans les camps de concentrations.

Ce que j trouve beau c'est que la professeure aurait tant aimé la sauver.



Ce que est bizarre et marquant pour moi c'est que suis passés un certains nombre de fois devant le lycée « Jean-de la-fontaine »sans savoir qu'il y avait qu'il s'était passé avec louise et Mme Malingrey.

Apo

C'est lors d'un déménagement dans le lycée Jean de La Fontaine, dans le 16e à Paris, que les lettres d'une ancienne élève juive, Louise Pikovsky, ont été retrouvées.

Celle-ci a correspondu avec une de ses enseignantes jusqu'au jour où elle a été arrêtée avec sa famille.



A l'instar d'Anne Franck, c'est un témoignage touchant et nécessaire qui est retranscrit dans cette BD. La reproduction des lettres à la fin, ainsi que les photos, apportent une réalité poignante.

Qui a dit qu'il y avait un âge pour aimer? Pas Thibaut Lambert en tout cas.

Dans cette jolie BD, l'auteur nous emmène dans une maison de retraite où Colette fraîchement arrivée a beaucoup de mal à se faire à ce nouvel environnement.

Jean, célibataire endurci et étant résident depuis quelques années va essayer de mettre du baume au coeur à Colette. C'est qu'il en pince pour elle le Jeannot !

S'en suivra le début d'une tendre histoire d'amour entre les 2, mêlée de rires, de larmes et de ressentiments.

Un très bon moment de lecture pour cette bd réalisée à plusieurs mains (l'auteur a écrit cette bd avec des résidents d'un Ephad)

Cette bande dessinée constitue un bel hommage à cette jeune fille, et plus globalement à toutes les Louise qui ont connu la déportation, toutes ces jeunes filles qui ont disparu de leur lycée du jour au lendemain. L'album est intéressant car il présente les numérisations des véritables lettres de la jeune fille en fin d'ouvrage. On peut aussi y retrouver des photos d'elle et de sa famille. L'histoire racontée est très fidèle aux mots de Louise, les extraits de ses lettres jalonnent le récit. J'ai trouvé l'incipit assez émouvant, il prend place en 1980 et s'attarde sur la professeure qui a vieilli, et se remémore avec émotion le souvenir de Louise Pikovsky. En résumé, c'est un album important pour se souvenir, intéressant d'un point de vue historique, et aux très belles illustrations.⠀

Voilà une BD nécessaire, à avoir dans tous les CDI de collège et lycée.

Louise est une jeune fille de 15 ans, élève au lycée Jean de la Fontaine dans le 16e arrondissement de Paris. Excellente élève, elle correspond avec son enseignante pendant les vacances, ces vacances si particulières de 1942. Ces lettres vont traverser les années et faire œuvre de travail de mémoire. D'abord en 1980, par l'intermédiaire de Mlle Malingrey, l'enseignante de lettres. Puis en 2010 quand lettres et photographies vont être retrouvées dans une armoire. Pour ne pas oublier celles et ceux qui ont été déportés, et qui sont morts, comme Louise et sa famille, déportés à Auschwitz.

Le titre est très clair ! C'est une mignonne histoire d'amour entre deux résidents d'un EHPAD. Elle, 82 ans divorcée ou veuve, deux enfants. Lui, célibataire endurci.Ils s'aiment et n'ont pas le temps d'attendre ! Ils décident de se marier , malgré les réticences de certains membres de leur famille.

Colette arrive dans un EHPAD, la mort dans l'âme, suite à une chute à son domicile. Les premiers temps sont difficiles, jusqu'à ce qu'elle rencontre un ami d'enfance, Jean, également résident de l'EHPAD. Entre eux, le courant passe tout de suite, et ils s'autorisent même à rêver d'amour.⠀ ⠀ Une histoire très tendre sur l'amour entre deux personnes âgées. Ce que je trouve super, c'est que l'auteur s'est appuyé sur les témoignages de personnes résidant en EHPAD, et a conçu ce roman graphique dans le cadre d'ateliers BD. Les résidents ont pu témoigner sur leur vie là-bas, l'amour qui peut y naître, et ils ont validé chaque étape de sa conception. Cela nous offre une jolie histoire, portée par des personnages attachants et des illustrations colorées. de quoi offrir beaucoup d'espoir : l'amour est possible à tout âge !

⁣Cette petite BD, qui se lit assez rapidement, m'a permis de découvrir le travail de Thibaut Lambert. J'aime beaucoup sa manière de dessiner les personnages, le travail sur la couleur (tout en nuances de rose et de noir), les flash-backs représentés comme évaporés... L'histoire de Manon est très touchante et permet de se rendre compte des séquelles à long terme d'une telle relation. Une belle découverte, qui me donne envie de lire les autres BD de cet auteur !⁣

La psychothérapeute Anne Gounelle reçoit en consultation une jeune femme nommée Manon Séchan qui travaille depuis peu dans une crèche, après quelques hésitations Manon se lance dans le récit d'un événement qui l'a traumatisée et énormément blessée pourtant il s'agit d'amour.

Elle est depuis peu amoureuse d'un homme mais pense pourtant à son ancien compagnon se demandant constamment comment il aurait réagit à telle ou telle situation alors que leur rupture date de plus d'un an. Manon pense à cet homme qu'elle a profondément aimé et qui pourtant la battait.

On n'arrive pas toujours à comprendre le comportement de femmes qui restent auprès de leur compagnon malgré les coups, la relation est par moment parfaite avant de basculer dans la violence, Manon a décidé de se libérer de ses souvenirs par une psychothérapie pour pouvoir de nouveau aimer pleinement et faire confiance.



Le thème abordé est très important, on ne parle pas assez de la violence faite aux femmes par leur compagnons à part sur une base statistique. Dans ce récit on s'aperçoit très bien que la blessure psychologique est plus difficile à guérir qu'une blessure physique, se reconstruire après un tel drame est un chemin de longue haleine. Le dessin dans les ton rouge ne m'a pas emballé même si l'effet dramatique recherché est bien là, le scénario expose un récit bien structuré et on attend avec impatience cette touche d'optimisme avec un dénouement heureux.
Lien : http://stemilou.over-blog.co..

Les témoins directs de la Shoah ne sont plus très nombreux et auront bientôt tous disparu. Louise Pikovska incarne cette tragédie. Jeune lycéenne de 14 ans, brillante et confiante en l'avenir, elle se prend d'affection pour un de ses professeurs au lycée La Fontaine à Paris et correspond avec elle au cours de l'été 1942. Arrêtée avec toute sa famille en janvier 1944, elle court déposer chez sa professeure des livres et des lettres qu'elle accompagne d'un mot bouleversant indiquant qu'elle voudra les récupérer "si elle revient un jour".

Ce qui hélas n'est pas arrivé...gazée dès son arrivée au camp avec sa famille.

Sa professeure bouleversée témoigne puis confie ces lettres au lycée, lettres oubliées dans un placard du lycée jusqu'en 2010 où à l'occasion d'un déménagement elles sont redécouvertes fortuitement. Louise est enfin sortie de l'oubli.

Je suis encore dans ma période historique et je suis tombée sur ce livre dans le CDI de mon établissement. Il retrace le vécu de Louise Pikovsky, une jeune fille juive à Paris.

Cette lecture ne m'a pas apporté beaucoup plus que ce que je savais déjà sur la déportation juive durant la Seconde Guerre Mondiale mais les personnages, issus d'une histoire vraie, et les mots sonnent juste sur ce qui s'est passé et sur le stress de ce qu'ils ont pu vivre.

J'ai également apprécié le dessin de qualité de l'illustrateur. Les lettres retrouvées à la fin ont achevé de me faire ressentir les émotions habituelles sur ce genre de récit : de la colère, de la tristesse. C'est une bonne BD, qui sort de celles connues sur Anne Frank, elle a le mérite de parler d'autres jeunes filles et d'autres familles. J'espère en trouver d'autres.

Une BD destinée à un vrai "tout public" pour aborder "en douceur" la période de la Shoah et du rôle de la France dans la déportation des Juifs.

On y retrace ici la vie de Louise Pikovski lors de la seconde guerre mondiale. C'est à partir de lettres retrouvées dans le déménagement d'une salle de classe que la journaliste Stéphanie Trouillard a commencé à mener des recherches sur la vie de Louise dans le but de lui rendre hommage et de perpétrer sa mémoire ainsi que celle de son institutrice, Mademoiselle Malingrey, qui a fait ce qu'elle a pu pour tenter de protéger Louise des rafles policières.

En fin d'ouvrage, on trouve reproduites les lettres et les photos d'époque.

Un témoignage simple, accessible mais poignant.

Colette, une nouvelle venue à l'EHPAD, ressent toute la complexité de cette étape de vie. Les sentiments d'appréhension et de tristesse sont décrits avec une honnêteté émouvante. La rencontre avec Jean et d'autres résidents apporte un souffle de fraîcheur à son expérience, et les moments partagés illuminent l'atmosphère.



L'histoire suit un schéma familier, mais elle reflète la réalité de nombreux résidents de maisons de retraite. Les sentiments de solitude et d'incompréhension parmi les résidents sont particulièrement bien abordés. Colette et Jean, avec leur connexion spéciale, apportent une touche d'espoir et de bonheur à cette réalité parfois sombre.



Le style de dessin est simple mais efficace, avec des visages expressifs qui transmettent les émotions des personnages. Les couleurs ajoutent une certaine chaleur et vie à l'ensemble, correspondant bien à l'ambiance de l'histoire.



C'est une lecture qui offre une perspective éclairante sur la vie en maison de retraite. Bien que l'histoire suive un schéma prévisible, elle réussit à capturer les émotions et les expériences qui rendent cette BD authentique et touchante.



Si vous recherchez une lecture qui explore les relations humaines au sein d'un environnement particulier, cette BD pourrait bien vous intéresser.

SI JE REVIESN UN JOUR



Le livre que j’ai choisi s’intitule si je reviens un jour de l’autrice Stéphanie TROUILLARD et du dessinateur Thibaut Lambert sachant que dans une bande dessinée le dessinateur a une place aussi importante que l’écrivain car il ne fait pas qu’illustrer il la met en vie….

C’est une bande dessinée qui fait partie de la sélection BABELIO.

La maison d’édition est des ronds dans l’O, la date de parution est de 2020. La bande dessinée ne comporte qu’un seul 1 seul tome.

Collection :

Il n’y a pas eu d’adaptation filmique, c’est ouvrage est lui-même l’adaptation d’un webdocumentaire réalisé par Stéphanie TROUILLARD elle-même en 2017 .



L’auteur

sJournaliste, elle travaille à France 24 et depuis plusieurs années elle s’est spécialisée dans l’histoire de la deuxième guerre mondiale.

Concernant sa carrière littéraire, elle a également écrit « Mon oncle de l’ombre » une enquête sur son grand – oncle maquisard breton fusillé en 1944.



1) L’ouvrage



- Le genre du livre est le récit d’un fait historique de la dernière guerre mondiale



- Les thémes du livre sont :



° la deuxième guerre Mondiale de 1939 a 1945 et le génocides juifs .



° l’amitié qui se lie entre Louise et son professeur de lettres.



° l’adolescence, le personnage principal est une collégienne juive qui décrit son questionnement propre à son âge et à la situation qu’elle subit dans son quotidien.



° la famille et la religion qui sont 2 thèmes omniprésents et déterminants dans l’histoire.





















Le récit :



Le narrateur

En bande dessinée la narration est invisible car elle devient quasiment cinématographique, il n’y a pas a proprement parlé de narrateur.

Les images font la narration d’où la place importante comme je disais du l’illustrateur.





Le cadre spatiaux- temporel : l’histoire se déroule en 1980 ainsi que pendant la deuxième guerre mondiale 1939-1945 à l’aide de flashback durant le récit.

Les lieux de l’histoire se déroulent dans le milieu urbain, ordinaire en France à Paris dans l’appartements familiales de louise, dans les parcs, à l’école chez mademoiselle Malingray qui était professeur de lettres pendant la deuxième guerre Mondiale du lycée Jean De La Fontaine.

Puis au camp de Drancy à Boulogne en Janvier 1944 où sont détenus toutes les personnes juives en attentent de leur déportation dans les camps d’extermination .





L’intrigue : le protagoniste de ce récit est Louise Pikovsky qui est une adolescente juive en classe de 3eme dans un lycée Parisien. Elle est blonde aux yeux bleus, studieuse, brillante, elle excellait en mathématique où elle venait au secours de ses camarades parfois en difficultés ainsi que grande lectrice d’où ses échanges épistolaires et philosophiques avec son professeur de lettre mademoiselle Malingrey.









Au début du récit Louise vit avec sa maman son père son frère et ses 2 sœurs. Pendant les grandes vacances de 1942 Louise correspond pour la première fois avec mademoiselle Malingray son professeur de lettres qui lui fait parvenir des livres et quelques colis de nourriture. A la rentrée d’octobre, elle retrouve son enseignante et pendant 2 années elle lui est fidèle et lui écrit à chaque vacance.

C’est l’histoire de leur amitié qui dure presque 2 ans puisque le 22 janvier 1944 Louise et toute sa famille sont arrêtés par les allemands et seront déportés pour mourir en camps de concentration les. Mademoiselle Malingray a beaucoup souffert de la mort de Louise d’autant plus qu’elle voulait la protéger en la cachant chez elle ce que le père de Louise a refusé.















2) Ton jugement



Le titre n’est pas très explicite par rapport au sujet de l’histoire, il évoque un départ sans donner de détails et envisage un retour possible mais pouvant être compromis . Cependant le titre évoque le chagrin et l’inquiétude du retour.













TU CHANGERAIS LE TITRE :



NON, je ne le changerai pas car si le titre avait été plus descriptif ( ex : Louise, adolescente juive, déporté en 1943 ) je ne l’aurais pas lu parce que c’est une période très triste et dont les issus sont toujours dramatiques parce que le titre est très vague et en lisant les premières pages il n’est pas évoqué toute suite de quoi il est question.













Non il n’y pas d’humour ni de formes comiques. Les personnages utilisent un style littéraire et courtois.

J’ai tout apprécié dans ce livre car même si le sujet est connu et a déjà été traité de nombreuses fois je trouve que cet ouvrage a été bien exploité : car bien que l’on connaisse l’issus du roman, l’auteur a réussi a créer du suspens et des émotions. Cela est si bien fait que on en oubli le contexte dramatique qui est la guerre et que l’on s’attache à l’intrigue familial, à l’amitié……







Je voulais lire quelque chose de différent, j’ai regardé dans la sélection BABELIO et j’ai vus qu’il y avait des bandes dessinées j’ai retenu quelques titres….

En vacances, chez ma grand-mère a Belle-Île en mer, je rentre chez un libraire et sur une table je vois posé « Si je reviens un jour » je l’ai donc pris et il m’a tellement plu que j’ai décidé de vous le présenter à j’ai lus.



Je le conseillerai à tout le monde, même m’a petite sœur de 9 ans l’a lu et l’a beaucoup aimé. Le style st abordable il n’y a pas de violence, tout se déroule calmement et le niveau de langue est adapté à tous types de lecteurs.



J’en ai tiré une conclusion : qu’une Bande déssinée n’est pas seulement un « style » réservé a l’humour, légèreté mais peut ce prêter a des sujets « sérieux »

Victoria

-

C'est un roman graphique qui nous plonge pendant la seconde guerre mondiale. On suit Louise Pikovski et sa famille de 1942 jusqu'à son arrestation et son transfert dans le camp de concentration. Cette jeune fille est courageuse, éduquée, volontaire. On suit les restrictions puis les sévices subis par les juifs, les lois antisémites horribles. Cela nous permet également de comprendre la rafle. C'est une histoire vraiment émouvante, les illustrations sont vives et nous aident à imaginer l'horreur ...

C'est un livre qui m'aidera à comprendre L Histoire en 3e. Un grand merci pour cette belle découverte !

Poséïdon



En 2010 , on retrouve des vielles

lettres et des photographies sur Louise Pivosky dans une classe du

lycée Jean de la Fontaine dans le 16e arrondissement de

Paris. Stéphanie Trouillard a mené une enquête sur sa vie et on

découvre que Louise est une jeune fille aimante, très studieuse,

elle écrit souvent, elle se pose des profondes questions sur la vie

qu’elle mène . Elle adore aussi envoyer des lettres à madame

Malingrey sa professeur qui est très attachée à elle.Mais le

gouvernement et la police française ont enfermé toutes les familles

juives à Drancy puis ils les ont emmenées en camp d’extermination,

la dernière lettre qu’on trouva de Louise date 22 janvier 1944,

jour où elle est donc arrêtée avec sa famille...

C’est

un livre poignant qui aide à comprendre les persécutions juives

pendant la seconde guerre mondiale. Je conseille cette lecture à

tous les élèves qui révisent le brevet des collèges. Il s’agît

d’un roman graphique, donc plus facile à lire et à comprendre que

des romans.





Zendaya

J'ai pas trop aimé ce livre car il n'y a pas d'action ou d'aventure mais il est facile à comprendre et pour ceux qui aiment l'histoire, ce livre peut vous intéresser.

Je mets 2/5

Willie-the-crow

Livre sur les juifs et les nazis en France, histoire assez compliquée mais ça va. La famille de Louise et Louise se font tuer en janvier 1944.

1/5

Ynnel35

Une aventure poétique



Louise Pikovsky, une jeune fille Juive, vit avec sa famille dans une sombre époque : Le nazisme. Louise est une élève très intelligente, qui apprécie tout particulièrement sa professeure : Mlle Malingrey. La petite famille vivait toujours dans le doute et la peur, heureusement pour Louise, l’école et l’écriture de lettres à destination de sa professeur est comme une échappatoire qui laisse place à de la poésie.



Une bouleversante poésie



J’ai beaucoup apprécié l’histoire, en particulier la simplicité du graphisme et sa palette de couleurs plutôt douces, ce qui selon moi, va très bien avec le récit. Ma critique ne serait pas très intéressante si je ne parlais pas de cette poésie qui fait contraste avec la sombre époque que vit Louise. C’est en effet une agréable découverte, bouleversante mais très enrichissante ? Je le recommande vivement ! Je me souviens d’une phrase que Louise avait citée : « On ne m’a pas pris ma richesse, car ma richesse est en moi. » Cette phrase sonne comme une évidence ! D’autant plus que le récit est structuré grâce à des lettres retrouvées dans un placard (donc une histoire vraie). Bien que la fin soit tragique, ce récit et entre autre cette poésie a apporté comme une lumière là où il faisait sombre. Bien qu’on trouve une myriade de livres à ce sujet, celui-ci est expliqué avec une telle simplicité que je n’ai pas pu m’empêcher de le lire en une seule fois.

C'est l'histoire de Louise Pikosky, une jeune lycéenne juive, très forte à l'école.

Louise écrit des lettres à sa professeur Mme Malingrey. Un jour Louise et sa famille sont arrêtés et envoyés dans un camp de concentration. Quelques années plus tard, au lycée Jean de la Fontaine où était scolarisée Louise, une fête est organisée où les professeurs lisent les anciennes lettres de Louise.

Nous avons beaucoup aimé ce livre car l'histoire est émouvante. Nos personnages préférés sont Louise et sa maman car nous les trouvons courageuses. De plus, on apprend énormément de choses sur la vie durant le Seconde Guerre mondiale, notamment sur la vie des juifs.

C'est une bande réalisée par Stéphane Trouillard et Thibault Lambert qui retranscrit l'histoire d'une jeune déportée juive lors de la 2nde guerre mondiale. Cette jeune était très intelligente elle aidait beaucoup ses camarades et était gentille. C'était ce genre de fille qui avait son futur tout tracé. Celle-ci avait un lien très fort avec sa professeure Mme Malingrey. Elle lui écrivait souvent des lettres, d'ailleurs elles ont été trouvées dans le lycée Jean de la Fontaine dans le 16ème arrondissement de Paris .

J'aime beaucoup les cases de cette bd, elles sont séparées et épurées. La couleur du dessin change selon les souvenirs, les couleurs des vêtements sont toujours bien accordées. C'est une bd triste et puissante. Très belle histoire !

Je recommande !

Nayla

C'est l'histoire d'un groupe de professeurs qui discute en salle des profs un jour, une des professeur décide d'ouvrir une armoire et dans l'armoire s'y trouvent les lettres d'une petite fille elle s'appelait Louise Pikovsky. Elle écrit à sa prof car elle l'aimait bien. Cette petite fille vivait à Paris avec sa mère et son frère.Ils étaient juifs . Le père avait été capturé par les Nazis et enfermé au camp de Drancy. La famille continuait à vivre à Paris jusqu'au jour ou les Nazis arrivèrent et les envoyèrent en camp de concentration.

Aucun des membres de la famille ne survécut.





Avis:



je n'ai pas vraiment apprécié ce livre car il y n' y avait pas beaucoup d'action.