Thierry Jigourel

Privée de la protection de Lug, Is a été engloutie par les flots. Jamais on retrouva les corps de Gradlon. Ni de sa fille, Dahud, mais de cette dernière on dit qu'elle est devenue sirène et qu'elle protège désormais la lance de Lug. Mais il y a des miraculés, dans le lot frère Gwénolé accroché à sa croix, ainsi que nos deux druides Gwenc'hlan et Taran. Et s'ils veulent prendre de vitesse la secte d'Esus c'est maintenant qu'il faut partir à la recherche de la seconde relique : le chaudron de Dagda.



L'aventure celtique continue. Et cette fois-ci les druides vont devoir quitter la Letavia, pour la Bretagne. Dans un pays en proie aux raids pictes et saxons, Gwenc'hlan et Taran vont rencontrer Arthur et Moridunon (comprenez Merlin en gaélique). Car c'est là bas, dans la ronde des géants, que se trouve la réponse sur le chaudron de Dagda.

Une belle découverte comme toujours des légendes et de la magie celtique. J'aurais peut être aimé un peu plus d'implication d'Arthur et de Merlin, mais en tout cas ce fut un joli clin d’œil aux légendes arthuriennes.

Comme d'habitude la fin donne envie de se jeter sur la suit car on laisse nos druides en fort mauvaise posture!

Ce nouveau tome reste très prenant.. nos 2 druides avancent dans leur quête. Mais la secte chrétienne les talonne. Le suspens et l'intrigue sont de plus en plus tenus.



Un tome extrêmement violent ou la tortue et les sévices au nom d'un croyance sont mis en avant... et j'avoue que même si c'est une B.D pour adulte : âme sensible s'abstenir.



Néanmoins les auteurs arrivent à montrer l'horreur que certains hommes arrivent a infliger a d'autres par leur peur de l'inconnu et leur bêtise.



Je n'ai, comme pour les tomes précédents, qu'une seule envie .. continuer l'aventure

Pendant des années, j’ai vaguement méprisé un genre que je ne connaissais absolument pas : celui de la bande-dessinée. Quelle idiote j’ai été ! Je découvre peu à peu le plaisir d’en lire, et si je n’apprécie pas tout, loin de là, je me fais plaisir avec de petites pépites. J’ai profité d’une offre récente chez Kobo pour récupérer gratuitement en numérique un certain nombre de volumes, et en particulier Le mystère des Oghams dont il est question ici.



Il s’agit d’un thriller médiéval celtique, dans lequel vont s’affronter les anciens cultes druidiques, clairement sur le déclin, et la religion chrétienne, qui elle est en passe de s’imposer. Une enquête qui n’est pas sans rappeler celle d’Umberto Eco dans Le nom de la rose, transposée au cœur des forêts bretonnes. Le récit est plutôt bien construit, si l’on se fie à ce premier tome qui dégage un petit goût de reviens-y. Le scénario d’Istin et Jigourel a clairement l’ambition de coller à la réalité historique et au contexte religieux de l’époque. Ajoutez-y cette touche de fantastique inhérente à toutes ces croyances celtiques, et vous voilà avec une bande-dessinée particulièrement attrayante.



On y découvre des personnages mystérieux et intéressants, bien loin de ceux de Goscinny & Uderzo. Les planches du canadien Lamontagne, dont c’est la première bande-dessinée, sont une belle réussite, même si certains visages m’ont paru un peu figés. Difficile encore de se faire une idée de ce que sera la suite, l’enquête restant quand même assez basique et sans réelle surprise, mais c’est un premier tome prometteur dont la fin laisse espérer un retournement de situation intéressant. Une bonne entrée en matière, en espérant que la suite tienne ses promesses.
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Tome I, II et III



Cette BD dont 3 tomes sont déjà parus est un thriller alto-médiéval aux accents d’heroic fantasy co-scénarisé par Jean-Luc Istin et Thierry Jigourel. Le dessin et la colorisation sont signés Jacques Lamontagne. Vous la trouverez aux éditions Soleil dans la collection Celtic. Passionnée par la culture celtique, j’ai été de suite intriguée par cette série et j’ai suivi avec un grand intérêt l’avancement du travail d’illustration de Lamontagne sur son blog. Lors de la parution du tome 3, les éditions Soleil ont fait paraître un coffret et un intégral. C’est donc sur la « preuve par 3 » (un tome regroupant les 3° tomes) que mon choix s’est porté. L’atmosphère n’est pas sans rappeler le film « le nom de la rose ». Et plus encore en suivant nos deux héros, Gwenc’hlan et son jeune apprenti. Les auteurs nous plongent dans une période sombre de l’histoire, l’aube du Moyen-Age. L’ascension inéluctable de la religion chrétienne provoquant par la même occasion la disparition des anciennes croyances et de leurs garants, les druides. La Bretagne, ancienne Armorique est le théâtre de mystérieux meurtres de moines, de complots visant à la destruction de l’ordre druidique. Mais c’est aussi le lieu idéal pour faire revivre nos vieux mythes et légendes : l’île d’Avalon disparaissant peu à peu dans les brumes, la mythique ville d’Is, la déesse Morrigane et les fameux lieux de culte, les cercles de pierres, porte ouvrant sur l’autre monde.



A noter aussi un beau travail de recherche, de documentation. Thierry Jigourel est en effet un spécialiste de la civilisation celtique. C’est un plaisir de découvrir le vocabulaire de l’époque et moult références qui nous enrichissent. Côté illustration, les dessins sont de toutes beauté et mis en valeur par une colorisation vraiment travaillée. Les planches sont incroyablement variées au niveau des dimensions des cases. Un découpage qui donne une belle dynamique et une place de choix aux grands espaces. Cela vaut vraiment le coup d’œil. Mieux une place dans votre bibliothèque ! (Petit clin d’œil à la colossale bibliothèque des druides qui ferait tourner la tête de tout LCA).



Quoique l’intrigue soit un peu trop prévisible, l’histoire n’en reste pas moins captivante et épique au fil des pages. La fin nous laisse présager une suite riche en rebondissements. Vivement le tome 4 !

J'ai été captivée par ce premier tome.

Premièrement, pour l'époque. Nous sortons de l'Antiquité et nous entrons dans le Haut Moyen-Âge. Le christianisme s'étend de plus en plus sur les contrées d'Europe. Les anciennes croyances viennent à disparaître. En l’occurrence l'ancienne croyance dont il s'agit ici est celle des druides. Nous ne connaissons pas grand chose de ces peuples qui ont laissés peu de traces et cela s'explique par le fait qu'ils ont produit que très peu d'écrit. Je trouve toujours passionnant de découvrir un livre traitant des druides et des celtes.

Deuxièmement, parce que l'histoire est vraiment intriguante. On commence l'album par la découverte d'un cadavre dans la mer. On apprend par la suite que ce n'est pas le premier. Et qu'à d'autre endroit encore, il y a en a eu d'autres. Est-ce vraiment les druides? Ou est-ce des chrétiens qui veulent discréditer l'ancien croyance? Il peut s'agir d'un complot...

Enfin, on sent tout au long de ce volume qu'il y a un mystère bien plus grand que celui de la politique de l'époque, ou encore du conflit entre les deux religions. (Enfin d'après moi). Je me demande vraiment quel est la solution à toutes ces questions.

On peut rajouter à toutes ces raisons qui m'ont fait aimé cette bande dessinée : la beauté des dessins, et la couleur qui est très bien utilisée. C'est un très bel album.

Ce troisième tome fait décoller la saga. L’histoire prend un plus forme, les personnages semblent enfin se placer sur l’échiquier. Nous en apprenons plus sur les druides et leur religion. Mais malgré tout, nous avons un peu de mal à suivre les raisons d’agir de certains des personnages. Le jeu politique semble plus compliqué qu’il ne laisse paraître. Le graphisme est quant à lui vraiment bien travaillé, et les décors sont particulièrement réussi, mais les personnages manquent, et je l’avais écrit dans le précédent article, de crasse, de saleté, de réalisme.



Une histoire qui décolle, un graphisme intéressant, beau, mais avec un petit bémol.
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Jean-Luc Istin continue de nous faire découvrir de nouveaux mondes dans la collection Soleil celtic. Le lecteur s'immerge ici dans la guerre secrète et sans merci qui oppose ancienne et nouvelle religion. Si les druides communiaient avec la nature, ils sont aujourd'hui en voie de disparition, remplacés par les moines de la religion catholique qui sont loin d'avoir les mêmes pouvoirs. Ceux-là ne s'entendent vraiment pas, excepté Gwenc'hlan et Frère Budog. Ce dernier va chercher son ami afin de résoudre une enquête qui terrifie la communautés : des moines ont été retrouvés assassinés et ces meurtres ressemblent étrangement à des sacrifices de druides. Accompagné de son apprenti Taran, Gwenc'hlan va tenter de résoudre ce mystère tout en essayant de ne pas tomber dans les pièges des moines qui n'ont aucun respect pour lui, et qui le craignent.



C'est avant tout une histoire policière, une enquête, qui est mise en avant de ce tome. Le lecteur cherche donc avec les personnages principaux qui pourrait être l'auteur de ces meurtres, c'est captivant ! Mais ce qui l'est également, c'est de découvrir comment cela se passait à cette époque, puisque les religions étaient finalement la politique d'aujourd'hui. Les auteurs jouent sur deux tableaux, l'un se voulant assez réaliste, l'autre s'assumant de la fantasy puisque les personnages se rendent sur Avalon.

J'ai beaucoup aimé l'histoire de ce premier tome. Je suis par contre moins convaincue par le dessin (ou tout du moins les dessins de personnages parce que ceux des paysages sont très beaux). Bien sûr, je ne vais pas me faire prier pour découvrir la suite de cette BD !
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Nous retrouvons à nouveaux pour une chasse aux trésors, Gwenc’hlan et Taran que nous avions laissé précédemment à Is, la ville légendaire. L’enquête se poursuit et nos deux druides accompagnés de quelques moines vont aller de rencontres étonnantes en découvertes essentielles. Le temps presse. L’étau se resserre toujours un peu plus pour les druides qui voient, impuissants, la fin prochaine de leur culte au profit de la religion du Dieu unique.



La suite ici : http://au.fil.de.mes.lectures.over-blog.fr/article-21764017.html

Dès les premières pages après le prologue, nous avons l'amertume d'un monde, celui celtique, qui disparaît, au profit d'un autre, chrétien. Alors que la civilisation antique agonise au profit du Moyen Âge, un druide devra enquêter avec son disciple sur le meurtre dudit prologue. Si cela peut faire vaguement penser au Nom de la Rose au premier abord, on se plonge vite dans l'histoire, et les dessins, il faut le reconnaître, sont superbes. Cela dit, je m'attendais à davantage d'actions dans ce tome 1. Moins de policier, plus de fantasy. Ce qui n'enlève pas pour autant de la qualité au récit...

Ce troisième tome est très bon, des réponses nous sont données sur les mystères des deux premiers tome, en plus ici nous avons pas mal d'action et de décors grandiose dans la ville d'is.

Les personnages sont vraiment excellent et on une personnalité très recherchée.

Visuellement rien à dire, c'est propre et coloré sans abus avec donc ce petit côté réaliste.

Un premier tome à l'univers riche. L’action se déroule en effet dans cette période charnière entre l’antiquité et le moyen-âge et permet d’aborder des thématiques comme l’affrontement entre ancienne et nouvelle religion ou le folklore celtique … On a ainsi une belle touche de fantastique qui se mêle à un ensemble qui me semble bien documentée (mais je suis loin d’être une spécialiste). L’intrigue en revanche manque ici un peu de rythme. On est essentiellement dans l’introduction, les auteurs prenant le temps de poser les bases de leur histoire. Intéressant, certes, mais j’aurais apprécié un tout petit microscopique poil plus d’action. Les mystères abordés sont néanmoins alléchants et ont un petit goût du Nom de la Rose, transposé en Armorique. Un druide et son apprenti mène ainsi l’enquête sur une série de meurtres rituels perpétrés dans différentes monastères de la Région. Tout indique que les auteurs sont des druides, mais les indices semblent également bien trop gros pour être honnêtes … Manipulation ? Guerre de religion de devenir ? Il faudra lire les tomes suivants pour le savoir.

Dans ce cinquième épisode de la série Les druides, Taran se découvre des talents de guérisseur sur l'île de Mona. Mais bien vite, Gwenc'hlan, Taran et leurs amis moines continuent leur quête du chaudron de Dagda toujours suivis par les membres de la secte d'Esus.

Ils vont ainsi s'allier aux Pictes puis, guidés par saint Brendan, se rendre chez les Vikings.

Pendant ce temps, frère Gwénolé se rend compte du fanatisme du christianisme et de l'évêque Verus.

Deuxième tome achevé. Je dois dire que je les achètes au compte goutte. Pas donner les BD.



Mais je suis encore une fois satisfait des BD écrite par Jean Luc Istin, expert en matière de légende et mythologie celtique. La trame principale de l'historie est bien mener et l'on suit toujours l'aventure de notre druides sur l'enquête des prêtres morts.

On découvre de nouvel légende celte, et de nouveau lieu.

Le tout dessiner avec la fine plume de Lamontagne, un dessin que j'affectionne tout particulièrement parce que c'est propre et bien carré. Les couleurs son aussi génial.



Donc, très bonne suite, j'en attend encore plus pour le troisième volume. ^^

Plus je m'avance dans la lecture de cette histoire, plus celle-ci gagne en intensité et en profondeur. Elle est remplie de mystère. On a très envie de savoir. Les rebondissements nous coupent le souffle. Les illustrations aident beaucoup à garantir cet effet. Lorsque nous voyons vers la fin la ville d'Ys et les eaux en colères, c'est vraiment incroyable. de même la bibliothèque des druides a eu un grand effet sur moi. J'ai vraiment adoré. Cette bande dessinée est vraiment grandiose !

Dans des romans arthuriens que j’ai lus il y a quelques temps, le conflit entre le paganisme celtique et le christianisme naissant était déjà évoqué. Ici, il est au cœur de l’intrigue. En plus de cette rivalité religieuse, la BD met aussi en scène comme une intrigue policière. J’avoue être resté sur ma faim à la fin de ce premier tome mais je lirai sûrement la suite.

Dans ce deuxième épisode, l’enquête du druide le mène jusqu’à la ville d’Is, cité devenue une légende. Le récit a tendance un peu à s’étaler et les auteurs prennent le temps d’installer de bonnes bases, je l’espère. Il apparaît clairement que le druidisme se présente ici comme une religion proche de la terre, et des hommes, en totale opposition avec le christianisme qui considère la nature comme étant sienne et qui fait l’apologie de la mort. La critique est assez présente tout au long de cet album, et bien que ça ne me dérange pas, n’oublions pas que le christianisme a éradiquer toute les religions qui se transmettaient oralement en Europe, il n’en reste pas moins que le parti est bien pris pour les cultes « païens ». Mais les auteurs démontrent qu’au sein de l’église des hommes restent bons. Les personnages semblent très caricaturaux et certains qui sont censés prendre de l’importance semblent effacés.

Les dessins sont toujours aussi beaux que le premier album, les scènes sont réalistes, mais il manque malgré tout un peu de crasse, sachant quelle époque à laquelle se déroule l’histoire.



Un ensemble moyen mais j’espère que la suite s’élèvera un peu.
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Alors que des meurtres sont perpétrés en Bretagne selon quelques rites druidiques, un haut dignitaire chrétien, réfractaire à ce culte païen, diligente une enquête en faisant appel à un druide. Entre coutumes, craintes et politique, ce premier tome pose les bases d’une histoire qui s’annonce tragique. Le personnage de Gwenc’hlan a qui il est demandé de mener des investigations doit faire face à la haine des contrées chrétiennes, faire appel à ses pouvoirs qui effraient tant les chrétiens, et transmettre son savoir à son apprenti. Le récit pose donc les bases de cette série qui se pose sur une histoire réelle, la fin des cultes païens en Europe. Le graphisme est très bien réalisé, les personnages sont vraiment réussis, particulièrement les expressions du visage. Les décors sont détaillés. Ce premier tome est une belle découverte.
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Après un peu de trop de légendes et de tergiversations sur les deux tomes précédents, on sent que l'action décolle pour de bon, malgré l'habituel coup du cliffhanger décevant. En plus de nous instruire sur les traditions celtiques les pièces du puzzle finissent de se réunir. Is la Blanche va connaître son destin, ce qui semble être l'Imperium Dei se précise... et la fin connaît une jolie envolée de sense of wonder avec une mise en suspens.

Du reste, les mêmes qualités que d'habitude niveau dessin. Mais pour ce qui est de l'ambiance, je m'en rends compte, j'ai un problème avec cette série. Ça vient peut-être du fait que j'en lis un tome quasi tous les six mois, mais les temps morts nécessaires à l'intrigue se font sentir, tandis que les évènements dramatiques, arrivant rapidement eux, voient ainsi leur ampleur diminuée. Mais ayant également connu ça avec "Thorgal", je commence à me demander si ce n'est pas un défaut provenant du format BD franco-belge... Et il est vrai qu'au bout du compte, on a toujours l'impression que les tomes sont trop courts.

C’est une très jolie bande dessinée que j’ai découverte là.



Dans le Haut Moyen Age, à une époque où les druides disparaissent et où le christianisme institutionnalise, des meurtres se produisent parmi les moines.

Gwenc’hlan et son apprenti Tran doivent trouver qui est le vrai coupable alors que tout accuse les druides.



Ce premier tome est une introduction à l’enquête.

Il n’y a pas de grosses révélations, on se contente de découvrir les personnages à travers celui de Taran et ils sont bien intriguant, notamment cet étrange Gwénolé qui déteste les druides mais qui n’hésite pas à faire appel à l’un d’entre eux pour enquêter.



Le dessin est très précis mais c’est surtout d’un point de vue historique que cette bande dessinée est réussie.

Je connais bien trop mal la période pour juger de la réalité des faits présentés mais les auteurs semblent avoir fait un énorme travail pour coller le plus possible à l’Histoire.

C’est d’ailleurs un point qui pourra peut être rebuter certains lecteurs, il y a énormément d’informations qui sont données et il n’est pas forcément évident de tout assimiler du premier coup.
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Nous suivons l'enquête des deux druides. Par rapport aux tomes précédents, la tension se calme légèrement. Ils partent sur une autre voie à la quête du chaudron. Le mystère est toujours présent. Au fur et à mesure, nous découvrons un élément, ce qui rend le secret encore un peu plus intense.

C'est vraiment passionnant.