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Citations de Thierry Lenain (117)


Mon petit Max, un oiseau, ce n'est pas fait pour vivre dans une cage ! Une chèvre, ce n'est pas fait pour vivre attachée à un piquet ! Un poisson, ce n'est pas fait pour vivre dans un bocal ! Et bien, un amoureux, c'est pareil ! Un amoureux n'attend pas un baiser, là, sur les marches de l'escalier qui mène aux WC !
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Sa promesse promise, Zazie rejoint ses copines qui rigolent toujours en regardant Max.
Max fait semblant de ne pas les voir. Zazie lui a promis un baiser, et un baiser de Zazie vaut bien qu'on supporte quelques moqueries.
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-Tu... tu... tu n'as pas de zizi ?!
Étonnée, Zazie regarde le bas de son ventre. Elle répond :
-Ben non... j'ai une zézette !
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Souvent, quand deux adultes ont envie d'une relation sexuelle ensemble, c'est parce qu'ils s'aiment d'amour. Ils ont envie de se le montrer et d'en profiter de cette façon. C'est pour ça qu'on dit qu'à ce moment là, ils font l'amour : avec leurs corps, ils font l'amour qu'ils ont dans leurs cœurs.
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Personne ne peut obliger un cœur à ressentir plutôt de l'amour hétérosexuel ou plutôt de l'amour homosexuel. Chaque cœur aime comme il en a envie. Et chacun a le droit d'avoir le cœur qu'il a. Chacun a le droit d'être ce qu'il est.
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Une robe de danseuse rose, avec un gros noeud blanc, des rubans et tout le tralala.
-Pourquoi tu regardes ça? s'étonne Zazie.
Max ne lâche pas la robe des yeux.
Il répond:
-Qu'est-ce qu'elle est belle...
Zazie hausse les épaule.
-Tu veux dire "moche"!
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Les jours et les semaines suivants, Max se pose souvent cette question: "Qu'est-ce que c'est que cette fille?" Car en plus de dessiner des mammouths, Zazie joue au foot. Elle a un vélo de garçon. Elle n'a pas peur de grimper aux arbres (beaucoup plus haut que Max). Et quand elle se bat, elle gagne tout le temps.
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Mais les soirs où j'étais très malheureuse, je me disais que tout ça, c'était parce que je me trouvais dans un mauvais chapitre, que dans le dernier, tout changeait.
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Cette histoire, je l'ai étudié en classe de primaire, je ne me rappelle plus de la fin, mais j'avais vraiment une émotion d'amour en moi quand j'imaginais Aïssa dire les couleurs avec de chouettes exemples pour montrer la beauté de la nature au garçon aveugle ( je ne me rappelle plus du nom, car je n'ai pas le livre)
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-C'est la fatigue , grand-père ... Tu sais , un trimestre avec tous ces profs , c'est pas rien ...
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"Autrefois, je croyais que les histoires d'amour duraient toute la vie. Aujourd'hui, je sais qu'il y a des histoires d'amour longues et des histoires d'amour courtes. Je préfère les longues.
Seulement on ne choisit pas, et encore moins l'histoire d'amour de ses parents. Les miens se sont séparés. Il se sont aimés beaucoup, mais pas longtemps.
C'était une histoire d'amour courte, et je suis née dedans. Il n'y a pas besoin qu'une histoire d'amour soit longue pour naître dedans.
Je suis née dans une histoire d'amour courte. Ça n'empêchera pas ma vie d'être longue.
Mais je me demande quand même : C'est quoi l'amour court ? C'est peut être un amour qui court plus vite que les gens, et qui les laisse un jour par terre, à ne plus savoir rien faire que se disputer. Et après les gens oublient qu'ils se sont aimés."
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j'ai adorer ce livre franchement vous devrez le livre
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Cette histoire commence avant les premières pages. Elle s'achèvera, comme tant d'autres, au-delà des dernières. Sans doute jamais.
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Un jour, Radhija demande à sa maman :

Et si j'étais le rêve de quelqu'un, de quelqu'un qui rêve ?

Et quand il se réveillera, voilà, je n’existerai plus …
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- Avant de partir, je lui ai dit que mon cœur
était rempli de l'avoir rencontrée,
et de tristesse de devoir la quitter. Je l'ai
embrassée et puis je l'ai reposée dans le lit où
maintenant elle resterait. Elle pleurait.
- Tu pleures toi aussi, Marion... Et vos larmes
portent le sel de la vie.
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Après les reproches de l'infirmière, tu es restée deux jours sans aller à l'orphelinat. Puis tu m'as retéléphoné.
- Voici ce que j'ai décidé, papa. Je vais continuer à m'occuper de Lali. Mais tous les jours, avant de la toucher, je lui dirai : " Lali, je vais te prendre dans mes bras, parce que j'en ai envie, et parce que je crois que toi aussi tu en as envie ; mais un matin sera le dernier matin, car le lendemain je repartirai dans mon pays, toi tu restera dans le tien, et je n'y pourrai rien."
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- Tu sais papa, je la porte tous les jours
maintenant, comme un paquet fragile... Mais
je ne sais pas quoi faire d'autre...
- Berce-la, Marion... Chante-lui les chansons
que ta mère te chantait quand tu étais petite...
Raconte-lui les histoires que je te racontais...
- Je ne sais pas parler sa langue !
- Qu'importe la langue, Marion, seuls
comptent les mots...
- Elle est peut-être sourde !
- Serre-la davantage contre ton cœur, Marion.
Même sourde, elle t'entendra.
[A propos d'une petite orpheline gravement traumatisée.]
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Marion, tu allais naître.
J'avais les mains tendues vers toi.
Et tu es apparue.
Tu ne criais pas.
Tu ne pleurais pas.
Tu me regardais.
J'ai été ta première image du monde.
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L'institutrice marche en récitant le texte de Sarah : " Le canal est gelé. La ville est morte. Les enfants pleurent. Le peintre les enferme sur son tableau." L'enseignante avait lu sans d'abord la retenir cette dernière phrase. Sarah lui avait parlé de ses cours de peinture. Mais elle n'avait pas fait le rapprochement. Elle ne pouvait pas. Son oncle était mort depuis longtemps. Elle ne pouvait le laisser réapparaître. Même sous les traits d'un autre.
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Le regard de l'institutrice se pose sur le corps noirci et ridé [de la poupée de Sarah]. Le plastique est troué au bas du ventre. Elle se revoit transpercer son ours en peluche d'un grand clou, avant de le couvrir de baisers mouillés : Pardon, pardon, je ne recommencerai plus jamais, je te le jure.
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