Thomas Zuber

(...) Pour nous aider à ne pas choisir, Facebook a inventé le "Je viendrai peut-être" .

"Génération des parents" contre "génération des transparents" (expression empruntée à Josh Freed, éditorialiste canadien.

"Les gens ne sont pas seulement habitués à partager plus d'informations mais à le faire plus ouvertement et avec davantage de monde. La norme sociale a évolué avec le temps" déclarait Marc Zuckerberg en janvier 2010

Facebook est devenu le royaume de l'enfant roi. Toutes petites déjà, nos têtes blondes sont sur le devant de la scène, en films, en photos, en commentaires, en une des profils. Les grands y trouvent du sens. Les petits y sont à l'aise. Bienvenue dans un monde baby gaga.

"Faut qu'on se voie !" Oui. Sûrement. Mais sur Facebook alors ! Et si ça doit être dehors, privilégions le resto à dix, ou le ciné, dans le noir. Le tête-à-tête prend des allures de calvaire. On s'est fait nos mamours par tchat, on s'est raconté notre quotidien formidable sur nos murs, que reste-t-il à nous dire dans le blanc des yeux ? Rien, si ce n'est ce qu'on ne dit pas sur Facebook, c'est-à-dire ce qui va mal. Et ça personne, n'en a envie.

On attend de l'école ce qu'on attend de notre fournisseur d'accès à Internet : un service à la carte. Avec option tweet illimitée.

Ces nouveaux moyens de communication ne sont pas neutres. Ils deviennent addictifs, incontournables, et modifient nos rapports. Personne ne nous oblige à les acheter ou à les allumer. C’est vrai. Mais aujourd’hui celui qui coupe son téléphone, son ordinateur ou sa tablette numérique disparaît. Nous sommes tous de la génération Y.

C'est intégré, accepté, rentré dans les mœurs. Facebook pense pour vous, gère vos amitiés pour vous. Une journée sans Facebook et vous risquez de trébucher dans votre vie sociale.

Avant, le divorce était un échec. Maintenant, c'est une opportunité. Ça se fête, non ?

Facebook mais aussi Google, Twitter, MSN sont entrés dans nos conversations et dans nos vies. Sans le savoir, sans le voir, nous ne gérons plus nos relations personnelles comme avant, comme il y a à peine cinq ans. Chacun, aujourd’hui, se transforme en petit centre de profit : cet ami m’a déçu ? Pas grave, j’en ai deux cent cinquante autres sur mon profil Facebook.

Je n'ai pas entièrement lu ce livre, que 40 pages.

J'ai choisi ce livre car je n'ai pas Facebook et je voulais connaitre le quotidien des personnes qui l'utilisent.

Facebook est un réseau social que la plupart des personnes utilisent. Ce livre décrit des situations de particuliers qui racontent leur vie, en disant à leurs amis qu'il faut qu'ils se voient, mais ils ne le font jamais.

Je n'ai pas du tout apprécié lire ce livre car se sont des scénettes trop courtes et tout le temps les mêmes ; ce qui ne donne pas le même suspens qu'une histoire et donc cela m'a donné moins envie de lire la suite...

Cindy



J'ai lu ce livre car le titre et la première de couverture m'ont attirée, la première de couverture est bleu avec des téléphones tablettes dessinés qui représentent un personnage.
Ce sont des scénettes qui racontent des histoires qui pourraient être vraies de certaines personnes qui ne peuvent pas se passer de portable, ordinateur et d'internet.
Ce livre montre qu'internet a détruit notre sociabilité car on passe tous tout notre temps dessus.
Par exemple il y a un chapitre ou deux personnes ne se fréquentent plus pour des raisons de travail mais elle arrivent a discuter entre elles sur FACEBOOK et se disent tout le temps qu'il faut qu'elles se fixent un rendez-vous mais elles ne le font jamais.
Après la lecture j'ai trouvé que je n'avais pas aimé énormément car je trouvais que certaines scénettes n'étaient pas trop en rapport avec le titre car sa ne parlait pas de FACEBOOK mais plutôt d'autres sites comme des sites de rencontre.
J'ai eu du mal à terminer ce livre car j'ai trouvé personnellement que les scénettes n'était pas très attirantes, je me suis comme un peu ennuyée pendant la lecture, et à aucun moment je me suis identifié à aucun des personnages et je n'ai pas était aspirer dans les scénettes.

Océanne.