Toine Heijmans

Récit ambigü et qui fait froid dans le dos...la mer est impitoyable et le marin le sait et lutte pour la survie de son enfant qui disparaît au cours de la tempête...Qu'en est-il réellement?

Livre témoignage Roman? Policier?

A vous de voir

Il est des livres qui ne vous laissent aucun répit. Dès le premier regard posé sur la couverture, ils vous parlent. Ils vous interpellent. Lire le titre n’est que vérifier ce que vous savez déjà. Envie d’y plonger...
Lien : http://fannyl.jimdo.com/2014..

Un récit introspectif mais pas statique : on est tout de suite embarqué et on ne peut s'arrêter... Les premières lignes ("Je n'avais pas vu les nuages"), ainsi que les épigraphes, annoncent la tempête, alors on l'attend, on la pressent...



Une belle prouesse pour un premier roman ; des références littéraires de choix ; à ne pas manquer.



Alexandra (Poissy)

Véritable coup de cœur pour ce premier roman d'Heijmans, journaliste hollandais. Il nous embarque ici sur une mer trouble, agitée par les folles angoisses et les questionnements furieux de son personnage principal: un homme, un père.

Un huis-clos intense.

Un homme, la mer, le ciel, un voilier.

Un périple en solitaire, un largage des amarres, un voyage intérieur.

T.Heijmans économise les mots.

Un dépouillement qui génère de la densité, de l'intensité, une vibration, presque palpable.

Le récit d'un père qui aspire à la perfection, d'un homme qui repousse ses limites aux portes de la folie, d'un esprit qui fait naufrage.

Une fantasmagorie qui s'avale d'une traite.

Un père étranglé par un travail stressant qui l'a mené au-delà de ses forces décide, encouragé par sa femme, de prendre la mer. Sa fille de 7 ans l'accompagne pour la dernière étape. Performance d'une narration dans un suspense et une intensité dramatique qui donne le mal de mer. L'auteur nous mène par le bout du nez jusqu'au bout.

Sans doute peut-on apprécier - voire aimer - ce livre. D'ailleurs, j'ai passé un moment agréable à le lire.

Cependant, je dois avouer que les critiques élogieuses, lues ou entendues ici et ailleurs, et a fortiori le Médicis étranger me laissent dubitatif.



Style (ou plus précisément traduction) sobre et simple - pour ne pas dire simpliste -, certes efficace et qui "coule" bien mais dans lequel j'ai du mal à trouver de la finesse. Une écriture, en fait, aussi étale que la mer au début de cette dernière étape qui nous intéresse ici : sans vagues, sans tempêtes, sans amers non plus, tranquille.

Histoire anecdotique, presque convenue, dont on devine assez vite les contours du dénouement.



Bien sûr y a-t-il un peu de suspense qui nous pousse à tourner les pages et à aller jusqu'au bout ; mais de là à parler de "tension" et d'"angoisse", voilà qui me semble un poil exagéré.



En résumé, un livre sympathique, mais qui ne méritait pas, à mon sens, son prix et dont le souvenir n'excèdera pas le temps de lecture...

Enfin, les goûts et les couleurs !

Beau roman sur la solitude et les interrogaions d'un homme, son questionnement sur l'avenir et sa place dans le monde. Par contre tout le mystère n'est pas levé, ce qui est bien et laisse chacun libre de son interprétation.

Un livre court et fort comme une tragédie grecque. Il évoque comment la beauté côtoie le drame et il met en scène un lieu et une situation où la mort jouxte l’extase.
Lien : http://www.lalibre.be/cultur..

Que ce roman m'a mis mal à l'aise, à en avoir presque le mal de mer.....



L'auteur, en peu de pages, sait créer une ambiance sinistre. Imaginez : un homme seul en pleine mer, avec sa fille de 7 ans à bord, pendant une tempête.



Un homme que l'on devine au fil des pages être resté un enfant. Capable de naviguer, mais aussi de refaire sans cesse les mêmes erreurs sur son bateau. Et c'est entre ses mains que se trouve sa fille.



Un homme capable de convaincre sa femme de le laisser emmener Maria, alors que sa mère n'était pas consentante.



Un homme qui part quand la tempête approche, mais qui n'appellera pas les secours, car, dans son imagination, c'est comme cela qu'un père fait.



L'imagination, justement.....



L'image que je retiendrai :



Celle du lit vide de Maria dans la cale, sans même sa peluche.


Lien : http://motamots.canalblog.co..

Que ce roman m'a mis mal à l'aise, à en avoir presque le mal de mer.....



L'auteur, en peu de pages, sait créer une ambiance sinistre. Imaginez : un homme seul en pleine mer, avec sa fille de 7 ans à bord, pendant une tempête.



Un homme que l'on devine au fil des pages être resté un enfant. Capable de naviguer, mais aussi de refaire sans cesse les mêmes erreurs sur son bateau. Et c'est entre ses mains que se trouve sa fille.



Un homme capable de convaincre sa femme de le laisser emmener Maria, alors que sa mère n'était pas consentante.



Un homme qui part quand la tempête approche, mais qui n'appellera pas les secours, car, dans son imagination, c'est comme cela qu'un père fait.



L'imagination, justement.....



L'image que je retiendrai :



Celle du lit vide de Maria dans la cale, sans même sa peluche.


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Que ce roman m'a mis mal à l'aise, à en avoir presque le mal de mer.....



L'auteur, en peu de pages, sait créer une ambiance sinistre. Imaginez : un homme seul en pleine mer, avec sa fille de 7 ans à bord, pendant une tempête.



Un homme que l'on devine au fil des pages être resté un enfant. Capable de naviguer, mais aussi de refaire sans cesse les mêmes erreurs sur son bateau. Et c'est entre ses mains que se trouve sa fille.



Un homme capable de convaincre sa femme de le laisser emmener Maria, alors que sa mère n'était pas consentante.



Un homme qui part quand la tempête approche, mais qui n'appellera pas les secours, car, dans son imagination, c'est comme cela qu'un père fait.



L'imagination, justement.....



L'image que je retiendrai :



Celle du lit vide de Maria dans la cale, sans même sa peluche.


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Que ce roman m'a mis mal à l'aise, à en avoir presque le mal de mer.....



L'auteur, en peu de pages, sait créer une ambiance sinistre. Imaginez : un homme seul en pleine mer, avec sa fille de 7 ans à bord, pendant une tempête.



Un homme que l'on devine au fil des pages être resté un enfant. Capable de naviguer, mais aussi de refaire sans cesse les mêmes erreurs sur son bateau. Et c'est entre ses mains que se trouve sa fille.



Un homme capable de convaincre sa femme de le laisser emmener Maria, alors que sa mère n'était pas consentante.



Un homme qui part quand la tempête approche, mais qui n'appellera pas les secours, car, dans son imagination, c'est comme cela qu'un père fait.



L'imagination, justement.....



L'image que je retiendrai :



Celle du lit vide de Maria dans la cale, sans même sa peluche.


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Que ce roman m'a mis mal à l'aise, à en avoir presque le mal de mer.....



L'auteur, en peu de pages, sait créer une ambiance sinistre. Imaginez : un homme seul en pleine mer, avec sa fille de 7 ans à bord, pendant une tempête.



Un homme que l'on devine au fil des pages être resté un enfant. Capable de naviguer, mais aussi de refaire sans cesse les mêmes erreurs sur son bateau. Et c'est entre ses mains que se trouve sa fille.



Un homme capable de convaincre sa femme de le laisser emmener Maria, alors que sa mère n'était pas consentante.



Un homme qui part quand la tempête approche, mais qui n'appellera pas les secours, car, dans son imagination, c'est comme cela qu'un père fait.



L'imagination, justement.....



L'image que je retiendrai :



Celle du lit vide de Maria dans la cale, sans même sa peluche.


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Un homme part faire de la voile en mer du Nord et décide d'emmener sa petite fille. En pleine mer, alors que le vent se lève, sa fille est introuvable et l'angoisse monte...

Alors que tout parait évident, l'histoire est loin d'être simple.

Un véritable coup de cœur, pour ce livre plein de surprises jusqu'à la fin.

Le suspense parcourt sans relâche le récit de ce huis-clos en pleine mer. Le romancier embarque habilement le lecteur dans les profondeurs de l'âme d'un homme que les interrogations et les angoisses poussent au seuil de la folie.
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