Citations de Tom Clancy (238)
... et l'éclat rouge de la fusée, les déflagrations des bombes...
"Bonjour, Jack.
- Hé, Simon ! Quoi de neuf sur la planète ?" Jack déposa son café avant d'ôter son pardessus.
"Souslov est mort la nuit dernière, annonça Harding. La nouvelle sera annoncée dans les journaux de l'après-midi.
- Quel dommage. encore un démon qui a retrouvé la voie de l'enfer, pas vrai ? u moins il est mort avec une bonne vue, grâce à Bernie Katz et ses collègues de John Hopkins, se dit Ryan. "Complications du diabètes ?"
(P. 149)
Yeah, it's funny. It sounds regular, but it does not look regular. Know what I mean, Mr Thompson.
No you've got better ears.
That's 'cause I listen to better music, sir. That rock stuff'll kill your ears.
À Polyarny, base des sous-marins de la Flotte soviétique du nord, le capitaine de vaisseau Ramius était à son poste de manœuvre sur la passerelle d’Octobre rouge. Il était engoncé dans la rue tenue arctique, avec un ciré et cinq épaisseurs de laine. Un remorqueur de port évitait l’étrave du sous-marin vers le nord. Après deux mois interminables, échoué dans un bassin à l’abri des intempéries, le bâtiment était de nouveau à flot. Au bout du bassin, un groupe de marins et d’ouvriers du port, silencieux et impassibles à la manière russe, observaient l’appareillage.
« Kamarov, machines avant lentes ! » ordonna Ramius. Le remorqueur s’éloignait. Ramius jeta un coup d’œil à l’arrière pour observer le bouillonnement créé par le démarrage des hélices. Le patron du remorqueur salua, et Ramius répondit. La tâche du patron avait été modeste, mais exécutée rondement. Octobre rouge, un sous-marin de la classe Typhon, était maintenant en route dans le chenal du fjord de Kola.
Voilà qui exigeait un sérieux effort d'imagination. Irlandais par le sang et catholique par affinité et par éducation, Ed Foley dut faire un effort mental pour mettre de côté ses opinions personnelles. Un tel complot le dépassait, peut-être, mais il avait affaire à des gens qui ignoraient le concept de limites, en tout cas sûrement pas celles imposées par un service extérieur. Pour eux, Dieu était un concept politique et toute menace contre leur monde politique était assimilable à Lucifer défiant l'ordre divin.
- "Le monde est plein de trucs intéressants à faire et je ne les ai pas encore tous essayés."
- "Derrière toute la rhétorique politique qui nous est assenée de l'étranger, nous découvrons une réalité inéluctable - (le terrorisme est) un crime selon toutes les normes civilisées, commis contre des innocents, loin du théâtre du conflit politique, et doit être puni comme un crime...
C'est dans la reconnaissance de la nature criminelle du terrorisme que réside notre meilleur espoir de le vaincre...
Utilisons les outils que nous avons. Invoquons l'aide que nous sommes en droit d'espérer autour du monde, et ainsi réduisons les sombres et humides domaines du refuge jusqu'à ce que ces lâches maraudeurs soient tenus de répondre comme des criminels, dans un procès public, des crimes qu'ils ont commis et reçoivent le châtiment qu'ils méritent."
~ William H. Webster, directeur du FBI ~
15 octobre 1985.
- "Quand les méchants s'allient, les bons doivent s'associer ; autrement ils tomberont un par un, sacrifiés sans regret, dans une lutte implacable."
~ Edmund Burke ~
- "Quand on est capable de sauter d'un avion en vol, on est capable de n'importe quoi."
Tous les matins après sa douche elle se contemplait, toute nue, dans la glace en pied de la penderie et s'en détournait avec une expression à la fois fière et affligée en passant ses mains sur les modifications quotidiennes.
- Ça va empirer, lui dit son mari alors qu'elle sortait de la douche un matin.
- Merci, Jack. J'avais vraiment besoin d'entendre ça.
- Est-ce que tu peux voir tes pieds?
« Fuir comme tu le fais n’est ni bon pour toi, ni bon pour nos actions clandestines, ni bon pour ta famille. »
Un homme qui marche dans les rues tôt le matin d’un jour ouvré attire moins l’attention qu’un homme qui se balade dans une zone résidentielle au beau milieu de la nuit.
Surtout quand il y a des guetteurs entraînés aux alentours.
On ne sait jamais comment on va réagir le jour où ça survient pour de bon. On ne peut jamais tout planifier.
Si j’avance, suivez-moi. Si je m’arrête, poussez-moi. Si je recule, tuez-moi.
Il s’agit de trouver le moyen d’effacer trois millénaires de guerres tribales, de querelles intestines et de méfiance vis-à-vis des étrangers. Une armure difficile à fendre. Bon sang, j’ai servi au Viêt-nam, eh bien, le Viêt-nam, c’est Disneyland comparé à l’Afghanistan.
Tous les hommes sont pareils, il leur arrive de penser avec leurs testicules et pas avec leur jugeote.
La science historique possède ses propres règles, ses conventions, qui ont peu à voir avec la réalité des choses. La réalité est trop compliquée à appréhender, même pour des travaux universitaires qui durent des années. Les politiciens doivent se plier à ces règles, et tenir compte de ce que les historiens ne se souviendront d’eux que s’il se produit quelque chose de mémorable durant leur mandat.
Le temps perdu ne se rattrape pas.
Les guerres se transforment un jour en paix, mais leurs guerres à eux n’étaient jamais finies. Elles s’arrêtaient, s’interrompaient, elles ne cessaient pas définitivement.
Tout homme recherche avidement la noblesse de l’esprit.